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Auteur Sujet :

[topic écriture alternatif] Nouvelle de l'été - VOTEZ §§§

n°6474767
Mario_
Vive le pingouiboulga !!
Posté le 05-09-2005 à 09:27:17  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Si tardivement ? :'(


---------------
Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
mood
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Posté le 05-09-2005 à 09:27:17  profilanswer
 

n°6474769
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 09:27:49  profilanswer
 

Non je veux dire, j'ai terminé à 3 heures du matin :D


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6474774
Mario_
Vive le pingouiboulga !!
Posté le 05-09-2005 à 09:29:07  profilanswer
 

Aaaah [:dawa]
Et déjà levée, donc. Les artistes sont quand même des gens courageux :)


---------------
Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
n°6474782
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 09:31:56  profilanswer
 

Mario_ a écrit :

Aaaah [:dawa]
Et déjà levée, donc. Les artistes mamans sont quand même des gens courageux :)


 
Tu penses  [:in ze navy ii]


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6474789
Mario_
Vive le pingouiboulga !!
Posté le 05-09-2005 à 09:33:49  profilanswer
 

Je crois que je ne serai jamais artiste maman [:ddr555]


---------------
Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
n°6474989
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 10:25:50  profilanswer
 

Ça me paraît bien compliqué, Mario, de toute façon.
 
Hop, la voilà  [:ggm61]  
 

Spoiler :


 
 
                                   Hey Joe
 
 
 
 
« Les matins se suivent et se ressemblent /quand l’amour fait place au quotidien… » Manquait plus que ça. Comme je m’en fous, moi, des matins, je ne suis jamais là – enfin, je dors debout : l’important, c’est que les nuits ne soient jamais les mêmes.  
J’entends bouillir l’eau pour le café, le nez collé au miroir de la salle de bains. Je réfléchis. Non, parce que, moi, le matin, je sais me poser de vraies questions au lieu de gloser sur la métamorphose des sentiments. Par exemple : à partir de quel moment peut-on considérer qu’un poil a atteint une longueur extravagante ? Attention, je parle des poils de mes sourcils, qui se comportent parfois comme de mesquins social-traîtres imperméables à la cause des gonzesses. Pourquoi, tout à coup, au beau milieu de cet arc gracieux quoique fourni, faut-il que l’un d’entre eux fasse son premier de la classe, dépassant d’un demi-centimètre tous ses colocataires ? Croit-il que je vais l’enrouler sur un bigoudi et postuler pour faire doublure lumière d’Eric Cantona ?  
Bon, ça ira comme ça, les réflexions existentielles ; je finis de me brosser les dents pour pouvoir fredonner avec Miossec et maudire les patronnes de café trop optimistes. Ouais, Miossec, je vous jure…  FIP, c’est chic, on n’y passe que les grands chanteurs morts, pas les cow-boys en costard blanc pour sempiternelles bécasses sentimentales.  
 
Et puis j’éteins la radio et je me souviens, je me souviens très bien de ce dimanche matin d’août, un peu comme celui-ci, rue de Tolbiac. Le café perdu où je jouais au flipper, en douce, au lieu d’aller à la messe. Avec mes fourchettes fourbes de flibustier, j’avais claqué trois parties aux points sous l’œil désenchanté du serveur, qui faisait son morne boulot, époussetant distraitement les tabourets de moleskine orange ; je buvais des cafés crème, j’avais faim, un peu, je songeais à quelque chose de roboratif, des frites mayonnaise, du piccalili, même, enfin un truc exotique qu’on ne trouve pas en vacances à Paris, faut pas pousser mémé dans les orties, quand même. Le même flipper qu’au collège, c’était déjà pas si mal, un Harlem Globetrotters qui causait américain et rigolait quand la boule chaloupait entre les plots vermillon et bleu cobalt.  
Je me souviens d’avoir entendu : « Le chanteur franco-américain Joe Dassin, qui dînait avec sa mère au restaurant Chez Michel et Eliane, à Tahiti, a été emporté par une crise cardiaque. »
J’ai abandonné mes parties gratuites, je suis sortie sans saluer, il était midi : un dimanche désert dans le 13e arrondissement comme à la campagne, la rue interminable et blanche sous le soleil, mes larmes, ça m’avançait à quoi ?  
Si Joe m’abandonnait si vite, j’allais faire comment, pour grandir ?
 
Je joue avec l’écume du café noir dans ma tasse en porcelaine. Je n’ai jamais oublié ce chagrin-là.
 
