Le Hákarl (en islandais, requin) est une spécialité culinaire islandaise à base de requin du Groenland.

La chair de requin frais, en elle-même, est toxique à cause de sa forte teneur en acide urique, mais elle peut être consommée après une longue préparation. Le requin n'expulse pas son urine par un orifice, il la "sue" parce qu'il n'a pas de reins.

Elle est servie en petits cubes, l'odeur d'ammoniac reste très forte, et le goût est assez proche d'un mauvais et vieux fromage. Les descriptions ne manquent pas pour relater l'expérience de sa dégustation. C'est plus une tradition culinaire islandaise qu'un plat recherché.

Près de 500 pingouins intacts sont mis dans la peau de phoque, y compris becs, pieds et plumes. Ensuite autant d'air que possible est retiré de la peau de phoque, qui est ensuite cousue et scellée avec de la graisse, le tout avec une grosse pierre placée sur le dessus afin de maintenir la teneur en air faible. Au cours de sept mois, les oiseaux fermentent, et sont ensuite consommés pendant l'hiver groenlandais, notamment les anniversaires et les mariages.

Le printemps venu, un parfum particulier embaume les rues de certaines régions chinoises: celle de l'urine bouillie de jeunes garçons. C'est en effet dans ce liquide que les les Chinois cuisent des oeufs.

A Dongyang, notamment, les habitants sont friands d'oeufs bouillis dans de l'urine de jeunes garçons.

L'urine est récoltée dans les écoles primaires de la ville. Elle est ensuite chauffée dans de grandes cuves sur les trottoirs par des marchands ambulants. Les oeufs y sont plongés et bouillis jusqu'à ce que la coquille soit fêlée et l'oeuf bien imprégné.

D'après le site chine-informations, selon la médecine chinoise, ce met aurait des effets bénéfiques, comme celui de diminuer la chaleur corporelle lors des journées chaudes.

En fait, manger du durian est une nouvelle sensation, très désagréable, mais qui vaut à lui-même un voyage vers l'Asie, tant ce fruit est unique et particulier. »
Wallace avertit que l'odeur du fruit mûr est nauséabonde. Des descriptions récentes sont plus crues et plus précises. Anthony Bourdain décrit sa rencontre avec le fruit de la façon suivante :
« son goût et sa saveur ne peuvent être décrits que par le qualificatif… d'indescriptible... Votre haleine ressemblera à celle que vous auriez si vous aviez embrassé intensément votre grand-mère morte depuis des lustres. »
L'écrivain féru de gastronomie et de voyages Richard Sterling a employé des mots bien plus durs (mais pas faux) :
« … son odeur peut être décrite comme celle des excréments de porc, de térébenthine et d'oignons, le tout garni par une vieille chaussette. On peut le sentir loin à la ronde. Le fruit est interdit dans certains établissements comme les hôtels, les métros et les aéroports (y compris les bagages à main et autres valises, accompagnés ou non), ainsi que les transports publics du sud-est asiatique. »

L'odeur nauséabonde, presque putride, moisie et pourrie, force les gens à trouver des comparaisons pour la décrire. Des analogies avec les égouts, le vomi, l'odeur du putois. La large gamme d'odeurs du durian fait que les comparaisons sont nombreuses.