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Auteur Sujet :

[Topic écriture] Sujet 9

n°4106123
mariocompi​egne
Pseudo aux abonnés absents
Posté le 03-11-2004 à 21:23:22  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

Tigerlily a écrit :

[quote][...]
Vous venez d'asister à un suicide litéraire, qui n'aura eu pour but que de vous faire rire. Alors, j'ai eu bon? Ou je me cantonne au tragique?


Je vote "Encore"! [:marcelpoire]


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Dorénavant Mario_
mood
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Posté le 03-11-2004 à 21:23:22  profilanswer
 

n°4106189
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 03-11-2004 à 21:29:15  profilanswer
 

MarioCompiegne a écrit :

Je vote "Encore"! [:marcelpoire]

Idem ! :lol:


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L'Afrique, c'est magique !
n°4106396
mariocompi​egne
Pseudo aux abonnés absents
Posté le 03-11-2004 à 21:47:22  profilanswer
 

MarioCompiegne a écrit :

Je vote "Encore"! [:marcelpoire]


Ce qui me fait chier c'est qu'après tous vos très bons textes, faut que je me contente de faire de la figuration, moi!  :cry:  
Tant pis, j'apprendrai: n'hésitez pas à critiquer, à me descendre, m'annihiler, m'enc... NON :o


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Dorénavant Mario_
n°4106440
Marnie
Posté le 03-11-2004 à 21:50:43  profilanswer
 

MarioCompiegne a écrit :

Ce qui me fait chier c'est qu'après tous vos très bons textes, faut que je me contente de faire de la figuration, moi!  :cry:  
Tant pis, j'apprendrai: n'hésitez pas à critiquer, à me descendre, m'annihiler, m'enc... NON :o


C'est pour ça que je lis pas avant de poster. Ca me découragerait. Je surveille mais je saute les textes :D.


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Prison d'été, prison d'hiver, prison d'automne et de printemps, bagne pour petits et grands - Prévert, Le Roi et l'Oiseau
n°4106616
mariocompi​egne
Pseudo aux abonnés absents
Posté le 03-11-2004 à 22:07:47  profilanswer
 

Marnie a écrit :

C'est pour ça que je lis pas avant de poster. Ca me découragerait. Je surveille mais je saute les textes :D.


Je vois un nouveau message dans le topic, je me dis ":wahoo: chouette, quelqu'un est venu me réconforter, super!". Mais non, on me descend encore plus (genre, j'aurais du être découragé).  [:cyberpat92]  
Je l'ai déjà posté, mon texte. Mais de toute façon, tu as raison, mieux vaut ne pas lire les autres avant de poster.


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Dorénavant Mario_
n°4106842
Marnie
Posté le 03-11-2004 à 22:22:01  profilanswer
 

MarioCompiegne a écrit :

Je vois un nouveau message dans le topic, je me dis ":wahoo: chouette, quelqu'un est venu me réconforter, super!". Mais non, on me descend encore plus (genre, j'aurais du être découragé).  [:cyberpat92]  
Je l'ai déjà posté, mon texte. Mais de toute façon, tu as raison, mieux vaut ne pas lire les autres avant de poster.


Mais j'en sais rien si tu aurais dû être découragé ! Je l'ai pas lu, ton texte. [:calin]


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Prison d'été, prison d'hiver, prison d'automne et de printemps, bagne pour petits et grands - Prévert, Le Roi et l'Oiseau
n°4106903
mariocompi​egne
Pseudo aux abonnés absents
Posté le 03-11-2004 à 22:25:38  profilanswer
 

Marnie a écrit :

Mais j'en sais rien si tu aurais dû être découragé ! Je l'ai pas lu, ton texte. [:calin]


[:athome]
Toi on voit que t'es Lyonnais, t'es sympa![:cannelle]


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Dorénavant Mario_
n°4107061
Marnie
Posté le 03-11-2004 à 22:35:27  profilanswer
 

MarioCompiegne a écrit :

[:athome]
Toi on voit que t'es Lyonnais, t'es sympa![:cannelle]


lyonnaise. Et toi t'es où, si t'es pas à Compiègne ?


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Prison d'été, prison d'hiver, prison d'automne et de printemps, bagne pour petits et grands - Prévert, Le Roi et l'Oiseau
n°4107090
mariocompi​egne
Pseudo aux abonnés absents
Posté le 03-11-2004 à 22:37:08  profilanswer
 

Marnie a écrit :

lyonnaise. Et toi t'es où, si t'es pas à Compiègne ?


Je suis à Lyon, justement :D


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Dorénavant Mario_
n°4107185
Marnie
Posté le 03-11-2004 à 22:42:57  profilanswer
 

Bon. J'ai bien regardé ta tête dans le trombi. Si je te croise, je te fais signe :D.
 
édit : sur ce, bonne nuit.


