Reprise du message précédent :

Merci pour le retour je vais prévoir ce qu'il faut en ziplock fruits secs pour le trek, mais si on peut couper par un casse dalle ce sera moins monotone.
J'ai les casques depuis l'année dernière et mon renoncement au dernier moment

Il me semble me rappeler que l'accès à la brèche Latour (voie normale espagnole) est très raide et qu'il y a un passage avec des barreaux.
Le plus simple c'est quand même la grande diagonale, Mais ça fait loin depuis Respumoso

 
Le Balaitous serait au départ du refuge (fermé) d'Arremoulit :
https://www.topopyrenees.com/maps/fullscreen/706
par la grande diag

C'est mieux comme ça on avait bivouaqué au pied de la grande diagonale à l'abri je ne sais plus comment, en fait surtout dans la pelouse un peu en dessous, j'ai un souvenir ému du couché de soleil avec l'Ossau qui dépassait de la mer de nuage. Une belle journée, quelle idée d'aller faire l’arête de Costerillou en partant d'Arremoulit aussi, on était remonté le lendemain par l'arete qui domine la grande diagonale, bien cool

Attention en général refuge en travaux = pas d'eau potable !

Et eau des lacs + micropur? Parce qu'il y a du lac dans le coin ^^

Y en a un paquet

Il y a possibilité de poser la tente aux lacs d'Arriel avant de monter le Balaïtous? Ça m'éviterait de pousser jusqu'au refuge d'Arremoulit à partir de Respomuso pour me retaper 1h30 "pour rien le lendemain vers l'Est"...

De mémoire y'a de quoi sous le lac inférieur et entre inf et sup oui  

Merci!

Quelques jours en Andorre pour nous cette semaine, avec ce temps dégueu prévu sur toutes la chaine pyrénéenne.
 
On est allé faire la crête NE du pic d'Alt del Cubil (https://www.camptocamp.org/routes/463078/fr/pic-alt-del-cubil-crete-ne)
 
Itinéraire très sympa qui suit une succession de gendarmes, à l'escalade jamais vraiment compliquée, mais avec quelques pas un peu fins parfois (on a tout fait en grosses).
Pas d'échappatoire possible par contre, on l'a appris à nos dépends quand le tonnerre s'est mis à gronder. Heureusement ca s'est arrêté, on a fini la course sous la flotte et la tête dans les nuages.
 
Le panorama sur le cirque de Pessons doit être magnifique vue du sommet, on ne l'aura vu qu'au départ.
 
 
Un des lacs de la marche d'approche :

 
Un autre lac :

 
L'alt del Cubil et sa succession de ressauts :

 
Le départ de la voie :

 
Vue sur le cirque de Besson :

 
Le rappel de 15m :

 

J'ai vu le compte rendu sur c2c à l'instant

Salut à tous  
 
Avec mon père, on a le projet de se faire le Mont Blanc mais on est juste des "randonneurs du dimanche". Des bons marcheurs mais rien à voir avec des sommets. On court toutes les semaines mais à prévoir un test d'effort.
 
Donc on a bien conscience que ça demandera de l'entraînement et on n'est pas pressé. On le fera que si on est prêt.
 
On a dans l'entourage des gens qui ont déjà fait le Mont Blanc et j'ai des conseils de sorties pour voir déjà si on n'est pas sensible au MAM et si on encaisse le D+. On vit dans le Var donc on m'a conseillé le Mercantour avec le Mont Bégot par exemple (Et on va à Marrakech en Avril donc on m'a conseillé le mont Toubkal qui est moins technique que le Mont Blanc).
 
On a vu des formules sur 6 jours pour le Mont Blanc pour bien s'acclimater (si on est prêt physiquement) mais on nous a bien alerté sur le couloir du Goûter et c'est sûr que ça peut refroidir un peu
 
Bref, on est preneur de tous les conseils pour notre projet et encore une fois, le Mont Blanc c'est en quelque sorte un "rêve" parce que c'est mythique mais ça se fera pas à tout prix.
 
Merci par avance

La formule 6 jours c'est très bien, ce qu'il faut d'apprentissage technique et d'acclimatation.
Un rappel le mont blanc ce n'est pas de la rando et c'est presque 5000.

Dans tous les cas vu ce que tu annonces comme expérience je te dirais de prendre un guide

Ah oui j’avais pas prévu de le faire sans guide
 
Avec de l’entraînement ça se fait bien?
 
C’est vraiment dangereux?

