Reprise du message précédent :
il est bien taking alive ou pas ?

Nan. Et en plus on voit pas le Québec (à part  québec la ville, très belle par ailleurs).

j'ai vu killbill vol. 1 et j'ai trouvé ça pas mal du tout. Scénario epoustouflant mais bon on ne va pas s'arrêter là, vivement le 2

Truman Show sur France 2 : je l'aime ce film

 
avec le recul c'est pas extraordinaire mais pendant le film ont prends tellement de plaisir
 
le 2 sort le 17 et c'est pile poile le premier jour de mes partiels
 
Monde de merde ©
 
 
ps: une date de sortie d'un eventuel peut etre coffret killbill 1&2 ?

je dirais dans 8 mois à compter de la sortie du vol. 2

ca va etre dur d'attednre

Ouh, là... Entre la version simple du 1, le version simple du 2, le coffret simple du 1+2, le coffret collector du 1+2, le coffret spécial de la version unique (le 1 et 2 dans leurs versions japonaises non-censurées remontées ensemble)...

 
fouette moi

j'ai retrouvé ça que j'avais torché quand j'avais vu le Godard en question :
 
Eloge de l'amour, Godard.
Là où Godard fait très fort, c'est dans le dernier 1/3 du film, tourné en vidéo couleur (c'est la 1ère fois que je voyais de la vidéo sur un écran de cinéma).
Alors que le film 35 mm reproduit fidèlement la réalité, avec la vidéo il y a naturellement comme une distance, une "irréalité" : un peu comme une "interprétation de la réalité". Cela m'a fait penser d'abord au "Vampyr" de Dreyer, où celui-ci avait volontairement surexposé l'image pour donner à tout une apparence brouillardeuse et irréelle.
Godard ne cache pas cet aspect "irréel", "manque de définition" de l'image vidéo : au contraire on dirait qu'il se base là-dessus. Avec lui l'image vidéo tend vers l'abstraction, il modifie d'ailleurs des couleurs, il tourne certains plans sous-exposés ou à contre jour... Le cinéma se rapproche ainsi de la peinture : ce qui est montré se présente d'emblée comme une "interprétation" de la réalité. La vidéo est là tout le contraire d'un 35mm du pauvre, c'est un nouveau moyen d'enregistrement "filmique" dont lui Godard aurait perçu une poésie inhérente : ayant mis le doigt dessus il creuse en ce sens sans cesse.  
 
*****
 
sinon j'ai retrouvé un autre truc : c'est assez intéressant car ça cause d'un truc très important pour apprécier Godard : il faut avoir l'oeil et l'oreille en quelque sorte "polyphoniques". Comme en musique où ilfaut suivre en même temps 2 ou 3 voire 4 parties distinctes, aussi bien que si l'on en suivait qu'une seule sauf que là y'en a 4 (un peu comme si on avait 4 oreilles et ensuite le cerveau colle le tout mais on suit qd même le détail) : chez Godard c ça faut suivre l'image voire des images, et surtout je dirais tout un tas de sons (musiques paroles), enfin il faut suivre différentes lignes superposées qui n'ont pas forcément à voir entre elles, le cerveau colle le tout et ça fait le film, mais on suit qd même le détail. Bref la perception globale de l'oeuvre n'est pas un pâté informe mais l'addition de différentes lignes bien distinctes (mais qui évidemment "communiquent" entre elles). Enfin si on ne s'applique pas consciemment (comme en musique) à faire comme ça il est je pense très difficile de pas se faire chier... Mais c'est pas forcément facile : l'oreille polyphonique en musique ça peut mettre des années à se développer, je sais pas si ça aide pour suivre chez Godard, en tous cas chez lui y'a par exemple des lignes de parlotte off (mélangées à d'autres of course) qui sont parfois à la limite de l'audible... mais elles sont là qd même et si on fait gaffe on peut les capter et ça participe à l'ensemble...  
 
Histoire(s) du cinéma de Godard
J'avais l'impression que ce film de Godard était quelque chose d'assez poétique, mais assez vain et presque superficiel, avec des procédés comme des "trucs". C'est en fait un immense poème, sur le cinéma et avec les moyens du cinéma. Peut-être ce que Godard a fait de plus émouvant depuis Le mépris. Partout il évoque son émotion de jeune cinéphile. Il le fait en mélangeant extraits de films, bandes son, sa propre voix off, des musiques choisies par lui… Ainsi dans le premier chapitre (1A. Toutes les histoires), il fait se succéder (ou alterner, je ne sais plus) un extrait d'un vieux film muet biblique, un extrait de La règle du jeu (les rabatteurs qui frappent les arbres pour débusquer le gibier), et un extrait d'un film de Mizoguchi (une fille qui s'évanouit, peut-être dans Mademoiselle Oyu) ; pendant ce temps on entend en continu la voix off monocorde de L'année dernière à Marienbad, plus une musique choisie par Godard (du genre qu'il aime bien, quatuor à cordes à la fois romantique et sobre) ; il y a aussi un ou deux surtitrages. L'effet est prodigieux. C'est comme s'il additionnait différentes sources d'émotion pour retrouver l'ampleur de celle qui le frappait lorsque jeune il découvrait tel ou tel chef-d'œuvre.  
 
