Forum |  HardWare.fr | News | Articles | PC | S'identifier | S'inscrire | Shop Recherche
4202 connectés 

 

Sujet(s) à lire :
    - RSX 207 / 208 CNAM
 

 Mot :   Pseudo :  
  Aller à la page :
 
 Page :   1  2  3  4  5  ..  226  227  228  ..  711  712  713  714  715  716
Auteur Sujet :

[Topic unique] CNAM

n°3490757
crashsyste​m
Posté le 13-08-2011 à 02:28:28  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

batbat404 a écrit :


 
Non, c'est des conneries ça.
Un bon DUT / BTS option dev, avec un peu d'expérience du terrain c'est aussi efficace qu'un ingé qui sort de l'école.


 
Je parlais en sortie d'école. Dans l'équipe ou je travaille, on a un contrat de qualif motivé qui se retrouve regulièrement bloqué sur différentes taches sans doute par manque d'expérience mais aussi à cause de lacunes. Un bon bac+2, c'est loin d'être la majorité des élèves. Je dis ça, je suis passé par un bts.
 

batbat404 a écrit :


Et faut rester réaliste, les ingés qui sortent d'école on pas envie de pisser des lignes de codes.
Ils veulent gagner de la thune, et comme ya que dans le management/chef de projet/lead que c'est possible, ils vont pas coder très longtemps
 
Edit : en tant que lead, ils vont coder un peu plus longtemps mais bon... je suis pas convaincu que ça fasse une différence flagrante, que ce soit en terme de capacité que de qualité de code.


J'ai déjà entendu cette remarque d'un ingé qui n'avait même pas fini sont stage et j'avoue ne pas bien comprendre la démarche de faire 5 ans d'études en dev pour lacher au plus vite le domaine. Si tu n'as pas les mains dans le cambouis tu es très vite largué et si c'est pour faire autre chose autant commencer par là dès le début.

mood
Publicité
Posté le 13-08-2011 à 02:28:28  profilanswer
 

n°3490791
crashsyste​m
Posté le 13-08-2011 à 02:34:44  profilanswer
 

titou-titou a écrit :


 
sauf qu'actuellement c'est justement tout le contraire, les inges meme des meilleures ecoles sont obsedes par les aspects les plus geek de la programmation


 
Geek, c'est un état d'esprit qui n'a pas de rapport avec niveau d'étude.

n°3490801
aspegic500​mg
Posté le 13-08-2011 à 02:37:14  profilanswer
 

crashsystem a écrit :


J'ai déjà entendu cette remarque d'un ingé qui n'avait même pas fini sont stage et j'avoue ne pas bien comprendre la démarche de faire 5 ans d'études en dev pour lacher au plus vite le domaine. Si tu n'as pas les mains dans le cambouis tu es très vite largué et si c'est pour faire autre chose autant commencer par là dès le début.


On leur apprends qu'ils ne sont pas fait pour exécuter des tâches mais pour manager des projets et des hommes, dès lors ils n'ont plus le temps de programmer et ça ne sera pas leur rôle.

n°3490814
crashsyste​m
Posté le 13-08-2011 à 02:41:41  profilanswer
 

aspegic500mg a écrit :


On leur apprends qu'ils ne sont pas fait pour exécuter des tâches mais pour manager des projets et des hommes, dès lors ils n'ont plus le temps de programmer et ça ne sera pas leur rôle.


 
Sauf que pour manager un projet il faut maîtriser tous les paramètres sinon il y a des chances que ce soit pas une franche réussite.

n°3490874
lichemz
15000 pixels de génie
Posté le 13-08-2011 à 08:14:29  profilanswer
 

Tout dépend aussi de l'entreprise et du style de management. En sortant de mon DESS, j'ai intégré une SSII et 1 an et demi après, j'étais propulsé chef de projet dans une grosse entreprise, sans forcément tout comprendre de ce métier spécifique mais bon, c'était ça ou être taxé d'immobilisme.
 
Aujourd'hui je travaille chez un éditeur de logiciels financiers, chez lequel le développeur est vraiment le roi car c'est LUI qui rapporte des sous à la boîte. Evidemment, il y a d'autres métiers importants (commerciaux entre autres, consultants, etc.) mais encore une fois, la philosophie chez cet éditeur de logiciels (je n'ai pas dit "boîte de conseil" ou autre dénomination à la c*n comme les affectionnent les SSII) c'est que celui qui programme doit être respecté et valorisé pour son travail qui, en interne, est considéré comme un art. D'ailleurs ce n'est pas pour rien que, sur la dizaine de personnes qui administrent cette entreprise, les 3/4 sont des développeurs.
 
Dans ce contexte, les ingénieurs qui nous rejoignent, certains venant de très grandes écoles (Mines, Centrale, ENST, Ensimag, X et même un ou deux ENS), sont fortement amenés à comprendre que le métier que nous faisons c'est essentiellement du développement. Les "chefs de projet" sont des développeurs avant tout et avant d'avoir ce statut, il faut une bonne expérience dans la boîte (au moins 6-7 ans, souvent 10 ans). Le chef de projet tel qu'il est vendu par les SSII, à savoir le gars qui ne code presque jamais et passe son temps entre les réunions et la paperasse, est quelque chose que nous ne connaissons pas et, à mon sens, c'est mieux ainsi.


