Reprise du message précédent :

 
Pareil    
 
Et je préfère me détendre là-devant que face à Koh Lanta ou l'Ile de la tentation, perso.
 
Prodigy

Ca se tient
 
XaT

le bleme de the island c'est que vus que t'en prends pleins la gueule pendant tout le films niveau images, poursuites, explosions, c'est assez dur de dire que c'est juste un navet. c'est l'exemple même du film pas franchement bon mais suffisamment pop corn pour etre apprécié. les spectateurs en sortent content, et du coup ils iront voir le prochain film dans le meme genre (et diront à leur amis d'y aller aussi)
 
les gens sont chiants

moi j'ai vraimetn un gros probleme avec ces trucs là. les gens qui matent ca, surtout si en plus ils osent te dire "non mais ca c'est bien, c'est pas naze comme la star ac" j'les comprens pas

 
 
Pourquoi ne passent-ils jamais Portés Disparus avec Chuck Norris ?  

 
Moi je m'en fous, mais je supporte pas qu'on me dise qu'on mate ça au second degré ou que "ça détend", enfin bref, autre débat
 
Prodigy

 
C'est passé        
 
Prodigy

Je regarde pas mais à la limite (mais vraiment à la limite), je trouve Koh Lanta regardable dans le principe.
Bon après, il parait qu'ils pratiquent plus une expérience sociologique qu'un véritable jeu de dépassement de soi

 
 
Sur RTL9 ? (je rêve de le voir parler de mettre ses pieds où il veut, et souvent dans la gueule..)

Non TF1, mais c'était que le premier je crois
 
Sinon trouvable à hyper pas cher en DVD chez MGM
 
Prodigy

mais pourquoi ?
deux clans de cas sociaux egocentriques sont créés, on instaure un manque dramatique de nourriture et d'hygiene, et on filme en gros plan les problemes socio-relationnels que ca entraine, en en rajoutant avec de la mise en scene quand les querelles sont trop bénines. je vois vraiment pas l'interet qu'on pourrait y trouver, même "a la limite" et même au 12e degré
jdoit pas être normal
 

 
Mais clairement. Mais bon c'est mal, faut pas en parler

 
 
C'est le 2 ou le 3 ? (le 3 si je me souviens bien). J'avais cherché à l'époque dans les bacs à 1 ou 2€, mais jamais trouvé..

 
J'avoue que j'ai regardé une fois le Bachelor & L'Ile de la tentaboule pour voir les mécanismes de mise en scène qu'ils utilisent, les effets, les ralentis, etc. Ca devrait être étudié dans les écoles, ça, comment manipuler un public, provoquer l'émotion, etc. Ce qui m'agace c'est que ces gimmicks ont aussi fait leur apparition dans le reportage ou le documentaire, et pour moi c'est grave
 
Prodigy

 
La réplique ?
 
Le 3 il me semble    
 
Prodigy

ouais moi aussi j'ai maté, la 1ere fois que c'est arrivé à  la télé. tu piges vite que c'est magouillé du début à la fin
 
en plus ils bouffent des bestioles protégées

Justement, dans le principe, c'était sensé être des gens normaux
Je trouve ça intéressant de mettre des gens de la ville dans un lieu qu'ils ne maîtrisent pas et de voir comment ils se démènent par eux-mêmes : organisation, bouffe,... L'aspect Robinson Crusoé, quoi!
Maintenant, c'est clair que si les participants sont des cons, ça devient de la merde en branche. Comme je disais, je regarde pas l'émission mais c'est franchement pas compliqué d'y survivre, je crois, tu peux presque pêcher à mains nues dans ce coin  
Et puis, en plus, ils foutent un bordel monstrueux sur l'Ile des Pins ces enculés

 
Pareil, j'ai regardé le kohlanta 1, et j'ai compris ma douleur, et quand j'ai regardé par la suite l'ile de la tentation j'ai failli ne pas m'arrêter de rire devant le bousin
 
Enfin...les gens demandent, les gens ont...

 
Broken Flowers de Jim Jarmusch
 
Dire que le nouveau métrage de Jim Jarmusch était attendu par les cinéphiles serait un euphémisme tant la réputation du Monsieur est importante et le casting prometteur. En effet, que peut-on demander de mieux que la réunion du zen jarmuschien avec la coqueluche actuelle des cinéphiles : Bill Murray ? Donné favori pour décrocher la palme, Broken Flowers n'est reparti "qu'avec" le Grand prix. Ce résultat a fait l'objet d'un grand nombre de débats, certains justifiant cette récompense par la légèreté apparente de cette comédie douce-amère, le ton quelque peu décalé de ce film mélancolique. Et pourtant...
 
