- J'aime donner de l'argent à certains labels en échange de leur travail. Tout comme j'apprécie que des gens me donnent de l'argent en échange de mon travail. Et je préfère le donner à des gens impliqués dans les disques qu'à des informaticiens.

je suppose que les informaticiens aiment qu'on leur donne de l'argent en échange de leur travail    

je suppose que les informaticiens aiment qu'on leur donne de l'argent en échange de leur travail    

...Par contre, payer un CD 5 € dans une boutique ou les fichiers de ce CD 10 € sur une plate-forme de vente en ligne, mon choix est vite fait.

...on se passait très bien d'eux pour acheter des disques et on peut toujours s'en passer.

Pareil, je vais souvent à la librairie parallèle (Les Halles) et dans tout ce quartier il y a deux ou trois magasins spécialisés, vers Pigalle il y a une super boutique de vinyle.
Le rideau de fer, très sympa et on peut dire qu'il connait bien le sujet...Il y a souvent des vinyles assez rares. Ce n'est pas un robot anonyme qui vous demande vos coordonnées...
http://www.timeout.fr/paris/shopping/vinyl-disquaires
 
Payer en ligne des fichiers qui nécessitent d'énormes datacenters alimentés par des centrales au charbon qui défigurent la planète est un système pourri que je ne cautionne plus.
Nous qui n’hésitons plus à mettre les photos du petit dernier, les films, les mp3, etc, en toute innocence...Regardons la face cachée du "cloud" , cette réalité au nom si doux...
700 MO par ci (1 divx), 15 giga par là (un mkv), au final cela fait d'énormes besoin en disques durs, et les machines capables de stocker sont très gourmandes en électricité.
Aux USA 500 collines ont été dévastées à jamais pour extraire le charbon qui alimente les centrales nécessaires à tous ces datacenters...Et ça continue, tu penses !
http://www.lemonde.fr/culture/arti [...] _3246.html
Quant à tous ces sites de téléchargements "gratuits" ou payants, il y a d'énormes besoins d'énergie sale derrière. Et à mon avis des voyous bien planqués.  
Tout ça pour ne plus vouloir se déplacer... Il est vrai qu'il est si facile en trois clics d'obtenir des MP3 ou des Flac...
Pardon pour ce HS. Ma seule concession au "démat" depuis : Je ripe mes CD et ceux des deux bibliothèques municipales dans lesquelles je suis inscrit depuis 30 ans.
De temps en temps je grave, pour des potes ou pour les jouer sur ma TEAC VRDS 9, je trouve que c'est plus sympa comme ça. J'adore le son qui sort de cette platine !

+1
 

Au début les premiers CD devaient être faits en verre spécial, inusable, un peu comme les lunettes de qualité, mais on a vite abandonné cette solution, trop onéreuse.
Le CD a environ une durée de 30, peut être 50 ans, bien stocké. Un fabricant en a fait des seraient capables de durer 300 ans, mais il n'y aura plus personne pour le vérifier...  
https://delkin.com/product/archival [...] c-spindle/
 

Pour l'avoir en lossless pour le mettre dans ton cloud, il faut
 
* soit le pirater
* soit acheter le CD et le riper toi-même
* soit l'acheter déjà démat' à 2 fois le prix du CD et à condition de le trouver dans le pauvre catalogue en ligne.
* et accessoirement, trouver un cloud qui accepte, dans mon cas, 3 To de fichiers et qui soit pérenne.
 
Donc voilà, tu as ta réponse. Quelques raisons supplémentaires :
 
- J'aime donner de l'argent à certains labels en échange de leur travail. Tout comme j'apprécie que des gens me donnent de l'argent en échange de mon travail. Et je préfère le donner à des gens impliqués dans les disques qu'à des informaticiens.
 
- Les disques n'ont jamais été aussi peu chers. Tout au moins les CD puisque les vinyles, eux, sont au prix où étaient les CD quand l'industrie du disque se goinfrait.    
 
- J'achète presque uniquement des rééditions, dont pas mal de coffrets, avec des livrets qui vont de 50 à 200 pages. Pour un passionné de musique, c'est inestimable (j'ai aussi une bibliothèque entière de livres sur la musique, c'est complémentaire).
 
Ca ne m'empêche pas de pirater comme (presque) tout le monde, et ça ne m'empêche pas de riper systématiquement tous mes CD dès l'achat. J'ai aussi un backup sur NAS et une sauvegarde hors site chez un copain qui ne m'a coûté que le prix de 2 disques durs que j'avais de toute façon besoin de remplacer par de plus grosses capacités et que je n'aurais pu revendre qu'une misère. Le cloud, non merci.    
 
 

Déjà, on voit pas bien le rapport entre le fait de ne pas écouter des albums entiers et de se contenter d'un son de merde. Les morceaux qu'ils écoutent, ils viennent bien d'albums "entiers", non ? Ensuite et surtout, cette mystique de l'album entier est du grand nawak. S'il fallait n'écouter que des albums entiers, on se priverait d'une blinde de bons morceaux qui figurent sur des albums moyens ou médiocres (ou simplement que l'on n'aime pas à l'exception de x morceau). Et pour un amateur d'un paquet de genres musicaux qui ont reposé et reposent toujours sur le single/maxi, du funk au reggae en passant par la soul, le rock, la pop, la country, le blues et de manière générale absolument tout ce qui est sorti en musique populaire avant la fin des années 60. Le LP, si ma mémoire ne me trompe pas, c'est 1948. Et pour le LP qui n'est pas un simple assemblage de singles, en musique populaire, il faut attendre encore 10 à 15 ans de plus. Même quelques-unes des meilleures chansons des Beatles ne figurent sur aucun album, hors compilations.
 