---------------
« Si nous devions gagner sans interruption, nous deviendrions aussi impopulaire que Ferrari, et nous voulons éviter cela. » Flavio Briatore, 06/06/2005
n°3490906
titou-tito​u
Posté le 13-08-2011 à 11:16:50  profilanswer
 

batbat404 a écrit :


 
ah...
C'est encore ta grande expérience du monde professionnel qui parle ?


 
mon experience du monde de l'elite que je connais mieux que vous et il sufit de voir la suite des messages que ca a genere pour voir que vous etes d'accord avec moi en plus. je sais quand meme mieux que vous ce qui se passe dans la tete de ces personnes puisque j'en ai fait parti dans deux ecoles.
et c'etait loin d'etre une critique envers vous bien au contraire, c'etait encore une fois pour vous rapeller que vous vous devalorisez tout seul et que ça n'a pas lieu d'être.
 
quand je disais "geek" c'était juste pour dire qu'ils s'attachaient à maitriser les aspects les plus pointus de la prog, je pensais pas à la mentalité
 
 
et sinon pour répondre à celui/ceux qui disaient qu'on nous bourre le crane dans ces ecoles en nous disant qu'on est fait pour manager le plus tot possible, C'ETAIT VRAI il y a encore quelques années, mais C'EST FAUX maintenant, encore une fois j'en sais quelque chose, il y a un retour assez drastique vers l'expertise technique dans la philosophie de formation et d'enseignement de ces ecoles qui ont compris le changement de direction du vent sur le marché d el'emploi au gran dam effectivement des eleves qui s'imagniaient entrer dans ces ecoles pour faire du management et qui de fait decouvrent un peu degoutés qu'il va falloir faire des sciences et bosser la tehnique ouh la la  

n°3490907
Profil sup​primé
Posté le 13-08-2011 à 11:18:13  answer
 

J'ai pu lire toutes les réponses, merci pour les avis  :)

n°3490908
titou-tito​u
Posté le 13-08-2011 à 11:18:36  profilanswer
 

crashsystem a écrit :


 
Bah, il manque juste les vulnérabilités systèmes, logiciels, la securité des réseaux, l'analyse des risques...


rsx103 et smb208 (ou 207 je sais plus) s'en chargent
depuis 2009 le prgramme de rsx112 a ete completement remanié d'apres les dires meme de Arnaud et Pioch afin de concetrer la crypto sur cette UE et le reste sur d'aures UEs

n°3490913
titou-tito​u
Posté le 13-08-2011 à 11:34:18  profilanswer
 


crashsystem a écrit :


J'ai déjà entendu cette remarque d'un ingé qui n'avait même pas fini sont stage et j'avoue ne pas bien comprendre la démarche de faire 5 ans d'études en dev pour lacher au plus vite le domaine. Si tu n'as pas les mains dans le cambouis tu es très vite largué et si c'est pour faire autre chose autant commencer par là dès le début.


 
très bonne remarque également, par contre c'est étrange que ce genre de chose ne se voit qu'en informatique, ceux qui font 5ans ou plus d'etudes dans "les autres domaines" ne cherchent pas à lâcher le domaine au plus vite dès la fin de leur premier stage. décidement ce domaine l'informatique fonctionne vraiment a part !

n°3490924
quantum_
Posté le 13-08-2011 à 11:58:25  profilanswer
 

titou-titou a écrit :


 
voilà une personne pleine de bon sens  [:swedish chef]  


 
Ce n'est pas une personne "de bon sens" c'est juste que c'est sa culture d'entreprise (à priori, elle existait bien avant qu'il intègre son entreprise).  
Par contre je suis d'accord sur le fait que ce modèle est commun à la plupart des entreprises éditeurs de logiciel dans les segments de niche. l'excellence a un prix et c'est la qualité du produit et de l'après-vente qui priment. Les ingénieurs d'étude et de développement sont en position de force.
Pour ceux qui vendent de la prestation (SSII) la valeur dégagé (profit) est directement proportionnel au volume de prestation et à la marge. En d'autre terme, la qualité passe après la quantité. Et ceux qui vendent la presta (les ingés avant-vente, responsable de compte...etc) sont en position de force.
Aprés il y a des variations suivant les entreprises. Par exemple, j'ai connu une petite SSII qui, à ses débuts, avait un réputation d'excellence (experts DBA, SAN, sécurité...etc).
Peu de niveau hiérarchique (PDG n+2 de tous les employés), consultant expérimentés (et chère payés) , périmètres réduits (spécialisé dans l'infrastructure et la sauvegarde).

mood
Publicité
Posté le 13-08-2011 à 11:58:25  profilanswer
 

n°3490935
aspegic500​mg
Posté le 13-08-2011 à 12:12:11  profilanswer
 

lichemz a écrit :

Tout dépend aussi de l'entreprise et du style de management. En sortant de mon DESS, j'ai intégré une SSII et 1 an et demi après, j'étais propulsé chef de projet dans une grosse entreprise, sans forcément tout comprendre de ce métier spécifique mais bon, c'était ça ou être taxé d'immobilisme.
 
Aujourd'hui je travaille chez un éditeur de logiciels financiers, chez lequel le développeur est vraiment le roi car c'est LUI qui rapporte des sous à la boîte. Evidemment, il y a d'autres métiers importants (commerciaux entre autres, consultants, etc.) mais encore une fois, la philosophie chez cet éditeur de logiciels (je n'ai pas dit "boîte de conseil" ou autre dénomination à la c*n comme les affectionnent les SSII) c'est que celui qui programme doit être respecté et valorisé pour son travail qui, en interne, est considéré comme un art. D'ailleurs ce n'est pas pour rien que, sur la dizaine de personnes qui administrent cette entreprise, les 3/4 sont des développeurs.
 
Dans ce contexte, les ingénieurs qui nous rejoignent, certains venant de très grandes écoles (Mines, Centrale, ENST, Ensimag, X et même un ou deux ENS), sont fortement amenés à comprendre que le métier que nous faisons c'est essentiellement du développement. Les "chefs de projet" sont des développeurs avant tout et avant d'avoir ce statut, il faut une bonne expérience dans la boîte (au moins 6-7 ans, souvent 10 ans). Le chef de projet tel qu'il est vendu par les SSII, à savoir le gars qui ne code presque jamais et passe son temps entre les réunions et la paperasse, est quelque chose que nous ne connaissons pas et, à mon sens, c'est mieux ainsi.


