Reprise du message précédent :
A la base je crois que c'etait un topic sur les écoles post-bac pour leurs admissions et des questions associées
 
EDIT: a noter que le classement des post-bac de l'Etudiant est toujours aussi foireux et pas du tout répresentatif du monde pro

 
  Je pense que tu me confonds avec quelqu'un d'autre, je n'ai jamais tenu cette affirmation (que j'estime fausse, amha). Ce qui rend d'ailleurs l'intégralité de ton commentaire caduque.
 
 
 
  J'aurais du préciser qu'il y avait beaucoup de candidat au profil intéressant (il y a aussi des "déchets"...mais ils ne sont pas pris )
 

 
Je n'ai pas le courage de faire un moyenne pondérée des notes de bac moyenne du réseau des polytech', mais il suffit dans ce cas de prendre 2 autres privées au dessus de 13.7 Rajoutons Supélec et l'ESTP par exemple.
 
(EDIT: L'ECE est à 13.8 d'ailleurs)
 
Tout ça pour dire que dire que "privée" < "publique" n'a pas de sens, et que penser que "le privée est plus laxiste sur le recrutement que le publique" n'a pas de sens non plus => ça dépend des écoles et du domaine.
 

 
Oui et non. Tu peux aussi prendre comme critère le salaire de sortie, pour avoir une vision plus "représentative du monde pro". De plus, je ne pense pas que le but du classement et d'obtenir cette vision là, sinon les critères "nombre de doctorant" et "CA de la recherche" n'aurait pas autant de valeur.
Enfin, si tu fusionnes le groupe A et B, et que le A+ devient le groupe A, ça correspond globalement aux grilles que j'ai pu voir dans les grands groupes.

Je n'ai évidemment pas la bêtise de dire que Polytech' recrute plus sévère que Supelec ou ESTP (qui n'ont d'ailleurs rien à faire dans la discussion puisqu'on parle de post-bac), je dis seulement qu'il n'y a pas énormément d'école privées post-bac qui recrute plus sec que Polytech'.

 
Agreed (le point essentiel étant qu'il y en a)(et que toutes les polytech' ne se valent pas, tout du moins en termes de recrutement)

 
Pour recentrer ce débat qui commence a partir en vrac      (mais c'était prévisible ) il serait bon de revenir au sujet du post et d'en profiter pour y intervenir avec :
 
-des arguments cohérents et utiles a tous.
 
Une pointe d'humour n'est pas interdite cependant    !
 
Une information logique:
 
 - Une école post-prépa recrute  des candidat issus d'une CPGE mais aussi BAC +3, +4
 
 - Une école post-bac recrute après le bac mais aussi souvent a BAC + 1, +2( CPGE, BTS,DUT), +3, +4.
 
Il faudrait aussi distinguer les post-bac avec :
 
 - une prépa intégrée clonée sur une prépa classique:
 
 - un cycle prépa déjà professionnalisé avec des matières transversales en rapport avec la spécialité et le monde de l'entreprise.
 
 
 
 

 
Mmm, j'aurais tendance à dire que les généralistes post-bac ont une prépa clonée sur les CPGE, et que les post-bac spé ont une prépa plus orienté sur la spécialité ?
 
Du coup, en précisant si l'école est généraliste ou spécialisée, on devrais pouvoir s'affranchir de cette info.

 
Ben, perso, mon salaire d'embauche correspondait aux fourchettes annoncées, et correspondait également pour mes petits camarades de promo  
Je pense que certaines écoles truandent, j'ose espérer que la grande majorité ne truande pas... Après, c'est difficilement vérifiable Et je ne vois pas trop quel autre donnée utilisé, à part peut-être le % d'embauchés en moins de x mois (et encore, s'ils se sous-vendent, ou en fonction du domaine...).
 
 
 
Dans la mesure où la CTI n'intervient pas sur la partie prépa intégré, je pense que ça se tient quand même. De plus, la CTI ne fait qu'imposer des ratios, et pas des matières, ce qui laisse quand même une certaine liberté
 
 
 
De mon côté, j'ai constaté que les élèves issus de prépa classique avait un meilleur niveau en sciences dures, mais ne tenait pas la route en info, tout du moins au début. A la fin des études, ça dépend énormément des étudiants ^^ Certains avaient rattrapé voir dépassé le niveau moyen en info, d'autres avait pris des options basées sur les sciences dures... bref.

 
Il dit qu'il voit pas le rapport entre les propos cités et ton commentaire  

 
Qu'est ce que tu ne comprends pas ?  

 
+ 1
 
Merci Webby42, voila la vraie réponse, j'ajoute que si une privée est choisie c'est que le programme d'une publique ne remplit peut être pas le cahier de charges que l'on s'est fixé.Mais je n'ai rien contre les publiques .
 
