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Je ne suis pas au courant de telles allégations", assure pour sa part Charles Clarke. "La police est en train de vérifier le profil de chaque individu de manière exhaustive", a-t-il ajouté.
Et le ministre britannique d'enfoncer le clou: "M. Sarkozy est arrivé en retard. J'ai eu une brève discussion avec lui dans les couloirs. Ni devant le conseil, ni dans ma conversation avec lui, je n'ai parlé de cela. Je ne sais pas où il a eu ses informations pour pouvoir faire ces remarques", a ajouté M. Clarke.
Il se veut même ironique, lorsqu'il poursuit qu'il n'avait pas pu demander à M. Sarkozy de corriger ses propos car "il est parti au milieu de la réunion, c'est peut-être son style", tout en tentant de tempérer ses propos en relevant que son homologue était "un grand leader pour la France".
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