Reprise du message précédent :
 
 
Quel type de méditation ? "Pleine conscience" ?
 
Moi je fais du training autogène/auto-hypnôse depuis quelques années, au-moins une fois/semaine mais ça ne suffit pas à m'apaiser totalement. La pleine conscience, j'ai peur que, sans médication, l'afflux de pensées négatives me fasse fondre en larmes immédiatement  

Si tu ne veux pas que ce soit comme ça, tu n'auras aucun mal à trouver quelqu'un avec qui tu pourras avoir de vrais échanges et récolter des pistes concrètes, dans le cadre d'une TCC par exemple.
 
J'en suis à ma troisième psy(chologue), la première ça n'allait pas du tout, la deuxième beaucoup mieux mais j'ai déménagé. Avec la troisième j'avance enfin.

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Aurais-tu des liens ou des ouvrages à me conseiller, pour m'initier, s'il te plaît ?

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Ah bah alors tu me diras comment t'as fait, je sais pas comment demander   (nouvelle généraliste, qui ne me connait pas )  
 
Mouarf non, jamais pris de benzo, mais bon courage à toi, c'est bien de se reprendre en main  

Un médecin un tant soit peu sérieux te diras de voir un psy pour une thérapie

Je sais, c'est bien de ça que j'ai peur d'ailleurs ^^
 
J'ai déjà donné avec les psy, bon OK c'était des psychiatres, mais ça me correspond pas

1171 pages ??????? il y a autant des gens qui vont pas bien ? bah merde alors, j'ai jamais compris comment ont peut avoir besoin d anti dépresseurs.... si votre mode de vie vous plait pas changez le.

Tu portes très bien ton pseudo en tout cas  

ENFIN LA VERITAY, putain j'étais pas au jus
29 ans d'errance pour rien

XaT

Tu es libre mercredi soir landouille ? On fait venir des amis à la maison, tout ça.

 
Mais ouias roger on est vraiment des loppettes.  

When i get sad i stop being sad and be awesome instead

Je ne pense pas être en dépression, je suis déprimé en ce moment. Je garde beaucoup de choses pour moi, j'en prends plein la gueule de manière injustifiée par des gens qui étaient des proches avant. J'aimerais bien leur gueuler ce que je ressens et ce que je garde pour moi mais je ne peux pas. Alors je passe pour un méchant. Je pense pas que parler à un psy me soulagerait, peut-être écrire tout ça mais juste pour moi ?

 
Oh bah mince    dire que c'était si simple et je n'y ai même pas pensé  

Môa je pensais me parler à moi même à voix haute en haut d'une montagne
Mais il fait trop froid.
Et j'ai la flemme
 
XaT

Coffee : Ça serait juste pour énoncé des faits véritables, la réalité. Et pas ce que les gens racontent sur moi et sur ma vie. Ça n'est même pas mon ressenti mais la vérité.

Xat : je t'accompagne si tu veux

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Non.
 
On peut souffrir d'un épisode dépressif dont on a PARFAITEMENT identifié les raisons. Simplement, on ne parvient pas à faire face (accumulation, choc trop brutal, etc). Une médication peut aider, en régulant les émotions, pendant que l'on fait un travail sur soi ou qu'on laisse le temps faire son oeuvre.

C'est exactement mon cas j'ai l'impression.

 
j'ai dis l'inverse ?  
merci de l'info sinon, je suis nouvo sur ce topic

 
i.e : un médecin qui prescrirait des AD sans orienter vers un psy serait un mauvais médecin.

oui bha il peut prescrire et dire d'aller voir un psy .. chose que stellina ne veut pas faire, ce message était destiné à elle en 1er lieu
 bref on va pas se branler là dessus pendant des pages

J ai jamais pensé que l'on pouvait être con. Fait un effort.

 
Il paraît que, lorsqu'on suit une psychanalyse digne de ce nom(lacanienne?) le psy en face ne réagit jamais et te laisse parler et,au final, ne t'aide pas à avancer...
info ou intox?
 
Les TCC sont peut-être plus efficaces...

ça colle pas à mon histoire ça
alors j'ai peut etre pris pour moi un truc qui ne m'était pas destiné    

ok ok  

En même temps tu kiffes le cinéma coréen, t'es irrécupérable

 
Et est-ce que tu as quelqu'un (réel, virtuel, médecin ou pas on s'en fout) à qui tu peux balancer ces 9/10ème restants sans que cette personne n'appelle les pompiers ?

