Reprise du message précédent :

 
la cruauté de la nature fait que certains s'en sortiront comme de souvenirs de jeunesse et qques autres pourront tomber dedans...

Oui excatement  quand je vois mon prof d'anglais puant l'alcool à longueur de journée ça donne pas envie

Voici cinq critères qui indiquent la dépendance. Il suffit d'en avoir trois pour être malade alcoolique.
 
1. L'alcool est une préoccupation. J'y pense régulièrement, même au travail.
 
2. Avec le temps j'ai du consommer plus pour connaître les mêmes effets.
 
3. J'ai continué à boire malgré les "pertes de maîtrise". Comprenez par là des situations graves, normalement traumatisantes, liées à une trop forte absorption : retrait du permis pour conduite en état d'ivresse, perte de mémoire, black out total - "Qu'est-ce que j'ai fait hier soir? Où ai-je garé ma voiture? Avec qui étais-je? D'où viennent ces bleus sur mon corps, et ces égratignures? Pourquoi je me réveille sur le canapé, dans l'escalier, sur le palier ou dans ma voiture?"
 
4. J'utilise le produit dans un but autre que le plaisir de savourer l'alcool : pour vaincre ma timidité, pour m'aider à vivre, pour dissiper mes angoisses.
 
5. Je suis incapable de contrôler la quantité. Le verre appelle le verre. Je bois par compulsion.
 
 
L'auteur du livre dont j'ai tiré ça, Hervé Chabalier (dont je parlais plus haut), avait 5/5. Moi, j'ai 4/5... (je ne pense pas à l'alcool au boulot, je ne bois pas à midi en semaine.)
 
C'est dans le centre (suisse) où il a fait sa cure de désintoxication qu'on lui a présenté ce "test". Le premier pas vers l'"indépendance" (on ne guérit jamais de l'alcoolisme, on s'abstient.) est de reconnaître sa "maladie", de se savoir alcoolique, même si le mot dérange et qu'on préfère dire qu'"on a un problème avec l'alcool"...

j'obtiens à tout péter un petit 2/5 et je considère tout ça comme totalement bidon!

alors soit tu te mens, soit tu mens aux forumeurs.
 
je ne pense pas qu'il y ait une définition claire et absolue de l'alcoolisme, mais peut-être consentiras tu à nous faire partager la tienne?

 
déjà fait x ou y fois
 
me mentir, non, j'ai suffisament de recul sur moi-même pour savoir me passer de ce genre d'artifices ridicules. mentir aux forumeurs? quel interet, ils ne me connaissent pas, et je n'ai pas à les connaitre.
 
1. L'alcool est une préoccupation. J'y pense régulièrement, même au travail.
jamais!
 
2. Avec le temps j'ai du consommer plus pour connaître les mêmes effets.
parfois une bière suffit à me rendre pompette. j'ai une resistance à l'alcool proche du néant. et ça a toujours été.
 
3. J'ai continué à boire malgré les "pertes de maîtrise". Comprenez par là des situations graves, normalement traumatisantes, liées à une trop forte absorption : retrait du permis pour conduite en état d'ivresse, perte de mémoire, black out total - "Qu'est-ce que j'ai fait hier soir? Où ai-je garé ma voiture? Avec qui étais-je? D'où viennent ces bleus sur mon corps, et ces égratignures? Pourquoi je me réveille sur le canapé, dans l'escalier, sur le palier ou dans ma voiture?"
déjà eu des blanco, des coups de folies, mais jamais au point de ne plus savoir ou j'étais, ou je suis, ou je vais ou autre.
donc 1 demi point.
 
4. J'utilise le produit dans un but autre que le plaisir de savourer l'alcool : pour vaincre ma timidité, pour m'aider à vivre, pour dissiper mes angoisses.
non, je bois parce que j'aime bien, mais je ne peux qu'admettre que ça desinhibe. je ne bois pas pour me desinhiber, c'est un effet existant et notoire, pas celui recherché.
donc 1 petit demi point.
 
5. Je suis incapable de contrôler la quantité. Le verre appelle le verre. Je bois par compulsion.
la c'est complètement vrai. enfin très souvent vrai, et c'est ça surtout mon seul et unique problème. je ne sais pas m'arrêter.

 
comment peut on ne pas "tenir" l'alcool et ne pas pouvoir s'arreter?

parce que ça n'est pas lié.

