Boeing : le patron du constructeur, en pleine tourmente, annonce son départ à la fin de l’année
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Parmi les plus visibles à l'époque, Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies, surnommé en interne « Chief Emojis Officer », qui twitte quotidiennement « en direct depuis le QG de crise » de Total, n'hésitant pas à se mettre en scène dans ses photos.
 
 « Ils sont ma vigie », confie le patron de la MAIF au sujet des membres de son équipe qui dissèquent tous les commentaires qu'il reçoit. Souvent, une boucle Whatsapp est créée autour de la garde rapprochée du dirigeant pour valider ses posts.  
 
Cela n'empêche pas les faux pas. Le 18 octobre 2022, un tweet de Patrick Pouyanné créé un bad buzz. Le PDG de TotalEnergies veut rétablir la vérité sur sa rémunération (5,94 millions), bien moins élevée que celle des « autres majors européennes et américaines ». Mais dans un contexte d'inflation des prix à la pompe et de tensions sociales, son post ne passe pas.
 
À mesure que le politique perd du pouvoir, le chef d'entreprise en gagne.
 
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Fisker déclare que les discussions avec le constructeur automobile sont terminées
Fisker a déclaré que ses négociations en vue d'une sorte de rapprochement avec un grand constructeur automobile avaient échoué, ce qui a accru les inquiétudes concernant la situation financière de la startup de véhicules électriques.
 
La société a déclaré que le constructeur automobile anonyme avait mis fin aux négociations la semaine dernière. Fisker réfléchit à des alternatives stratégiques, notamment des restructurations judiciaires ou extrajudiciaires et la vente d'actifs.
 
En raison de la fin des négociations, Fisker a déclaré qu'il ne serait pas en mesure de remplir les conditions de clôture d'un engagement de financement de 150 millions de dollars qu'il avait conclu avec un investisseur au début du mois. Fisker a déclaré qu'il prévoyait de demander une dérogation à cette condition.
 
Fisker a annoncé plus tôt ce mois-ci qu'il suspendrait la production pendant six semaines après avoir averti le mois dernier qu'il y avait des « doutes substantiels » quant à sa capacité à rester en activité.
 
Fisker a dévoilé ses discussions avec un constructeur automobile en février, affirmant à l'époque qu'un accord pourrait inclure un investissement, le développement conjoint de véhicules et l'utilisation des installations de fabrication de ce constructeur automobile en Amérique du Nord.
 

Les actions de Fisker chutent encore alors que les négociations avec le constructeur automobile échouent
 
Les actions de Fisker Inc. subissent un nouveau coup dur lundi après que la société a révélé qu'un accord potentiel avec l'industrie avait échoué.
 
L'entreprise de véhicules électriques était en pourparlers avec un grand constructeur automobile au sujet d'une éventuelle transaction, mais cette entreprise l'a informé qu'elle avait mis fin aux négociations.
 
"Après ce licenciement, la société continue d'évaluer des alternatives stratégiques", Fisker FSR, -28,17% a déclaré dans un dossier déposé lundi matin auprès de la Securities and Exchange Commission.
 
Les actions de Fisker ont chuté de 29 % lundi matin. Ils ont chuté d'environ 85 % au cours du mois dernier, en partie à cause des craintes d'une éventuelle faillite . Le Wall Street Journal a rapporté plus tôt en mars que la société travaillait avec des conseillers sur un éventuel dépôt de bilan, bien que Fisker ait alors déclaré qu'elle travaillait souvent avec des conseillers pour développer des stratégies.
 
Au moment de cette déclaration, Fisker a mentionné l’éventuel « partenariat stratégique avec un grand constructeur automobile » comme l’un de ses domaines d’intervention.
 
Voir aussi : Fisker brise le silence sur une éventuelle faillite. Voici ce qu'il avait à dire.
 
Dans le dossier de lundi, Fisker a mentionné d'autres « alternatives stratégiques » qu'elle envisage. Il s’agit notamment des « restructurations judiciaires ou extrajudiciaires », des transactions sur les marchés des capitaux, des rachats et des émissions potentielles d’actions, entre autres.
 
Fisker a également indiqué lundi qu'elle ne serait pas en mesure de remplir une condition de clôture concernant l'engagement de financement et les conditions que la société avait conclus avec un investisseur le 18 mars. La société envisage de discuter avec l'investisseur de la possibilité d'une nouvelle renonciation ou financement à des conditions différentes.
 
"Ces alternatives impliquent des incertitudes importantes, et rien ne garantit que ces discussions aboutiront ou que des fonds seront disponibles pour l'entreprise dans le cadre de l'engagement", a déclaré Fisker.

Fisker shares halted after deal talks with big automaker collapse

Nous vous informons que le groupe Saxo Bank envisage de procéder à la fusion juridique de BinckBank N.V. avec Saxo Bank A/S. Le changement de contrepartie juridique en Saxo Bank A/S est la dernière étape de la fusion de ces deux entités qui permettra au groupe Saxo de simplifier davantage sa structure d'entreprise et de se concentrer encore plus sur son cœur de métier.
La fusion juridique est soumise à diverses formalités légales, dont l'approbation de la Banque centrale néerlandaise. Cette approbation n'a pas encore été obtenue. Au terme de cette opération, les bureaux néerlandais, belge et français poursuivront leurs activités sous la licence bancaire danoise.
 
Nous prévoyons d’exercer nos activités sous la nouvelle entité légale dès le 1er juillet 2024.
Comment ce changement de contrepartie juridique vous affecte-t-il ?
Il s'agit d'un changement juridique qui a un impact minimal sur les services que nous vous offrons et qui ne nécessite aucune action de votre part.
Pour résumer :
   
 Vos plateformes de trading et votre service client resteront les mêmes ;
   
 Votre (vos) numéro(s) de compte bancaire et votre IBAN resteront les mêmes ;
   
 Les prix et les marges ne seront pas affectés par ce changement juridique ;
   
 Vos titres seront transférés à la nouvelle structure juridique et continueront d'être protégés en étant conservés dans un compte ségrégué, comme l'exige la réglementation européenne ;
   
 Votre argent sera protégé par le système de garantie des dépôts danois, qui, tout comme le système néerlandais de garantie des dépôts, assure une garantie jusqu'à 100 000 € ;
   
 La succursale française restera supervisée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) et l'Autorité de Contrôle Prudentielle de Résolution (ACPR), en plus de l'Autorité danoise de surveillance financière (DFSA) ;
   
 La réglementation française en matière de protection des investisseurs et de la vie privée (RGPD) continuera de s'appliquer ;
   
 Pour refléter la nouvelle entité juridique, vous recevrez des conditions générales mises à jour au plus tard 30 jours avant l'entrée en vigueur de cette modification juridique.

EV Maker Lucid Surges on $1 Billion Lifeline From Saudi Investor