Reprise du message précédent :
Moi aussi j'ai mangé des fraises de mon balcon. La semaine dernière et puis ce matin
 
Du gris...  
http://www.dailymotion.com/video/x [...] va-du-gris

J'ai quand même un peu de mal à croire à l'efficacité de cette astuce.
Sinon, tu as peut-être du savon de marseille, à défaut de savon noir, et de l'huile de table ?  

Merci.  
Je ferai ça demain, niarkniark

Tu as vu la photo ? tu m'es témoin ? et bah elles continuent à se délecter de mon basilic    Elles ont une armure, ce n'est pas possible    

t'as essayé la coupelle remplie de bière ?
 
parait que la cendre, ça marche bien aussi (va falloir faire un BBQ)

Je valide la coupelle remplie de bière quoique je trouve ça gâché

Nan mais la dame elle a dit que ça marchait pas

Tu as essayé le purin de limace ?

Faut pas la boire aussi, ça fait baisser l'efficacité

 
Faut prendre de la bière spécial invité qu'on n'aime pas trop
 
 

 
Il faut toujours respecter l'adage ancestral voyons    
 

Je le note ça  

+1

 
 
Je veux bien essayer les cendres mais quand je vois que les branches d'épineux ne les stoppent pas, je suis pessimiste
 
..saloperies  

A la pelle, pourquoi pas, mais sinon les copeaux/écorces sont vraiment efficaces

Et le purin de limace ? ² C'est un peu dégueu, mais ca doit être efficace.  

 

J'en avais mis l'année dernière des copeaux, bah ranafoute    

 
 
y'a rien qui me dégoute plus qu'une limace a part peut etre 2 limaces, ou meme une boule de limace
l'animal le plus répugnant de la création, si dieu existe c'est un sale petit pervers d'avoir crée un etre aussi horrible et detestable.
 
y'a avait une methode à base d'electricité aussi, je crois
un tazer anti limace

   
 
Rhaa oué en cornet  

Vous voulez rire... jaune ?
 

 
http://raffa.grandmenage.info/post [...] jardin____

Mais qu'il raconte là    
C'est pas tout frais (2006)mais j'avais jamais entendu parler de ça

moi si
et c'est  absurde

 les jardiniers du dimanche !
 
 
 

J'étais au courant, et  
Et que ces cons ne viennent pas nous faire les pleureuses écolos

Euh    
 
Question écrite n° 25859 de M. André Vantomme (Oise - SOC)  
publiée dans le JO Sénat du 04/01/2007 - page 7
 
M. André Vantomme appelle l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de la pêche sur les conséquences de l'application des dispositions de l'article 70 de la loi d'orientation agricole du 5 janvier 2006 (LOA n° 2006-11). Cet article institue une nouvelle réglementation en matière d'utilisation et de commercialisation des produits phytosanitaires. La loi interdit désormais toute publicité commerciale et toute recommandation pour les produits phytopharmaceutiques contenant une ou plusieurs substances actives destinées au traitement des végétaux, dès lors que ces produits ne bénéficient pas d'une autorisation de mise sur le marché (AMM). Même si cet article vise in fine à améliorer la sécurité des citoyens et les risques qu'ils peuvent encourir si une AMM n'a pas été délivrée au préalable, de légitimes préoccupations des agriculteurs biologiques ou simples amateurs de jardins apparaissent. En effet, toutes les techniques alternatives à l'utilisation de pesticides, tels les traitements naturels fondés sur l'utilisation exclusive de plantes, sont soumises à cette législation restrictive. Or, elles visent précisément à garantir et promouvoir des pratiques respectueuses de l'environnement. Compte tenu de ces éléments, il lui demande s'il entend apporter des précisions au regard de l'application de cet article pour l'utilisation des traitements naturels et si des mesures réglementaires seront prises en ce sens.
 
Réponse du Ministère de l'agriculture et de la pêche  
publiée dans le JO Sénat du 15/02/2007 - page 336
 