Message édité par Marnie le 03-11-2004 à 22:43:16

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Prison d'été, prison d'hiver, prison d'automne et de printemps, bagne pour petits et grands - Prévert, Le Roi et l'Oiseau
mood
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Posté le 03-11-2004 à 22:42:57  profilanswer
 

n°4112906
karnh
Mes potes dans la signature !
Posté le 04-11-2004 à 18:12:29  profilanswer
 

Allé, une deuxième participation, je suis inspiré !  :)  
 

Citation :


Des semaines qu’on nous bassine avec cette expédition. Des semaines qu’on reçoit leurs ordres, qu’on écoute bien sagement ce qu’ils ont à dire, prépare nos affaires, qu’on salue nos familles. Ce petit documentaire à réaliser dans un pays plutôt saccagé en ce moment. Et puis on nous avait lâché dans la nature, le patron bien sûr au commandement des opérations. On était arrivé à destination, et fin du bonheur…  
 
On avait eu les yeux bandés pendant le voyage, on avait reçu des poings sans pourvoir manifester, puis on était descendu du fourgon, et on était monté dans un hélicoptère. On devait se rapprocher du Nord, car le court moment où je suis resté dehors, j’ai tremblé comme un demeuré, mes dents se brisants l’une contre l’autre, mes genoux se frappants comme des pantins. Puis à nouveau au chaud, dans un grand hélicoptère à en juger par le bruit démoniaque du décollage. Je ne savais pas encore où l’on nous menait mes compagnons et moi, mais nous l’avons découvert bien assez vite.
 Le voyage avait duré un bon moment. Une nuit car le lendemain, ils nous avait jeté dehors, et ils nous avait gentiment retiré le bandeau qui nous protégeait les yeux.. Le soleil avait méchamment agressé mes yeux encore débiles. Mais cette assaut n’avait été qu’une chatouille à côté du reste. La première chose qui m’assomma fut le contact gelé, poudreux qui apaisa ma chute : la neige. Une bonne chose quand on est en pull, pantalon en velours et basket aux pieds. Nous, les pauvres compagnons, nous les avons entendu se marrer derrière nous en nous foutant de grands pieds dans le dos pour nous allonger. Alors ils nous avait ôté le bandeau et à ce moment puis ils étaient repartis, nous abandonnant simplement face à cet océan de glace.
 Du blanc, du blanc, du blanc et encore du blanc. Rien que de la neige à perte de vue, à trois cent soixante degré autour de nous, sous nos pieds, au-dessus de nos têtes. Il en tombait. Des petits flocons bien gentils, mais dévastateurs. Un quart d’heure passa, et tandis que je regardais ce paysage somptueux pour passer des vacances au calme, partagé entre l’ébahissement, la peur et la faiblesse, j’entendit derrière moi hurler. Un cri strident qui déchira l’air gelé. Un cri d’effroi paralysé aux lèvres de sa propriétaire. Alors que je me retournai, trois gigantesques ours polaires se dressaient sur leurs pattes arrières, fauchant un homme. Ebahis je contemplai la scène morbide, les ours déchiquetant la pauvres victimes, les ours se régalant. J’aurai rapidement fait la seconde proie si les hommes et les femmes criants se ruants dans ma direction ne m’avait pas tiré de ma passivité. Alors jetant un dernier regard au tapis rouge qui maculait la neige, je m’aventurai dans les steppes glacée, ne sachant rien de ce que je ferai.  
 Nous avons fuis, les trente otages que nous étions, n’importe où, juste dans l’espoir d’échapper aux ours blancs. Mais ils s’élancèrent dans notre direction dès leur premier repas englutit. Moins d’une minute plus tard, ils fondaient sur nous, et certains tombèrent, d’autres crièrent. J’étais toujours debout et je courrais encore plus vite. Puis petit à petit, mon souffle devint court, mes poumons me firent souffrir, mes jambes m’élancèrent et je due m’arrêter. Les ours n’étaient plus là, et seul deux hommes et deux femmes étaient en ma compagnie. Les autres avaient due fuir vers d’autres endroits… à moins d’avoir déjà péris.  
 La nuit tomba rapidement, le vent se leva, glacial et violent et les flocons tombèrent plus drus, plus gros. Par chance, quelques minutes plus tard nous trouvâmes un espèce de muret de glace assez gros pour nous protéger du vent. C’est cela qui nous fit tenir cette nuit-là. Enfin, les deux femmes et un homme moururent pendant la nuit, tant la froideur était affreuse et le vent violent. Bien que nous nous serrâmes, nous enlacèrent, la faible chaleur de nos corps ne nous sauva que lui et moi. Honteusement mais pour nous sauver encore un moment, nous enfilèrent leurs habits et les saluèrent, larmes aux yeux. La nuit avait été affreusement longue, et je ne sentais plus mon corps, mes muscles semblaient endormis à jamais, mon cœur figé.  
 Pourtant nous nous remîmes en marche, espérant trouver quelque chose dans cette horreur. Mais au fond de moi, je me sentais mort. Je savais que bientôt je rejoindrai les autres otages. Et tout ça à cause d’un film en Irak. J’ai été capturé quatre jours après mon arrivée, les terroristes m’ont pendant plusieurs jours détenus dans un dépôt en compagnie des trente autres capturés, nous frappants, nous insultants, nous torturants. Puis nous étions parti. Je ne sus pourquoi, et je ne le saurai jamais, mais ils nous ont emmené jusqu’ici et nous ont abandonné sur cette iceberg géant, ultime supplice.    
 Mais nous trouvâmes sur notre chemin une maison de bois. Un filet de fumée en émanait et réjouis, sans pour autant montrer nos sentiments, mon compagnons — un journaliste anglais — et moi tracé jusque là-bas. Nous avons frappé à la porte sans pour autant sentir la moindre douleur à la main, et il nous a ouvert. Le visage dissimulé sous une épaisse capuche, l’homme qui nous ouvrit nous sembla tout sauf normal. Il nous a agréablement invité à se réchauffer sans pour autant prononcer un seul mot et nous avons cru à ce moment que les choses allaient s’arranger, que les ours derrière nous, nous n’avions plus rien à craindre.  Grave erreur.  
 Moins d’une heure après il nous interpella d’une voix grasse et jubilante. Nous nous retournâmes et l’homme s’était à moitié déshabillé. Je cru que mon cœur s’arrêtait sur place, que mon sang s’évaporait. L’homme qui nous faisait face portait la même marque que nos tortionnaires sur le torse : une étoile noire. J’eus à peine le temps de penser à mes enfants qu’il faisait feu, ses balles trouants nos torses…


 
  Bon, c'est un écrit sur des choses assez dramatiques, donc j'espère que je n'ai pas offenser quelqu'un, j'en serait désolé, donc si il le faut, j'éditerai.