Drapal test  

 
un jour j'ai rêvé de toi (véridique, sans même avoir vu ta tête). dans mon rêve, je t'engueulais parce que tu avais une bière à la main. je te faisais la morale, mais en vérité j'avais surtout envie de te la prendre pour me l'enfiler.
 

 
ah ben c'est un vieux rêve alors vu que celà fait 5 mois que je ne bois plus une goutte (une petite exception l'autre jour sur une goutte de saké)
 
pour la bière autant te prévenir c'est (était) de la Corona  

 
quelques mois...
 
ça fait quand même bizarre de rêver d'un forumeur, surtout d'un forumeur qu'on a même jamais vu. j'ai aussi déjà rêvé de mimette...
 
et je reconseille une dernière fois ce bouquin à ceux qui voudraient arrêter de boire ou à qui une petite prise de conscience ne ferait pas de mal.

J'y vais de mon test :
 
1/ non, mis à part ma "passion" pour le vin (ce n'est pas une "préoccupation" ).
2/ Oui, mais depuis quelques temps déjà cette sensation a diminué avec la baisse de ma concommation.
3/ oui
4/ Pour danser sur de la mauvaise musique
5/ Il m'est arrivé de ne pas me rendre compte de la quantité ingurgitée. C'est à dire que passé un certain point, (en ce qui me concerne) l'alcool n'a pas plus de gout que de l'eau et j'enfile les bouteilles... La dernière fois c'était il y un an et depuis j'ai fait des efforts sur ce sujet.
 
Conclusion : si j'ai frisé l'alcoolisme et que je pense avoir ralenti à temps, j'ai considérablement augmenté les les risques de maladies liées à une forte consommation d'alcool.

alors, les fêtes ça donne quoi pour les AA?

noel a été plus sauvage que le 31 ( en tout cas la soirée du 23 .. )

 
 
1/ non
2/ oui  
3/ oui
4/ non ( enfin c'est aussi pour la sensation euphorique mais d'abord pour le gout )
5/ non
 
~ mitigé

 
 
j'ai déconné.
 
picole et surpicole...

 
ben mon vieux alors, faut tout de suite relever le menton...
"L'espérance ne mène à rien, mais la persévérance mène au droit chemin"
Morin

 
 
désolé mais la recherche intra-topic étant ce qu'elle est, je préfère reposer la question.
Quelqu'un ayant posté ici avait dit avoir suivi une cure sèche pour soigner son alcoolisme.
D'une part je ne me rappelle plus qui (:D) et d'autre part ma question : pourrais-tu indiquer les coordonnées du centre par lequel tu as été pris en charge dans les soins?
 
Merci!
 
D'ailleurs je prends toute information concernant les assistances aux alcooliques, centres de soins et suivis.
 
Merci

c'est pas pour moi en fait
 
moi je pense m'en sortir en faisant ma dière sèche seul comme un grand, mais j'ai un proche qui n'a pas cette possibilité et qui n'a plus les moyens d'essayer réellement tout seul.

hello,
la 2eme cure de ma copine a été salvatrice, centre dur mais réputé pour son taux de réussite, soins basés sur l'usage de la PNL.
 
CENTRE ALCOOLOGIQUE ALPHA
21 avenue de Paris - BP 536
PONTAILLAC
17211 ROYAN CEDEX
Tél. 05 46 39 26 69  
 

 
qu'est-ce que c'est la PNL?
 

On en a déjà parlé sur ce topic non ?  
 
sinon :
 
http://www.pnl.fr/definitions.htm

j'ai ptet zappé
 
merci!!
 
tiens c'est très interessant ça comme concept justement

snifff, c'est moi qui ai tenté un topik très / trop rapidement tombé dans les oubliettes.
http://forum.hardware.fr/hardwaref [...] 7995-1.htm
 
quoi qu'il en soit, la PNL est une méthode redoutable de reconditionnement de l'esprit humain...qui ne peut se faire que volontairement, par contre, il est vrai que c'est aussi un outil de "lecture" d'autrui qui est à l'origine de sa mauvaise réputation de "faiseur de manipulateur".
 
perso, je l'utilise à des fins de développement personnel, efficace et équilibrant...
 
c'est à ma connaissance, le seul centre traitant les addictions par cette voie.

en fait la personne que je souhaite aider souffre d'anxiété sociale, maladie psychologique qui est renforcée par son alcoolisme.
Les médecins refusent de soigner son anxiété sociale tant qu'il est alcoolique et toutes ses démarches pour soigner son alcoolisme se sont arrêtées à peine tentées, les médecins renvoyant la balle à leur collègues psychiatres/psychos.
 
