Reprise du message précédent :
Vu CRASH : moyen sur tous les points. l'histoire est super banale mais bon... ce film me rapelle un peu 11:14 mais en beaucoup moins leger c'est ni bien ni mauvais c'est juste un film a voir quoi mais qui restera pas dans les esprits ....
 
par contre l'ambiance est terribeule et les musiques sont bien.
 
http://images.amazon.com/images/P/ [...] ZZZZZ_.jpg

Collisions en french ? en tout cas j'adore les affiches

oui collisions en french

j'esite pour broken flower, j 'ai peur ke ce soit un peu soporifik facon Lost in translation........
 
je me trompe  ?  

 
Ah ben si tu vas le voir après une nuit blanche...
 

 
le rythme est assez lent c'est vrai, y'a plusieurs plans fixes où il ne se passe pas grand chose...

 
 
nan mais j'ai aimé LIT  mais j'ai trouvé ca un peu lent par moment  

 
 
 
ok merci  bon ....
 
je sais pas koi voir ce WE  ya plus aukun bon film depuis 3 semaines il se passe koi  

Vu hier soir The Jacket.
 
Bon... alors j'aimerais avoir des lumières sur l'intention du réalisateur/scénariste parce que j'ai bien peur d'être passé à coté de quelque chose.
Le déroulement du film pourrait faire penser à une sorte d' Effet Papillon, à l'envers, mais le début et la fin m'ont furieusement fait penser à L'échelle de Jacob.
 
Dans un cas comme dans l'autre cependant il y aurait des incohérences énormes.
 
Je me demande donc si je n'aurais pas manqué le film, tout bêtement.

 
euh ?
 
j'vois pas trop d'incoherences dans le déroulement ... y a des trucs inconnus oui mais pas d'incoherences.
 
le film est relativement simple ... mais volontairement compliqué das la realisation et la narration pour tenter de donner un fond a un film qui en est dénué.

 
 
une note de satisfaction ?

André pousse est mort (((((((

Personnellement j'en ai vu.
Mais elles sont différentes selon le point de vue que tu prends.
 
Selon toi Effet papillon-like

ou bien L'échelle de Jacob-like

ou bien autre chose encore?

 
effectivement on peu le voir de 2 facons differentes mais moi je l'ai pris comme un effet papillon like.
 

je suis le seul a avoir du mal avec ce concept de placard -> voyage dans le temps ?

 
 
nan nan j'ai eu du mal aussi  

Je ne saisis pas la différence exacte entre "twist" et "retournement de situation", je pensais bêtement que l'un était un anglicisme pour dire l'autre ; je ne demande qu'à être sorti de mon ignorance.
 
Mais bref, le film le plus farçi de "et hop!" que je n'ai jamais vu est Deathtrap (p'tain loué soit IMDB et ses créateurs...) http://www.imdb.com/title/tt0083806/
 
Là c'est vraiment n'importe quoi, une chouette parodie...

 
pour moi c'etait un peu pareil aussi ... mais visiblement un twist c'est un mec qui en est un autre en fait ..............  

un retournenement de situation j'vois plus ca comme le classique "mon dieu le héro est à deux doigts de perdre ho pis nan il a gagné"

 
 
et tout le monde s'en tape  

Ok, on peut donc sortir 2/3 choses bizarres du placard alors.
 

 
Bref, je m'interroge...

 
putain nan moi j'men tapes pas    
 
(j'avais lu andré pousse A mort ... j avais pas compris la blague   )

Non. Mais c'est notre lot à tous.

 
jpense que ce film laisse volontairement des zones d'ombre pour faire "film qui fait reflechir" mais y'a pas a reflechir on pedale dans la semoule.

bon je me tate pour broken flowers
 
ici tout le monde a aimé ?

Là je ne suis pas d'accord.
 
Ou alors c'est vraiment un mauvais film si le réal use de ce genre de ficelles.
Laisser des zones d'ombre ok. Balancer des fausses pistes ok. Ne pas tout expliquer à la fin encore ok, et tant mieux même.
 
Mais volontairement brouiller le jeu avec des choses cryptiques pour faire un film "profond et mystérieux" je n'y crois pas trop.

Bah il est mort vieux, naturellt, il avait fait son temps... C'est plus dommage qd qqu'un clamse ds la fleur de l'âge en interrompant une carrière prometteuse.

 
c'est vraiment ce que j'ai ressenti.
 
contrairement a d'autres films du meme style celui ci est vraiment super flou dans les explications il est tres tres incoherent dans le deroulement et on ne comprend rien...
 
la fin est super mega naze et moralisatrice a 3 sous... quand on fait une fin comme ca j'penses que le reste du fil a été volontairement complexifié pour rendre le film plus "interessant".
 
au final il reste quoi de ce film une fois vu ? reponse : du flou. Et des questions sans réponses. (et une actrice super mauvaise)

Mouais... moi je reste plutot persuadé de n'avoir pas tout saisi de la volonté du scénariste et du réal, mais bon....

si PERSONNE n'a saisi c'est peut etre qu'il n'y a rien a saisir.
 
si il n'y a pas de réponse c'est qu'il n'y a pas de probleme .
 