Entendez-moi bien. J’avais 14 ans, j’étais encore un peu sage, je lisais des livres, je faisais le clown, mon numéro d’élève facétieuse mais travailleuse était merveilleusement rodé. N’allez pas croire que je m’attribue complaisamment  des lauriers rétrospectifs, non, je faisais simplement tout mon possible pour dissimuler au commun des mortels l’affection honteuse dont j’étais victime.
Comme les jeunes filles de mon âge, je m’attardais languissamment sur les visages angéliques de mes camarades de classe, j’écoutais Téléphone, Clash et Pink Floyd ; je pouvais bien danser le front haut  à un concert de Bob Marley : dans le secret de mon cœur, je continuais à siffler sur la colline et, un peu plus tard, si j’avais appris sans peine à ramener dans mon lit de grandes créatures pâles, osseuses, chevelues voire décoratives – des guitaristes, en somme –, je rêvais toujours des bottes plates, des gros ceinturons, des chemises ouvertes sur un tapis de mousse douce que portait Joe.  
Joe qui était mort, mais qui hantait mon imaginaire, pailleté à jamais de mots tendres et dérisoires. Mais plutôt être condamnée à boire du bortch tiède chaque matin au petit déjeuner que d’avouer un truc pareil. A personne.
 
Parfois, ma couverture conforme s’effilochait. Il faut dire que l’empire du poil et de la chemise parcimonieusement boutonnée avait largement étendu sa sphère d’influence. Joe y régnait toujours en nabab, entouré de vassaux d’obédience internationale. Je me souviens de factures douloureuses à régler pour mon orgueil de littéraire accomplie, lorsque, chaque dimanche après-midi, à l’heure fatidique, je catapultais sournoisement mes fesses sur un pouf, devant la télévision familiale, prête à endurer le ruisseau acide des quolibets maternels :
« Mademoiselle consent enfin à faire une apparition au salon ?
– J’ai bien le droit de me détendre un peu.
– Je me demande bien ce que tu peux lui trouver, à ce type…
– Rien du tout, ça m’amuse.
– Je croyais que tu détestais les Ferrari ?  
– Je ne vois pas le rapport.  
– Enfin, reconnais que c’est un imbécile, il se fait toujours couilloner par ce nabot, là, l’autre troll des tapis… Higgins !  
– M'en fous.  
– En plus, il porte des bermudas ridicules !  
– M'en fous.  
– Et des chemises grotesques !  
– M'en fous.  
– Et il est poilu ! Tu dis toujours que tu n'aimes pas les poils !  
– Oh, mon Dieu ! Maman, je n'ai JAMAIS dit ça. »
 
Les dimanches d’août sont faits pour la nostalgie. Je n’ai même pas besoin de photos…
 
Plus tard, encore, alors que je militais, joyeuse et souvent amusée, avec ce qui restait du Mouvement de libération des femmes, j’ai continué à taire, lors d’informels dîners où étaient débattus des thèmes aussi variés que la pose d’un stérilet chez la nullipare, la place du père ou la mystique de l’orgasme vaginal, mes émois de midinette. Et c’est à ce moment que la catastrophe m’est tombée dessus.  
Je travaillais, à présent : il fallait être au collège à une heure infininiment désagréable pour une indolente de mon espèce, me jeter dans un autobus calamiteux après un réveil hâtif, risquer l’accident de mascara en me maquillant coincée entre deux strapontins, tout ça pour aller faire régner l’ordre et la discipline. Je souffrais.  
 
C’est pourtant là que j’ai rencontré le loup, dans la cour de récréation. L’épaule altière, le poil noir, l’œil pers, la fermeture Eclair du survêtement largement descendue sur…  
Oui, un professeur d’éducation physique et sportive, rien que ça. Je ne sais pas du tout ce qui est arrivé à mon cerveau : il s’est instantanément replié, a roulé sur lui-même et disparu dans du papier d’argent frisé aux extrémités, comprenant que toute lutte était inutile. Il me restait une belle papillote, je n’avais pas tout perdu, mais, pour le reste, j’étais cuite. A point.
J’étais sociable, il aimait parler, nous étions voisins. Bien vite, chaque matin, une rude berline suédoise s’arrêtait en bas de chez moi. Il conduisait et moi, assise à ses côtés dans l’auto grise, je l’écoutais parler, de lui.  
Au rayon aventures héroïques, il y avait la chasse, par exemple. il y était question d’hommes hardis tapis dans une hutte insalubre, au plus opaque de la nuit, guettant le palmipède migrateur qui, par la grâce d’un habile coup de fusil, irait terminer sa carrière dans une cocotte en fonte au milieu des olives.  
 
