Reprise du message précédent :
chewing gomme à la nicotine mmmmh... Ca vaut cher?

Drap ! Bon, à part la weed et la salvia, je suis un petit joueur à côté de certains  

hoff, avoir consommé ne veut pas dire qu'on est tous consommeurs réguliers. C'est d'ailleurs pas du tout mon cas, ça fait un bail. J'ai même quelques grammes de weed qui reste et comme j'ai presque arrêté la clop... J'crois que j'vais la filer.

Pareil que toi M300A, je suis un ex toxico

Oh, j'me considère même pas comme ex, c'est très irrégulier. J'suis un espèce d'enfants colérique et capricieux. J'fais de la merde quand l'opportunité se présente, sinon je m'en passe bien.

Ah moi si par contre, j'ai p'tèt tiré deux trois fois sur un pèt en 2010, et j'ai arrêté de fumer en octobre 2010
 
Il me reste le whisky \o/

J'étais pas à une grosse dose, mais ça devenait vraiment systématique. Je compte plus, ça doit faire 3 semaines que j'en ai pas pris. J'attends de voir si je ne compense pas les benzos par l'alcool, si c'est le cas, je suis dans la merde

Stadire que moi je prends (prenais) ça pour dormir

 
Cerveau qui veut pas se débrancher ?

Tu fais un peu de sport à côté? Ça doit pouvoir t'aider un peu jpense.

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Yep. En ce moment j'essaye de l'éduquer, la première leçon (la plus dure) ça a été de lui expliquer que quand il rentre à la maison, il n'est plus au boulot. Mais je crois qu'il a compris maintenant

 
Nope, enfin je fais du tir sportif, mais on va dire que c'est pas vraiment du sport au sens ou on l'entend. Même si ça demande précision, concentration, etc..

Ouep c'est un sport mais pas comme je l'entendais dans le sens dépense physique consistante.  
Jpense que ça pourrait bien t'aider à calmer le cerveau

J'ai super du mal à me vider la tête aussi..
J'avais trouvé le truc..    Un p'tit pétard après le boulot, et je décompressais en moins d'un quart d'heure   , au lieu de 2 ou 3 sans   , et trouver plus facilement le sommeil..  
Mais.. comme je ne sais pas être raisonnable    c'est mieux que j'en ai pas chez moi..   puis en fonction de la qualité du matos, vlà les coups de flippes des fois    
voilà quoi.. pas bien méchant  

 
   
 
J'ai essayé de faire la même chose. Ca a marché peu ou prou. Mais j'ai eu l'impression qu'en lien, mes capacités intellectuelles baissaient. Du coup difficile de gérer les deux.  
 
 
 
Ca m'a fait ça. Je savais pas que c'était lié à l'adrénaline tiens.  

Le pétard d'après-boulot est essentiel... Comme celui d'après-manger, en fait !

 
Changez de boulot

J'aime bien mon boulot

En lien avec ton QI ?  

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Ouais, tu t'es empoisonné, ni plus ni moins !

Sub et Bup ont-ils des effets radicalement différents?

Ce topic est accepté tant qu'il ne s'agit pas de se la mesurer ou de nous sortir la recette du parfait petit chimiste toxico, je vous fiche mon billet qu'il sera fermé si ça commence à dériver sur "ouais quand tu mélanges de l'eau de javel avec de la poussière de cafard doré ça te met une méchante claque" etc..
 
Bref, c'est un topic "Narcotiques Anonymes", qui est le pendant d'un topic "Alcooliques Anonymes", et donc, tu t'appelles Le Roi du Cialis.
 
                 
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- Bonjour, Le  Roi du Cialis

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2mg d'un coup si t'as pas une bonne tolérance ça fait beaucoup (trop) je pense, c'est un coup à se faire bien peur ou à finir noyé dans son lit  
 

 
sub = nom du médoc, bup = nom de la substance active  

Je confirme ce que disais Vlad sur les opiacés et la nicotine    
 
Pour ma petite histoire : gros consommateurs de cannabis pendant quelques années, sur la fin je tournait bien à une bonne dizaine de cônes/jour, sans compter les "extra des week-end" à base de prod divers et variés, sans avoir jamais touchés les opiacés.
 