Si seulement ça se généralisait :cry:
 
En tant que prestataire (intégrateur, partie réseaux/systèmes) j'ai eu à administrer pas mal de logiciels métiers alias "grosse bouse qui a mal évolué dans le temps", et en général les plus valorisés sont dans l'ordre: commerciaux, chefs de projet, développeurs, support technique.
Au final les projets sont pourris par les commerciaux qui vendent des choses impossibles et des fonctionnalités pas prêtes, parce qu'au détour de la machine à café un stagiaire développeur a dit qu'ils étaient en train de préparer ça :sleep:  
Les chefs de projets sont rémunérés sur des critères à la con comme la vitesse à laquelle la première installation est "déclarée terminée" (même si y'a rien qui marche correctement et qu'on a baclé la migration des données de l'ancien soft, c'est pas grave ça sera du "support technique" ensuite: ça rentre dans une autre case)
Le support technique doit clore les tickets le plus vite possible, quitte à faire une sale bidouille plutôt que passer du temps à vraiment résoudre le problème, et surtout, ô malheur, ne jamais accuser le développement d'avoir laissé un bug, et encore moins les commerciaux d'avoir vendu du vent :o
Les développeurs doivent développer des nouvelles fonctionnalités sexy qui ne servent à personne (ah si, ça fait beau dans la démo des commerciaux), au lieu de corriger des bugs qui impactent tous les clients. On leur impose des délais intenable, donc ça commence à développer crassou, et comme ils en ont ras le cul le turnover devient énorme, les suivants galèrent sur le vieux code évidemment pas documenté par manque de temps, et ça s'enlise durablement [:carbonim]  
Pour résoudre le problème, ils ne trouvent rien de mieux que de payer encore plus les commerciaux pour vendre encore plus de bullshit sur un marché saturé et trop concurrentiel, mais en général à ce stade c'est déjà sans espoir pour le long terme, ça sera l'habituelle grande mascarade: clients dégoûtes de leur achat, commerciaux fuyant le bordel qu'ils ont vendu, et turnover monstrueux chez les devs excédés :sleep:

Message cité 2 fois
Message édité par aspegic500mg le 13-08-2011 à 12:15:35
n°3490945
titou-tito​u
Posté le 13-08-2011 à 12:33:43  profilanswer
 

aspegic500mg a écrit :


Si seulement ça se généralisait :cry:
 
En tant que prestataire (intégrateur, partie réseaux/systèmes) j'ai eu à administrer pas mal de logiciels métiers alias "grosse bouse qui a mal évolué dans le temps", et en général les plus valorisés sont dans l'ordre: commerciaux, chefs de projet, développeurs, support technique.
Au final les projets sont pourris par les commerciaux qui vendent des choses impossibles et des fonctionnalités pas prêtes, parce qu'au détour de la machine à café un stagiaire développeur a dit qu'ils étaient en train de préparer ça :sleep:  
Les chefs de projets sont rémunérés sur des critères à la con comme la vitesse à laquelle la première installation est "déclarée terminée" (même si y'a rien qui marche correctement et qu'on a baclé la migration des données de l'ancien soft, c'est pas grave ça sera du "support technique" ensuite: ça rentre dans une autre case)
Le support technique doit clore les tickets le plus vite possible, quitte à faire une sale bidouille plutôt que passer du temps à vraiment résoudre le problème, et surtout, ô malheur, ne jamais accuser le développement d'avoir laissé un bug, et encore moins les commerciaux d'avoir vendu du vent :o
Les développeurs doivent développer des nouvelles fonctionnalités sexy qui ne servent à personne (ah si, ça fait beau dans la démo des commerciaux), au lieu de corriger des bugs qui impactent tous les clients. On leur impose des délais intenable, donc ça commence à développer crassou, et comme ils en ont ras le cul le turnover devient énorme, les suivants galèrent sur le vieux code évidemment pas documenté par manque de temps, et ça s'enlise durablement [:carbonim]  
Pour résoudre le problème, ils ne trouvent rien de mieux que de payer encore plus les commerciaux pour vendre encore plus de bullshit sur un marché saturé et trop concurrentiel, mais en général à ce stade c'est déjà sans espoir pour le long terme, ça sera l'habituelle grande mascarade: clients dégoûtes de leur achat, commerciaux fuyant le bordel qu'ils ont vendu, et turnover monstrueux chez les devs excédés :sleep:


 
qu'on refile tout aux pakistanais et aux indiens, le dev, ils adorent ça  :jap:  

n°3490956
crashsyste​m
Posté le 13-08-2011 à 12:49:45  profilanswer
 

lichemz a écrit :

Tout dépend aussi de l'entreprise et du style de management. En sortant de mon DESS, j'ai intégré une SSII et 1 an et demi après, j'étais propulsé chef de projet dans une grosse entreprise, sans forcément tout comprendre de ce métier spécifique mais bon, c'était ça ou être taxé d'immobilisme.


 
Nos métiers sont complexes, évolues en permanance il est difficile de tout maîtriser. Dans une société correctement géré quant on a ce genre proposition c'est que potentiellement on a les capacitées pour faire le job. Le problème c'est les ingés qui veulent être calif à la place du calif dans un domaine qui ne les intéressent pas. Difficile d'être bon dans ce cas.
 

lichemz a écrit :


Aujourd'hui je travaille chez un éditeur de logiciels financiers, chez lequel le développeur est vraiment le roi car c'est LUI qui rapporte des sous à la boîte. Evidemment, il y a d'autres métiers importants (commerciaux entre autres, consultants, etc.) mais encore une fois, la philosophie chez cet éditeur de logiciels (je n'ai pas dit "boîte de conseil" ou autre dénomination à la c*n comme les affectionnent les SSII) c'est que celui qui programme doit être respecté et valorisé pour son travail qui, en interne, est considéré comme un art. D'ailleurs ce n'est pas pour rien que, sur la dizaine de personnes qui administrent cette entreprise, les 3/4 sont des développeurs.
 
