FranceDenBas 1 dépense = 1 socialiss' :o | Ethnik a écrit :
Les caisses sont vides mais est-ce pour autant que le président de la république doit rouler en Twingo et voler en ULM? ...
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L'esprit HFR et les extrêmes.  Est-ce cet achat est vraiment utile? ![[:klemton] [:klemton]](https://forum-images.hardware.fr/images/perso/klemton.gif) Anteus a écrit :
... Oui, j'attend(ai)s beaucoup de Sarko. Maintenant, ca met un peu de temps a venir, et je pense que oui, la situation economique globale n'aide pas. Mais je pense que la situation aurait ete pire avec Royal ![[:spamafote] [:spamafote]](https://forum-images.hardware.fr/images/perso/spamafote.gif)
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Et toujours la même chose Royal et Bayrou (l'opposition) aurait été pire. C'est beau, la mauvaise foi.  Je ne dis pas que Sarkozy fait tout mal mais bon... ![[:breakingnews] [:breakingnews]](https://forum-images.hardware.fr/images/perso/breakingnews.gif) La majorité trouve un compromis sur le RSA
Citation :
La commission des finances de l'Assemblée nationale a adopté, mercredi soir 17 septembre, un amendement instaurant "un plafonnement global des niches fiscales", un texte permettant un compromis sur le financement du revenu de solidarité active (RSA), qui divisait la majorité. Cet amendement, cosigné par plusieurs députés UMP et Nouveau Centre, prévoit que les rentrées fiscales supplémentaires liées à ce plafonnement à compter de 2009 concourront au financement du RSA et diminueront d'autant la taxe de 1,1 % sur les revenus du capital et de l'épargne instaurée par le gouvernement. Cette contribution devrait cependant être assez symbolique, de l'ordre de 200 millions d'euros, selon le ministère du budget, au regard des 1,5 milliard d'euros engrangé grâce à la taxe de 1,1 % sur les revenus de l'épargne et du patrimoine. ... Le projet de loi sera débattu en séance publique à partir du 23 septembre.
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http://www.lemonde.fr/politique/ar [...] r=RSS-3208 A voir.  Les taxes écologiques sèment le trouble à l'UMP
Citation :
Le ministre de l'écologie, Jean-Louis Borloo, a de nouveau démenti, mercredi 17 septembre, les informations du Parisien évoquant l'instauration d'un système de bonus-malus sur les tarifs d'électricité. "J'ai lu ça dans un journal ce matin, j'ai fait évidemment un démenti, ainsi d'ailleurs que le président d'EDF", a déclaré M. Borloo à l'issue du conseil des ministres. ... "CONCOURS LÉPINE" DES PRÉLÈVEMENTS Ces "bonus-malus" commencent à faire grincer des dents dans la majorité. Invité de LCI mercredi matin, Bernard Accoyer a dénoncé un "concours Lépine" des prélèvements. "Je taxe ceci, je détaxe cela", a estimé le président de l'Assemblée nationale. "Je suis partisan de clarifier la politique de la majorité" et que "l'on cesse des annonces en tous sens", a-t-il ajouté. "Le stade de la réflexion ne doit pas être une exposition permanente d'idées iconoclastes qui ne seront pour la plupart d'entre elles pas prises", a-t-il renchéri. Il a cité le prélèvement récemment annoncé par Jean-Louis Borloo sur les assiettes et couverts jetables dit "taxe pique-nique". "Que vont devenir les fabricants de gobelets si on décide que leur avenir sera entaché par les taxes ?", a-t-il demandé. Les taxes écologiques, "ça n'est pas une taxe par jour" mais "les conséquences du Grenelle de l'environnement", a fait valoir Luc Chatel, le porte-parole du gouvernement. "Il faut dorénavant une fiscalité environnementale, il faut que la fiscalité soit un outil d'orientation et de changement des comportements", a-t-il dit. "La règle générale de cette nouvelle fiscalité, c'est à prélèvements constants." Et M. Chatel d'insister : "L'Etat ne va pas s'en mettre dans les poches en passant parce qu'on oriente la fiscalité vers les produits environnementaux."