Message édité par karnh le 04-11-2004 à 18:14:11

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http://lesjackisdu74.skyblog.com
n°4125505
Profil sup​primé
Posté le 06-11-2004 à 09:39:49  answer
 

karnh a écrit :

Voilà ma participation à ce sujet ! :)
 
  Karnh   <sujet 9>
 
 

Citation :

Chaud. Il fait incroyablement chaud....



Pas mal de maladresses, pas mal de tournures enfantines, ou lourdes.
 
Mais sur le fond, l'idée est très bonne. Je pense qu'en travaillant un peu plus ce texte, il y aurait moyen d'en faire quelque chose de très angoissant !
 
J'ai bien aimé le glissement de la folie, d'une simple idée à une personne physique.
 
J'ai moins aimé la fin, un peu bâclée amha par rapport au reste du texte ;)
 
 
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Stenz a écrit :

Bon c'est pas génial et fait un peu à la va vite mais je suis fatigué  :sleep:

Mmmmmmmmhhhhhh...... :/
 
En effet, la prochaine fois, attends d'être en forme avant d'écrire ! :d
 
 
 
 
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Tigerlily a écrit :

Citation :

Sujet 9 : Tigerlily
 
 
Ce n’était pas son premier naufrage...


 
Vous venez d'asister à un suicide litéraire, qui n'aura eu pour but que de vous faire rire. Alors, j'ai eu bon? Ou je me cantonne au tragique?

Excellent ! :lol:
 
Bon, l'intérêt de ton oeuvre est relativemment proche du zéro absolu, ceci dit je trouve que tu écris bien, on sent un esprit à l'oeuvre derrière chacun de tes mots, ce qui change des "rédactions" que trop souvent on nous jette en pâture au prétexte que "je suis fatigué" ou "je n'ai pas eu le temps de faire mieux" ;)
 
Et puis bon, Céline n'a pas une voix si horrible que ça, je me souviens de boums ouske je dansais des slows langoureux sur "Pour que tu m'aimes encore" :o :d
 
 
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karnh a écrit :

Allé, une deuxième participation, je suis inspiré !  :)  
 

Citation :


Des semaines qu’on nous bassine avec cette expédition....


 
  Bon, c'est un écrit sur des choses assez dramatiques, donc j'espère que je n'ai pas offenser quelqu'un, j'en serait désolé, donc si il le faut, j'éditerai.

Euh... même reproche qu'aux autres textes du même acabit : être imaginatif c'est très bien, mais il faut rester dans le domaine du vraisemblable sinon ça n'a ni queue ni tête !
 
Même si l'on peut absolument tout imaginer, il faut malgré tout un fond de logique, sans quoi ton histoire reste lettre morte. Exemple : en science-fiction, bien des auteurs sont partis dans des délires hallucinants, mais derrière l'apparence délirante, un scénario logique et bien ficelé fait tenir tout ça.
 
Ce que je veux dire, c'est que l'invraisemblance est acceptable dès lors qu'elle ne touche pas à la logique fondamentale de l'histoire.
 
Par exemple, dans ton histoire, on aurait pu imaginer bien des scénarios, je ne sais pas, pourquoi pas une émission de télé-réalité cruelle (style "Marche ou crève" de Stephen King), ou encore une sélection naturelle renforcée pour ne garder que les humains les plus résistants pour tenter une colonisation de Mars où les conditions sont très rudes... Tu vois, là il y aurait eu un scénario en background, quelque chose qui aurait fait tenir l'invraisemblable course de 30 pèlerins sur un iceberg ;)


Message édité par Profil supprimé le 06-11-2004 à 10:06:06
n°4125517
langamer
&#034;I Love a Sunflower&#034;
Posté le 06-11-2004 à 09:44:31  profilanswer
 

michounette a écrit :

Pas mal de maladresses, pas mal de tournures enfantines, ou lourdes.
 
Mais sur le fond, l'idée est très bonne. Je pense qu'en travaillant un peu plus ce texte, il y aurait moyen d'en faire quelque chose de très angoissant !
 
J'ai bien aimé le glissement de la folie, d'une simple idée à une personne physique.
 
J'ai moins aimé la fin, un peu bâclée amha par rapport au reste du texte ;)


 
Et le début du mieng  :na:


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"Tain le phénomène Langamer va se retourner contre ma gueule je le sens à 200km"All rights reserved,27/11/0, 17:08:56 Shadowavenger
n°4125525
langamer
&#034;I Love a Sunflower&#034;
Posté le 06-11-2004 à 09:46:32  profilanswer
 

michounette a écrit :

Mmmmmmmmhhhhhh...... :/
 
En effet, la prochaine fois, attends d'être en forme avant d'écrire ! :d


 
Je retente plus tard [:aloy]


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"Tain le phénomène Langamer va se retourner contre ma gueule je le sens à 200km"All rights reserved,27/11/0, 17:08:56 Shadowavenger
n°4125546
Profil sup​primé
Posté le 06-11-2004 à 10:08:17  answer
 

Bon et après, qu'on ne vienne pas dire qu'il n'y a pas de critique constructive sur ce topic !!!!!!!! :o

n°4125576
karnh
Mes potes dans la signature !
Posté le 06-11-2004 à 10:29:26  profilanswer
 

michounette a écrit :