Dans ce contexte, les ingénieurs qui nous rejoignent, certains venant de très grandes écoles (Mines, Centrale, ENST, Ensimag, X et même un ou deux ENS), sont fortement amenés à comprendre que le métier que nous faisons c'est essentiellement du développement. Les "chefs de projet" sont des développeurs avant tout et avant d'avoir ce statut, il faut une bonne expérience dans la boîte (au moins 6-7 ans, souvent 10 ans). Le chef de projet tel qu'il est vendu par les SSII, à savoir le gars qui ne code presque jamais et passe son temps entre les réunions et la paperasse, est quelque chose que nous ne connaissons pas et, à mon sens, c'est mieux ainsi.


 
Fonctionnement normal selon moi mais pas généralisé malheureusement. Lors d'un entretien d'embauche fait par un ingé grandes écoles, la personne n'avait aucune vision de pourquoi sa société ne marchait pas. Personne brillante et ayant accès à de gros moyen mais ne connaissant manifestement pas son coeur de métier.

n°3490963
crashsyste​m
Posté le 13-08-2011 à 12:52:26  profilanswer
 

titou-titou a écrit :


quand je disais "geek" c'était juste pour dire qu'ils s'attachaient à maitriser les aspects les plus pointus de la prog, je pensais pas à la mentalité


 
On a la même définition mais je doute que toute une classe a un esprit geek. Ce n'est pas une critique, juste que tout le monde n'a pas les même motivation.
 

titou-titou a écrit :


et sinon pour répondre à celui/ceux qui disaient qu'on nous bourre le crane dans ces ecoles en nous disant qu'on est fait pour manager le plus tot possible, C'ETAIT VRAI il y a encore quelques années, mais C'EST FAUX maintenant, encore une fois j'en sais quelque chose, il y a un retour assez drastique vers l'expertise technique dans la philosophie de formation et d'enseignement de ces ecoles qui ont compris le changement de direction du vent sur le marché d el'emploi au gran dam effectivement des eleves qui s'imagniaient entrer dans ces ecoles pour faire du management et qui de fait decouvrent un peu degoutés qu'il va falloir faire des sciences et bosser la tehnique ouh la la  


 
Bon à savoir.

n°3490964
batbat404
Posté le 13-08-2011 à 12:53:14  profilanswer
 

titou-titou a écrit :


 
mon experience du monde de l'elite que je connais mieux que vous...


 :heink:  
 
Des fois, tu mérites pas d'etre lu... souvent meme...


---------------
NSY103 - NFP121 - NSY107 - NSY104 - RSX101 - RSX102 - RSX103 - RSX112 - RSX207 - RSX208 - SMB214 - SMB111 - NFP107 - CCE105 - RCP105 - RCP103 - TET102 - EME102 - ENG210 - ENG221 - Bulats 5 / EICnam IRSM/AISL + GLG101 + NSY208 + NY209
n°3490968
crashsyste​m
Posté le 13-08-2011 à 13:00:31  profilanswer
 

titou-titou a écrit :


rsx103 et smb208 (ou 207 je sais plus) s'en chargent
depuis 2009 le prgramme de rsx112 a ete completement remanié d'apres les dires meme de Arnaud et Pioch afin de concetrer la crypto sur cette UE et le reste sur d'aures UEs


 
Alors comme d'hab, ce n'est pas armonisé.
Cela dit je trouve curieux comme démarche de dispatcher les problèmes de sécurités sur plusieurs ue (ce qui en plus n'est pas effectif). Certains aspects ne seront jamais vu sauf dans une ue dédié.
Il aurait dû creer un ue cryto en plus.

n°3490969
titou-tito​u
Posté le 13-08-2011 à 13:04:16  profilanswer
 

batbat404 a écrit :


 :heink:  
 
Des fois, tu mérites pas d'etre lu... souvent meme...


c'etait un peu sur le ton de l'ironie et tu aurais mieux lu tu aurais compris que je n'ai que mepris pour ce monde
tu te plains tout le temps que je parle sans connaitre le monde professionel, mais vous etes les premiers a parler aussi des ecoles de classe A et autres ENS etc ... mais que savez vous de ce monde et de ce qu'on y dit dans les bureaux innacesibles aux oreilles des eleves, moi j'y etais et j'ai vu l'autre cote du miroir !

Message cité 1 fois
Message édité par titou-titou le 13-08-2011 à 13:07:51
n°3490971
crashsyste​m
Posté le 13-08-2011 à 13:08:00  profilanswer
 

aspegic500mg a écrit :


Si seulement ça se généralisait :cry:
 
En tant que prestataire (intégrateur, partie réseaux/systèmes) j'ai eu à administrer pas mal de logiciels métiers alias "grosse bouse qui a mal évolué dans le temps", et en général les plus valorisés sont dans l'ordre: commerciaux, chefs de projet, développeurs, support technique.
[...]


Ca sent le vécu.

n°3490978
batbat404
Posté le 13-08-2011 à 13:28:25  profilanswer
 

titou-titou a écrit :


c'etait un peu sur le ton de l'ironie et tu aurais mieux lu tu aurais compris que je n'ai que mepris pour ce monde
tu te plains tout le temps que je parle sans connaitre le monde professionel, mais vous etes les premiers a parler aussi des ecoles de classe A et autres ENS etc ... mais que savez vous de ce monde et de ce qu'on y dit dans les bureaux innacesibles aux oreilles des eleves, moi j'y etais et j'ai vu l'autre cote du miroir !


