clair qu'aborder cette question de cette manière amène aussi des problèmes chez certains "parents".
mon couple de meilleurs amis : 2 jumeaux, dont un est décédé quelques jours après la naissance

ils ont eu droit à des réflexions horribles de la part d'autres connaissances parents

J'imagine trop le truc du genre "au moins, il reste un"

Ben faut définir small talk.
Comme les autres, si la conversation s’arrête à « t’as des enfants ? » / « non », ça me va très bien.

 
En vrai même cette question est étrange. On m'a rarement demandé en entreprise  'et t'as un mec ?', c'est un peu de la même veine. Perso je n'ai jamais posé ce genre de questions.

la question en elle même ne me choque pas.
c'est comme "t'as une voiture ?" ou "tu habites dans quel coin ?"
et j'y réponds volontier, sans arrière pensée : "non j'ai pas d'enfants", en espérant secrètement que je vais pas tomber sur ça  
 
https://lh3.googleusercontent.com/p [...] authuser=0
 
alors que j'ai jamais demandé à être convaincu

Je ne demande jamais à une personne si elle a un conjoint. Je connais des gens qui vivaient très mal leur célibat et du coup, je ne pose jamais la question  

Je ne demande jamais à une personne si elle a un conjoint. Je connais des gens qui vivaient très mal leur célibat et du coup, je ne pose jamais la question

Je comprends l'idée, dans ce scénario précisément.
Mais par exemple, tes collègues ont assez vite eu connaissance que tu n'avais pas d'enfants alors ?

Donc tu cautionnes tacitement le fait que, si tu as des gamins, tu "dois" en parler, du haut de ton intelligence sociale.
Tout en te plaignant du phénomène. Toujours du haut de ton intelligence.
C'est beau, c'est de l'art.

 
J'ai un souvenir émue d'une formation pour le taf où je me suis retrouvée avec une dizaine de collègues féminines qui avaient toutes un gamin dont l'âge est compris entre 0 et 4 ans.
Impossible de parler d'autre chose que "tu sais pas ce qu'il a fait mon petit hier soir ? Il a détruit le canapé avec des feutres, trop looool !", "hier mon gamin il a fait GHAAaaaaaa ! Il parle, ça y est !", "le mien il se met debout mais il tombe toujours, le tien il a commencé à marcher vraiment à quel âge ?", "tu crois qu'il faut que je ressers la vis tout de suite ? Je me demande si son père ne lui laisse pas passer trop de chose", etc...
 
Pourtant j'ai essayé hein. De placer quelque chose d'autre.
Pas moyen.    

Bon, retour au sujet.
Aujourd'hui, réunion avec des collègues avec qui je bosse pas tous les jours, l'une d'entre elle me montre la photo de son gamin de 18 mois (on a dû papoter 5 minutes avant ça, je la connaissais pas, pas compris), elle me dit "hein qu'il est beau mo fils ?", j'ai pris ma tête "politiquement correct mais quand même j'en fais pas trop" en disant "ah ouai".  
A table 1h plus tard : "et toi, t'as des enfaaaaants ?"
"Oulah non, c'est pas trop mon truc"
"aaah mais t'es jeuuuuuune ça viendra va, moi c'était pareil et puis finalement le plus beau jour de ma vie ça a été mon accouchement"
 
J'ai fait à peu près cette tête là :
   
Et j'ai dit "oui sûrement".
 
Je crois que je n'ai JAMAIS entendu en première réaction à "non j'ai pas d'enfants, c'est pas mon trip" un "ah ok".
Toujours le "ça viendra" ! Au début je partais dans une argumentation type "tu sais j'ai 29 ans, j'en ai jamais eu envie, peut-être que ça viendra pas blablabla", maintenant je lâche l'affaire direct.
Limite j'ai hâte d'être à dans 10 ans pour qu'on me lâche la grappe.
 
Ou alors faut que je dise que je suis stérile, j'ai pas le réflexe encore. Quoiqu'on serait capable de me répondre que je peux adopter

 
Tout mes collègues (y compris les mecs) sauf 1 m'ont déjà montré les photos de leurs gamins.
Et à chaque fois que je rencontre un nouveau collègue, quelqu'un lui demande foooorcément s'il a des gamins, et on a foooorcément droit à la photo.  
C'est imparable.
Et pourtant, ils sont pour la plupart loin d'être cons, plutôt intéressants de manière générale, instruits etc...
 