Bon et après, qu'on ne vienne pas dire qu'il n'y a pas de critique constructive sur ce topic !!!!!!!! :o


   :lol: Bien sûr que si y'en a !
  Merci pour ces remarques, et c'est vrai que tu as remarqué ma plus grosse faiblesse dans les textes courts. Dès fois je perd toute cohérence entre le début et la fin. Je vais essayer de retravailler tout ça avant les votes pour vous donner un texte plus plaisant à lire :)


Message édité par karnh le 06-11-2004 à 10:46:56

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http://lesjackisdu74.skyblog.com
n°4133313
nimrod
barbare papa
Posté le 07-11-2004 à 11:48:17  profilanswer
 

Citation :

Au delà de toute civilisation, sur une mer plate et verte émeraude, vogue le luxueux yacht  
" l'incorruptible ".
 
... Le son d'un verre vide que l'on pose sur un table de marbre, suivit du glou glou généreux d'une bouteille pleine qui se vide. Une main potelée s'empare du verre qui crisse au contact de lourdes bagues.
Le liquide doré vacille dans le verre, et projette sur des lèvre grasse et luisante les rayons de soleil orangés de cette fin d'après midi.
 
Des rires s'élèvent du bateau alors que celui-ci, immobile, flamboie de mille feu... Sur les pans de la coque au dessus de la surface de l'eau se tient un ballet incessant d'ondulation lumineuse.
 
" Splash !!! " Une énorme gerbe d'eau s'élève, puis retombe en un grésillement sourd... Tout devient trouble... Il aperçoit la coque du bateau terminée par un grande flèche nacrée, pointant vers les bas fond. Les images se distordent, ses yeux s'irritent au contact de l'eau salée .
...Son estomac se retourne, et un goût de bile s'empare de sa langue fiévreuse. Il se débat pour remonter à la surface, mais avant de l'avoir atteint, tout son être frissonne. Un bruit sourd lui parvient. Il voit s'animer tout près de lui les pales argentée de l'hélice. Il atteint enfin la surface avec difficulté, pour voir le bateau tressaillir, et commencer doucement à s'éloigner.
 
" Nonnn !!! " crie-t-il alors que l'eau se remplit de mirco bulles blanchissant les remous. Son cri est effacé par l'accélération soudaine du bâtiment. Recrachant l'eau salée qui envahit sa bouche et ses narines, il n'aperçoit personne sur le pont.
 
Son cœur se déchire, et sa face bouffie pâlit. Il perd connaissance, et sa bouche se remplit à nouveau d'eau salée.
 
Sur la surface de l'océan, au milieu de nul part, un ventre proéminent et luisant vogue doucement au grés des flots.
 
 
 
 
[ période indéterminée : changement des temps ]
 
 
 
 
«  rhaaaaa…      gloub… »  
 
Les petits poissons qui s’étaient amassé autour de cette curieuse masse de viande rosée, détalèrent quand celle-ci s’anima… Sous la surface de l’eau, Deux grosse Jambes tentèrent de prendre pied, mais ne sentirent rien d’autre qu’un vide vertigineux et la résistance de l’eau. Cependant, le fond de la mer n’était maintenant plus qu’à quelques dizaines de centimètre de ses jambes tendues.  
Quand il ouvrit les yeux, ce fut pour voir et sentir le pourpre chaud de son sang qui l’aveuglais et remplissait sa bouche. Une douleur vive persistait sur le haut de son crâne. Il se retourna, essuyant ses yeux tout en se débattant avec son autre bras pour maintenant sa tête hors de l’eau. Quand il recouvrit, il aperçut trop tard le rocher qu’il percuta avec son front. Il était noir, plein d’imperfection et d’excroissance pointue, avec ça et là quelques touffe d’algues verte et gluante. Notre bonhomme s’y accrocha en se blessant la paume tant il serrait fort ce rocher salvateur.  
…Il se mit alors à scruter l’horizon. Il était juste à quelques dizaines de mètre d’une plage de sable blanc, qui s’étirais alors sur plusieurs kilomètre. Tout au loin, le cœur de l’île s’élevait en une montagne verdoyante.
 
Après quelques brasses, il sentit enfin le sable mou de la plage sous ses pieds.
 
Son corps boudiné et rougit par les coups de soleils, ressemblait à une grosse pomme fripée.
Tout son être était en ébullition. Le liquide salé séchait en formant des plaques blanches un peu partout sur son corps. Ses yeux mis-clos s’irritèrent. Ses paupières lui semblaient lourdes et apathiques, alors qu’il commençait à se diriger vers la terre.
…Le sable était sombre et dur. Ses pieds lui faisaient mal quand il marchait sur ces sortes de boudins de sable dur qui sinuaient en grand nombre sur la plage.
 
Pour la première fois, il se mit à réfléchir sérieusement sur sa situation et comment tout cela avait pu arriver… «  la tempête d’hier… ou peut-être d'avant hier, qui sait combien de temps je suis resté dans l’eau. Et… »  Il se souvint du cocktail qu’il avait pris avec Ron et Lisa pendant le calme après la tempête.  
…Quelqu’un l’avait jeté par dessus bord.
 