 
Faut que t’arrête l'ironie, sérieusement.
Je me plains de rien, et je parle pas d'écoles.  
Je dis que tu poses ton expérience comme une expérience absolue, et que ironie ou pas, ça dégouline pas la modestie.
T'as vu les écoles de l'intérieur ? j'accepte ton argument, et ta vision des choses.
Moi je parlais d'un monde que tu ne connais peu, l'entreprise. Acceptes cette vision des choses de ton coté, et tout se passera pour le mieux.
 
les gens changent entre leurs études et leur travail, les envies se modifient, les affinités également.
 
Si on reste dans l'ironie, je dirais qu'un ingé info de 35 ans qui pisse encore du code, il a raté sa vie. (Séguéla inside)
Alors être que la nouvelle génération ne sera pas pareille... Mais elle a pas encore 35 ans la nouvelle génération, elle découvre un peu la vie...


---------------
NSY103 - NFP121 - NSY107 - NSY104 - RSX101 - RSX102 - RSX103 - RSX112 - RSX207 - RSX208 - SMB214 - SMB111 - NFP107 - CCE105 - RCP105 - RCP103 - TET102 - EME102 - ENG210 - ENG221 - Bulats 5 / EICnam IRSM/AISL + GLG101 + NSY208 + NY209
n°3490994
quantum_
Posté le 13-08-2011 à 13:43:45  profilanswer
 

crashsystem a écrit :


 
Alors comme d'hab, ce n'est pas armonisé.
Cela dit je trouve curieux comme démarche de dispatcher les problèmes de sécurités sur plusieurs ue (ce qui en plus n'est pas effectif). Certains aspects ne seront jamais vu sauf dans une ue dédié.
Il aurait dû creer un ue cryto en plus.


 
C'est vrai que ca peut paraitre déroutant.  
Je sais pas vous mais moi je me suis tapé 3 fois les méthodes de chiffrements dans 3 UE différentes avec presque chapitre par chapitre le méme contenu (avec exercice de substitution polyalphabetique tout con à 2 des examens !)  
Je ne sais pas si il existe une ou des UE(s) dédié sécu' mais ca devrait avoir sa place dans un cursus informatique en tous cas.
Pour ce qui est du soupoudrage de sécu' que l'on retrouve dans différents enseignements, je dirais que c'est une évolution 'mécanique' et logique.
L'aspect sécurité prend un poids de plus en plus important quelque soit le domaine d'ailleurs (informatique, énergetique, mécanique..etc).
Du coup la répartition est peut-être chaotique dans un cursus info mais c'est parce que c'est devenu un enjeu pris en compte que trop récemment dans l'enseignement général.
Je me souviens d'une conférence y a 3 ou 4 ans ou un 'expert' en sécurité informatique de la DGA (Défense) et d'un age honorable nous montrais tout excité comment avec sa cléf USB il aspirait les données d'un PC... le reste de l'exposé c'était limite comment hacker un PC avec une disquette. Niveau très médiocre compte tenu de l'attente et rien sur les nouvelles menaces.
Maintenant, le niveau moyen à largement augmenté tout comme les menaces.
En terme d'enseignement on peut plus vraiment se cantonner aux seuls notions technique de sécurité des réseaux au bases du chiffrement.  
Concernant la sécurité il me semble important d'avoir 2 approches.
L'une global permettant de comprendre les risques et enjeux, enseigner les concepts lié à la sécurité et dans les cursus plus spécialisé approcher les différent modèle de management de la sécurité. C'est ce que j'aurais aimer aborder au CNAM.
L'autre approche plus technique c'est celle qui est pratiqué au CNAM en partie: on nous enseigne des méthodes ou des concepts techniques.
 

n°3491000
titou-tito​u
Posté le 13-08-2011 à 13:47:14  profilanswer
 

quantum_ a écrit :


 
C'est vrai que ca peut paraitre déroutant.  
Je sais pas vous mais moi je me suis tapé 3 fois les méthodes de chiffrements dans 3 UE différentes avec presque chapitre par chapitre le méme contenu (avec exercice de substitution polyalphabetique tout con à 2 des examens !)  
Je ne sais pas si il existe une ou des UE(s) dédié sécu' mais ca devrait avoir sa place dans un cursus informatique en tous cas.
Pour ce qui est du soupoudrage de sécu' que l'on retrouve dans différents enseignements, je dirais que c'est une évolution 'mécanique' et logique.
L'aspect sécurité prend un poids de plus en plus important quelque soit le domaine d'ailleurs (informatique, énergetique, mécanique..etc).
Du coup la répartition est peut-être chaotique dans un cursus info mais c'est parce que c'est devenu un enjeu pris en compte que trop récemment dans l'enseignement général.
Je me souviens d'une conférence y a 3 ou 4 ans ou un 'expert' en sécurité informatique de la DGA (Défense) et d'un age honorable nous montrais tout excité comment avec sa cléf USB il aspirait les données d'un PC... le reste de l'exposé c'était limite comment hacker un PC avec une disquette. Niveau très médiocre compte tenu de l'attente et rien sur les nouvelles menaces.
Maintenant, le niveau moyen à largement augmenté tout comme les menaces.
En terme d'enseignement on peut plus vraiment se cantonner aux seuls notions technique de sécurité des réseaux au bases du chiffrement.  
Concernant la sécurité il me semble important d'avoir 2 approches.
L'une global permettant de comprendre les risques et enjeux, enseigner les concepts lié à la sécurité et dans les cursus plus spécialisé approcher les différent modèle de management de la sécurité. C'est ce que j'aurais aimer aborder au CNAM.
L'autre approche plus technique c'est celle qui est pratiqué au CNAM en partie: on nous enseigne des méthodes ou des concepts techniques.
 


 
smb207 et 208 alors !? ça m'a l'air plus proche de ce que tu dis   :heink:  

n°3491080
crashsyste​m
Posté le 13-08-2011 à 14:33:34  profilanswer
 

quantum_ a écrit :


 
C'est vrai que ca peut paraitre déroutant.  
Je sais pas vous mais moi je me suis tapé 3 fois les méthodes de chiffrements dans 3 UE différentes avec presque chapitre par chapitre le méme contenu (avec exercice de substitution polyalphabetique tout con à 2 des examens !)  