Dangereux non, mais c'est déjà de l'alpinisme et y a quelques notions de base à avoir sinon ça va devenir dangereux

On va tenter des 3k dans un premier temps pour voir comment on réagit à l'altitude et j'ai un test d'effort prévu en décembre pour voir un peu mes capacités.

Je fais du running de manière régulière depuis quelques mois avec des sorties de 6/8 km avec une allure de 7'15 au kilo et je m'améliore au fur et à mesure des sorties mais la montre Garmin me dit que j'ai une mauvaise VO2 Max donc je veux voir avec un cardiologue.

La génétique et mon alimentation font que j'ai de l'hypertension et du cholestérol (je suis traité) donc à voir si c'est pas trop contre-indiqué. Je suis déterminé mais à voir si mon profil et un entraînement permet de s'attaquer à ce projet.

Heu avec les conditions de maintenant le couloir du goûter c'est pas fou quand même...
M'enfin avec un guide il fera en sorte de bien choisir les conditions déjà.

IL y a aussi d'autres voies que la voie normale pas forcément beaucoup plus trés dure....
Quand aux réactions à l'altitude c'est un peu la roulette, tu peux être trés bien (un peu essoufflé quand même) et puis la fois d’après malade comme un chien.
Etre bien acclimaté ça aide quand même à profiter un peu là haut

Je vais taper mon premier 2800 ce week-end avec 2 nuits en bivouac dans le Mercantour (Mont Bego) avec un collègue qui connaît bien la montagne.
 
J'ai toujours fait de la randonnée classique et autant dire que l'expérience me botte à max !
 
Découvrir la randonnée en montagne, marcher à la frontale, bivouaquer, vivre l'altitude...  
 
Je suis motivé à fond mais j'espère que le physique suivra Je crois que y'a 1500m de dénivelé et jusqu'alors j'ai du faire max 600m mais bon y'a un début à tout. On a bien checké le matos nécessaire, c'est un habitué, il sait que je découvre, donc j'y vais en confiance.

Retour du Mercantour, on est monté à 2700 en passant par le Lac d'Autier, et la baisse du Lac d'Autier (infernal ce passage, sentier non balisé au milieu des rochers, il a fallu finir à la corde pour atteindre le col), pour rejoindre la vallée des Merveilles.
 
Bivouac au refuge des Merveilles et retour par le pas de l'Arpette avec un détour par la cime du Diable.
 
48h de trek en bivouac.
 

 
J'ai découvert ce parc magnifique mais aussi ma capacité à encaisser des parcours intenses non balisé (heureusement j'étais encadré par un collègue qui connaît la montagne). J'ai aussi découvert qu'à partir de 2500, le cardio n'était pas le même et qu'on était plus rapidement à souffle.
 
Pour une première expérience, ce week-end a été un bon entraînement. Physiquement très intense mais j'ai surtout compris que ça se jouait beaucoup au mental... Regarder le col pourrait décourager mais si tu te fais violence, ça passe

Tu commences à mesurer la hauteur des marches qu'il te reste à franchir ?

Je me suis pas fixé d'échéance pour le Mont Blanc donc je me lancerai quand je me sentirai prêt
 
Là j'ai eu une première expérience intense et je suis fier de ce que j'ai accompli parce qu'en regardant le parcours, je me dis que y'avait moyen de dire que j'en étais pas capable. 1500m dans le week-end alors que le max que j'avais fait jusqu'alors c'est 400m.
 
J'en ai chié mais je pense déjà à la prochaine sortie et je vise le Mont Clapier (3000).
 
Après je sais pas ce qu'entend par la "hauteur des marches à franchir"?
 
Ce qu'on m'a conseillé c'est de m'entraîner à encaisser du dénivelé

Un ami Madrilène que je croise régulièrement pour des aventures Alpines me répétait de manière récurrente qu’il fallait que je vienne dans les Asturies découvrir la beauté du Nord de l’Espagne et ce pic mythique au cœur des Picos, Pico Urriellu. Deux semaines de vacances qui s’annoncent, et des envies de découverte. On se met donc en mouvement avec ma douce vers ce Nord Espagnol où tout est à découvrir. Je passerai sur les étapes du trip, et la découverte de très très belles falaises pour arriver directement dans les Picos, le premier parc national Espagnol. On se pose à Las Arenas sous un temps mitigé, la pluie est très classique dans cette région Espagnole. Départ le lendemain pour Sotres pour commencer notre marche d’approche, 4.5 heures de marche pour atteindre le refuge Urriellu qui se trouve directement sous le bien nommé pic.