« Rhaaa !!! »  
 
Son cri ne trouva pas de surface pour faire écho et se perdit dans l’air qui ondulait de la chaleur de cette après midi d’été.
Il venait de se rendre compte que son propre fils l’avait assassiné, enfin… avait voulu l’assassiner.
… Il s’imagina la première de couverture du Washington Post  «  Le patron de la société  
Cab’s & Roll’s disparaît dans la tempête qui secoua les açores. Son fils reprends l’affaire »
 
Il pressa le pas. Son caleçon de bain humide collait le haut de ses cuisses, et faisait à chaque pas un bruit de succion. « chlop, chlop »…
 
Après plus d’une demi heure de marche rythmé par les « chlop chlop » de son caleçon, la fin de la plage se dessina, et il s’effondra à l’ombre d’un grand palmier. Il ferma les yeux et s’endormit.
Il se tenait à la lisière d’une grande forêt qui bordait ce coté de l’île, et quand la nuit commença à tomber, le tirant de son sommeil, il s’y enfonça en quête d’un endroit ou passer le nuit…
 
 
 
………………………………………… [ à suivre ]


Message édité par nimrod le 19-11-2004 à 19:49:36

---------------
...Une lame de mer ère telle l'âme amère d'une mère en larme...
n°4143205
le textori​en
ultime et impossible
Posté le 08-11-2004 à 15:48:04  profilanswer
 

Bien, bien, bien, voici un petit texte qui fait référance à un certain film tiré d'un certain roman, bonne lecture!
 

Citation :


Je marche seul sur la plage déserte. Les cris de supplication de ma meilleure amie résonnent dans ma tête. J’entends ses « pitiés » et je ne peux détourner mon esprit du meurtre que je viens de commettre. Au creux de ma paume le révolver fument encore. Je revois son pâle visage couvert de goûtes écarlates. Ses larmes se mêlent au sang et trace sur sa peau des routes vers ses lèvres.
Avais-je choix ?
L’île sur laquelle on nous a débarqué est inintéressante. Des personnes y vivaient autrefois, aujourd’hui, il ne reste plus que les vestiges d’un passé à tout jamais gravé dans pierre par la sueur et le sang.
J’aperçois une maison cossue qui donne directement sur la plage. Il doit sûrement y avoir quelqu’un. Les coups de feu ont dû le réveiller. Je me demande qui c’est. Je sais que je le connais et qu’il me connaît. Tout les gens débarqué sur cette île se connaissent. Je n’ai toujours eu que deux amis : Antonin et Sofia.
Antonin a essayé de violer Sofia qui lui a tranché la gorge. Je l’ai tué pour ça, parce que j’aimais plus Antonin que Sofia.
Les deux personnes qui me raccrochaient encore à l’humanité sont à présent des bouts de viande en pourriture. Les vers les boufferont bientôt. Je suis seul.
J’ai toujours aimé me retrouver seul pour pouvoir penser, pour m’inventer des histoires, pour m’inventer des mondes, où l’amour serait à porté de main, où mes parents seraient de nouveaux vivants…
Je me retrouve de nouveau sans compagnie, les autres membres de ma classe ne me comprennent pas, personne n’a jamais essayé de savoir qui je suis vraiment, sauf mes deux amis…
Le soleil se lève enfin. Il ne se lève que pour moi. Il lance ses rayons à travers le ciel qui rougeoies. Pendant un instant, j’oublie tout : le jeu, mes amis, mes ennemis, l’armée, les professeurs, le lycée, la loi et tout ce qui nous oblige à nous entretuer. L’aurore est belle, elle me lave de tout le sang que j’ai versé, je suis un homme neuf. Seul je resterais et seul je gagnerais leur putain de jeu. Je pourrais alors dire au revoir à cette saloperie d’île.
Clic
Je me retourne avec rapidité. On vient d’abaisser le chien d’une arme. Un éclair de stress me noue l’estomac, la solitude m’allait si bien.
La demoiselle en face de moi est la pire des salopes du lycée, elle s’appelle Jenifer. Elle m’observe avec un sourire en coin vicieux. Elle sort de la douche ses cheveux sont mouillé et elle porte un court peignoir. Le temps de remarquer ce détail, elle me tire un balle dans l’épaule et je m’écroule lamentablement dans le sable frais. C’est tellement reposant. Mon arme glisse et une tâche rouge s’agrandit sur ma chemise.
La salope se rapproche de moi, je ne vois plus qu’elle. Elle me pointe son arme sur ma tête et déclare solennellement :
« Pauvre con, ne sais-tu pas que l’enfer c’est les autres. »
Un coup de feu, elle s’écroule au sol. C’est le petit cadeau que j’ai trouvé sur le corps d’Antonin, un petit pistolet comme dans les bons vieux westerns.
« Tu parle trop connasse. »
Ma blessure ne semble par si grave que ça, je me relève avec difficulté, reprend mon arme et enrichie mon arsenal de celle de Jenifer.
Elle n’est pas morte, elle gémit encore, je ne peux pas la laisser souffrir.
« En fait, l’enfer, c’est moi. »
Trois balles dans la tête la réduisent au silence. Je continue ma route, le jeu ne fait que commencer.
Les hauts parleurs hurlèrent : « Il est six heures et le soleil se lève sur notre île paradisiaque, j’espère que vous allez tous bien. C'est votre professeur adoré qui vous parle. Certain de vos camarades vont attendent en enfer : Garçon n° 5 Antonin, fille n° 19 Sofia et fille n° 2 Jenifer… »


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les ombres sont les enfants de la lumière
n°4151794
Michelpopo​pleye
Oyoyoyoye !
Posté le 09-11-2004 à 17:19:16  profilanswer
 

Par contre, relis ta nouvelle avant de la poster : elle est bourrée de fautes !  :heink:

n°4152155
nimrod
barbare papa
Posté le 09-11-2004 à 18:10:15  profilanswer
 

le textorien a écrit :

Bien, bien, bien, voici un petit texte qui fait référance à un certain film tiré d'un certain roman, bonne lecture!
 