J'ai eu le même chose au moins en cours avec huffman et les clés publiques/privées. C'est le problème des ue qui se recoupent.
 
 

quantum_ a écrit :


Je ne sais pas si il existe une ou des UE(s) dédié sécu' mais ca devrait avoir sa place dans un cursus informatique en tous cas.


RSX112. Celle enseigné en fod dans un des centres de l'ouest n'était que théorique mais relativement complete pour une 1ère approche. J'ai eu l'occasion aussi de voir celui de Rhones-Alpes moins complet mais avec la programmation d'une connexion sécurisé pour la pratique.
 

quantum_ a écrit :


Pour ce qui est du soupoudrage de sécu' que l'on retrouve dans différents enseignements, je dirais que c'est une évolution 'mécanique' et logique.
L'aspect sécurité prend un poids de plus en plus important quelque soit le domaine d'ailleurs (informatique, énergetique, mécanique..etc).
Du coup la répartition est peut-être chaotique dans un cursus info mais c'est parce que c'est devenu un enjeu pris en compte que trop récemment dans l'enseignement général.
Je me souviens d'une conférence y a 3 ou 4 ans ou un 'expert' en sécurité informatique de la DGA (Défense) et d'un age honorable nous montrais tout excité comment avec sa cléf USB il aspirait les données d'un PC... le reste de l'exposé c'était limite comment hacker un PC avec une disquette. Niveau très médiocre compte tenu de l'attente et rien sur les nouvelles menaces.
Maintenant, le niveau moyen à largement augmenté tout comme les menaces.
En terme d'enseignement on peut plus vraiment se cantonner aux seuls notions technique de sécurité des réseaux au bases du chiffrement.  
Concernant la sécurité il me semble important d'avoir 2 approches.
L'une global permettant de comprendre les risques et enjeux, enseigner les concepts lié à la sécurité et dans les cursus plus spécialisé approcher les différent modèle de management de la sécurité. C'est ce que j'aurais aimer aborder au CNAM.
L'autre approche plus technique c'est celle qui est pratiqué au CNAM en partie: on nous enseigne des méthodes ou des concepts techniques.
 


 
La problématique sécurité est complètement sous estimé et devrait être à mon avis enseigné dans au moins 3 ue dédié. Une générale, une en crypto et une pratique avec la 1ère obligatoire pour tous les cursus.
C'est dommage, il n'y a rien qui va dans ce sens au cnam. Cela dit pour bien comprendre l'ensemble il faut déjà un bon niveau en info. Expliquer un buffer overflow a quelqu'un qui débute en programmation, c'est comme faire de la crypto avec quelqu'un qui n'a pas un minimum de connaissance en math.
Et ça reste un domaine spécialisé dès que l'on sort des bases.

n°3491093
quantum_
Posté le 13-08-2011 à 14:46:00  profilanswer
 

titou-titou a écrit :


 
smb207 et 208 alors !? ça m'a l'air plus proche de ce que tu dis   :heink:  


 
Nop. Tu pouvais pas trouver plus spécifique comme UEs. Ce sont des UE de fin de cycle traitant des systémes embarqués et la sureté de fonctionnement est un domaine connexe (par extension on peut dire que c'est de la sécurité) et ce n'est qu'une partie. Au final on parle d'un tout petit aspect de la sécurité et sur un type de systéme bien particulier.

n°3491094
crashsyste​m
Posté le 13-08-2011 à 14:46:25  profilanswer
 

titou-titou a écrit :


 
smb207 et 208 alors !? ça m'a l'air plus proche de ce que tu dis   :heink:  


 
 
Le 208, oui mais c'est spécialisé pour de l'embarqué donc dédié à un secteur. Ca rejoint ce que tu disais pour le rsx112 mais si on regarde rsx207, 208 l'aspect sécurité semble anecdotique.

n°3491101
quantum_
Posté le 13-08-2011 à 14:51:51  profilanswer
 

crashsystem a écrit :


 
La problématique sécurité est complètement sous estimé et devrait être à mon avis enseigné dans au moins 3 ue dédié. Une générale, une en crypto et une pratique avec la 1ère obligatoire pour tous les cursus.
C'est dommage, il n'y a rien qui va dans ce sens au cnam. Cela dit pour bien comprendre l'ensemble il faut déjà un bon niveau en info. Expliquer un buffer overflow a quelqu'un qui débute en programmation, c'est comme faire de la crypto avec quelqu'un qui n'a pas un minimum de connaissance en math.
Et ça reste un domaine spécialisé dès que l'on sort des bases.


 
D'ailleurs je suis sur que des formations à dominante sécurité des SI seraient bien accueillies. Genre master ou cursus ingé option sécu'.

n°3491116
crashsyste​m
Posté le 13-08-2011 à 15:09:08  profilanswer
 

quantum_ a écrit :


 
D'ailleurs je suis sur que des formations à dominante sécurité des SI seraient bien accueillies. Genre master ou cursus ingé option sécu'.


