Reprise du message précédent :

Je lis des bouquins de psychologie (Paul Watzlawick), et ce que tu dis a du sens : dans le cadre de certaines thérapies, il arrive que le thérapeute exagère l'état du patient, pour que celui-ci se fasse violence, et casse ainsi le schéma comportemental (ie le problème à résoudre).
Lire ce topic est une thérapie.
 

C'est pas binaire même si c'est plus facile au début lors de la création des groupes, tu peux largement rejoindre des cercles en cours de route, faut juste savoir rester à sa place pour pas froisser des psychorigides qui te verraient comme rivales.  
C'est d'ailleurs même mieux des fois dans le sens où être agrégé au core d'un groupe est un poids. M'enfin ça dépend de ta personnalité jdirais.

Euh la fac c'est quand même pas super l'endroit pour se faire des potes. Surtout si tu connais personne, après pour une fille...

Mayway, électron libre powa \o/

Oki, je peux comprendre  
Curiosité d ema part: c'est par timidité ou pcq posté ta tof sur internet comme ça est contre tes principes (privacy etc)?

  ça se comprend!!
 
Et t'as pas des copines qui ont du poids à perdre? A plusieurs c'est plus... motivant. Non?
 
 
M1 Didactique des Langues, rien que le nom me fait frémir

 
Boarf, je suis pas psycho-rigide de la privacy mais j'ai peur de le devenir, donc par précaution...

C'est pas plus facile pour les filles    

La fac c'est l'horreur, vraiment, surtout sur paname

J'ai pas d'expérience en tant que fille, donc je sais pas

Ah ça sur paname et les alentours je confirme, atroce.

@Black_Jack: C'est tout à fait ça.
 
Sinon, perso, à Évry, j'ai mis presque trois ans à me faire des bons potes.
Mais je suis pas spécialement sociable à la base, faut dire.

 
Toutes les loses se valent sauf une ici :
 

 
J'ai adoré mes années à Jussieu mis à part que la fac était insalubre, les étudiants étaient tous très sympas.

Ben... Entre les groupe de mecs qui ont peur des filles et les groupes de filles (rivalités entre filles, c'est l'horreur), c'est dur... Faut vite aller vers les gens tout seuls, mais bon c'est chiant, c'est + par dépit quoi. (mais ça marche toujours )

Je vois pas le problème. Si on a des difficultés à sympathiser à la fac on aurait les mêmes difficultés à sympathiser ailleurs.

Pourquoi ce "sarcastic"?

 
Jussieu. Pareil. Mes meilleurs années...

Redneck, rien que son ratal africain le place loin devant nous tous

jussieu lyon?

Vous êtes encore déchainés ce soir, j'ai pris plein de pages dans la vue

Ah oui c'est sur mais c'était pour insister que faut pas compter sur la fac pour sociabiliser

 
Perso j'ai pas eu de problème de sociabilisation à la fac... par contre j'approfondissais jamais le contact parce que j'en avais rien à foutre.

A la fac, c'était bizarre : en début d'année je parle à tout le monde, de mon propre gré. Au bout de deux mois j'ai loupé le coche, les clans faits et peu perméables. Donc ça n'est pas qu'une question de timidité, plutôt de codes sociaux (je développe pas hein). Après la question est de savoir si on veut les respecter toussa, pression sociale...

 
Jussieu Paris voyons ! http://chiottes.jussieu.free.fr/

  ²

Moi je recale les gens qui viennent me parler, je repere une ou deux moches qui prennent les cours à l'ordi en amphi pour me les envoyer et basta, merci mon casque et mon ipod, ça me permet d'éviter d'entendre les gens.

Pourquoi les moches?

Classe  

Parce qu'elles croient qu'on s'interesse à elles

Et au départ quand t'étais tout seul, tu mangeais tout seul à la fac?      

Looser. Tu peux pas nikay les plus jolies  

Ah ça c'est sur

C'est pour ça que quand on me parle de timidité, ça me fait sortir de mes gonds. Il y a une histoire de codes sociaux (et parfois d'appartenances sociales, les fils à papa me dédaignaient par avance !)
Je suspecte d'anciens losers (pas sur ce topic hein) qui se sont mis à fumer pour rejoindre des fumeurs, socialiser plus facilement. Ca fait toujours ça à partager.
Mais quand (comme moi) on est anti-tabac ²

 
Y a pas de rapport il profite des moches pour les cours et peut très bien pootrer les filles doesables
 
Mais là, splus un loser