La mise sur le marché des produits antiparasitaires à usage agricole est strictement réglementée depuis 1943. Cette réglementation a fait l'objet d'une harmonisation communautaire par la voie de la directive 91/414/CEE du 15 juillet 1991. Suivant cette réglementation, les produits phytopharmaceutiques, quelle que soit leur nature, doivent faire l'objet d'une évaluation des risques et de leur efficacité, et d'une autorisation préalablement à leur mise sur le marché. L'objectif de ce dispositif est d'assurer un haut niveau de sécurité aux citoyens de l'Union européenne, aux applicateurs de ces produits et à l'environnement. Il vise aussi à garantir la loyauté des transactions entre le metteur en marché et l'utilisateur des produits considérés, notamment du fait de l'évaluation de leur efficacité. La loi d'orientation agricole du 5 janvier 2006 n'a pas introduit de réforme sur les objectifs généraux de la législation en vigueur. Elle améliore la séparation entre évaluation et gestion des risques relatifs à ces produits à travers son article 70. Elle introduit une interdiction de recommandation d'utilisation de produits phytopharmaceutiques non autorisés. Cette interdiction vise à préserver les intérêts des utilisateurs de produits phytopharmaceutiques qui, du fait de cette recommandation, s'exposeraient à des sanctions pénales en utilisant des produits phytopharmaceutiques non autorisés. Cette nouvelle disposition, qui complète celle relative à la publicité commerciale sur des produits de même nature, n'est pas restreinte à une catégorie de produits. Elle s'applique à tout produit phytopharmaceutique qui fait l'objet d'une mise sur le marché. La mise sur le marché est une transaction (onéreuse ou gratuite) entre deux parties. Le fait de préparer, en vue d'une utilisation à titre personnel, un produit phytopharmaceutique comme du purin d'ortie, ne constitue pas une mise sur le marché. La disposition d'interdiction de recommandation d'utilisation ne s'applique donc pas lorsque cette recommandation porte sur des procédés naturels ou recette mis en oeuvre par le particulier en dehors de toute mise sur le marché. De même, l'élaboration par l'utilisateur final à la ferme ou au jardin des préparations considérées ne nécessite pas d'autorisation préalable. En application de l'article 36 de la loi sur l'eau et les milieux aquatiques du 30 décembre 2006, les préparations naturelles phytopharmaceutiques peu préoccupantes relèvent d'une procédure simplifiée. Celle-ci sera précisée par décret, ainsi que la définition des préparations qui rentrent dans ce cadre. Un groupe de travail traite actuellement de cette question afin de permettre l'adoption de ce décret dans les meilleurs délais.
 
http://www.senat.fr/questions/base [...] 25859.html

Bon, comme quoi.

Cela dit, recommandation et utilisation de produits type purin d'orties interdites dans le cadre d'une culture agricole marchande, de ce que je comprends, mais il est un peu tard.

Merci

Non mais Gaston il est fort pour lancer des bombes

ça me fait penser à l'interdiction de vendre et même d'echanger les graines de variétés anciennes de tomates

Un texte officiel, peut-être ?

 
je comprend pas ça
 
ce que je vois, c'est qu'avant une utilisation de tels produits a grande échelle, il faut necessairement une étude d'impact et l'aval des autorités sanitaires, ce qui me parait normal.
c'est pareil pour n'importe quel pesticide
je veux dire : c'est pas parce que c'est naturel que c'est malin d'épandre 600 kilos de purains d'ortie ou de lisiers de porc issu d'elevage raisonné par m2 de terre.
 

La nouvelle directive sur les « variétés de conservation » (Directive 2008/62/CE de la Commission)
 

lire ici l'encadré rouge du bas http://www.kokopelli.asso.fr/proce [...] npsp7.html

(et pourquoi pas ce qui précède)

Je ne crois pas avoir écrit le contraire, en fait
Cela dit, on peut quand même trouver étrange d'interdire aux professionnels ce qu'on autorise aux particuliers. Si on n'est pas certain de la non dangerosité d'un produit, ce que je comprends parfaitement, dans ce cas, on l'interdit à tous au nom du principe de précaution, ou on en informe à tout le moins les particuliers, dans le cas contraire on l'autorise à tous, non ?

Question jardinage d'appartement ( )
Qu'est-ce qu'on fait à un dracaena (même deux) qui, s'ils n'ont pas grise mine, ne poussent pas du tout ?
 
EDIT : yoyo, tu es un saint homme

Je ne te quoterai pas par pure charité chrétienne, mais relis toi un peu tillow

http://forums.france5.fr/silenceca [...] t_45_1.htm ?

 
c'est assez scandaleux...
 

En effet, et tu as ça qui est bien grave aussi:

Et ils ont perdu, je ne sais même pas comment ils s'en sortent en fait.

Ceci dit, bémol (à propos de kokopelli), tant leurs catalogues que leurs semences étaient assez honteusement chers déjà à la base.

 
explication: Dimanche, un pote me parle de la mésaventure d'un enseignant en lycée agricole qui s'est méga fait emmerder car il avait osé proposer des solutions alternatives à celles qui sont généralement enseignées. Il me promet qu'il m'enverrait le lien. Il ne trouve pas et m'envoie ce que j'ai posté plus haut en attendant. Je le lis et le poste en sachant qu'il datait de quelques années, c'était marqué dans le lien.
 
Un agriculteur m'a dit la chose suivante: Il a le droit d'utiliser du compost et du fumier naturel, à condition que ces derniers ne soient pas proches d'une source, rivière, route, etc, etc,... Alors que pour les engrais, il n'y a pas de contrainte géographique. Il m'a expliqué dans quelle voie on voulait les emmener, il m'a ensuite cité un responsable qui a dit en substance: "On va créer des exploitations plus grosses et ceux qui veulent faire de la qualité devront avoir un autre travail à côté" J'ignore si c'est vrai. Toujours est-il qu'il est inquiet par la PAC et par la hausse constante des coûts incompressibles /HS
 
 

faudra que je teste la recette à base de savon contre mes pucerons sur les artichauts.. paske vu le stade, si je veux pouvoir les manger, faudrait mieux un truc plutôt "sympa"...

Enterrer une cuve ????...
 
Un arrosage automatique pour un arbre... je vois pas trop l'intérêt quand même, à part gacher bcp d'eau ?!??