Reprise du message précédent :
Bon je sais pas trop où poster, si c'est sur le topiku, le topic greluche (mais je suis un garçon), le topic paris,  ici ou sur un thread que je connais pas, mais au pif je poste ici on me redirigera.

Je veux tester une épilation de "la zone critique" ( du pubis jusqu'à la rondelle) sur Paris. Vous avez des adresses ? Ce WE je pars en WE avec quelqu'un qui kiffe ce look là, à coup de rasoir j'y arrive mais j'ai pas envie de me faire chier à me raser la zone tous les jours en WE .

Tiens en parlant de ça, j'ai dû arrêter pour ma part, j'avais chaque fois la peau en feu et des boutons disgracieux persistant pendant plusieurs jours, autant dire que c'était pas très attrayant... (et sans parler de la douleur à l'épilation ) Et pourtant j'hydratais bien la peau
Bon par contre la peau est nickel pendant une à deux semaines, c'est bon...
Si quelqu'un a des conseils...

Ya un topic épilation quelque part...
 

 
Napalm

http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 2889_1.htm 90 pages de topic et il est actif \o/

Ah bah voilà, j'ai cherché vite fait mais je le voyais pas...

Direct dans mes favoris !
Merci pour la découverte

Je sors de ma caverne après mon retour de congés, mais du coup je suis intéressé par le nom du gars ou de ses films.  

 
grillé en pleine barre de rire pendant mon taff (open space pas powa)

 
C'est dommage de l'orienter aussi clairement gay je trouve, je vois pas pourquoi le mâle hétéro pourrait pas aussi se faire beau

c'est vrai que c'est un peu bizarre. Enfin bon j'ose espérer qu'ils demandent pas une attestation d'homosexualité à leurs clients

Ya un questionnaire à l'entrée avec des tests imparables tels que "Citez 10 chansons de Lady Gaga." ou "Combien de paires de chaussures Elton John possède-t-il ?"

ou emettre 2~3 commentaires graveleux
 
si le mec leve les yeux aux ciels, c'est bon
 

ce soir à 23h45 sur arte :
 

Et s'il te met son poing dans la figure ?  
 
Bon les amis, j'ai pas d'idée pour le sondage de septembre... Vos suggestions sont les bienvenues

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c'est pas de loi dont il y a besoin, c'est de moyens.

 
 
A mon avis, ce ne sont pas les enfants qui sont intolérants mais les parents de ces enfants. Les enfants répètent mots pour mots ce que peuvent dire leurs parents dans de telles situations.
Après les enfants sont méchants entre eux dès que tu ne corresponds pas à une certaine norme...typiquement ils ne seront pas plus méchants que si l'enfant est gros, petit, très grand, porte des lunettes ou  si il a un handicap physique.
Après de nombreux échanges avec d'autres homoparentaux, les enfants répondent très naturellement et adaptent  leurs discours en fonction des personnes qu'ils ont en face d'eux.
 
De notre coté, notre fils va encore à la crèche mais tout se passe très bien que se soit avec les professionnels, les enfants et les parents.
Quand j'arrive le soir récupéré notre fils, tous les enfants disent: (prénom de notre fils), c'est ton papa du soir.  

J'aime bien l'idée de question sur l'orientation, je vais faire un sondage là-dessus.
 
J'ai du mal à imaginer qu'on puisse légiférer pour condamner l'intolérance envers les enfants de couples homoparentaux. Je pense d'ailleurs qu'on a déjà les moyens de sanctionner les débordements entre enfants ainsi que les discriminations par les enseignants. Le plus dur, à mon avis, est de les détecter.

 
Perso, mon orientation bi a longtemps (genre pendant 10 ans on va dire même si ça a été progressivement moins le cas de 12 à 22 ans) cachée par ma forte attirance pour les filles. Si à l'époque où je faisais du rugby j'avais clairement aucun intérêt pour mes coéquipiers ( j'avais 13 14 ans) même nu sous la douche, au moment de l'entrée au lycée y avait déjà la conscience d'un intérêt que j'avais du mal à définir pour les hommes plus agés, charismatiques, virils, stricts. Dans une société où la pédérastie et l'amour socratique auraient été répandue et socialement acceptée, il est fort probable qu'il aurait pas fallu me pousser très fort pour devenir un éromène aussi tôt qu'à 14-15 ans. Je me souviens assez clairement d'avoir eu des fantasmes sexuels avec mon prof d'histoire de première même si j'en avais un peu honte de vouloir le sucer.  
 
Au final, il aura fallu attendre ma vraie première grosse déception avec une fille pour que j'agisse et m'amuse avec des garçons à 22 ans. C'est un peu bête et si la société avait été différente, j'aurai peut être perdu beaucoup moins de temps, parce que ça m'a beaucoup aidé dans mes relations affectives de coucher avec des mecs. Y compris (voire surtout) avec les filles.

Hop, nouveau sondage, un petit QCM pour préparer la rentrée scolaire

 
Pour moi ça a toujours été relativement évident, j'ai toujours eu des fantasmes avec des filles, je n'ai jamais trouvé ça mal ni anormal, quand j'ai eu l'occasion d'essayer je l'ai fait, et voilà.
 
Après c'est relativement "confortable" pour moi vu que je sors quand même très majoritairement avec des mecs, donc dans les faits je n'ai pas trop à assumer ma bisexualité, ni à faire de coming out, etc.

Comment on "choisit" son orientation sexuelle ?