Allons, je vous vois venir avec vos airs déconfits. Rions un peu, c’est ma tournée : j’aurais voulu vous y voir. Moi, l’amie de Luce Lapin, je l’écoutais sans broncher, avec une coupable ferveur, gloser sur les qualités gustatives comparées du canard et et de la sarcelle. Parfois, emporté par son enhousiasme et conquis, sans doute, par l’attention passionnée de son auditoire captif, il me faisait l’appeau. Je l’écoutais glougouter le chant d’amour du courlis, et, que le Seigneur Tout-Puissant me décapsule les schnoles avec un tournevis rouillé si ça Lui chante, jamais on n’a surpris sur mon visage l’esquisse d’un sourire narquois.  
Je me demandais parfois s’il improvisait, s’il savait toujours quoi faire de moi entre 7h20 et 7h35. J’étais si bonne camarade. Je lui lisais des morceaux choisis de L’Equipe du matin, il me racontait ses exploits fulgurants d’ex-troisième-ligne d’Oloron Sainte-Marie, il farfouillait dans son stock de cassettes, me lançait un coup d’œil goguenard et nous passait du Julio Iglesias, cochon de sort. Il l’accompagnait en espagnol, de sa belle voix de basse, et je présentais déjà les mêmes symptômes que la volcanique Jamie Lee Curtis dans Un poisson nommé Wanda : à peine entendais-je un homme tant soit peu avenant proférer suavement trois phrases dans une quelconque langue étrangère que, aussi faible qu’une guimauve foulée aux pieds par un motoculteur implacable dans un champ de coquelicots, j’étais prête à faire la culbute, comme vrillée par une sorte de vibromasseur auriculaire particulièrement vicieux – et il pouvait bien s’agir de zucchini alla romana (alors que, et je tiens à préciser ce point, la courgette à la romaine dont nous parlons chez nous n’a jamais suscité en moi la plus petite fièvre érotique instantanée) ou, comme ici, de ce pauvre garçon plein de remords (il traduisait, vers après vers : si j’entendais une portière claquer tard dans la nuit, ce serait lui), l’essence du discours n’avait pas la moindre importance, mais la mélodie emportait le morceau.  
Nous pronostiquions en nous chicanant l’issue du Tournoi des Cinq Nations,  il nous allumait des gitanes, ou bien m’offrait du feu, toujours d’assez loin pour que je ne puisse faire autrement que rapprocher sa main en posant la mienne sur la sienne. Je rougissais. Il entonnait La Fleur aux dents, je fermais les yeux, je cherchais qui j’aurais pu être, parmi ces filles dont on rêve et celles avec qui l’on dort ; la nuit, je nous inventais d’autres histoires, ma raison hurlait à la mort, mon corps triomphait ; au petit matin, j’étais mortifiée ; la Volvo venait s’arrêter, impassible, et dans la demi-brume je refermais la lourde  portière sur mon supplice exquis.  
 
Je me suis mordu mille fois la langue. J’ai pris quatre ans pour lui signaler officiellement que je me mourais de désir. Il a feint l’étonnement à merveille. Le lendemain, à l’heure du café, il était chez moi.  
 
Mais il n’y a pas de chanson de Joe pour ça. Brassens en a pourtant écrit une qui conviendrait parfaitement. Je ferais aussi bien de rallumer FIP.
 


Message édité par In Ze Navy II le 05-09-2005 à 22:09:53

---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6474999
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 10:28:33  profilanswer
 

Chris, tu me coiffes au poteau de 77 signes :D


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6475229
chrisbk
-
Posté le 05-09-2005 à 11:04:29  profilanswer
 

et encore, j'ai pas mis de titre, moi :o

n°6475617
cassebrik
RIP upsa
Posté le 05-09-2005 à 11:55:00  profilanswer
 

In Ze Navy II a écrit :

J'ai même raté mes oeufs à la coque, c'est dire :sweat:


si on papotait moins, aussi  :whistle:

n°6475887
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 12:36:02  profilanswer
 

chrisbk a écrit :

et encore, j'ai pas mis de titre, moi :o


 
Tu aurais bien dû, pourtant [:john keats]
 

cassebrik a écrit :

si on papotait moins, aussi  :whistle:


 
Je serais tentée de dire "tu appelles ça papoter ?", mais c'est parce que je n'ai pas du tout assez dormi [:sib]
 


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
mood
Publicité
Posté le 05-09-2005 à 12:36:02  profilanswer
 

n°6475888
the real m​oins moins
Posté le 05-09-2005 à 12:36:02  profilanswer
 

ha ben j'croyais que ça allait faire 37 pages et qu'il faudrait l'étaler sur 13 posts?