(je ne penses pas que ce film ai de grandes ambitions quand a la profondeur du propos etc ... c'est un petit film basta y a rien de profond et encore moins de messages cachés. Après on peut toujours trouver des trucs..........)

il était plus tout jeune non plus près de 80 ans je crois. venait juste de sortir son autobio ya quelques temps. et dire que c'est lui qui a créé "la Loco"...

Vu ce soir. Etonnant à quel point c'était chiant. En sortant de la salle j'ai vaguement entendu autour de moi des "rien compris",  "des longueurs", etc. Mon avis ne doit pas donc être isolé.  
 
Si tu ne l'as pas déjà vu, je te conseillerais plutôt un film comme De battre mon coeur..., qui, contrairement aux apparences, n'a rien du film chiant à la française.  
 
C'est justement un bel exemple d'inversion des rôles.

Pas d'accord

D'accord

Mouais. Je trouve le personnage de Romain Duris tellement pourri à la base que c'est difficile de croire à cette histoire de rédemption...
Sinon Broken Flowers ça me tente bien

 
 
merde je sais plus koi faire    
 

Au début du film, c'est un salop, mais un salop qui ne s'aime pas. Ce qui explique, je pense, une grande partie de ce qui suit.  
 
Ensuite, sa rédemption est toute relative...

 
j'ai beaucoup aimé, ca reste assez léger avec des scènes vraiment très drôles, et c'est en plus très bien filmé.
Par contre ceux qui disent ne rien avoir compris... bah je comprends pas ce qu'on ne peut pas comprendre dans ce film...
En tout cas moment rafraichissant après tout l'été blindé de blockbusters plus ou moins bons.

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Massacre à la tronçonneuse de Tobe Hooper
 
Massacre à la tronçonneuse n'a jamais été le film que le titre insinuait : ce n'est pas un film gore. La présence de sang est réduite à sa simple expression, surtout si l'on considère les standards actuels en la matière. Non, c'est plutôt une monstrueuse anatomie de la misère, de la bestialité et de la folie qui caractérisent les hommes. Il s'agit pour le cinéaste de "dire la vérité" (Cf. son interview), autrement dit, de dresser un portrait beaucoup moins reluisant de la famille, celle notamment de rustres animaux asociaux, dont la position recluse renforce les troubles comportementaux (actes impulsifs, violents, etc.). Pour nous parler de ce drame qui se déroule en été 1973, Tobe Hooper s'est inspiré de l'histoire de Ed Gein le boucher et des monstruosités entendues ici et là pendant sa jeunesse. Ces faits repoussants allaient constituer un premier matériau pour construire le ressort dramatique, le reste relevant d'une mise en scène oppressive et calculée.
 
Tobe Hooper aurait commencé son apprentissage cinématographique en jouant avec la caméra de ses parents (une Super 8) alors qu'il avait 3 ans. Autant dire que cela se voit ! Pour son second film, Tobe Hooper donne le "la" : chaque plan étant une leçon de cadrage, de découpage de l'espace visuel, le tout avec un grand sens du détail et de la précision. Aidé d'une mise en scène qui allie la viscéralité au "documentaire", le film est un pur concentré de tension éprouvante, où la mort n'est pas un acte facile. Le négatif (16mm contre les 35mm habituels) et la photographie de Daniel Pearl contribuent fortement à cette atmopshère poisseuse. Tantôt écrasante et brûlante (on transpire avec les acteurs sous ce soleil texan), elle sait se faire rouge brun lorsque l'ambiance le suggère. Car il s'agit bien de la grande qualité artistique du film, de son haut pouvoir suggestif ; En effet, Hooper a raison lorsqu'il annonce que "notre imagination dépasse tout ce qu'il peut montrer à l'écran". Il faut donc travailler en ce sens, aider le spectateur à créer lui-même ses émotions, à frémir "en direct" avec les protagonistes. La musique composée par le réalisateur en personne, est un ensemble de bruits, de sons collés ici et là pour souligner un acte, offrir aux acteurs toute la démesure de leur folie : Ed Neal en "auto-stoppeur" est en ce sens, un modèle. The Texas Chainsaw massacre (titre original) a tout d'un grand film d'effroi. Il sacre dès le premier tour, le talent d'un grand cinéaste. Il sondera de nouveau la folie de l'homme dans un autre film majeur, Le crocodile de la mort où l'on retrouve un autre acteur de talent : Robert Englund, A.K.A Freddy.
 
Film du mois.
 
PS: ceci est le copier/coller du message paru sur ma page perso.

une photo vaut mieux qu un long discours....