Toi aussi tu trouves ça bizarre ?
De mon côté ça a été une découverte. Au collège j'ai compris la nature de ce que je ressentais quand je voyais certains garçons (notamment un petit blondinet aux yeux bleus dénommé Florent ). C'était très naturel pour moi, et comme  mes parents n'avaient jamais cherché à m'inculquer des principes moraux dans ce domaine, je n'ai pas eu de difficulté à accepter mon orientation.

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drap'  

 
Bah moi également je peux choisir avec qui je vais réaliser, mais la pulsion je choisi pas envers qui je vais l'avoir. C'est ça de pas choisir son orientation sexuelle, on choisit pas par quoi on est excité. Après évidemment on choisi ou pas de suivre cette pulsion.  
 
J'ai des envies de relations physiques avec les deux sexes, et avec toute sorte de gens. ça veut pas dire que je vais faire ma vie ou coucher avec toute les personnes qui m'attirent.

Oui voilà, je vois ça pareil : on a des pulsions, des attirances, des envies, et on choisit d'agir ou pas. De la même façon on choisit d'assumer ou non son orientation sexuelle (par exemple pour un(e) bi, ne pas s'engager dans des relations homosexuelles).
Choisir, pour moi, ça revient à prendre une personne au hasard, pour laquelle on ne ressent rien au préalable, et par la seule volonté, à développer une attirance à son égard. Ce n'est pas comme ça que je fonctionne.

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Je débarque sur le topic et je me présente en vous racontant un peu mon vécu :
 
- je suis un garçon et j'ai connu mes premiers émois sexuels à l'âge de 12 ans avec un autre garçon de ma classe. C'était mon meilleur ami, j'allais souvent jouer chez lui et on jouer "au papa et à la maman", dans sa cave, on se déguisait, on jouait un rôle et on s'attardait de plus en plus sur les parties "au lit" jusqu'à atteindre petit à petit des relations sexuelles "totales" (fellation, pénétration, moi toujours en actif). Ça a duré 4 ans comme ça (de la 6e à la 3e) quasiment une fois par semaine, mais jamais je ne me suis senti homosexuel, ni ne me suis posé de question, personne n'était au courant mais on en avait pas honte, et on avait pas le sentiment de sortir ensemble, c'était juste comme ça.
 
- après ça a été la grande traversé du vide, où je recherchais des filles, j'étais attiré par les filles mais comme j'étais GSNALF ce fut un grand rien (très désespéré avec ce qu'il faut de dépression).
 
- à 20 ans, soit 5 ans après, j'ai rencontré une fille, qui est encore ma copine actuelle (on est ensemble depuis 6 ans). On s'est mis depuis quelques mois au libertinage en visitant des clubs "humides" (mais toujours hétéro, on a pas trouvé de club "Hbi friendly" et on s'est inscrit sur des sites de rencontre (pour le moment sans succès) où je me défini comme "homme bi", bien que je doute l'être vraiment. En fait je ne ressent pas vraiment d'attrait pour les hommes comme ça physiquement, par contre en club les pénis m'attirent, j'y égare un peu mes doigts (mais pas trop pke c'est souvent mal vu), et j'aimerais bien faire une fellation un jour et surtout je fantasme de me faire pénétrer (ma copine joue déjà de ce côté là avec moi), tout en restant très attirés par les filles et en adorant jouer avec elles aussi.
 
Donc voilà, je dirais "à moitié bi" parce que je suis pas attiré par les hommes, mais j'aime bien pratiquer le sexe de groupe avec des hommes et des femmes où tout se mélange sans distinction.

 
Pour les clubs bi friendly je sais pas si ça existe dans ta zone, et effectivement c'est mal vu en club hétéro. Par contre il doit y avoir des possibilités dans des soirées privées. Tu es sur quel site sans indiscrétion ? Moi j'étais en homme seul bi sur netech et j'ai rencontré pleins de couples dont Hbi sans trop de problème.

Je sens comme un gros déni là, tu as couché avec un garçon pendant 4 ans, tu aimes bien toucher des kikis, mais tu n'es pas attiré par les hommes ?

On a une fiche couple Hbi sur netech, mais on est un peu timides et je sais pas on tombe que sur des lapins, des gens qui répondent plus,...

Bah je sais pas, c'est difficile à expliquer, c'est pas quelque chose dont j'ai honte, j'en ai déjà parlé avec quelques très bons amis, je trouve que c'est une expérience fun et je suis plutôt content de l'avoir eu.
Mais par exemple les photos des mecs sur ce topic ne me font ni chaud ni froid, les porno-gay ne m'ont jamais excité, mais en vrai je trouve que c'est plus fun d'échanger avec tout le monde et pas que avec les filles.
Donc je sais pas quel terme mettre, je peux pas dire qu'ils m'attirent pas du tout, mais je peux pas dire qu'ils m'attirent non plus.

T'es apparemment "un peu bi", genre 1 sur l'échelle de Kinsey...
 
C'est moi, ou les mecs bi ont plus souvent tendance à limiter leurs relations homo au cul que leurs relations hétéro ?

 
Vous êtes sur la région toulousaine ? Je peux regarder si j'ai des contacts par là bas à vous recommander si vous voulez, des gens fiables qui vous mettrons pas de lapin et qui sont sympa. Je vous MP mon pseudo netech  
 

 
T'es pas obligé de mettre un nom, ce que décris semble à peu près clair.

C'est rigolo l'échelle de Kinsey, j'en avais jamais entendu parler et là c'est la deuxième fois en quelques semaines
(Mon mec du moment qui se demandait à quel point j'étais attiré par les filles, puis qui en a conclu que je devais être aux alentours de 2, ça m'a fait sourire cette volonté toute scientifique de quantifier la chose )