la Corée du Nord serait assise sur une mine d'or de 3.000 milliards d'euros
 
Avec la détente dans la péninsule, Séoul s'intéresse de nouveau aux fabuleuses ressources minérales du sous-sol nord-coréen. Mais Pékin a déjà tissé sa toile.
 
Le groupe public Korea Resources Corporation (Kores) a révélé, cette semaine devant le Parlement sud-coréen, que la valeur des ressources naturelles de la Corée du Nord atteindrait, selon ses calculs, 3.795.000 milliards de wons, soit 2.900 milliards d'euros. Cela représente une manne potentielle 15 fois supérieure à ce que la Corée du Sud peut espérer trouver dans son propre sous-sol.
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Selon le rapport de la Kores, le pays abriterait d'énormes quantités de magnésite (6 milliards de tonnes), de graphite (2 milliards), de minerai de fer (5 milliards) ou encore de tungstène (250.000 tonnes).
Le pays pourrait devenir un poids lourd sur  le segment des terres rares , cruciales pour les producteurs de smartphones, de semi-conducteurs ou de voitures autonomes.  
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Quelque 90 % de ces contrats auraient été passés avec des sociétés chinoises, au grand dam de Séoul qui compte sur l'actuelle détente pour refaire son retard.
 
Cette semaine, plusieurs élus sud-coréens se sont d'ailleurs alarmés de cette poussée de Pékin. « Le gouvernement doit agir vite car la Chine s'est déjà assurée d'un grand nombre de ressources minérales de Corée du Nord »

Once the disarmament is complete, Korean people and foreign tourists will be allowed to cross the military demarcation line from 9 a.m. to 5 p.m. The South and North will station a patrol of 35 soldiers, including five officers, with no firearms there.

Comment un pays au ban des nations, parmi les plus pauvres de la planète, a-t-il pu se doter d’un arsenal nucléaire ? Seuls ceux qui ont fait partie du système en connaissent les secrets. Plusieurs années d’enquête ont été nécessaires pour trouver leurs traces. Du banquier du régime au diplomate en passant par les "petites mains", ces travailleurs nord-coréens envoyés à l’étranger pour ramener de l’argent dans le pays témoignent, éclairant d'un jour nouveau le fonctionnement de la dictature.

Mise en garde de Pyongyang sur un retour à sa politique nucléaire
 
La Corée du Nord a prévenu les Etats-Unis qu'elle envisagerait "sérieusement" de revenir à sa stratégie politique de développement de son arsenal nucléaire si les sanctions économiques infligées à son pays n'étaient pas levées.

Nucléaire: Pompeo va rencontrer le bras droit de Kim Jong Un
 
Le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo rencontrera cette semaine à New York son "homologue" nord-coréen, le bras droit de Kim Jong Un, dans l'optique de relancer des discussions devant aboutir à un nouveau sommet entre l'homme fort de Pyongyang et Donald Trump.
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La Corée du Nord, frappée par des sanctions économiques étouffantes pour son économie, semble cependant s'impatienter.
 
"Je ne suis pas inquiet, nous avons déjà vu ça au cours des négociations", a tempéré Mike Pompeo dimanche matin sur CBS, avant de réaffirmer son inflexibilité: "Aucun répit économique avant d'avoir atteint notre objectif final".

L'accueil chaleureux de Kim Jong-un à Miguel Diaz-Canel
A l'occasion du premier déplacement de Miguel Diaz-Canel en tant que président cubain, Kim Jong-un lui a réservé un accueil chaleureux.

Art Performance Given to Welcome President of Cuban Council of State in North Korea  
https://www.youtube.com/watch?v=8JujNBuB9cs#t=2m50

Pyongyang cache 13 bases secrètes de missiles
 
Le CSIS s'appuie sur des sources au sein du renseignement de plusieurs pays, des déclarations de transfuges nord-coréens, des données accessibles en ligne et des images de satellites. S'il estime avoir établi avec certitude l'existence de ces treize sites, il pense qu'il pourrait en exister jusqu'à vingt.
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«Ces bases n'ont pas été arrêtées», a expliqué, au New York Times, Victor Cha, responsable du programme Beyond Parallel. «Le travail continue.» «Tout le monde a peur que (le président américain Donald, ndlr) Trump accepte un mauvais accord», a-t-il prévenu. Les Nord-Coréens «nous donnent un seul site de tests. Ils démantèlent quelques autres sites et, en échange, ils obtiennent un accord de paix.»

La Corée du Sud a diffusé le dynamitage de postes-frontières nord-coréens de la zone démilitarisée (DMZ), dans le cadre du processus de paix entre les deux pays.
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L'armée sud-coréenne a «constaté et confirmé que les postes-frontières avaient été complètement rasés à l'heure annoncée». De son côté, Séoul était en train de détruire dix de ses propres bunkers, principalement à l'excavatrice, selon un porte-parole.

North Korean solders approach South Korean solders at the DMZ.
The solders of the two warring countries shake hands and chat politely with each other.

Brèves de presse
‏@Brevesdepresse
il y a 11 minutes
 
- Une opération de police a eu lieu aujourd'hui au #Sénat : un haut fonctionnaire, Benoît #Quennedey, a été interpellé par la DGSI. Il est soupçonné d'«intelligence avec une puissance étrangère», en l'occurrence la Corée du Nord. (Quotidien)