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http://www.lemonde.fr/economie/art [...] r=RSS-3208 +1 pour Accoyer car rien n'est décidé pour le suremballage ou voir ça à la source. Le nombre de médecins par habitant recule
Citation :
Le Conseil de l'ordre recense 210 600 praticiens en activité et juge peu efficaces les incitations à s'installer dans les «déserts médicaux». Cette fois, nous y sommes. Annoncé depuis des années, le retournement de tendance est là : pour la première fois, l'an dernier, la densité de médecins a reculé en France. Et de façon significative. Selon les statistiques que publie jeudi le Conseil national de l'ordre, le nombre de médecins en activité est passé de 340,4 pour 100 000 habitants, au 1er janvier 2007, à 322,4 au 1er janvier 2008. Pour les seuls médecins en «activité régulière» (c'est-à-dire en excluant les remplaçants et les praticiens inscrits mais temporairement sans activité), le ratio est tombé de 315,5 pour 100 000 habitants à 300,2. En valeur absolue, pourtant, le nombre de médecins en activité augmente encore faiblement (+ 1,2 %), pour atteindre 210 583*. Mais cette hausse est moins rapide que celle de la population. Et surtout, elle ne durera pas. Les effectifs médicaux subissent en effet un véritable effet de ciseaux. D'un côté, les départs en retraite se multiplient avec le papy-boom - le phénomène devrait s'accentuer dans les prochaines années, les médecins cessant de travailler à 65 ans en moyenne. De l'autre, le nombre d'étudiants en médecine a été restreint depuis les années 1970, avec un numerus clausus progressivement abaissé de 8 600 à 3 500, dans l'espoir, notamment, de freiner les dépenses d'Assurance-maladie… La barrière est restée sous les 4 000 étudiants par an pendant toute la décennie 1990 ; elle est peu à peu relevée depuis (7 300 cette année) mais il faut au moins une dizaine d'années pour former un médecin ! Sans compter que les jeunes diplômés mettent de plus en plus de temps à s'installer : le nombre de remplaçants a grimpé de 25 % entre 2006 et 2007. Deux jeunes sur trois s'installent comme salariés Les difficultés pour trouver un médecin dans certaines banlieues ou campagnes vont donc s'aggraver. Elles sont déjà bien réelles, malgré le nombre record de médecins, à cause de leur mauvaise répartition. La Région Paca, qui en 2007 a «doublé» l'Ile-de-France, est ainsi 1,6 fois plus dense médicalement que la Picardie, dernière du classement. Malheureusement, les mesures prises jusqu'ici pour tenter un rééquilibrage ne semblent rien donner ou presque. L'Ordre a ainsi passé au crible les zones «sous-médicalisées» où les médecins peuvent prétendre à des aides à l'installation ou à un bonus de 20 % sur le montant de la consultation - une mesure instaurée par Xavier Bertrand quand il était ministre de la Santé. Résultat : deux installations l'an dernier dans ces zones en Région Centre, deux dans les Pays de la Loire, une en Auvergne, une en Bourgogne, une en Ile-de-France, aucune en Bretagne, aucune en Champagne-Ardenne. ... S'il a renoncé à toucher à la liberté d'installation après le conflit des internes de l'automne dernier, le gouvernement songe à des mesures «désincitatives» dans les zones surdotées en médecins. Par exemple, l'obligation d'aller travailler une journée par semaine dans une zone sous-dotée. C'est l'objet de négociations qui doivent reprendre bientôt entre syndicats médicaux et Assurance-maladie. Les futures agences régionales de santé auront aussi un rôle important en la matière. Mais l'Ordre est réticent. Avant d'envisager de telles pistes, «ne pourrait-on pas essayer de laisser faire de la médecine de soins à certains médecins salariés et trouver les moyens financiers pour faire connaître la médecine générale aux jeunes, les dégager d'un nombre incroyable de tâches administratives et leur donner la possibilité de faire des stages sur le terrain ?», s'interroge le Dr Irène Kahn-Bansaude, qui a supervisé cette étude sur la démographie médicale. ...
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http://www.lefigaro.fr/economie/20 [...] ecule-.php http://www.lefigaro.fr/assets/pdf/atlas2008.pdf Message édité par FranceDenBas le 18-09-2008 à 09:03:35 ---------------
"Il a inventé le bougisme : je bouge donc je suis" :sol: - Dupont-Aignan à propos de Son Altesse Sérénissime Sarkal 1er. Merci Handsome Devil et Meriadeck.
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