 
Ah non après t'as pas le choix c'est "regarde Onina il est trop beau mon fils non ?"...
Et tout le monde qui se tourne vers toi pour attendre ta réponse !    
Et là tu tentes de dévier subtilement la conversation..."au fait le dossier machin, ça a donné quoi ?"    
 

 
Sans mentir, je dois bien avoir le droit à la photo du gamin 20 à 30 fois par an minimum. Il faut dire qu'entre les réunions et les formations, en plus des collègues "quotidiens", je vois pas mal de monde...
Et je te rassure, la plupart du temps, je fais dans le politiquement correct : je regarde 2 s et je fais "ah ouai" et j'embraie sur autre chose. Bon si le mec me le fout sous le nez 5 fois par jour, ça tourne plus mal par contre, faut pas déconner.
 
EDit : ah ouai j'ai eu une fois une fan de bagnole, elle a commencé à me montrer ses photos, j'ai fait "désolé, c'est vraiment pas mon truc", et ça c'est arrêté là, j'ai pas eu de "ça viendra" ou de "mais pourquoiiii ?"... Et je m'entendais bien avec elle par la suite.

 
Ben collègues, famille, clients même parfois, et quelques amis, ça commence à devenir vite envahissant, non ?

 
Non. Simplement la vie est trop courte pour s'emmerder, donc je ne passe pas mon temps à m'emmerder ni à emmerder les autres. Chacun son truc.    
 

 
Ah si seulement !    Oui la question "et t'as des enfants ?" est une sorte de convention sociale, un truc pour tuer l'ange qui passe, juste après avoir évoqué la météo, et toute cette neige ma bonne dame, y'a plus de saison.
Par contre répondre "oulah non merci", c'est dans 99% des cas s'exposer à "ah mais pourquoi ? Comment ? Mais t'es folle ? Tu verras ça viendra ! Moi aussi j'étais comme toi et blablabla". Limite c'est un tribunal inquisitorial, soit tu acceptes de te faire traiter comme de la merde (se faire dire que notre avis ne compte pas sur notre propre vie revient pour moi à se faire traiter comme de la merde), soit tu t'embarques dans une argumentation qui finit par t'énerver. Et autant tu peux envoyer chier facilement quand c'est quelqu'un que tu croises une fois et dont tu te fous, autant que c'est en soirée chez des amis, c'est un coup à foutre la soirée en l'air niveau ambiance, tout comme avec les collègues, que tu dois te fader tous les jours.
 
Bref, il me semble qu'autant vous pouvez nous sortir "tu peux pas comprendre t'as pas d'enfant", autant j'ai TRES envie de te dire pour le coup : "tu peux pas comprendre, t'as des enfants (et en plus t'es un mec)".
 
PS : quant au fait qu'il y a des choses plus graves, ouai c'est vrai. Mais alors pourquoi les gens se sentent obligés de me parler de l'avenir de mes ovaires, et pas de la faim dans le monde ?  

 
Je compatis    
Ceci dit, dans la vie de tous les jours, de la part de gens que tu croises (collègues, etc...), le fait d'être une femme fait que tu es systématiquement emmerdée. C'est impressionnant. Je bossais avec un type qui avait un an de moins que moi seulement, et qui était en couple depuis plus longtemps que moi. Résultat : on me demandait quasiment tous les jours si j'avais des enfants, quand est-ce que j'allais m'y mettre, mais pourquoi j'en voulais pas, etc..., et lui, rien - alors qu'il n'en voulait pas plus que moi (il était d'ailleurs bien mort de rire).    

 
Le problème c'est qu'il est difficile de se débarrasser de collègues, d'amis d'amis, de clients, etc... au quotidien.
Si un abruti qu'on avait pas besoin de subir, crois-bien qu'on sera ravi(e)s de s'en débarrasser à coup de pied au cul.  

 
Je veux ton taf    
 
La présentation des gamins aux collègues, je confirme que c'est vraiment, vraiment mais alors vraiiiment lourd.