Suite à des problèmes de santé important (pancréatite aigüe) admission hospital, douleur extrême qui n'étaient calmées que par injection de morphine en intra.
Bon évidemment au début, ça ne faisait que calmer la douleur, mais une fois mon état de santé amélioré, et les douleurs moins fortes, j'ai pu découvrir les effets des opiacés.  
Je rentrerai pas dans les détails, la littérature sur les effets est assez importante pour que chacun se fasse son idée, mais franchement, y'a pas mieux/pire comme sensation selon moi.
Vu le type d'affection que j'avais et les douleurs que ça peut entraîner, quand tu bip pour signaler ta douleur, personne ne se doute que en fait une perf de paracétamol aurez fait le taff.
 
et je sais pas étant habitué à la consommation de substance diverses et variés, un jour une infirmière tente le placébo, au lieu de ma dose habituelle, ben fallait pas me la faire, j'ai gueulé comme un porc qu'on égorge, jusqu'à obtenir satisfaction, tout en faisant croire à des douleurs extrêmes
Une fois sorti de l'hosto, les injection on été remplacé par un traitement antidouleur à base de sulfate de morphine (j'éviterais le nom de la pillule   pour les oreilles chastes).
pas de bol pour ma gueule rechute 4 mois après et rebelotte deux mois d'hosto, sauf que là c'était pompe à morphine. boucherie des viscère et découpage de paroi abdominale à la clé.
Mais entre mes deux passages à l'hosto, j'ai eu le temps d'aprécier mes pillules, et d'en devenir dépendant
La pompe à morphine, ça fonctionne de la manière suivante : des micros doses dispo toutes les x minutes (-15mn pour ma gueule), que tu peut économiser par paq de 4, je tournais avec un chrono sur mon tel+ alarme, quand j'y repense  
et à nouveau retour chez moi avec mon traitement de sulfate de morphine.
 
j'ai le souvenir d'une nuit ou j'avais du forcer la dose, allongé dans mon canap, à la lumière des lampadaires, sensation comme un léger frisson continu qui monte, un plongeon au plus profond de mon canap. j'allume une clope, bam ça fait des chocapic dans ma tête, euphorie, bien-être, décorporation totale  
Le meilleur/pire trip de ma vie    
 
j'ai mis plus de deux ans pour arrêter  
 

Parait qu'niveau douleur, c'est puissant

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non la pancréatite c'était à 24 ans (30 aujourd'hui) à cause d'une vésicule biliaire pourrie qui créait des calculs boueux qui migraient via le colédoc et bouchait le pancréas, pas la picole  , j'ai fini avec une vésicule biliaire grosse comme une balle de tennis, pour la retirer les toubibs ont du la faire façon moyenâgeuse, d'où les douleurs en plus de la pancréatite plutôt costaud.
je m'en suis pété les molaires. pendant mes crises de douleurs les plus importantes, pour préserver les dents, je portais un protège dent.

la morphine était nécessaire afin de pouvoir supporter les douleurs, et même a des doses importantes, les médecins m'avaient bien expliqué les risques, mais c'était sans compter sur mon "expérience" de la défonce. et je me suis voilé la face, prétextant des douleurs importantes, les toubibs ne pouvaient que me croire.
mes deux passages à l'hosto + charcutage de l'abdomen m'ont fait plonger en pleine dépression, et ça tombait pendant une période bof au boulot + vie personnelle au plus bas, donc j'ai bien plongé, et me suis planqué derrière mes pillules.
sans compter en plus de la morphine j'avais la panoplie anti-dépresseurs.
j'étais suivi par un psy, et c'est lui qui a tirer la sonette vis à vis de la morphine. l'arrêt total et brutal ne pouvait se faire de toute façon à cause des douleurs résiduelles (douleur pancréas+post op) qui ont perduré assez longtemps. et pourtant c'est pas faute d'avoir testé, la panoplie complète de tous les antalgiques.

la technique ça a été une diminution des doses extrêmement progressive sur quasi 3 ans, remplacé progressivement par feu di-antalvic (pour la partie antalgique) et gros suivi psy pour le global.

je n'ai eu par chance aucune période de manque hard core à tout pêter vis à vis de la morphine, par moment il m'est arrivé de vouloir en reprendre, mais dans ces cas là un gros joko bien tassé + un bon jack et au dodo

edit : le manque était plutôt psychique que physique