Pour en revenir au niveau de salaires en sortie d'écoles, indiqués par les différents classements et en restant sur les post-bac (rappel !),
ils sont faux a mon avis, car bien souvent les salaires sont très largement inférieurs .
Ou alors sont intégré,primes, indemnités, participation...... et encore on est loin du compte.
Il ne faut pas confondre les revenus d'un commercial, d'un financier et le modeste (mais combien précieux) ingé qui travaille dans une PME locale.
 
Vous travaillez tous pour une société du CAC 40   ?
 
Répondez pas tous    

Topic useless et redondant  

Bonjour à tous,
 
Je voudrais juste ajouter un petit mot sur ELISA – ÉcoLe d’ingénierie des sciences aérospatiales. L’école a sorti sa première promotion de 37 personnes, dont je faisais partie, le 17 décembre 2010.
 
ELISA a déposé un dossier CTI au mois de mars 2010. Depuis le dossier est entre les mains de la commission et nous ne pouvons qu’attendre.  
 
De plus, à la remise des diplômes s’est faite 2.5 mois après que la majorité des étudiants aient fini leur stage. A ce moment-là, 17 personnes avaient un emploi et 4 avaient poursuivi leur études.  
 
Donc je pense qu’ELISA pourra rejoindre votre liste très vite.  
 
Et je vous donne un lien internet à jour : http://www.elisa-aerospace.fr

 
Bonne chance pour cette nouvelle école    

Certain font des mastères spécialisés de type management, ou vers des spécialités techniques très spécifique (par exemple sur les hélicoptères). Un autre est parti faire un Master de recherche en Belgique sur l'aérodynamique.  
Mais je connais des personnes issues d'autres école sans CTI qui ont fait un doctorat.  
Pour ma part, je tenais absolument à partir à l'étranger et en dehors de la France, CTI ou pas CTI, ils ne s'en soucis pas. D'ailleurs, il n'y comprennent rien à ce système français . C'est intéressant à savoir pour les personnes qui souhaitent s'expatrier.  

 
ca c'est l'argument des non-CTI de base
mais c'est pas faux ...

Tu as même Supinfo qui convainc ses élèves que ce sont eux qui rembarrent la CTI...

Pour ma part, je ne regrette rien puisque j’ai eu tout ce que je voulais.
 
Avant que je commence mes études tout le monde me disait, oh lala, la prépa c’est trop dur… blablabla…. Dans le secteur du spatial, il n’y a pas de débouchés, blablabla. A l’époque, je rêvais de Supaero et des grandes classes prépa prestigieuses. Mais je savais aussi que je n’avais pas les épaules pour une ambiance « prépa concours ».  
Mais une personne m’a dit : « Va là où tu seras sûre de réussir! »  
 
Du coup je me suis orientée vers une prépa intégrée dans une école à ma portée et dans un secteur que je voulais.  Aujourd’hui je travaille dans une entreprise qui fait des nanosatellites.  
 

 
Pour être très objective, dans les écoles sans CTI, il y a moyen d’aller loin sans rien branler, en utilisant le travail des autres et en passant tous les rattrapages possibles en fin d’année. Mais après il faut savoir se mettre au boulot soi-même. Mais bon, je ne suis pas quelqu’un à qui il faut prendre la main. Donc je déconseille ce genre d’école à ceux qui ne sont pas du tout autonome et laxistes sur les bords.  Ils seront peut-être diplômés mais ils ne travailleront pas forcement dans l’aérospatial ensuite. Dans ce milieu il faut savoir ce faire une place quand on vient d’une école sans CTI.  
Ensuite, ma vision de la CTI que si on ne l’a pas, il y a beaucoup de problèmes :
-          Moins bonne reconnaissance des grandes entreprises françaises. En France, il est de coutume de mettre des gens dans une case en fonction de leur diplôme. Telle rémunération et telle évolution de carrière. Mais je comprends que certains trouvent cela très confortable. On est sur de ce que l’on aura dans 5 ans.  
-          Moins d’argent disponible pour l’école et pas de bourses de l’état.  
-          Rencontre de personnes médisantes sur votre formation.  
 
Mais de l’autre côté, j’y a vu des avantages :  
-          Plus de liberté vis-à-vis du recrutement : par exemple, il y a une certaine limite d’âge pour le recrutement quand on a la CTI. Dans une école sans CTI, n’importe qui de motivé (et pouvant payer), peut entrer. Pour certain, c’est une possibilité de réorientation et de grands succès. J’ai vu plusieurs cas.  J’aime beaucoup le coté, tout le monde a sa chance.  
-          On n’a pas toujours besoin de se tenir aux contraintes obsolètes de la CTI. (Je n’ai pas d’exemple en tête, désolée).
-          Dans mon école, je n’ai jamais été considérée comme un numéro.  
 
