L'écran a l'air chouette, le capteur de 10 méga pixels aussi, parfait pour de la photo amateur, je pense.

Un problème, ça se résoud. Et si l'on a besoin d'une aide extérieure, on peut le faire sans se plaindre, avec pragmatisme.

Quelle est la différence entre dire qu'on a un problème qui nous emmerde et se plaindre ?

Quelle est la différence entre dire qu'on a un problème qui nous emmerde et se plaindre ?

Méthode 1 : "j'ai besoin d'une réponse à cette question-ci..." (élément de réponse requis pour la résolution du problème), ou bien "j'ai besoin d'aide pour réaliser cela..." (partie que l'on ne peut réaliser seul)
 
Méthode 2 : "bon je m'en sors pas, il m'est arrivé <descriptions d'évènements>, je sais pas quoi faire..."

Méthode 1 : "j'ai besoin d'une réponse à cette question-ci..." (élément de réponse requis pour la résolution du problème), ou bien "j'ai besoin d'aide pour réaliser cela..." (partie que l'on ne peut réaliser seul)
 
Méthode 2 : "bon je m'en sors pas, il m'est arrivé <descriptions d'évènements>, je sais pas quoi faire..."

Quelle est la différence entre dire qu'on a un problème qui nous emmerde et se plaindre ?

Méthode 1 : "j'ai besoin d'une réponse à cette question-ci..." (élément de réponse requis pour la résolution du problème), ou bien "j'ai besoin d'aide pour réaliser cela..." (partie que l'on ne peut réaliser seul)
 
Méthode 2 : "bon je m'en sors pas, il m'est arrivé <descriptions d'évènements>, je sais pas quoi faire..."

la difference, c'est que dans l'un des cas, tu es determiné à resoudre ce pb.
Dans l'autre, non.

Pas faux, une différence de prise de recul en gros.

Ne peut-on pas saouler les gens même avec la phase 1 ?

la difference, c'est que dans l'un des cas, tu es determiné à resoudre ce pb.
Dans l'autre, non.

C'est mon discours depuis le début.

Ce n'est pas "mal", c'est juste que ça manque de recul.

Non, c'est sur, mais ça fait du bien de se plaindre, et puis c'est une première étape avant de prendre du recul, il me semble, une sorte de prise de conscience. Après bien sur, il faut passer à autre chose.

S'il y a bien quelque chose que je ne sais pas faire, faute de toujours vouloir positiver, c'est bien ça. Le problème dans l'attitude positive à outrance, c'est que l'on finit pas ne plus savoir ce qui est bien pour nous, ce qui nous fait réellement plaisir, on est finalement malheureux même si l'on se met le contraire en tête.

La mémoire humaine est-elle quantifiable?
 
QALC du lundi: Peut-on la comparer à des Mo, ou Go par exemple?

La mémoire humaine est-elle quantifiable?
 
QALC du lundi: Peut-on la comparer à des Mo, ou Go par exemple?

Pas si simple je pense. Enfin ça dépend ce que tu appelle "determiné" en fait.

Dans le premier cas, tu te poses en recherche de la solution, ce qui est une attitude positive, dans l'autre, tu te poses en victime du problème, ce qui est une attitude négative.
Du coup, la première attitude est plus agréable pour l'entourage, et souvent plus propice à la résolution du problème.
C'est ma proposition  

Il est passé où Thordax ?

Il est passé où Thordax ?

Dans l'underground  
/Private Joke

Peut-on devenir Thordax à la place du Thordax ?

Non mais je vous lis, hein J'ai pas de question pour le moment et le débat de ce matin n'était pas extrêmement passionnant. Promis, dès que j'ai une question pertinente je la pose

Lurkeur Vous lui pétez quand même la gueule ? Vous vous écrasez, et souffrez en silence ? Vous faites autre chose ?

Lurkeur
 
Question : Quelle attitude avez-vous face à un collègue que vous savez éminemment faux-cul, mais qui prétend que tout va bien alors que vous savez de source sûre qu'il vous démonte dans votre dos auprès de la hiérarchie? Evidemment, le pétage de gueule est exclu, considérant que ledit collègue a la langue profondément enfoncée dans le cul de la cheferie
Vous lui pétez quand même la gueule ? Vous vous écrasez, et souffrez en silence ? Vous faites autre chose ?

C'est un collègue du même département ?  Intelligent ?  Ambitieux ?

Ouais, pas plus que la moyenne, et ouaaaaaaaaaaaaaiiiiis putain grave.

Arrange-toi pour qu'il soit promu ailleurs, idéalement dans une autre boîte.  Convainc-le qu'il est trop bon pour ta boîte actuelle et que des tas d'autres boîtes lui permettraient de pleinement s'épanouir.

Le problème, c'est que je suis dans le genre de boite qu'on a pas, mais vraiment pas envie de quitter

Une bonne boite.

Lurkeur
 
Question : Quelle attitude avez-vous face à un collègue que vous savez éminemment faux-cul, mais qui prétend que tout va bien alors que vous savez de source sûre qu'il vous démonte dans votre dos auprès de la hiérarchie? Evidemment, le pétage de gueule est exclu, considérant que ledit collègue a la langue profondément enfoncée dans le cul de la cheferie
Vous lui pétez quand même la gueule ? Vous vous écrasez, et souffrez en silence ? Vous faites autre chose ?