 

  TROLL ?

je viens de rerevoir EUROPA de Lars Von Trier, pour moi c'est son meilleur film (le pire étant dancer in the dark)

je déteste Godard.

Au fait je viens de me rappeller, c'est pas un film tourné en "relief" L'étrange créature du lac noir ?
ça marche en DVD ça  

 
Je ne pense pas justement que l'on puisse s'énerver devant ce film comme on s'énerverait après avoir vu Van helsing. Je n'en suis pas encore à ce niveau. Peut-être est-ce une forme d'art, et c'est la raison pour laquelle je le respecte - comme tout type de cinéma d'auteur - mais ce film, ou plutôt devrais-je dire, ce monologue philosophique sur pellicule, cristallise, tout ce que je déteste dans le cinéma d'auteur franchement présomptueux, et stérile sous cette forme artistique qui n'en est pas vraiment une. La "philosophie" de Monteiro - et encore une fois, est-ce vraiment une manière de pensée ? -n'en est pas à partir du moment où on sent qu'il se "force" de réfléchir sur "quelquechose" et non sur un concept qui finalement n'a d'intérêt que pour remplir de longs plans-séquences aussi ennuyeux que son propos confus et sans cohérence. En effet, je doute fortement que ce même auteur serait bien capable d'en assembler les principales lignes pour en faire un ouvrage - écrit...  
A vrai dire, je n'aime pas monteiro car je stigmatise sans doute à travers lui, les cahiers du cinéma, qui lui vouent un véritable culte. Je conçois d'ailleurs que l'on peut me reprocher cette partialité. D'ailleurs, monteiro et comme d'autres "auteurs" du cinéma qu'aiment les cahiers, ce genre de cinéastes ultra égoïstes qui se regardent filmer, longtemps, très longtemps , et sans que cela nous apporte finalement à nous spectateurs, un intérêt autre que d'assister et de participer à la culture de leur égo, et renchérir la surestime qu'on voue à ses "codes" cinématographiques de l'intelligentsia.

 
Oui c'est exact, mais malheureusement - ou peut-être pas - le film est présenté ici dans sa version "plate"

 
  pour se faire du fric ??
 
Les fans savent certainement déjà qu'ils ont déjà prévu Van Helsing le retour de la revanche..

 
Rectification : j'exècre Godard, les cons de fils de sa femme (Anne Marie Miéville, qui a du torcher les films les plus mal joués de l'histoire), j'exècre ce cinéma vide et opportuniste qui ne repose sur rien, et sur lequel on n'a toujours pas fini de se branler 40 ans après.
 
Prodigy

Question bête : c'est quoi "Undead" dont j'ai vu la présentation hier soir?

Au fait j ai finis The Core hier soir et ca a confirmé mon premier avis : c est un gros nanard

 
http://www.resetmag.com/html/infos [...] 8&ext=true
 
Prodigy

J'ai vu la BA en Français, donc distribution chez nous? Youpi!

Le 12 juin je crois. Mais il paraît que c'est méga nul.
 
Prodigy

comment tu casses le bonheur ambiant

Non mais clair....
 
PRODIGY BAN§§§§§

y a du renouveau dans les film de morts vivants ca fait plaisir

 
oui c'est toujours la même sauce hein on réssucite juste des vielles peaux

 
j avais été surpris par 28 jours plus tard
la mode est aux zombies qui courent partout

je suis completement passé a travers man on the moon hier soir. c'est juste l'histoire d'un gros con ou il y a autre chose ?
 
Merci de m'éclairer de votre lumière

 
tu n'as pas aimé c'est aussi simple

 
oui bien aimé aussi

 
Déjà en français non quoi.
 
Prodigy

Clair  
de Andy je ne connaissais que la serie Taxi (excellente!) vu en VO et Jim Carrey et INCROYABLE !
Et puis perso j'ai trouvé son histoire touchante, le mec etait un fou loin d'etre con et sa fin est "ironique" (son remede miracle a la fin)

Rien que la voix de Tony Clifton je suis par terre de rire
 
Prodigy

La scène ou les producteurs TV veulent faire du Kaufmann ou il lui demande de simuler un fight et de s'expliquer apres la pub.
Andy les double et en rajoute une dose
J'aurais trop voulu voir ca en direct.

Y'a des moments c'est acide quand même
 
Prodigy

Oui c'est sur mais bon il etait "taré"

Il vaut quoi "Natural born killers" ?
Avec la resortie en DVD, c'est peut-être l'occaz de le découvrir ?

Oulà, vaste sujet, sur lequel je n'ai pas le temps de m'étendre
 
Prodigy

 
En rapide, comme ça, ça donne quoi ?  

Film qui se gourre totalement et tombe exactement dans les travers qu'il dénonce, mais montage formidable.
 
Prodigy