Reprise du message précédent :

 
 
avec x pages de retard : je crois pas que ce qui compte c'est prison ou pas. De tte manière, il est bon pour l'hopital psychiatrique pour le reste de sa vie

T'a vraiment besoin que ca soit explicite, noir/noir blanc/blanc ?  

 
 
   
exemple : http://www.ecranlarge.com/test-dvd-1014.php
 
zn bref, critique du rêve américain, glorification de l'individu et de l'initiative individuelle, critique des dogmes religieux et de l'euthanasie...
que tu n'y étais pas sensible, pas de pb, mais dire que ce film ne comporte aucune réflexion, faut pas déconner...

 
c'est un pays qui commence dans le cinéma  

 
   
Non.

ton lien marche po  

ah ? chez moi ça marche pourtant...
 
désolé

 
enfin bon il fallait s'y attendre, pour qu'un film sorte ici il faut qu'il fasse un carton énorme là bas, en général on entend jamais parlé des films russes, à tord peut etre

maintenant oui   , a noté qu'il y a une critique ciné

 
Parce que comme beaucoup de cinémas dans le monde, leur cinéma n'est plus très vivace et plus très exporté, à part quelques pointures comme Lounguine ou Mikhalkov qu'on voit régulièrement en festival
 
Prodigy

quand le film est totalement sous la main de la FOX ça aide

 
Le film est une production 100% russe, la Fox ne fait que distribuer.
 
Prodigy

 
 
   
Ton propos me suggérais que tu considérais le cinéma russe comme récent, alors que les cinéastes Russes les plus connus sont relativements anciens (Kalatozov, Tarkovski...).
 
Mais oui, c'est sur que le cinéma Russes, on en entend pas beaucoup parler, encore que, tu me diras, il en va de même pour presque toute la production qui n'est pas Française/Américaine

exact enfin il y a les anglais, les italiens, les espagnols et les japonais quand meme, après les autres productions sont assez peu connues, au coup par coup aidés par les festivals

Je suis assez d'acord; ce film a 10 min. de trop, avec à mon avis à moi que j'ai une apologie de l'auto-défense (la scène dans la chambre entre Sean Penn et sa femme) que je n'aime pas beaucoup.
Et ce dernier plan sur la dalle du trottoir, pitoyable

 
Anglais et italiens c'est pas la super joie non plus
 
Enfin c'est mieux qu'à une époque, mais bon... Quand je vois le programme des festivals (comme celui des Antipodes bientôt) et tous les films qui ne sont pas distribués, ça fout le bourdon    
 
Prodigy

 
Je l'avais oublié lui.
 
Loungouine je connais pas du tout par contre.
Qu'est-ce qui est a voir de lui ?

Taxi Blues, Luna Park...
 
Y'avait Vassili Pitchoul et La Petite Vera aussi mais ça date
 
Prodigy

je crois que c'est le principal pour un film
le distributeur achète le film avant qu'il soit fait (pour les grosses prod'), a t'il une influence sur la rtéalisation du film ? mystere et boule de gum  

 
Thanks.
Je vais me trouver ça.

cinema paradiso ... RIP    
 
tu n'aimes pas ces comédies guimauvesques british avec londres sous la neige  

 
Non le principal c'est la production.  
 
Prodigy

 
   
 
Et en parlant des Distributeurs/Producteurs, c'est qui qui prends le plus de risques et qui engrenge le plus de blé entre les deux ?

"Un Long Dimanche De Fiançailles n'est pas un film français"

 
et meme si c'etait vrai, c'est une excuse? pour moi non.

 
Le producteur.
 
Prodigy

excusez moi mais quel est le nom du café dans lequel travaille Amelie Poulain dans le Fabuleux Destin ... ?

Le Jean-Sébastien Bar
 
Prodigy

"Les deux Moulins", il me semble

ouais c sûrement ça.

Ce n'est pas parce que le personnage fait l'apologie de quoi que ce soit que t'es obbligé d'y adhérer. Perso, j'ai trouvé la scène du trottoir parfaitement placée.

+1, voila ou je voulais en venir
et dans "million dollar baby" il nous refait le même coup (coté religion)
niveau réalisation, acting ect ... rien a redire, mais y'a toujours son esprit de dénonciation ambigue
je sais pas si c'est vonlontaire pour perdre de spectateur, mais chez moi ça me chagrine ce cul entre deux chaises

le dernier Burton, dans la lignée de l'étrange noël de mr jack

Ben non, justement je n'adhère pas et cette scène m'a gâché le film.
Pour ce qui est du trottoir, on ne me fera pas croire qu'il n'a pas été refait en 30 ans...

 
ben justement il te montre que bcp de situations dans la vie ne se résument pas à des situations claires et que certaines valeurs très respectables peuvent conduire à des erreurs terribles...
et après tu vas reprocher les situations trop manichéennes (les bons et les méchants bien établis) des blockbuster

J'ai enfin pu voir Wall Street d'Oliver Stone hier.
 
J'ai vraiment bien aimé, Douglas et Sheen s'en donnent à coeur joie dans une peinture du monde de la finance des années 80 et de la reflexion sur le rapport de l'homme à l'argent.
 
Reste une phrase : "Tu veux un ami ? Prend un chien", qui résume tout l'esprit du film

Moi, toi et tous les autres de Miranda July
 
"Quelle drôle d'existence menons nous !" Voilà l'une des sensations que le spectateur peut éprouver à la sortie de ce joli film. Sensible, mélancolique, on pense souvent à Virgin Suicides de Sofia Coppola, que ce soit la plastique (la photographie donne un effet "ouaté" ) ou le thème sur l'adolescence. Ce n'est pas la musique qui contredira cette impression, tant elle colle à ce qu'a fait les frenchies de Air pour Coppola.
Le regard que porte Miranda July (scénariste, metteur en scène, actrice) sur nos vies et le temps qui passe est touchant, dans la mesure où cela est toujours très nuancée. Si on sourit de temps à autre, on s'étonne surtout dans ce portrait doux-amer qui a pour objet l'humain. Elle aborde les problèmes générationnels, crise d'identité, perte de soi sans jamais prendre une posture auteurisante - et s'y perdre.
Des enfants bousculés, transportés malgré-eux à travers les âges de la vie aux adultes incapables de mener une vie moins décousue, plus "sentimentale", beaucoup des images de la société contemporaine défilent devant nos yeux, quitte à être chamboulées dans le prochain plan.  
Un film doux, gentillet parfois aigre, aux personnages attachants campés par des acteurs doués. (John Hawkes confirme son talent aperçu dans Deadwood).

 
 
Je me souviens de l'enthousiasme à sa sortie, comme tu le dis il reflète bien les 80' dans leurs coté fric/frime. D'ailleurs à cette époque on avait un mot  qui revenait souvent et qui depuis est tombé en désuétude: yuppies.

Je trouve que c'est celui qui les symbolise le mieux, d'ailleurs (et accessoirement que c'est le meilleur film d'Oliver Stone)
 
Prodigy
 

 
Vi apparemment ils préfèrent les trucs soulignés au stabylo avec "dans cette scène vous devez pensez que..."
 
(apologie de l'auto-défense ?)
 
Prodigy

 
Effectivement