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L'inéluctable refonte du système monétaire
La future réforme monétaire internationale
Cela fait dix ans que LIESI l’a anticipé… Cet été, N. Sarkozy a annoncé aux ambassadeurs, réunis comme chaque année à l’Elysée, que la réforme du système monétaire international était devenue la priorité du prochain G20. Les Américains ne cessent de relancer leur économie par tous les moyens. Ils rencontrent échec après échec et le pays est RUINE. 4 000 milliards de dollars furent injectés dans le système économique et financier américain pour n’obtenir que 200 milliards de dollars de PIB supplémentaires. Voilà LA reprise évoquée par médias et experts depuis le printemps 2010. Les discussions en vue du G20 vont se développer dans un contexte de guerre monétaire déclarée entre les Etats membres du FMI. En effet, depuis l’été 2010, les marchés de devises sont devenus le terrain de lutte entre les Etats pour obtenir de la croissance à l’extérieur, par l’intermédiaire des exportations. Cette fois, le Conseil monétaire financier international (CMFI), l’instance chargée d’établir les grandes orientations du FMI au nom des Etats membres, a du pain sur la planche ! Le 27 septembre, Guido Mantega, le ministre brésilien des Finances, a été le premier à employer l’expression de « guerre des changes » . Depuis, elle a fait le tour de la planète. Même si les grands argentiers ont le désir de s’attaquer au problème, la sensibilité des enjeux et la multitude des pays impliqués devraient au mieux permettre l’esquisse d’un de ces compromis non contraignants dont le G20 s’est fait la spécialité. Robert Zoellick, président de la Banque mondiale, a cependant rappelé l’urgence d’aboutir à des compromis : « Si on laisse glisser la situation vers un conflit ou des formes de protectionnisme, alors on court le risque de répéter les erreurs des années 1930 » marquées par des dévaluations intempestives et le nationalisme, a-t-il prévenu. Des propos similaires avaient été tenus lors du G20 qui suivit le déclenchement de la crise des subprimes de l’été 2007 ! Aujourd’hui, nous sommes en pleine guerre monétaire et la Chine est incontestablement l’acteur le plus fort. C’est la Chine qui fait flamber l’euro et le yen, sans oublier les métaux précieux. Nos contemporains n’ont pas compris que la plus grande escroquerie du monde civilisé de ces dernières décennies vient du fait que les gens ont travaillé pour obtenir et épargner du papier imprimé avec la ferme conviction que ce papier était de la monnaie. Par l’abandon d’une lecture catholique de l’Histoire, par apostasie, par refus de voir et de s’intéresser à ce qui arrivait à Rome, au Vatican, par cupidité, ils ont cru que le credo politique droite/gauche (pour simplifier) expliquait la marche du monde ; que les Etats-Unis et l’URSS étaient des ennemis. Ils n’ont pas compris comment le système fonctionnait réellement : que les peuples étaient sous la coupe d’un groupe de LUCIFERIENS qui tient les gouvernements dans sa main. Alexandre Soljenitsyne, lui, l’avait bien perçu, comme nous l’avons montré dans le numéro 209 au sujet des Protocoles. Ce document annoncé comme farfelu et qui a pourtant « anticipé » la crise de la dette, évoque ensuite une refonte monétaire mondiale à partir de laquelle les peuples seront esclaves du cartel bancaire. A ce stade évolutif du scénario, ce groupe d’occultistes, poursuivant sa quête de gouvernement mondial fondé sur des valeurs antichrétiennes, doit maintenant détruire la monnaie fiduciaire. Nous sommes entrés dans la phase de la destruction accélérée de la monnaie fiduciaire. Les banquiers centraux vont accélérer la destruction des monnaies par la politique suicidaire de la planche à billets et du maintien des taux bas. Finalement, LIESI s’est trompé dans son timing : il n’y aura pas d’inflation, nous passerons directement à l’hyperinflation. Votre argent ne vaudra RIEN et les denrées alimentaires vont exploser. Nous entrons dans la phase de la préparation en vue d’une catastrophe immense. La désintégration des monnaies dont le cartel bancaire a maintenant besoin, c’est la guerre des monnaies dont vous parlent désormais les radios parisiennes à longueur de journée. Nous y sommes déjà ! C’est incroyable : tout le monde est aux premières loges pour vivre la fin de l’ère des monnaies et l’immense majorité ne comprend rien à ce qui se joue ! Les gens continuent de voter pour des pantins qui n’ont qu’un seul pouvoir : celui de décorer tel ou tel maître du monopoly planétaire, espérant ainsi, par ce geste, disposer d’une place dans l’un des bunkers construits pour le moment où tout ira vraiment très mal.Les gens réfléchis ou initiés à certaines informations savent que la seule monnaie qui évite(ra) la perte de ses économies, ce sont les métaux précieux. En dix ans, le prix de l’or est passé de 250 à 1350 dollars l’once ; celui de l’argent métal de 4 à 23 dollars l’once. Quand LIESI l’annonçait, en 1999, les experts souriaient. Aujourd’hui, ces derniers parlent de bulle de l’or. LIESI affirme : la véritable hausse n’est pas encore au rendez-vous ! Que fait d’ailleurs le bloc de commandement russe ? Réponse en image.