Face ouest de la bête, où se trouvent des voies dans le 7, 8 et 9. 500 mètres de développé, impressionnante. Les Espagnols dans cette zone de l’Espagne ont décidé de garder le rocher quasi vierge, c’est donc de l’escalade traditionnelle avec des longueurs jusqu’à près de 60 mètres. Relais souvent sur des vieux pitons qui ont vu passer des générations de grimpeurs.

Le surnom du Pic, c’est Naranjo de Bulnes, l’oranger de Bulnes. Le soleil couchant nous en révélera l’explication dans toute sa splendeur.

Beaucoup de tentes autour du camp, on se pose sous un tarp pour la nuit.

Réveil à 7 heures pour faire la classique Martinez, en face Sud. 200 mètres de terrain d’aventure tranquille. Arrivée au pied de la voie, c’est tout de suite une autre histoire. Deux cordées dans la voie et pas moins de six cordées en attente. Aie Aie Aie ! Ça va pas le faire vu qu’on doit être de retour au village avant la tombée de la nuit.

N’ayant pas le topo, j’utilise mon meilleur Espagnol pour trouver une autre voie qui m’attirait « Ola hombre, une cerveza por favor…. Euhhh, non, via Cepeda donde esta la tortilla con ham ? »  

Un Espagnol ayant pitié de moi me montre une belle écaille de 15 mètres. That’s the way it will be then. Malgré le qualificatif de “poli” utilisé pour décrire les voies de Naranjo, c’est au contraire un calcaire en bon état avec globalement un très bon grain. Mes Totem cams retrouvent leur patrie d’origine et s’adaptent à merveille dans les anfractuosités du rocher. Après la sixième longueur, réunion de plusieurs voies et un mini embouteillage pour les deux dernières longueurs.

L’endroit est magnifique, le rocher superbe et clairement une invitation à revenir dans la zone pour faire d’autres voies et surtout d’autres pics. Pas contre niveau topo, tout est pour l’instant en Espagnol, une bonne raison de m’y mettre sérieusement.

Le retour jusqu’à Sotres fut long… très long, avec des sacs trop lourds. Mais ça fait partie du charme de l’aventure. Toute la région est magnifique avec de la grimpe en bord de mer comme dans des gorges profondes, des via-ferrata, des randos, des baignades sur de superbes plages (et même certaines avec des courants de baïnes comme je l’ai découvert ) … et tout ça, arrosée d’une Cerveza bon marché et de Pinchos à déguster au bar. Hay Caramba!  

Quelques autres photos de zones de jeux que nous avons pratiquées pour donner envie de visiter cette zone. En revanche, la prochaine fois on ira un peu plus tôt ou tard dans la saison pour limiter le monde. La température n’a à aucun moment été un souci mais la semaine après notre retour, ça brûlait dans la zone

Bon je reviendrais aussi sur quelques pics faits dans les Aiguilles Rouges. On était parti pour le Cervin après la semaine de canicule d’août mais la météo nous a conseillé de rester sur Chamonix pour pouvoir mieux s’occuper sous la pluie. Objectif encore reporté à l’année prochaine ou aux calendes grecques  

Dans le Var, le D+,c'est compliqué (ça dépend ou)
Mais au moins marcher régulièrement,encaisser de la distance aussi,l'arrière pays est joli à randonner.

Le Var pour le D+ je suis d'accord mais y'a les Alpes Maritimes pas loin avec le Mercantour et c'est un magnifique terrain de jeu avec du D+ en veux tu en voilà

Le D+,c'est sympa quand tu as déjà un peu de foncier sinon c'est quand même une gageur.  
Le secteur du Verdon?

Les marches à franchir

• l'altitude
• le dénivelé
• la technicité du terrain
• le matériel et son usage

Et j'en oublie sûrement...
Ah si arriver à chier dans les chiottes de refuge, ça adu changer depuis mais ceux des grands mulets et de l'ancien goûter c'était une aventure, surtout quand le vent s'enfilait dans le trou d'évacuation    
 