Au final, après 5 ans, la CTI c’est mieux de l’avoir, mais quand on est bosseur on s’en sort toujours très bien.  

Pour être très objectif, il faut dire que ce que tu dis concerne TOUTES les écoles, CTI ou pas, Polytechnique ou pas. Dans toutes les écoles, tu as des élèves qui vont se mettre avec des bons en projet et rien branler, ou qui vont faire leur projet la dernière nuit puis bidouiller quelques aspects et valider leur module. Ce n'est en aucun cas spécifique aux écoles non-CTIfiée.

 
 
 
Arf! Je pensais surtout a la partie prepa qui est beaucoup moins eprouvante que qu'une prepa classique. Mais les personnes qui ne se donnent pas a fond accumulent des lacunes.  
Ce que je critique surtout c'est que ces personnes ne sont pas evacuees avant la 3eme voir 4eme annee (sur 5).

 
Bonjour Vénus022 et bonne année 2011  
 
L'école que tu cites, c'est bien celle qui est a Val de reuil (27) et qui a pris la place de l'ESITPA actuellement sur ROUEN .
 
Comme tu viens d’être juste diplômée, ou était située cette école avant ?
 
Aviez vous des intervenants de l 'EA de SALON ?

Bien le bonjour, je ne l’ai encore jamais fait et j’ai décidé de franchir le pas parce qu’à mon âge, beaucoup d’autres n’en sont déjà plus à leurs premières fois et malgré les appréhensions toutes naturelles avant de passer à l’acte, j’ai bien réfléchi et je me sens enfin prêt. Voici donc mon premier post sur un forum de geeks !
Pourquoi être sorti de ma torpeur me direz vous ? Et bien parce que je suis terriblement outré par les propos de certains d’entre vous… Non en fait je m’en tamponne j’ai juste envie de partager mon expérience en toute SUBjectivité afin d’éclairer les jeunes bacheliers désorientés tels des agneaux apeurés.
 
Voici comment s’est déroulé mon aventure dans le supérieur :  
 
Mes souhaits au moment du bac (qui valaient ce qu’ils valaient, 18 ans n’est pas l’âge de raison) :
- Faire du génie civil  
- Faire une école d’ingénieur  
- Préserver le porte monnaie des parents
- Rester encore quelques temps à Marseille
 
J’ai donc regardé les formations qui satisfaisaient mes critères et en regardant un peu les écoles post-prépa, je me suis rendu compte que y’avait pas grand chose à se mettre sous la dent. ENPC (clairement pas le niveau) ; ESTP (heu oé mais c’est chère quand même) ; ENSAM, CENTRALE,  MINE (faire deux ans voir trois pour se taper encore trois ans de matières aussi variées qu’inintéressantes bof, et puis encore faut il pouvoir y entrer…bof bof)  
 
Du coup j’ai tenté un peu par hasard la PEIP (comprendre prépa intégrée) de Marseille, c’était il y a cinq ans (comme le temps file). A cette époque, la sélection à l’entrée était vraiment large (d’où la réputation douteuse qu’a subit le réseau), mais  « l’écrémage » se faisait après coup. Ceci est tout simplement explicable par une prépa intégrée qui était jeune et méconnue. Maintenant je sais qu’elle attire chaque année de plus en plus de bacheliers (pas de chiffre à l’appui, pas de preuves, juste une constatation personnelle) donc l’avenir nous dira si c’était un bon pari.    
 
Suite à ces deux années de PEIP à Marseille, j’ai intégré Polytech’Lille en filière génie civil et ça a été pas trop mal, (bon en fait je modère mes propos pour qu’on ne m’accuse pas de chauvinisme parce qu’en vérité c’était 3 années kiffantes sur tous les niveaux)
 
Finalement, pour répondre aux « méchants détracteurs qui crachent sur tout ce qui bouge» je finirai par ces quelques mots. Les écoles de ce réseau ne sont pas sorties de terre il y a 6 mois, les enseignements sont globalement en corrélation avec la réalité du marché (à voir si c’est le cas pour tous les domaines et toutes les écoles du réseau, on apprend pas encore l’ubiquité à l’école), les anciens ne sont pas tous au chômage ou en prison, au contraire je trouve qu’ils ont pas des postes dégueulasse… et puis en ce qui me concerne j’ai trouvé un boulot sans grande difficulté, je suis bien payé, ce que je fais me plait, et ce que je fais plait à mon patron alors…
SI je suis HS désolé, mais je pense que c’est le genre d’avis qui m’aurait plu lorsque j’étais avec mon bac en poche et tous les doutes qui l’accompagnent.