 
J'suis d'accord avec toi sur le fond, mais dans les faits, y'a des gens que tu ne peux pas trop envoyer chier. Soit parce que tu es amené à les cotoyer et avoir besoin d'eux régulièrement (collègues, etc...), soit parce que derrière, ils vont te faire une jolie réputation ("ohlala, elle est complètement hystérique dès qu'on parle de mômes, c'est une obsession blablabla" par exemple).

 
C'est pas pour Paul et Mickey, en plus je ne compte nullement rester sur ce topic    
 

Bien sur dans tes messages tu pointes l'excès que tu constates.
Moi je pointe ta sensibilité peut être un peu excessive sur le sujet.
Ça semble quand même pas fluide, les échanges que tu relates, qui plus est pour quelqu'un sensible à l'intelligence sociale dans le dialogue.
Je ne sais toujours pas quels seraient les sujets abordables avec toi sans que ce soit perçu comme étrange ou gênant, et visiblement je ne suis pas le seul si tes collègues restent sur leur(s) gosse(s).  
Je ne minimise pas le coté lourd quand tu as une vague de naissances dans un service, mais vraiment ça semble des échanges sans alternatives à te lire.
Perso j'ai pas constaté ça, pas avec cette force, pas à en parler en boucle sur un forum.
Je peux pousser la recherche de 2012 à 2022 mais je ne pense pas que grand chose ait changé...

C’est vrai que faire de l’archéologie de topic et questionner les gens sur ce qu’ils écrivaient y’a dix ans, c’est assez révélateur.

Bien sur dans tes messages tu pointes l'excès que tu constates.
Moi je pointe ta sensibilité peut être un peu excessive sur le sujet.
Ça semble quand même pas fluide, les échanges que tu relates, qui plus est pour quelqu'un sensible à l'intelligence sociale dans le dialogue.
Je ne sais toujours pas quels seraient les sujets abordables avec toi sans que ce soit perçu comme étrange ou gênant, et visiblement je ne suis pas le seul si tes collègues restent sur leur(s) gosse(s).
Je ne minimise pas le coté lourd quand tu as une vague de naissances dans un service, mais vraiment ça semble des échanges sans alternatives à te lire.
Perso j'ai pas constaté ça, pas avec cette force, pas à en parler en boucle sur un forum.
Je peux pousser la recherche de 2012 à 2022 mais je ne pense pas que grand chose ait changé...

C’est vrai que faire de l’archéologie de topic et questionner les gens sur ce qu’ils écrivaient y’a dix ans, c’est assez révélateur.

Bien sur ça reste un sujet de base, surtout selon l'âge des équipes.
C'est s'en étonner ou ne pas le comprendre qui est... étonnant.

 
Désolé, j'ai lancé la recherche depuis la première page.
Tu peux taper n'importe où dans le sujet tu auras les mêmes messages. Effectivement c'est révélateur.

J'ai eu une discussion avec une collègue - qui n'a rien de particulier contre les enfants, en voudrait éventuellement mais "plus tard" -, où elle m'a dit qu'elle trouvait agréable de parler des gamins avec moi, parce qu'elle n'en peut plus des gagas devant les gamins et des trucs tabous (genre "l'allaitement c'est beurk" ).

 
Moi principalement en fait. Et à la base, j'en discutais avec une collègue (qui hésite elle-même à en faire) quand elle s'est incrustée dans la conversation   Le pire c'est que j'avais un collègue masculin de mon âge qui n'en voulait pas non plus, et lui, personne ne l'a fait chier, bordel.
 
Globalement actuellement au boulot y'a qu'elle qui est saoûlante (et j'ai connu biiiien plus casse-couille par le passé), le reste sont des crèmes (mais bon, la majorité a moins de 35 ans, ça aide, aussi).
 

 
En fait, je suis un peu frustrée parce que j'aime pas envoyer chier sèchement des gens que je côtoie tous les jours (on ne sait jamais, bien s'entendre avec les collègues ça peut être utile parfois). Et la frustration est encore plus grande quand c'est un client qui te sort "oooh mais vous verrez quand vous en aurez à vous, c'est un tel bonheur les enfants"    
 
Alors je me venge dans les réunions (mariage, réunion de famille, soirée chez une connaissance, etc...) quand ils l'ouvrent là dessus.  