 
J'aurais bien aimé.
D'ailleurs http://www.zataz.com/news/21460/cn [...] tping.html

n°3491146
aspegic500​mg
Posté le 13-08-2011 à 15:25:32  profilanswer
 

Je viens de tomber sur ce Master systèmes d'information et de décision:
http://dnf3.cnam.fr/offre2011/xaff [...] et=volet05
 
Super bien la première année, mais "La première année du Master (M1) comporte quatre modules obligatoires, quatre modules optionnels, un module d'ouverture et un module d'anglais, représentant 60 crédits ECTS. Sous certaines conditions, elle peut être sanctionnée par le diplôme de concepteur architecte informatique du Cnam (titre inscrit au RNCP de niveau II)." => j'ai déjà :na:  
Et pour la deuxième année, que des modules introuvables et spécifiques à ce diplôme (US333T, etc...)

n°3491195
lichemz
15000 pixels de génie
Posté le 13-08-2011 à 16:48:44  profilanswer
 

crashsystem a écrit :


 
Nos métiers sont complexes, évolues en permanance il est difficile de tout maîtriser. Dans une société correctement géré quant on a ce genre proposition c'est que potentiellement on a les capacitées pour faire le job. Le problème c'est les ingés qui veulent être calif à la place du calif dans un domaine qui ne les intéressent pas. Difficile d'être bon dans ce cas.
 

Ce que tu dis n'est pas faux. Cependant, cela dépend fortement du profil du "candidat". Evidemment, le titre est ronflant et gratifiant. Mais la réalité qui se cache derrière est moins rose et on finit souvent par se rendre compte qu'on n'est pas chef de grand-chose. Par contre, les inconvénients sont légion : réunions à n'en plus finir (et le plus souvent pour ne presque rien décider), documents à rédiger pour la forme, suivis multiples, etc.
 
Dans mon cas, comme dans beaucoup de SSII, mon "titre" tenait du pragmatisme pur : me donner le statut de chef de projet permettait à la SSII de me facturer plus cher au client, tout simplement. Pour le reste, il faut être honnête : même si je connaissais les fondements du métier de chef de projet, il faut une certaine expérience, une certaine culture de l'entreprise ainsi qu'une forte assurance pour bien gérer cette position délicate, entre le marteau et l'enclume. J'ai donc souffert de longs mois avant de commencer à prendre mes marques et pouvoir tout simplement dire "non" quand une demande était manifestement abusive.
 
Aujourd'hui, je ne suis plus chef de projet. Simplement développeur (bon ok, "ingénieur en développement", puisque "développeur" n'est pas assez prestigieux), je fais ce que j'aime et je vis très bien comme ça. :)

crashsystem a écrit :


 
Fonctionnement normal selon moi mais pas généralisé malheureusement. Lors d'un entretien d'embauche fait par un ingé grandes écoles, la personne n'avait aucune vision de pourquoi sa société ne marchait pas. Personne brillante et ayant accès à de gros moyen mais ne connaissant manifestement pas son coeur de métier.

Pour ce que j'en sais, c'est un fonctionnement qu'on retrouve chez beaucoup d'éditeurs de logiciels, qui savent bien que les développeurs sont leur principale ressource et qui font en sorte de valoriser ce métier.


---------------
« Si nous devions gagner sans interruption, nous deviendrions aussi impopulaire que Ferrari, et nous voulons éviter cela. » Flavio Briatore, 06/06/2005
n°3491216
Daemam
Posté le 13-08-2011 à 18:00:46  profilanswer
 

Quand ils veulent pour la note de la session de rattrapage d'ENG200  [:haussmann:3]


---------------
[VDS] PC portable, PC HP compact, Ryzen 7700X [Feed-Back]
n°3491299
aspegic500​mg
Posté le 13-08-2011 à 19:34:12  profilanswer
 

Quand je lis le catalogue FOD de Paris, http://fod.cnam-idf.fr/Catalogue_FOD_IDF.pdf , j'ai l'impression qu'il n'y a que des UE en deuxième semestre, je ne comprends pas :heink:

n°3491301
cpn
Posté le 13-08-2011 à 19:35:16  profilanswer
 

c'est le catalogue de FOD IDF du second semestre de l'an dernier ;)

n°3491341
aspegic500​mg
Posté le 13-08-2011 à 19:52:11  profilanswer
 

cpn a écrit :

c'est le catalogue de FOD IDF du second semestre de l'an dernier ;)


 
 :fou:  
 
Bon du coup j'ai trouvé ça, plus à jour: http://fod.cnam-idf.fr/formations-cnam-idf.html

n°3491829
aspegic500​mg
Posté le 14-08-2011 à 15:23:23  profilanswer
 

Bon cette année ça sera rsx207/208, nfe101 "ingénierie de reconstruction" en fod IDF au semestre 1, nfe155 "ITIL" en fod paris au semestre 2.
Reste à voir si mon centre régional va pas trop gueuler que je prenne que du hors-région (en même temps ils ont plus rien d'intéressant pour moi dans ce qu'ils proposent: essentiellement des UE du premier cycle)

n°3491890
titou-tito​u
Posté le 14-08-2011 à 16:54:40  profilanswer
 

aspegic500mg a écrit :

Bon cette année ça sera rsx207/208, nfe101 "ingénierie de reconstruction" en fod IDF au semestre 1, nfe155 "ITIL" en fod paris au semestre 2.
Reste à voir si mon centre régional va pas trop gueuler que je prenne que du hors-région (en même temps ils ont plus rien d'intéressant pour moi dans ce qu'ils proposent: essentiellement des UE du premier cycle)


 
de quel droit ton centre regional a quoi que ce soit à dire sur ce que tu decides de faire ?

n°3491893
aspegic500​mg
Posté le 14-08-2011 à 17:00:25  profilanswer
 

titou-titou a écrit :


de quel droit ton centre regional a quoi que ce soit à dire sur ce que tu decides de faire ?