D'ailleurs, même pour des albums conçus comme des albums, je vois pas l'utilité d'écouter en entier plus d'une fois s'il y a un morceau qui ne te plaît pas (ou plus) ou qui fait tache. Un de mes albums préférés est le Roxy & Elsewhere de Zappa, dont je ne peux pas blairer le dernier morceau (Be-Bop Tango) qui occupait à l'époque du vinyle toute la face 4 (il fait plus de 16 minutes). Ben j'écoutais pas la face 4.   Et à l'ère du CD, j'appuyais sur le bouton stop de la telco.   Et à l'ère de la démat', il n'est pas ma playlist Zappa.  

A 3 €, tu peux même en trouver en paquet en neuf, sous forme de coffrets cheap. Une mes expéditions chez Gibert St Michel ces derniers mois m'a permis de repartir avec 50 CD pour 54 €. Neufs.

Moi deux, pour la même raison. Même série, d'ailleurs.

Voilà, exactement. Ca me fait penser au problème des comics. Jusqu'aux années 90, ils étaient imprimés sur papier cul, avec des presses à 2 balles et des trames ignobles, ce qui donnait une impression bien pourrie, avec noirs grisâtres, couleurs baveuses et blancs pisseux. Et évidemment, étant du papier de merde, celui-ci jaunissait à toute vitesse, même non exposé à la lumière. Puis ils ont commencé à faire des rééditions "de luxe", avec papier couché, couleurs refaites bien pétantes mais toujours aussi primaires, et sans trames. Et ces "remasterings" étaient et sont encore un désastre. Ca pique les yeux, c'est laid à vomir. N'empêche que l'impression de qualité sur papier couché est supérieure à une espèce de photocopie sur papier cul.
 
De toute façon, ces gens qui prétendent préférer le vinyle au cas par cas par rapport au CD, c'est curieux, on ne les entend jamais parler des cas en question en dehors de la poignée d'habitués du forum Steve Hoffman.  

 
On pourrait aussi directement avoir une interface ethernet optique sur un DAC (bien que ce soit con, car utiliser un switch ou un FMC + un switch permet de donner du réseau à d'autres appareils) et il y a d'ailleurs un appareil très répandu qui est un peu comme ça qui s'appelle la Freebox Server .
Si vous regardez la Freebox Server (v6) : il y a une entrée son et une sortie son stéréo (qui ont l'air de ne servir à rien), et une interface ethernet optique!, plus une interface ethernet filaire et un switch intégré.
 
La faille là-dedans c'est que bien sûr les paquets TCP ou UDP qui contiennent le son, ils s'en foutent de passer sur de l'optique ou non et ils sont toujours parfaits.

Ou le top, le système SelectaVision de RCA qui utilisait un disque vinyle gravé (jamais diffusé en france).

Ou le top, le système SelectaVision de RCA qui utilisait un disque vinyle gravé (jamais diffusé en france).

VRAI !    
Je viens de me racheter un scope SVHS Philips avec niveau réglable.
J'ai acheté avec des cassettes neuves qualité broadcast, ça déchire !  
Ce scope est prévu pour ne faire que de l'audio si on le désire.  
8 heures de son excellent sur une seule cassette. PHILIPS VR 948 /02 :
http://www.electro-lagune.de/image [...] /702_0.jpg
http://www.electro-lagune.de/image [...] /702_4.jpg
http://www.electro-lagune.de/image [...] /702_5.jpg

et quid de la qualité sonore ?

Le vynile était recouvers d'un matériaux conducteur. Le signal analogique était représenté par des pics et des bosses au fond du sillon, un peu comme en audio

et quid de la qualité sonore ?

Elle a pas une interface Ethernet optique, juste une entrée pour la fibre de l'opérateur (au lieu de l'externaliser), c'est pas exactement la même chose. Et la sortie audio (au moins) sert avec AirMedia, tu peux balancer du son sans fil depuis un smartphone/PC/etc. dessus.

Un peu comme tout format analogique, 99% du signal lu ne correspondait pas au signal théorique

Un très bref exemple de 0 et 1 ici (monter le son)
 
https://www.youtube.com/watch?v=bugO7qYc8Po

hey, je l'ai eu aussi !!!

J'ai eu un CD qui s'est brisé dans mes mains quand je l'ai sorti du lecteur, pour le ripper justement  

J'ai une cassette métal qui date de 1979, elle n'a pas bougé d'un iota.

C'est un miracle, quand tu vois la dégradation des bandes en général, et spécialement de ces cochonneries de cassettes.
Tu les a autant avec un CD, sans le souffle.
Beau site idiophile, où cette fumisterie du hi-rez audio ne dépare pas.

Avec un enregistrement à -6 dB, vitesse 38 cm/s, on aura peut être du souffle mais on aura toutes les subtilités du message sonore.

http://www.audika.com/votre-auditi [...] -en-ligne/

"Quand on ne peut pas démontrer le contraire car on n'a pas ou peu de vécu, on balance un smiley ordurier* qui fait rire les andouilles ignorants.
On a l'habitude... "
* parfois accompagné d'un lien à la con

Quand on ne peut pas démontrer le contraire car on n'a pas ou peu de vécu, on balance un smiley ordurier qui fait rire les andouilles ignorants.
On a l'habitude...