Le ministre danois de l'Immigration et de l'Intégration, Kaare Dybvad @KaareDybvad (Social démocrate) réagit à la publication du nouveau sondage du journal danois Jyllands-Posten réalisé auprès des musulmans au Danemark. Il considère les résultats comme « effrayants » et s’inquiète de l’arrivée de personnes porteurs "d'opinions totalitaires"
 
L’enquête révèle que :
 
35 % des musulmans interrogés estiment que l’attaque du Hamas du 7 octobre était « une action justifiée après des années d’oppression par l’État israélien ».
 32 % des musulmans interrogés déclarent « sympathiser fortement » ou « dans une certaine mesure » avec le Hamas.
 
Pour Kaare Dybvad, "quelque chose ne va pas du tout".
Il commente : "C’est une opinion totalement totalitaire. Le Hamas est une secte religieuse fasciste et totalitaire, ainsi qu’une organisation terroriste. Si l’on sympathise avec cela, on n’a clairement pas adopté les valeurs démocratiques sur lesquelles repose notre société danoise. Et il semble qu'une part importante des personnes d'origine musulmane au Danemark ne l'ait pas fait", déclare t-il.  

Pantin : deux jeunes tentent de violer un homme en pleine rue avant d’être arrêtés par des passants

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Selon le sociologue, “il est difficile de ne pas être perturbé par la cohabitation entre, d’un côté, une ligne de force narcissique dont l’élitisme impitoyable et l’autoritarisme tout-puissant s’annoncent comme tels, et de l’autre un enrobage séduisant qui suggère tout le contraire : l’empathie, l’attention aux autres, le souci de protéger les plus faibles, le désir de donner un réelle chance à tout le monde, le sens de l’intérêt général“.

Sans dette, ni filiation aucune, “il n’a jamais de compte à rendre, il n’est jamais responsable de rien“ , il ne comprend rien alors qu’il croit tout comprendre. “Macron est incapable de prendre la mesure de la contradiction entre sa soif individuelle de pouvoir souverain et la faible disposition sociale à accepter une autorité qui ne fasse pas la preuve de sa contribution au service de l’intérêt commun” , affirme Joly. Incapable de considérer un autre point de vue que le sien, “inaccessible à la moindre remise en question autre que posturale”, Macron démontre “son incompétence fondamentale en matière d’évaluation de lui-même et d’appréciation des situations”.

Pantin : deux jeunes tentent de violer un homme en pleine rue avant d’être arrêtés par des passants

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Le NFP demande la fin des exonérations patronales au-dessus de deux SMIC, « un cadeau aux entreprises sans aucun impact économique significatif ». De quoi économiser 8 milliards d'euros, estime la gauche. Le NFP souhaite aussi le « recentrage » du crédit d'impôt recherche (CIR), « une niche où le chien ne rentre plus du tout », selon le communiste Nicolas Sansu, pour récupérer 3 milliards.

Surtout, le NFP remet sur la table un ISF « renforcé, incluant un volet climatique ». Cet impôt cible les foyers dont le patrimoine net dépasse 1 million d'euros, échelonné en trois paliers, et avec un « bonus-malus » sur le « contenu carbone du patrimoine ». La gauche souhaite aussi rétablir l'exit tax telle qu'elle existait avant 2019. De quoi, selon elle, récupérer au total 15 milliards d'euros. Elle entend aussi supprimer la flat tax qui n'a pas, accuse-t-elle, « démontré ses effets positifs sur l'économie » mais provoqué « un effet d'aubaine gigantesque ».

Constatant « l'explosion du patrimoine des plus riches », le NFP réclame en outre une taxe sur les « héritages dorés », soit les plus grosses successions, pour renflouer les caisses de l'Etat à hauteur de 7 milliards d'euros.

Les grandes entreprises sont également dans le viseur de la gauche, qui souhaite l'introduction d'une taxe sur « les profits et les superdividendes ». Le NFP veut aussi davantage taxer les transactions financières.

A la clé, entre autres, une hausse, là aussi, des taux de la taxe solidarité avion, sans oublier une taxe sur les passagers des jets privés et la taxation du kérosène. L'Etat récupérerait 1,5 milliard d'euros, pour notamment mieux subventionner le train, propose la députée verte.

Le NFP demande la fin des exonérations patronales au-dessus de deux SMIC, « un cadeau aux entreprises sans aucun impact économique significatif ». De quoi économiser 8 milliards d'euros, estime la gauche. Le NFP souhaite aussi le « recentrage » du crédit d'impôt recherche (CIR), « une niche où le chien ne rentre plus du tout », selon le communiste Nicolas Sansu, pour récupérer 3 milliards.