Citation :


Je marche seul sur la plage déserte. Les cris de supplication de ma meilleure amie résonnent dans ma tête. J’entends ses « pitiés » et je ne peux détourner mon esprit du meurtre que je viens de commettre. Au creux de ma paume le révolver fument encore. Je revois son pâle visage couvert de goûtes écarlates. Ses larmes se mêlent au sang et trace sur sa peau des routes vers ses lèvres.
Avais-je choix ?
L’île sur laquelle on nous a débarqué est inintéressante. Des personnes y vivaient autrefois, aujourd’hui, il ne reste plus que les vestiges d’un passé à tout jamais gravé dans pierre par la sueur et le sang.
J’aperçois une maison cossue qui donne directement sur la plage. Il doit sûrement y avoir quelqu’un. Les coups de feu ont dû le réveiller. Je me demande qui c’est. Je sais que je le connais et qu’il me connaît. Tout les gens débarqué sur cette île se connaissent. Je n’ai toujours eu que deux amis : Antonin et Sofia.
Antonin a essayé de violer Sofia qui lui a tranché la gorge. Je l’ai tué pour ça, parce que j’aimais plus Antonin que Sofia.
Les deux personnes qui me raccrochaient encore à l’humanité sont à présent des bouts de viande en pourriture. Les vers les boufferont bientôt. Je suis seul.
J’ai toujours aimé me retrouver seul pour pouvoir penser, pour m’inventer des histoires, pour m’inventer des mondes, où l’amour serait à porté de main, où mes parents seraient de nouveaux vivants…
Je me retrouve de nouveau sans compagnie, les autres membres de ma classe ne me comprennent pas, personne n’a jamais essayé de savoir qui je suis vraiment, sauf mes deux amis…
Le soleil se lève enfin. Il ne se lève que pour moi. Il lance ses rayons à travers le ciel qui rougeoies. Pendant un instant, j’oublie tout : le jeu, mes amis, mes ennemis, l’armée, les professeurs, le lycée, la loi et tout ce qui nous oblige à nous entretuer. L’aurore est belle, elle me lave de tout le sang que j’ai versé, je suis un homme neuf. Seul je resterais et seul je gagnerais leur putain de jeu. Je pourrais alors dire au revoir à cette saloperie d’île.
Clic
Je me retourne avec rapidité. On vient d’abaisser le chien d’une arme. Un éclair de stress me noue l’estomac, la solitude m’allait si bien.
La demoiselle en face de moi est la pire des salopes du lycée, elle s’appelle Jenifer. Elle m’observe avec un sourire en coin vicieux. Elle sort de la douche ses cheveux sont mouillé et elle porte un court peignoir. Le temps de remarquer ce détail, elle me tire un balle dans l’épaule et je m’écroule lamentablement dans le sable frais. C’est tellement reposant. Mon arme glisse et une tâche rouge s’agrandit sur ma chemise.
La salope se rapproche de moi, je ne vois plus qu’elle. Elle me pointe son arme sur ma tête et déclare solennellement :
« Pauvre con, ne sais-tu pas que l’enfer c’est les autres. »
Un coup de feu, elle s’écroule au sol. C’est le petit cadeau que j’ai trouvé sur le corps d’Antonin, un petit pistolet comme dans les bons vieux westerns.
« Tu parle trop connasse. »
Ma blessure ne semble par si grave que ça, je me relève avec difficulté, reprend mon arme et enrichie mon arsenal de celle de Jenifer.
Elle n’est pas morte, elle gémit encore, je ne peux pas la laisser souffrir.
« En fait, l’enfer, c’est moi. »
Trois balles dans la tête la réduisent au silence. Je continue ma route, le jeu ne fait que commencer.
Les hauts parleurs hurlèrent : « Il est six heures et le soleil se lève sur notre île paradisiaque, j’espère que vous allez tous bien. C'est votre professeur adoré qui vous parle. Certain de vos camarades vont attendent en enfer : Garçon n° 5 Antonin, fille n° 19 Sofia et fille n° 2 Jenifer… »




 
C'est pas beau de faire du pompage...  :kaola:  on veut du fait mains ^^
 :D


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...Une lame de mer ère telle l'âme amère d'une mère en larme...
n°4160879
E-Nyar
I ain't no nice guy after all
Posté le 10-11-2004 à 18:35:02  profilanswer
 

Mr Gardillac déposa ses bagages sur le sable. Il regarda le petit canot s'éloigner et revenir vers le cargot. Il sortit un vieu prospectus froissé de la poche de sa veste sur lequel était écrit en gros "Lost Island, la tranquilité n'a pas de prix". Il regarda la photo sur le prospectus puis la plage, bordée de cocotier, le rocher-plongeoir, la mer turquoise translucide.... Pas de doute, c'était en tout point la même île. Il sourit. C'était vraiment merveilleux et ça valait bien les 40 années de dur labeur qu'il avait mis à rassembler la somme nécessaire pour s'acheter son "île déserte cinq étoiles" comme disait les publicités de Lost Island.
 
Il s'assit sur le sable, pris une malette qu'il posa devant lui et l'ouvrit. Il en sorti un petit livret intitulé "Votre cabane de Robinson à monter soit-même" avec un beau logo Ikea©. Il le parcouru rapidement puis se releva pour enlever sa veste et retrousser ses manches. D'après le livret il ne fallait pas plus d'une bonne paire d'heures pour monter la cabane. Il fourra le livret dans la poche de son pantalon et marcha vers les cocotier. Comme prévu des cocotiers avait été abattus et débités en rondins ou planches pour être placés en petit tas de bois. Il sorti le plan de montage et se mis à la recherche de la planche N°1.  
 