 
La météo et les vacances sont des valeurs sûres. Critiquer l'un ou l'autre truc que tout le monde critique au boulot aussi. On peut parler du dernier truc d'actualité (hors politique), ça permet souvent de meubler pas mal et ça permet parfois d'apprendre des choses sur la personne. Le dernier glandu croisé dans le métro, ça marche bien aussi.
En 2e phase, on commence à puter sur l'un ou l'autre collègue débile. Gros gros facteur de discussion ça, un grand classique mais ça marche toujours ! On peut embrayer sur 2-3 trucs "politiques" un peu soft (politique au sens large, j'parle pas de partis politiques), sur la description de soirées/activités sortant de l'ordinaire, et donc si on se trouve des points communs, on passe en phase 3.
En phase 3, on commence à refaire le monde et confronter ses points de vue. Si tout se passe bien, on passe en phase "ami".
En phase ami, ben on est amis et on en profite pour se moquer ensemble des gens avec qui on a pas dépassé la première phase    
Voilà    
 
A noter qu'à quelques exceptions masculines près, on m'a toujours spontanément donné l'information "j'ai des enfants" en phase 1, sans même que j'ai à poser la question.  
 
 
 
Ah oui tiens j'y avais pas pensé, mais oui. J'ai fait énormément de formations sur les dernières années, la grande majorité des mamans se présentent comme maman, effectivement. Pas toutes, hein, mais quand même pas mal. C'est très surprenant !

 
Et oui, on croit que ça n'arrive que dans Super Nanny, mais non, dans la vraie vie, des gens pour qui le premier enfant s'est très mal passé enchainent avec un 2e moins d'un an plus tard    
 
Et c'est marrant parce que j'en discutais avec une collègue-copine (mère de famille), qui me disait que non mais faire des enfants ne relève pas d'une démarche, c'est ne pas en faire qui relève d'une démarche (bon dans ton cas, j'imagine qu'on peut dire que ça relève de la démarche aussi d'en faire, filob). Que les gens qui font des enfants laissent juste la vie suivre son cours, en gros. Je trouve ça assez effrayant, surtout dans ce genre de cas un peu extrême.

 
   
 
Perso en small talk ça commence sur la météo, les vacances et le boulot. Classique, ça passe bien, pas de risque.
Ensuite pour des gens que je commence un peu à connaître, ça passe sur ce que tu dis. Et parfois ce sont des parents, et on parle vite fait des gamins, mais je crois n'avoir jamais eu à poser la question de toute ma vie. Par contre j'ai assisté au beau fail d'une collègue (qui d'ailleurs me faisait chier régulièrement sur les gamins) qui demande à une nouvelle collègue si elle a des enfants, la nana lui répond que sa gamine est morte il y a 2 ans. Ça a jeté un froid

 
Ooooh oui.
J'ai un souvenir ému d'un collègue qui nous avait fait un exposé de 45 minutes sur son dernier voyage en Grèce, photos et anecdotes à l'appui.    
Depuis j'évite le "et c'était bien les vacances ?" avec certaines personnes, qui pensent que ce n'est pas une question de pure politesse.  

 
Perso je ne renie absolument rien, je réagirais pareil aujourd'hui. Et ça m'a permis de me rappeler de ma collègue fana de voiture que j'avais enfouie dans ma mémoire, un sacré personnage, donc cool

Non mais c’est pénible je trouve d’essayer de trouver des edge cases comme soit disant démonstration d’un excès CF.

Moi clairement dans le passé du topic tu dois pouvoir retrouver des messages très véhéments. Mais entre genre 20 et 30 ans c’était vraiment insupportable quoi, alors sans doute que j’étais tendue sur le sujet. Ça me rendait dingue, ça s’arrêtait JA-MAIS.

Rétrospectivement je pense que d’avoir été en couple tôt (16 ans) et longue durée (17 ans) ça a fait que dans l’esprit des gens y avait plus qu’à dérouler la suite logique.
Je sais pas si c’est la rupture / changement de compagnon où l’âge, mais je suis infiniment plus zen sur le sujet… depuis qu’on le fait plus chier avec.

Y a bien que ma mère qui digère pas.