C'est donc avec un plaisir non dissimulé (coupable ?) que l'on suit les tribulations de Don Johnston (avec un T s'il vous plaît) - quinquagénaire rentier d'une société d'informatique flamboyante - parti à la recherche de la mère d'un probable fils qu'il n'a jamais rencontré... Personnage énigmatique et lassé d'une vie fade, Don est l'archétype du yuppie US confrontée à une réalité qu'il a longtemps évité ou ignoré faute d'un vie professionnelle épanouie mais envahissante, de relations sentimentales nombreuses mais fragiles.
 
Au-delà des quelques traits ironiques en surface de cette fausse-comédie, Jim Jarmusch pose dans chaque plan une question essentielle : la course à l'efficacité et la réussite fait-elle oublier (perdre ?) le vrai sens de la vie, de ses valeurs ? Des gadgets électroniques devenus futiles pour nos vies (ouverture du film) aux symboles de la méritocratie américaine (Gigantesques demeures des quartiers résidentiels, pendentif "money", etc.) les séquences sont remplies de détails, de symboles d'une société consumériste déboussolée, en quête d'une certaine clarification, d'une nouvelle dimension dans laquelle elle pourrait évoluer.
 
Le monde qui s'offre aux yeux de Don est à la fois stérétotypé et décalé; un univers étrange, incompréhensible qui échappe à un personnage blasé. Est-ce la lucidité et l'expérience d'un homme désabusé qui explique cette lassitude, ou l'ennui d'une vie finalement creuse, qui lui empêche d'être actif, de se battre ? (cf. Nous renvoyons pour cela au très original Monique de Valérie Guignabodet et aux dialogues croustillants de Albert Dupontel)
 
Toutes ces questions n'auraient de sens sans le talent d'un Grand. Oui, Bill Murray est un Grand. Ce truisme apparent ne sera jamais assez répété tant l'acteur est doué. Cet ancien comique (Ghostbuster) est en passe de devenir l'un des personnages cinématographique les plus mélancoliques de toute l'histoire du cinéma (Les récents Lost in Translation de Soffia Coppola et The Life aquatic with Steve Zissou de Wes Anderson l'ont confirmé). Son faciès dégage un quelque chose d'inexplicable, un semblant de désarroi trahi par ses yeux, ce regard posé sur le vide, à la recherche d'une source d'attraction. A cela, ajouter une mise en scène sobre et touchante (comme pour Dead Man) où la caméra se fait délicate, aidée dans ses pauses par des fondus qui renforcent l'atmopshère lénifiante distillée tout au long de ce road-movie existentiel, ce chemin parcouru par un père cherchant à transmettre quelque chose à un fils dont il ne s'est jamais lui-même appliqué, à parler de la vie et de ses valeurs qu'il n'a probablement jamais saisi.

 
C'est assez triste, quand même, ce spectacle de la nazerie humaine, c'est ça qui me fout les boules, perso, limite déprimant le bordel
 
Prodigy

 
Ah
 
Prodigy

J'ai hâte

Stu veux que je publie tes critiques tu connais l'adresse hein
 
Prodigy

 
Ok, merci

 
Oui, passé le second degré, quand on se dit que c'est devenu le lot des conversations classiques de gens, ça fait quand même peur, surtout quand - et tu le dis bien toi même - on retrouve ça dans des documents qui sont sensés être garants d'une certaine intégrité, ça fait peur
 
Et, crois moi, c'est encore plus frappant quand tu n'as pas de télé chez toi...vraiment :|

Ouais non mais alors ça ça gave
 
Prodigy

Allez une petite image ajoutée, il le mérite bien

 
Plus que la hausse du prix de l'essence c'est clair

il va meme pas passer dans mon cinoche :|
par contre yaura Dukes of hazard ²

 
Putain moi non plus, merde mais laissez nous au moins une salle pour ça

Il faut laisser sa chance au film

ca doit petre n'imp ce film

Je dois avouer que celui-là, avec ou sans carte, j'y vais pas...

J'aimais bien la série, mais bon... J'attendrais qu'il passe à la tévé, ça fera illusion.

Ouais voilà, +1

bon a la limite si tu veux voir les fesse de jessica simpson sur écran géant ...

 
  ptit vicieux    

Dans ce cas, tous les films à la con méritent qu'on y aille alors non

ben j'ai tendance  à croire qu'il y a toujours un petit quelque chose qui peux etre intéressant dans tout les films