Et l'orientation, cette foutue orientation.
En montagne quand on vient de la plaine c'est chaud.
Cet été, j'avais ma trace GPS, je devais passer par un tout petit col encastré entre deux pics, sauf que le sentier suivait parallèlement la ligne de crête, avec aucune visibilité sur les cols, et comme un idiot à un moment donné, je vois que j'ai dépassé le col de 300m.  
Pourtant j'étais à l'affût, persuadé de ne pas avoir vu de sente monter.
Panique.
J'ai dit à mes ados : bon, on continue, on aurait vu la sente partir. 30s plus tard, hop, mon gps me recale...100m avant la sente...c'était le gps qui merdait. Beau temps, mais à flanc de crête il devait manquer un ou deux satellites ptet.
Et j'ai pesté intérieurement, ne comprenant pas pourquoi je n'arrivais pas à identifier de loin l'endroit où il fallait passer.
J'aurais eu une carte papier, ça l'aurait fait, avec une vue globale j'aurais identifié les crêtes, mais avec le petit ecran de l'etrex32x, les lignes de dénivelé 3D ça ne sert pas à grand chose quand on a le nez dans le caca...

Ouai le Verdon c'est sympa avec le sentier Martel mais j'avoue que j'ai eu un gros coup de coeur pour le Mercantour
 
C'est la montagne
 

Oui y'a certainement beaucoup de choses à découvrir et apprendre mais pour l'instant je le mesure pas parce que je l'ai pas affronté.
 
La rando de montagne à 2700m c'était une première et je savais pas du tout à quoi m'attendre, sinon que j'allais en chier
 
J'y repense souvent, c'était au-delà de la rando (on a fini à la corde pour monter un col) et j'ai envie de continuer à vivre ce genre d'expériences.
 
Je vais tranquillement continuer à me fixer des défis et quand je sentirai que je suis bien à l'aise avec le dénivelé en altitude (3k), j'envisagerai le MB en stage avec un guide

Salut à tous

J'ai besoin d'un conseil matos sur le choix des chaussures.

Aujourd'hui j'ai des chaussures D4 pour faire du sentier mais il faut que je bascule sur de la chaussure de montagne.

J'ai regardé un peu ce qu'il se faisait et mon dilemme se situe sur les chaussures cramponnables et non cramponnables...

Je me suis rendu en boutique spécialisée et ce que j'ai vu c'est que les chaussures cramponnables étaient semi-rigides et à priori peu agréables pour de la randonnée de montagne plus classiques (sans neige et sur des parcours qui mêlent sentier et hors sentier).

J'ai vu la Scarpa Ribelle HD et la Sportiva Aequilibrium ST Gore-Tex.

A priori, je ne vais pas faire de l'alpinisme en majorité mais sur un 3000, on peut se retrouver à devoir cramponner donc l'idée ça serait (si ça existe) de trouver des chaussures de montagne hybride qui permettrait d'avoir du confort sur de la rando montagne sur sentier compliqué et d'avoir la possibilité de cramponner si nécessaire ?

Merci par avance pour vos conseils

Les chaussures cramponables sont forcément assez rigides pour être sûr que le crampon ne saute pas avec la flexion de la semelle (pour les crampons d'alpi en tout cas. Je ne parle pas des microspikes ou équivalents).

J'avais vu Salomon qui avait sorti une espèce de sur chaussure cramponable mais aucune idée de ce que ça vaut. Et pour le prix de la chaussure + sur chaussure, il vaut sûrement mieux prendre 2 paires indépendantes.

A titre perso, j'ai une paire de chaussures d'approches pour tout ce qui ne nécessite pas de cramponner (y compris du D+/TD- rocheux a plus de 3000). Et quand j'ai vraiment pas le choix je me nique les pieds avec les grosses cramponables (dernière fois que je les ai sorties, j'ai quand même pris les approches pour la monté au refuge, les grosses étaient sur le sac).

Pareil, j’ai une paire de chaussures d’approche basses et plutôt légères pour les approches d’escalade « simple », et une paire de chaussures d’alpi pour les courses d’alpi.

Ouai du coup faudrait 2 types de chaussures…
 
Je pensais aux randos où sur le circuit parfois t’as besoin de cramponner et parfois pas
 
Du coup j’aurais aimé une paire qui permettent de s’adapter sur le moment.

T’as vraiment beaucoup de rando ou tu as besoin de vrais crampons? Parce que sinon tu peux juste emporter une paire de cramponnettes, ça marche souvent bien.

Non c’est pas la majorité
 
Du coup est-ce que ce modèle pourrait convenir pour quelque chose de polyvalent : https://laventure.fr/chaussures-d-a [...] pcv55pzuSw
 
Ou est-ce que c’est encore trop rigide?