Ouf! Ma thérapie va pas se faire à Ville-Evrard mais entièrement à coté de chez moi à Montmorency

 
Honnêtement, c'est utile. Et à mon sens, c'est censé être le rôle d'un psychiatre. Mais moi non plus j'arrivais pas à parler vraiment à la psy, au final je lui disais aussi qu'1/10ème de ma pensée. En revanche j'avais trouvé quelqu'un en ligne, à qui je pouvais envoyer des photos de médocs que je voulais prendre, en lui demandait si c'était assez pour crever, il aurait pas appelé les pompiers. Bon au final peut-être qu'il aurait fini par le faire un jour, mais je suis même pas sûre, parce que le simple fait de savoir qu'il allait pas le faire ça me rassurait vachement pour me confier.

 
Voilà un peu le noeud du problème. Tout garder pour soi n'est pas forcément une bonne chose surtout si tu galères à t'en sortir par tes propres moyens et que tu as besoin d'aide extérieur pour dépasser tes problèmes (d'autant que ça fais un bon moment que tu déprime non ?). N'importe quel thérapie aura du mal à fonctionner si tu ne te confie pas car c'est la base et le premier pas à faire pour démêler tout le reste.

 
 
Peut-être a-t-elle été habituée, avant les psy, à ce que les personnes de son entourage ne l'écoutent pas réellement ou fassent semblant ?
 
J'ai souvent cette impression, me concernant. Un sentiment d'hyper-empathie, pouvoir prendre un billet d'avion demain si un ami ne va pas bien tout en sachant, qu'en retour, je n'en aurais pas le 1/10ème.  
 
Je vis avec mais certains jours, c'est dur...

J'ai jamais compris ce qu'était réellement une dépression, et comment on pouvait savoir si on était dedans.
 
J'ai avec le temps appris à être en mode "Je m'en fous, tu fais ta life  et basta" même dans les moments chiants (séparation, etc), au pire je vais juste pas bien (stress, boule au ventre, etc..) pendant 2 semaines maxi, et derrière je me rebotte le cul et ça va mieux.
 
Est-ce que ces périodes que j'ai décris ce sont des dépressions ?  
Je ne sais pas

 
 
- Perte ou prise rapide de poids (appétit démesuré ou inexistant)
- Perte d'intérêt pour TOUT ce que tu apprécies de faire d'ordinaire
- Sentiment de dévalorisation
- Sentiment de culpabilité
- Vide intérieur/existentiel
- Pourquoi continuer à vivre ?
- Irritabilité
- Agitation ou, au contraire, relâchement total, lenteur des mouvements
- Sentiment de ne pas pouvoir s'en sortir
- Perturbations diverses du sommeil
- etc
 
 
Le tout sur une période de plusieurs semaines.
 
Mais bon, tout ça, tu l'as sûrement lu sur internet mais tu as préféré venir faire ton warrior Azy moi je suis un(e) résistan(e), je gère tout seul et nous donner une petite leçon, l'air de rien.
 
 
 
 
 

Non justement je viens poser la question car je me demande, et j'ai rien lu sur internet, HFR est suffisant pour avoir de l'information.

En gras ce qu'il m'est déjà arrivé sans que je sache que c'était une dépression

Donc du coup ce sont des choses qui se sont déjà passé, j'ai du être en dépression sans savoir, et ça a quand même duré parfois 3 semaines, jusqu'à qu'on me botte le cul et que je me reprenne.

Après je vais peut-être dire des conneries, mais durant les traitements de dépression, est-ce qu'on donne des médicaments aux gens ?
Je pense que le soutient d'une tierce personne de son entourage qui aide à se remotiver ça peut aider à sortir de la dépression. Ce qui m'est déjà arrivé quand j'étais au fond de mes baskets il y a quelques années dans mon taf.

 
On peut prendre des médicaments, oui, principalement pour réguler l'humeur. Disons que tu n'as plus de très bas mais que tu ne risques pas d'être euphorique non plus. Sans compter les effets sur la libido (mais quand tu fais une dépression sévère, tu n'as déjà plus de libido, de toute façon, ni même d'intérêt pour l'autre).
 
 
Les critères sont cumulatifs...
 
Tu as dû vivre, au plus, une grosse déprime ou une légère dépression passagère.
 
Il y a de bons tests sur internet. Bien sûr, ça reste de l'auto-évaluation. Mais, quand on répond honnêtement, ça donne une bonne idée de son état et ça peut inciter à consulter pour infirmer (rarement) ou confirmer (le plus souvent) ses impressions.

L'entourage n'est pas là pour aider directement à sortir d'une dépression. C'est le meilleur moyen de se retrouver tout seul que de penser que les proches sont là pour tout absorber.