Bref la vraie solution c'est qu'il doit d'abord mettre un terme à son alcoolisme avant d'esperer guérir de son anxiété sociale.
 
Pour ça je reste persuadé qu'il faut d'abord passer par une cure sèche puis se maintenir avec l'assistance médicale qui va bien.

 
euh...à mon avis, le cas pour 99% des alcooliques en voie d'abstinence
 
pour ton ami, la cure à Alpha pourrait être très adapté mais il faut qu'un alcoologue/médecin fasse la demande pour son entrée...la PNL base beaucoup le travail sur le recentrage de soi, le repositionnement dans l'environnement humain et social, pourrait être pas mal pour lui.

oui le seul hic c'est qu'il habite et bosse à Paris
 
Son médecin traitant lui a préparé tous les documents. Par contre son psy considère que ce n'est pas à l'ordre du jour, il le croit guéri

ah ouai...encore un foudre de guerre ce psy...ce serait bien que chaque corps médical reste dans son domaine de compétence !
 
par contre pour ce qui est du lieu géographique, ce centre draine des malades de toute l'europe et très rare sont ceux de la région...ma cops était la seule à sa session.

bah le soucis c'est d'éviter d'impacter la vie professionnelle

j'vois pas comment l'éviter...une cure de désintox à ma connaissance, ca reste 4 semaines dont souvent 2 ss aucun contact avec l'extérieur du centre.
 
ou alors une cure ambulatoire (existe dans toutes les villes) mais s'il est durement malade, j'ai des doutes sur la réussite.
 

bah j'en ai vu quelques une de 1 semaine  + suivi psycho.

ah?
théoriquement une semaine est la durée de sevrage biologique pour un malade quotidiennement alcoolisé...m'enfin bref, qu'importe la méthode si elle peut être efficace.

le problème est bien là.
Cette personne n'est pas alcoolique parce qu'elle boit tous les jours, elle est alcoolique parce qu'elle boit de façons compulsives et de telles quantités que ça n'est plus gérable.
Ces 'crises' sont relativement régulières mais ne sont pas quotidiennes.
 
Dernièrement il a fait des passages dans les services d'urgences des hopitaux du coin pour être sur qu'il n'allait pas picoler.
Donc à chaque crise ou presque il filait aux urgences demander l'aide nécessaire, c'était en général correct, seul hic il a toujours demandé à ce qu'on le renvoi sur un centre d'adictologie pour un traitement de fond, mais personne n'accepte de l'aider parce qu'il ne boit pas tous les jours
 
un peu misérable comme attitude.

 
C'est clair, faut qu'il fasse un effort sur le quotidien .
 
Plus sérieusement, j'aimerais bien réduire ma consommation.
Mais j'ai pas de volonté  

tu bois quoi, quand, comment?

Je bois quotidiennement, du vin ou de la bière principalement.
Généralement plus de 2 verres.
 
Le week-end, y'a pas vraiment de limite et je suis plus porté sur les alcools blancs.
 
Au fil des années (7 ? 8? ) j'ai développé une accoutumance (normal) et une certaine résistance, ce qui fait que je bois de plus en plus pour obtenir les mêmes effets. (La aussi, normal).
 
N'ayant pas de souci particulier de santé, je ne comptes pas arrêter, mais j'aimerais bien réduire.
Pour l'instant, ca n'a pas d'impact sur mon activité professionnelle ou mes relations en général.
 
Voila.

tu bois à quelles occasions?

 
en es-tu bien sûr ? car lorsqu'on le réalise celà fait déjà un bail que les autres l'ont remarqué

pis l'haleine chargée à l'alcool le matin au boulot c'est quand même tendu à masquer

tu as le choix ou tu sent l'alcoll ou alors la menthe