Surtout, le NFP remet sur la table un ISF « renforcé, incluant un volet climatique ». Cet impôt cible les foyers dont le patrimoine net dépasse 1 million d'euros, échelonné en trois paliers, et avec un « bonus-malus » sur le « contenu carbone du patrimoine ». La gauche souhaite aussi rétablir l'exit tax telle qu'elle existait avant 2019. De quoi, selon elle, récupérer au total 15 milliards d'euros. Elle entend aussi supprimer la flat tax qui n'a pas, accuse-t-elle, « démontré ses effets positifs sur l'économie » mais provoqué « un effet d'aubaine gigantesque ».

Constatant « l'explosion du patrimoine des plus riches », le NFP réclame en outre une taxe sur les « héritages dorés », soit les plus grosses successions, pour renflouer les caisses de l'Etat à hauteur de 7 milliards d'euros.

Les grandes entreprises sont également dans le viseur de la gauche, qui souhaite l'introduction d'une taxe sur « les profits et les superdividendes ». Le NFP veut aussi davantage taxer les transactions financières.

A la clé, entre autres, une hausse, là aussi, des taux de la taxe solidarité avion, sans oublier une taxe sur les passagers des jets privés et la taxation du kérosène. L'Etat récupérerait 1,5 milliard d'euros, pour notamment mieux subventionner le train, propose la députée verte.

Le NFP demande la fin des exonérations patronales au-dessus de deux SMIC, « un cadeau aux entreprises sans aucun impact économique significatif ». De quoi économiser 8 milliards d'euros, estime la gauche. Le NFP souhaite aussi le « recentrage » du crédit d'impôt recherche (CIR), « une niche où le chien ne rentre plus du tout », selon le communiste Nicolas Sansu, pour récupérer 3 milliards.

Surtout, le NFP remet sur la table un ISF « renforcé, incluant un volet climatique ». Cet impôt cible les foyers dont le patrimoine net dépasse 1 million d'euros, échelonné en trois paliers, et avec un « bonus-malus » sur le « contenu carbone du patrimoine ». La gauche souhaite aussi rétablir l'exit tax telle qu'elle existait avant 2019. De quoi, selon elle, récupérer au total 15 milliards d'euros. Elle entend aussi supprimer la flat tax qui n'a pas, accuse-t-elle, « démontré ses effets positifs sur l'économie » mais provoqué « un effet d'aubaine gigantesque ».

Constatant « l'explosion du patrimoine des plus riches », le NFP réclame en outre une taxe sur les « héritages dorés », soit les plus grosses successions, pour renflouer les caisses de l'Etat à hauteur de 7 milliards d'euros.
 
Les grandes entreprises sont également dans le viseur de la gauche, qui souhaite l'introduction d'une taxe sur « les profits et les superdividendes ». Le NFP veut aussi davantage taxer les transactions financières.

Pantin : deux jeunes tentent de violer un homme en pleine rue avant d’être arrêtés par des passants

Le NFP demande la fin des exonérations patronales au-dessus de deux SMIC, « un cadeau aux entreprises sans aucun impact économique significatif ». De quoi économiser 8 milliards d'euros, estime la gauche. Le NFP souhaite aussi le « recentrage » du crédit d'impôt recherche (CIR), « une niche où le chien ne rentre plus du tout », selon le communiste Nicolas Sansu, pour récupérer 3 milliards.

Surtout, le NFP remet sur la table un ISF « renforcé, incluant un volet climatique ». Cet impôt cible les foyers dont le patrimoine net dépasse 1 million d'euros, échelonné en trois paliers, et avec un « bonus-malus » sur le « contenu carbone du patrimoine ». La gauche souhaite aussi rétablir l'exit tax telle qu'elle existait avant 2019. De quoi, selon elle, récupérer au total 15 milliards d'euros. Elle entend aussi supprimer la flat tax qui n'a pas, accuse-t-elle, « démontré ses effets positifs sur l'économie » mais provoqué « un effet d'aubaine gigantesque ».

Constatant « l'explosion du patrimoine des plus riches », le NFP réclame en outre une taxe sur les « héritages dorés », soit les plus grosses successions, pour renflouer les caisses de l'Etat à hauteur de 7 milliards d'euros.
 
Les grandes entreprises sont également dans le viseur de la gauche, qui souhaite l'introduction d'une taxe sur « les profits et les superdividendes ». Le NFP veut aussi davantage taxer les transactions financières.

A la clé, entre autres, une hausse, là aussi, des taux de la taxe solidarité avion, sans oublier une taxe sur les passagers des jets privés et la taxation du kérosène. L'Etat récupérerait 1,5 milliard d'euros, pour notamment mieux subventionner le train, propose la députée verte.