---------------
Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°6475914
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 12:43:15  profilanswer
 

La mayonnaise ? [:pingouino]


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6475929
Krapaud
Posté le 05-09-2005 à 12:45:35  profilanswer
 

potibato-> :jap:²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²
 
impressionnant :o

n°6475966
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 12:52:58  profilanswer
 

Merci Krapito :)


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6476019
Gordon Shu​mway
Modèle bikini & astrophysicien
Posté le 05-09-2005 à 13:05:25  profilanswer
 

Bon, en exclu puisque la fin est proche, un texte que vous ne verrez jamais en intégralité, parce que non-fini... J'ai bossé dessus un temps, mais je n'ai pas eû le courage de m'y remettre par la suite.  Du coup, il manque une partie de l'histoire, et pleins de mots et expressions.

Spoiler :

Les matins se suivent et se ressemblent...
 
Soeur Estelle venait de se lever, en avance, comme souvent. Elle était la préposée qui allait chercher le pain chez le boulanger, Paul Auchon. En flânant, elle revenait au couvent; parfois, elle ramenait quelques croissants, qu'Auchon avait fait spécialement pour nous.
 
Ce matin, précisément, la maladroite petite Tiffany essayait son vélo tout fraîchement réparé. Mais un écrou se dévissa, et elle en perdît le contrôle... « Il ne faut pas pousser mes mets dans les orties! », lui cria une Estelle bousculée, dont les bras montraient un début d'eczéma; la cycliste imprudente s'excusa, et Estelle n'en voula pas à Tiff. Elle reprit alors son chemin, traversant le marché local du petit village voisin, sources d'étals hétéroclites: des profiterolles, des tapis, voire de stériles et défraîchies baies, qu'assassinent de gros doigts boudinés. « Ces céleris ont un peu pris le soleil! », criait une cliente... « Vous avez augmentés les prix en convertissant les prix en euros, ne pensez pas nous entourlouper en utilisant un faux taux!! », notait une autre... Tout ce bruit formait le brouhaha habituel de ce genre d'événements, ponctué çi et là de grios sénagalais plus ou moins éclopés, vendant leurs boubous à des touristes attristés par leurs cannes arthritiques.

[:vague nocturne]


---------------
Tees et autres trucs pour geeks | Mon Instagram il est bien. Suis-le.
n°6476034
Mario_
Vive le pingouiboulga !!
Posté le 05-09-2005 à 13:10:08  profilanswer
 

Il a tout cassé les mots d'IZN   [:psychokwak]


---------------
Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
n°6476049
cassebrik
RIP upsa
Posté le 05-09-2005 à 13:12:10  profilanswer
 

In Ze Navy II a écrit :

Tu aurais bien dû, pourtant [:john keats]
 
 
 
Je serais tentée de dire "tu appelles ça papoter ?", mais c'est parce que je n'ai pas du tout assez dormi [:sib]


dis moi comment tu appelles ca, toi  :o

n°6476095
sposalizio
.
Posté le 05-09-2005 à 13:21:47  profilanswer
 

In Ze Navy II a écrit :

Chris, tu me coiffes au poteau de 77 signes :D


 
 
il n'y a pas que lui :)

n°6476128
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 13:29:56  profilanswer
 

Gordon Shumway a écrit :

Bon, en exclu puisque la fin est proche, un texte que vous ne verrez jamais en intégralité, parce que non-fini... J'ai bossé dessus un temps, mais je n'ai pas eû le courage de m'y remettre par la suite.  Du coup, il manque une partie de l'histoire, et pleins de mots et expressions.
  [:vague nocturne]


On peut prendre la suite, si tu veux [:meganne]
 

Mario_ a écrit :

Il a tout cassé les mots d'IZN   [:psychokwak]


 
Gordon est tonton d'honneur, il fait ce qu'il veut, tu sais [:pingouino]
 

cassebrik a écrit :

dis moi comment tu appelles ca, toi  :o


 
Je te le dirai à l'oreille, alors [:ma muse]
 


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6476155
the real m​oins moins
Posté le 05-09-2005 à 13:34:04  profilanswer
 

Gordon Shumway a écrit :

Estelle n'en voula pas à Tiff.