La Banque centrale de Russie (BoR) a acheté 300 000 onces d’or en août qui sont venues s’ajouter aux 3,1 millions d’onces (à peu près 93 tonnes) achetées sur les douze derniers mois. Elle détient maintenant 23,6 millions d’onces. Pendant ce temps, les talentueux experts des plateaux télévisés parlent de bulle de l’or, eux qui n’ont rien vu venir. Même un fidèle du clan Rothschild, comme G. Soros, parle de bulle. Il ne dit pas que son principal fond se goinfre de métal précieux. Depuis que la Chine a déclaré la guerre monétaire, les pays asiatiques ont compris le message. La Thaïlande a augmenté ses réserves d’or de 20 %. Le Bangladesh a acheté 10 tonnes en septembre et le Népal veut aussi acheter. La stratégie d’accumulation de l’or reflète la méfiance à l’égard des monnaies. Les banques centrales commencent à diversifier leurs réserves ; c’est le signe d’une perte de confiance dans les principales devises mondiales. En agissant ainsi, elles prouvent que l’or et l’argent métal deviennent une devise monétaire… ce que LIESI annonce depuis des lustres.Revenons à la Chine pour rendre compte de certaines informations éclairantes. Le 30 août 2009, la Chine a interdit par décret l’exportation d’argent métal par décret. C’était un scud contre les grosses banques du cartel anglo-américain qui manipulent les cours sur les marchés à terme. En interdisant l’exportation d’argent, ce sont 154 millions d’onces (4 800 tonnes) que la Chine retire du marché mondial, soit le tiers de la consommation industrielle d’argent en 2008 (447 millions d’onces) ou près de 20 % de la demande globale.Le gouvernement chinois autorise et encourage la population à épargner en lingots d’argent. Il y eut des campagnes officielles engagées par les médias du pays : dans les journaux télévisés, dans les spots publicitaires, etc. Les communistes conseillent utilement leurs citoyens tandis que les politiciens du monde dit libre entretiennent le mensonge sur la plus grande crise économique de l’Histoire qui se profile.En septembre 2009, la Chine a officiellement annoncé qu’elle autorisait ses sociétés à faire défaut sur les marchés des « produits dérivés » sur les matières premières (sans préciser s’il s’agissait de pétrole ou d’argent métal). La Chine a laissé entendre qu’elle considérait ces « dérivés » financiers comme frauduleux et les banques émettrices comme des escrocs. Selon des rapports de la BIS (Banque des règlements internationaux), la production minière d’argent métal a été vendue 45 fois sous la forme de produits dérivés. Deux à trois grosses banques anglo-saxonnes, impliquées dans cette affaire, sont aujourd’hui INCAPABLES de livrer une telle quantité. Le même phénomène existe sur le marché de l’or physique où des banques occidentales sont vendeurs à découvert (donc avec obligation de rachat) de 60 000 tonnes d’or. D’aucuns comprendront pourquoi les Rothschild ont quitté le marché des métaux précieux de Londres… voué au mieux à la fermeture.
Ce sujet a été abordé dans les Brèves de LIESI de septembre/octobre, mais il est tellement important que d’autres publications suivront. L'Euro a obtenu un coup de pouce de la Chine, dotée des plus grandes réserves de devises étrangères du monde. Après avoir reçu la médaille d’or du parlement d’Athènes, le 3 octobre 2010, le Premier ministre chinois Wen Jiabao a promis le soutenir la Grèce et l'euro. La Chine s'engage à subvenir aux besoins de la dette grecque ainsi que de l'euro dans ce qui est clairement une décision géopolitique. Ce faisant, la Chine signale qu’elle sera face aux Etats-Unis si l’establishment de Wall Street répète une manœuvre de déstabilisation de l’euro, semblable à celle qui fut opérée au début de l’année. C’est aussi pour la Chine un moyen de dresser l'Europe et l'Union européenne contre les Etats-Unis dans un jeu d'échecs géopolitique.
Les multinationales bancaires JP Morgan et HSBC totalisent une position de vente d’argent à découvert, qu’elles devraient livrer physiquement un jour, de 500 millions d’onces, soit 66 % de la production minière actuelle. La situation est tellement catastrophique pour ces deux grosses banques (elles détiennent 95 % des positions vendeuses sur l’argent métal) manipulatrices des cours des métaux précieux, que leurs positions sur ce marché ne sont plus publiées ! Normal puisqu’elles ne disposent plus de sources d’approvision-nement tangibles. Que ce soit sur l’argent métal ou l’or physique, la Chine et quelques pays alliés peuvent à tout moment faire sauter le système bancaire américain. Londres passera probablement à la trappe avant New York.
Extrait LIESI No 216
A prendre au sérieux?
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