La norme c’est d’avoir des enfants, donc je comprends tout à fait que les gens partent du principe que j’en aurai. Je vois pas pourquoi je prendrai mal leurs questions ou leurs commentaires qui sous-entendent que ça arrivera.
 
Si ce sont des collègues proches et que je les sens intéressé, je leur explique que je n’en ai pas et que je n’en veux pas, si ce sont des collègues ou des random qui sortent des phrases du genre « tu verras quand tu en auras » je ne relève même pas. A quoi bon honnêtement ?
 
Franchement, qu’est-ce que j’en ai à branler de ce que peuvent penser des collègues ou des randoms ?
 
Et quand les collègues parlent de leurs gamins bahhh c’est clair qu’il m’arrive de m’en foutre mais souvent c’est surtout que je m’en fiche d’eux; et ils pourraient parler de n’importe quoi d’autres et je m’en foutrai tout autant.
Quand ce sont des gens pour qui j’ai de l’intérêt, ça m’intéresse aussi de savoir ce qu’il en va de leurs enfants. L’éducation c’est un sujet intéressant quand même, qu’on soit CF ou pas.  
 

 
C'est un peu pour cette position que je plaide.
Et je suis certain tu as été moins emmerdé au final !

pour essayer de démontrer on ne sait quoi  

Y'a clairement une question d'âge, que je situe pour ma part approximativement entre 28 et 35 ans où la pression est vraiment maximale et très pénible. Je pense que c'est aussi l'âge où on est le plus entourées de gens ayant leur premier enfant, ça contribue à avoir l'impression - souvent vraie - que tout le monde ne parle que de ça et manière excessivement chiante (parce que c'est l'événement de leur vie, parce qu'un gamin en bas âge fait rarement des trucs intéressants, etc.). Le milieu dans lequel on évolue évidemment a aussi un rôle.

Pareil que toi Maiar, j’étais plus emmerdée à 25ans quaujourdhui (et déjà depuis plusieurs années).
Peut être que je fais très vieille, ou bien que le positionnement dans la sphère pro est aussi différent.

Ah j'ai 33 ans et j'ai l'impression d'avoir beaucoup moins de remarques depuis plusieurs années.
Mais en y réfléchissant, c'est depuis mon arrivée à Grenoble que ça s'est calmé. Peut-être que les grenoblois sont moins relous

Et aussi, on m'a souvent dit qu'on me pensait déjà mère (de deux enfants, plus précisément )
Je ne sais pas pourquoi, par contre

 
Ah bon ? C'est du manque de respect mais les propos sont excessifs. Quelle crédibilité quand la personne dépasse les bornes?  Genre comme Chin jo qui lache pas le morceau et qui est obligé de creuser jusqu'en 2012 pour essayer de démontrer on ne sait quoi  

On m’a aussi sorti après une consultation d’anesthésie pour un enfant « ça se voit que vous avez des enfants vous! »
 
Mais je suis comme Lahoma moi, j’aime bien les enfants, à petite dose (plus petite qu’elle quand même je pense )

Continue de nous faire rire avec tes interventions à coté de la plaque.

La norme c’est d’avoir des enfants, donc je comprends tout à fait que les gens partent du principe que j’en aurai. Je vois pas pourquoi je prendrai mal leurs questions ou leurs commentaires qui sous-entendent que ça arrivera.
 
Si ce sont des collègues proches et que je les sens intéressé, je leur explique que je n’en ai pas et que je n’en veux pas, si ce sont des collègues ou des random qui sortent des phrases du genre « tu verras quand tu en auras » je ne relève même pas. A quoi bon honnêtement ?
 
Franchement, qu’est-ce que j’en ai à branler de ce que peuvent penser des collègues ou des randoms ?
 
Et quand les collègues parlent de leurs gamins bahhh c’est clair qu’il m’arrive de m’en foutre mais souvent c’est surtout que je m’en fiche d’eux; et ils pourraient parler de n’importe quoi d’autres et je m’en foutrai tout autant.
Quand ce sont des gens pour qui j’ai de l’intérêt, ça m’intéresse aussi de savoir ce qu’il en va de leurs enfants. L’éducation c’est un sujet intéressant quand même, qu’on soit CF ou pas.