Please ! [:pingouino]


---------------
Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°6476183
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 13:38:38  profilanswer
 

Les doigts de monsieur Shumway voltigent si brillamment sur les touches de son clavier qu'on peut lui pardonner un tout petit accroc, un copier/coller facétieux, une cabriole du majeur, enfin il me semble [:pingouino]


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6476188
the real m​oins moins
Posté le 05-09-2005 à 13:39:30  profilanswer
 

enfin, le a est à l'auriculaire de la main gauche, le u à l'index de la main droite, tout de même [:dawao]


---------------
Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°6476210
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 13:44:33  profilanswer
 

Balivernes [:pingouino]


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6476298
Gordon Shu​mway
Modèle bikini & astrophysicien
Posté le 05-09-2005 à 14:02:08  profilanswer
 


Si mes souvenirs sont bons, la phrase de départ était "Estelle n'en voulant à Tiff, elle continua son chemin", ou un truc du genre... J'ai voulu réduire, et je ne me suis pas relu. [:vague nocturne]


---------------
Tees et autres trucs pour geeks | Mon Instagram il est bien. Suis-le.
n°6476304
Krapaud
Posté le 05-09-2005 à 14:02:27  profilanswer
 

grodon->[:boidleau]

n°6476313
Mario_
Vive le pingouiboulga !!
Posté le 05-09-2005 à 14:03:30  profilanswer
 

Citation :

great / A

Mais même dans ses citations il fait des calembours, le bougre [:pamplemousse]


---------------
Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
n°6476328
the real m​oins moins
Posté le 05-09-2005 à 14:05:06  profilanswer
 

Et un double sur le nom du boulanger. [:ciler]


---------------
Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°6476402
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 14:13:44  profilanswer
 

Ou on les corrige toutes, ou en n'en relève aucune [:blessure]


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6476431
the real m​oins moins
Posté le 05-09-2005 à 14:17:34  profilanswer
 

(double calembour, patate)


---------------
Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°6476484
cballot
Posté le 05-09-2005 à 14:23:34  profilanswer
 

la marine est à quaie Chou ettalors
(double ration de patates  ? ou de confiture :pt1cable:  )

n°6476564
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 14:33:40  profilanswer
 

the real moins moins a écrit :

(double calembour, patate)


 
Madame Patate  [:in ze navy ii]  
 
Si ce sont celles de ton jardin, Melle Z., je veux bien oui :D


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6476588
the real m​oins moins
Posté le 05-09-2005 à 14:36:25  profilanswer
 

+1


---------------
Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°6476769
cassebrik
RIP upsa
Posté le 05-09-2005 à 15:03:28  profilanswer
 

c'est normal que je me sente larguée? [:briseparpaing]

n°6476863
the real m​oins moins
Posté le 05-09-2005 à 15:14:16  profilanswer
 

on est pas au courant, faut demander à bpp [:cosmoschtroumpf]


---------------
Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°6476880
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 15:16:04  profilanswer
 

Nous parlions de rattes [:zebra33]


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6476908
cassebrik
RIP upsa
Posté le 05-09-2005 à 15:19:06  profilanswer
 

the real moins moins a écrit :

on est pas au courant, faut demander à bpp [:cosmoschtroumpf]


pas prévisible, ca dis moi  :D

n°6477172
the real m​oins moins
Posté le 05-09-2005 à 16:02:05  profilanswer
 

oh ça va hein, j'fais c'que j'peux [:dawao]


---------------
Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°6477190
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 05-09-2005 à 16:04:39  profilanswer
 

Tu peux me tricoter un oreiller vite fait ? En poil ? Ma tête tombe, là :sweat:


---------------
n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°6477877
cassebrik
RIP upsa
Posté le 05-09-2005 à 17:28:47  profilanswer
 

In Ze Navy II a écrit :

Tu peux me tricoter un oreiller vite fait ? En poil ? Ma tête tombe, là :sweat:


solution: fuire son bureau et s'installer dans une autre pièce, genre la salle café (c'est ce que j'ai fait moi [:cupra])

n°6477904
cballot
Posté le 05-09-2005 à 17:31:13  profilanswer
 

Au  lit les marins  
sans poils
non mais  
oust

n°6478492
Krapaud
Posté le 05-09-2005 à 18:51:51  profilanswer
 

les marins s'en vont en mer, dès l'aurore
en mer dès le matin
en mer dans la journée
ils ont la mer de tous les côtés...ôtés...ôtés...tés...és...

mood
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