Pas vraiment de droit "sur le papier", mais la possibilité d'être chiant à mourir, ils m'ont fait le coup y'a 2 ans, sur 6 UE choisies y'en avait au départ aucune chez eux, pendant plus d'un mois ils ont essayé de m'en fourguer d'autres sous prétexte qu'elles faisaient partie du cursus que je suivais (maintenant je ne mets plus aucun diplôme visé, ça évite qu'ils me forcent la main :o ), j'ai lâché un peu de leste sur 3 UE, au final 2 n'ont pas ouverte et j'ai commencé toutes les UE en novembre d'en d'autres régions comme je le souhaitais au départ :sarcastic:

n°3491902
titou-tito​u
Posté le 14-08-2011 à 17:20:13  profilanswer
 

t'es entrain de dire qu'ils fonctionnent presque comme des commerciaux qui vont avoir une prime en fonction du nombre d'UE de LEUR centre refourguées !
au CEP ils etaient comme des "machines" lors d el'inscription, ils prenaient ta liste d'UE avec les centres associés sans broncher et sans le moindre commentaire. c'est moi qui ai eu de la chance ou toi  de la malchance ?

n°3491954
aspegic500​mg
Posté le 14-08-2011 à 18:08:29  profilanswer
 

titou-titou a écrit :

t'es entrain de dire qu'ils fonctionnent presque comme des commerciaux qui vont avoir une prime en fonction du nombre d'UE de LEUR centre refourguées !
au CEP ils etaient comme des "machines" lors d el'inscription, ils prenaient ta liste d'UE avec les centres associés sans broncher et sans le moindre commentaire. c'est moi qui ai eu de la chance ou toi  de la malchance ?


Hormi cette année là, pas de problème d'habitude, on verra cette année.
D'après eux, ça leur coute de l'argent quand je prends des UE d'ailleurs, donc là il fallait prendre des UE chez eux.

n°3492402
Kunlun
Posté le 14-08-2011 à 21:20:13  profilanswer
 

Bonjour à tous,
 
Quelqu'un peut-il me renseigner sur les formations à distances concernant l'informatique ? combien de matière faut il prendre pour essayer d'avoir un diplome ? En une année est-il possible d'avoir un diplome ?  
 
Merci d'avance

n°3493287
aspegic500​mg
Posté le 15-08-2011 à 00:54:01  profilanswer
 

Kunlun a écrit :

Bonjour à tous,
Quelqu'un peut-il me renseigner sur les formations à distances concernant l'informatique ? combien de matière faut il prendre pour essayer d'avoir un diplome ? En une année est-il possible d'avoir un diplome ?  
Merci d'avance


Il y'a de nombreux cursus informatiques au cnam, du simple certificat de compétence, au dut, licence, bac+4, master, ingé, doctorat ...
De quel niveau de diplôme pars-tu ?
On peut passer les UE au rythme qu'on veut, sans limite de temps, et une fois qu'on a toutes les UE composant un diplôme on en demande la validation (il faut aussi l'expérience professionnelle requise)
Avec un peu de précisions on pourra mieux te renseigner ;)

n°3493305
Countersla​sh
Ia orana
Posté le 15-08-2011 à 01:13:30  profilanswer
 

Kunlun a écrit :

Bonjour à tous,
 
Quelqu'un peut-il me renseigner sur les formations à distances concernant l'informatique ? combien de matière faut il prendre pour essayer d'avoir un diplome ? En une année est-il possible d'avoir un diplome ?  
 
Merci d'avance


 
Tu trouveras les réponses à la majorité des questions que tu te poses, si tu lis ce topic. Il est fait pour ça. Y a des infos dedans, faut le lire, du moins une partie.
Ce faisant tu auras en plus démontré que tu as suffisamment de motivation pour obtenir un diplôme du CNAM :)
 
 
Sinon pour répondre à tes questions vite fait :
 
Quelqu'un peut-il me renseigner sur les formations à distances concernant l'informatique ?
 
Oui tu peux aller la http://catalogues-formation.cnam.f [...] 5535539880
 
combien de matière faut il prendre pour essayer d'avoir un diplôme ?
 
Heu ?? Ça dépend du diplôme
 
En une année est-il possible d'avoir un diplôme ?
 
Heu ?? Ça dépend du gars, et du diplôme


Message édité par Counterslash le 15-08-2011 à 01:16:33

---------------
Counterslash Translator
n°3493387
Scrypt
Posté le 15-08-2011 à 09:41:57  profilanswer
 

Kunlun a écrit :

Bonjour à tous,
 
Quelqu'un peut-il me renseigner sur les formations à distances concernant l'informatique ? combien de matière faut il prendre pour essayer d'avoir un diplome ? En une année est-il possible d'avoir un diplome ?  
 
Merci d'avance


 
en moyenne il faut 6 unités / matière pour avoir une année. Peuvent s'ajouter des UE annexes (bulat, rédaction du rapport).
Une bonne moyenne de travail est 2UE / semestre soit 4UE par année scolaire.
 
Tu peux passer 6UE + les UE annexes sur une seule année oui, à condition d'etre au chomage et/ou de ne pas avoir de vie. A éviter  ;)


---------------
Mais vous êtes comme Tapie, vous êtes un ringard Dupont-Moretti
mood
Publicité
Posté le   profilanswer
 

 Page :   1  2  3  4  5  ..  226  227  228  ..  711  712  713  714  715  716

Aller à :
Ajouter une réponse
 

Sujets relatifs
[Topic Unique] ESME Sudria (École d'Ingénieurs - Paris/Lille/Lyon)Topic Mission Economique Francaise
[Topic Unique] DEA 104 Finance Dauphine ¤M2 MSc Master¤[Topic unique] MSc de finance HEC montréal
CNAM ou est le topic unique 
Plus de sujets relatifs à : [Topic unique] CNAM


Copyright © 1997-2025 Groupe LDLC (Signaler un contenu illicite / Données personnelles)