Les travaux avançaient rapidement et bientôt, ce qui pouvait être considéré comme une hutte convenable se dressait au milieu de la petite clairière. Gardillac s'arrêta pour admirer son travail. Il parut satisfait, mais un détail le troublait : il n'y avait pas de porte de prévu. Il réfléchit un instant puis esquissa un sourire : Qui a besoin d'une porte sur une île déserte ? Fatigué par ses efforts, il décida d'aller se rafraîchir à la petite cascade qui se trouvait non loin de là. Sur le chemin du retour, il cueillit des fruits et des baies pour s'en faire un repas frugal. Il aurait bien le temps demain de chasser ou pêcher pour un repas digne de ce nom.  
 
Le soleil commençait à décliner sur l'horizon et il décida d'aller se coucher sur un lit sommaire fait d'un planche sur deux rondin. Il s'endormit vite, sans avoir besoin de médicaments, sans faire 10 fois le tour de son lit, comme il le faisait toujours quand il dormait, souvent seul, dans son petit appartement en ville.
 
Un bruit de grincement du plancher sommaire de sa cabane le réveilla en sursaut. Il ouvrit les yeux et se redressa pour voir une grande silouhette noire se dessiner dans l'ouverture de la porte, un pistolet à la main. L'homme tira, Jones s'effondra sur le sol. Mort.
 
Déjà dehors, des ombres s'agitaient pour effacer toute trace de son passage et démonter la cabane pour l'empiler en petit tas de bois.
 
Le soleil se leva sur une nouvelle journée. Un canot arriva sur la plage. Mr Jamisson posa ses bagages sur la plage et eut un large sourire....


 
un peu HS, mais je suis parti à contrepied sur le "pire que la solitude"


Message édité par E-Nyar le 10-11-2004 à 18:48:25
n°4160994
karnh
Mes potes dans la signature !
Posté le 10-11-2004 à 18:44:44  profilanswer
 

 J'aime pas mal ton texte E-nyar. Bonne idée mais un peu HS :)
 
  Sinon, je pense qu'on devrait pas tarder à ouvrir les votes non ?


---------------
http://lesjackisdu74.skyblog.com
n°4161056
E-Nyar
I ain't no nice guy after all
Posté le 10-11-2004 à 18:49:39  profilanswer
 

ben ça parle de solitude (volontaire ici), d'une île déserte et d'un terrible secret. :D
 
pas si HS que ça en fait :whistle:

n°4161352
Marnie
Posté le 10-11-2004 à 19:34:57  profilanswer
 

karnh a écrit :

J'aime pas mal ton texte E-nyar. Bonne idée mais un peu HS :)
 
  Sinon, je pense qu'on devrait pas tarder à ouvrir les votes non ?


On laisse encore jusqu'à vendredi, ça vous va ?


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Prison d'été, prison d'hiver, prison d'automne et de printemps, bagne pour petits et grands - Prévert, Le Roi et l'Oiseau
n°4161586
karnh
Mes potes dans la signature !
Posté le 10-11-2004 à 20:01:22  profilanswer
 

Marnie a écrit :

On laisse encore jusqu'à vendredi, ça vous va ?


  Ok, pas de probleme, c'est parfait !  ;)

n°4163881
am7
tadam
Posté le 10-11-2004 à 23:26:28  profilanswer
 

Salut ! Je viens de découvrir ce topic, et le concept me plaît bien. J'ai imprimé tous les textes pour pouvoir les lire sur papier, je préfère. Peut-être une prochaine participation pour ma part donc ! :)


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Si j'vois un paquet de chips qui traîne j'hésiterai pas à péter des clavics
n°4165919
karnh
Mes potes dans la signature !
Posté le 11-11-2004 à 10:51:33  profilanswer
 

Am7 a écrit :

Salut ! Je viens de découvrir ce topic, et le concept me plaît bien. J'ai imprimé tous les textes pour pouvoir les lire sur papier, je préfère. Peut-être une prochaine participation pour ma part donc ! :)


  Salut Am7  :hello:  
  Bienvenue sur ce topic, et n'hésite pas à jouer, tu verras c'est très sympa !  :)

n°4167986
rpgman
Posté le 11-11-2004 à 18:49:20  profilanswer
 

Marnie a écrit :

On laisse encore jusqu'à vendredi, ça vous va ?


 
Je sollicite un report jusqu'à dimanche soir  :hello:

n°4168282
karnh
Mes potes dans la signature !
Posté le 11-11-2004 à 19:38:24  profilanswer
 

rpgman a écrit :

Je sollicite un report jusqu'à dimanche soir  :hello:


  T'as pa le temps de trouver 30 minutes avant ?

n°4172300
rpgman
Posté le 12-11-2004 à 09:58:45  profilanswer
 

karnh a écrit :

T'as pa le temps de trouver 30 minutes avant ?


 
Il me faut beaucoup plus que 30 minutes pour écrire mes textes...
Plutôt 2 ou 3 heures  :D

n°4172360
Marnie
Posté le 12-11-2004 à 10:16:05  profilanswer
 

rpgman a écrit :

Je sollicite un report jusqu'à dimanche soir  :hello:


Ca me gêne pas. En attendant vous pouvez chercher de nouveaux sujets :ange: .


---------------
Prison d'été, prison d'hiver, prison d'automne et de printemps, bagne pour petits et grands - Prévert, Le Roi et l'Oiseau
n°4172396
Osama
Posté le 12-11-2004 à 10:26:32  profilanswer
 

Marnie a écrit :

Ca me gêne pas. En attendant vous pouvez chercher de nouveaux sujets :ange: .


 
Je me rappelle d'un sujet de rédaction que nous avait proposé une prof au collège : "Vous êtes un cachet d'aspirine et vous venez de tomber dans un verre d'eau. Racontez vos derniers moments"
 
J'avais trouvé ça rigolo :D

n°4173554
le textori​en
ultime et impossible
Posté le 12-11-2004 à 14:35:07  profilanswer
 

NiMrOd a écrit :

C'est pas beau de faire du pompage...  :kaola:  on veut du fait mains ^^
 :D


Bon en même temps tout le monde pompe sur quelque chose, j'ai cru voir par là du Cannibal Holocauste, par ici du kho lanta...
C'est pas pour autand que c'est mauvais.
PS j'aurais dû écrire plus tôt...


---------------
les ombres sont les enfants de la lumière
n°4174426
rpgman
Posté le 12-11-2004 à 17:32:21  profilanswer
 

Osama a écrit :

Je me rappelle d'un sujet de rédaction que nous avait proposé une prof au collège : "Vous êtes un cachet d'aspirine et vous venez de tomber dans un verre d'eau. Racontez vos derniers moments"
 
J'avais trouvé ça rigolo :D


 
 :D

n°4174542
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 12-11-2004 à 17:49:47  profilanswer
 

S'il reste du temps, je posterai probablement un truc.

n°4190743
rpgman
Posté le 15-11-2004 à 09:35:21  profilanswer
 

Bon, je n'ai pas encore terminé, et de toute façon je m'oriente vers un texte assez long. Je vous propose donc de passer aux votes, je posterai ensuite pour le fun quand j'aurai terminé  :hello:

n°4190775
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 15-11-2004 à 09:50:57  profilanswer
 

Erf j'avais oublié ça.
Bon, je ponds un truc tout de suite.

n°4190787
Profil sup​primé
Posté le 15-11-2004 à 09:59:10  answer
 

Grenouille Bleue a écrit :

Erf j'avais oublié ça.
Bon, je ponds un truc tout de suite.

Ne te sens surtout pas obligé de nous infliger ta prose.

n°4190813
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 15-11-2004 à 10:07:52  profilanswer
 

michounette a écrit :

Ne te sens surtout pas obligé de nous infliger ta prose.


 
Je viens de faire planter l'ordi alors que j'appuyais sur "send".
J'étais assez content du texte pourtant.
Evidemment, sauvé nulle part.
Bordel.

n°4190843
E-Nyar
I ain't no nice guy after all
Posté le 15-11-2004 à 10:19:22  profilanswer
 

Grenouille Bleue a écrit :

Je viens de faire planter l'ordi alors que j'appuyais sur "send".
J'étais assez content du texte pourtant.
Evidemment, sauvé nulle part.
Bordel.


 
ben moi c'est mon chien qu'a mangé ma copie, m'dame :o
 
allez, allez, on sait tous ce que c'est le syndrome du post blanc ;)

n°4190855
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 15-11-2004 à 10:23:21  profilanswer
 

Certains jouaient au tennis ou couraient dans les parcs pour gagner la forme. Moi, j'avais toujours privilégié le crawl dans la piscine qui jouxtait mon appartement. Aujourd'hui, je ne pouvais que me féliciter de mon choix. Savoir renvoyer une balle, ce n'est pas très utile lorsque votre catamaran s'éventre sur des récifs. Ce fut ma dernière pensée alors que je m'effondrais sur le sable de la petite crique.
 
Je ne sais pas combien de temps je restai ainsi inconscient. Je me réveillai en pleine nuit, les yeux brûlés par le sel, les muscles tétanisés. Dans le ciel, la lune semblait me regarder avec mépris.
 
Je me hissai péniblement sur un coude, avant de rouler sur le côté et de finalement me lever. Je me sentais sale. Je me sentais mal. Plié en deux, je vidai le contenu de mon estomac, quelques onces de varech sur un sable immaculé. Puis je repris lentement mes esprits, et regardai autour de moi.
 
Vu l'endroit où mon bateau avait sombré, je ne pouvais avoir atteint les rivages de la Nouvelle-Zelande à la nage. Je devais donc être sur une île, mais je n'avais aucun souvenir de l'avoir vue sur ma carte. C'était étrange, à une époque où le moindre centimètre carré de territoire était revendiqué par un pays ou un autre, et où le sang coulait lorsqu'un pied se posait au mauvais endroit. Incrédule, je me frottai les yeux. Il était temps d'explorer un peu cet endroit et surtout de trouver à manger. Maintenant qu'il s'était vidé de l'eau de mer, mon estomac se rappelait à mon bon souvenir.
 
Je marchai longtemps à travers une végétation luxuriante. La chaleur était suffocante et je me débarassai des restes de ma chemise, puis de mon jean. En boxer maintenant, je titubai à la recherche de nourriture. Des fruits, il devait bien y avoir des fruits par ici ! On était tout de même sous les tropiques !
 
J'avais marché toute la nuit. Le soleil se leva doucement, et un éclat métallique attira mon regard. je plissai les yeux pour mieux voir contre la lueur de l'aube. De nouveau, ce reflet étrange.
 
Curieux, je m'approchai. A moitié caché par les ronces et les branchages, on pouvait trouver un panneau d'acier tordu, une sorte de poteau indicateur. Des inscriptions dans plusieurs langues accueillaient le touriste en perdition. Je reconnus l'anglais, l'allemand, l'arabe, le japonais. Et le français, bien sûr.
 
Bienvenue à Mururoa, disait le panneau.


Message édité par Grenouille Bleue le 17-11-2004 à 13:10:58
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