Reprise du message précédent :
 
 
oui mais avec l'autre danse la danse, c'est pareil, mais c'est pas pareil du tout !  
 
Allez, la prochaine fois, on danse  

Tiens, pour sortir de mes histoires d'AUM, je vais vous raconter mon histoire de GSNALF, mais alors là nul de chez nul, dans le sens pourri, lâche, enterrez-le  
Cette histoire m'a poursuivi longtemps, et mes remords ne sont partis que relativement récemment, dans un épilogue que vous lirez à la fin (comme un épilogue quoi)
 
Etudiant, j'étais avec la même nénette, que j'aimais profondément, depuis longtemps. Nous essayions alors de vivre dans mon 20m² (la bohééémeuuu), sans nous taper dessus. La promiscuité, la routine, les emmerdes de pognon... c'était pas tous les jours facile.    
 
J'ai à cette époque rencontré dans ma fac La fille.    Affinités, attirance animale... tout y était; mais elle aussi était maquée depuis longtemps.  
Aussi, nous savions pertinemment qu'entre nous c'était explosif, que quand on se croisait chaque pore de nos peaux voulait la sueur de l'autre, mais nous avions peur.   ,Nous n'avons donc rien fait: nous nous sommes touchés les mains, un peu pleuré sur nos sorts quand nous étions seuls ensemble, et voilà.    
Fin de la fac. Nos chemins se séparent définitivement, bien que ne s'étant jamais réellement croisés comme nous le désirions. Elle part sur Paris avec son mec, je reste et commence à travailler dans la ville qui nous a vu naître.
 
Nous sommes pourtant toujours restés plus ou moins en contact: tous les trois mois un échange de mail, un sms... par lesquels j'ai appris entretemps que son mec l'avait largué.  
 
1 an plus tard, nous sommes toujours dans le même appart, ma concubine étant toujours aux études. Et bien que nous nous aimions, le climat est de plus en plus régulièrement difficile.  
A la veille de l'été, ma boîte (groupe hôtelier) organise un séminaire d'une semaine dans la capitale, et hasard diabolique, La fille me demande des nouvelles alors que je suis dans l'hôtel qui m'hébergera si près d'elle, seul, pendant une semaine.  
 
A ce moment je me rappelle ne mettre posé aucune question   : je l'ai appelé, lui ai dit ou j'étais, et lui ai proposé de venir me guider dans la Fête de la musique parisienne, en ce 21 juin. Ce qu'elle a évidemment accepté.
 
La suite ne vous surprendra pas: fête, seuls dans un Paris sous 30°... Sitôt les heures de séminaire achevées (dans le 20eme), je courais la rejoindre dans son appartement sous les combles à Montrouge, où nous avons repris tout ce que nous avions tenté d'enfouir du temps de la fac, tout en perdant chaque soir au moins plusieurs litres de sueur. Une semaine au paradis de la luxure et de l'insouciance. Les quais de Seine mains dans la main, mais ne pouvant se retenir plus d'une heure de caresses parfaitement interdites en public. Arriver en réunion à 9h en ayant dormi 3 heures, mais surtout ne pas vouloir dormir 18h venu.
 
Vendredi. Je dois rentrer. J'ai mon billet de train. Mais je m'en fous. Je coupe mon portable pour le week-end (la famille et ma concubine deviendront folles, seront au bord d'appeler les flics), je m'offre, je nous offre, deux jours entiers de grâce supplémentaire.
Dimanche soir. Je n'ai plus le choix, je rentre. En pleine détresse: j'ai dit à La fille que j'allai agir, quitter, assumer.
 
Et rentré chez moi, je retrouve le visage de l'amour, qui s'est inquiété à mort, a appelé l'hôtel dans lequel normalement je résidais, et a compris... et ne dis rien. Je savais qu'elle avait eu plus ou moins connaissance de cette histoire à la fac (ah, les amis délicats). Mais elle ne dit rien, dit que j'aurais du appeler, au moins ma mère, si j'avais un empêchement,  mais elle ne dit rien de plus. Et du coup moi non plus. Autant par lacheté que parce que je dois réfléchir: quel choix faire, et surtout est-ce que j'ai le choix.
 
Durant les deux semaines suivantes, La fille ne cessera de m'appeler. Message sur message, mail sur mail. Je ne répondrai jamais. Ma compagne entendait bien sûr le téléphone vibrer, voyait mon camouflage géné. Jusqu'à cette soirée où, vers 22h, pendant une soirée télé, l'interphone a retenti. Je ne bouge pas. Nous ne bougeons pas. Qui peut bien sonner à cette heure, sinon pour une erreur; ça sonne deux fois, trois fois.
Et puis, dans la nuit chaude de juillet, par la fenêtre ouverte, j'entends distinctement une voix douce mais forte, que je connais bien, appeler mon prénom. Une fois. Deux fois. Trois fois. Je ne bougerais pas. Je n'ai pas entendu ce que je viens d'entendre. Comme ma compagne, juste à mes côtés: elle non plus n'aura jamais entendu ce qu'elle vient d'entendre.  
 
Silence à nouveau.  
 
Rideau.  
 
Épilogue, il y a quelques mois: je ne suis plus avec la concubine depuis longtemps, j'ai changé d'appart et de boulot. C'est vieux tout ça. Pourtant ça me revient parfois en mémoire; et ça me fait le même effet que le soudain souvenir d'une humiliation enfantine, ça coupe un peu le souffle, fait monter le rouge au front et une boule dans la gorge. Alors je me décide: je chasse La fille sur fb, je la retrouve immédiatement, et lui dit que je lui écrit juste pour m'excuser de mon attitude de l'époque, que j'ai été une vraie merde, et que je suis désolé. Elle me répond dans les dix minutes: c'est une bonne surprise pour elle d'avoir de mes nouvelles. Elle me remercie, me dit que l'eau a coulé sous les ponts. Me dit qu'elle habite à l'île Maurice avec son mec. Elle m'invite comme "ami" sur Facebook.
 
Point.

Un fil de fer avec des bourrelets qui apparaissent, ça va?  

Le hollandais, ou comment transformer une fille méga mignonne en un truc repoussant

Pfffffiou.

oh ce pavé

 
la biere hollandaise est immonde mais leur fromage compense

Putain c'est beau  

Qu'à moitié ! Le smiley je l'utilise pour faire une caricature moqueuse des câlins qui trainent de partout sur ce forum.
Bon dans ton cas c'était également sincère.

 
 
 
surtout c'est d'un kitch, on dirait un remake du lys dans la vallée

j'me demandais qui allait s'extasier devant  

 
il a lu  

Hey vous vous plaignez souvent du manque d'histoires de gsnalf

 
 
je suis un pro de la diagonale
quand je dois lire clémentine autain par exemple

 
Putain, je déteste ce genre de trucs.

Ya du cul dedans, et plein. ça devrait te plaire plutôt.

 
Non, les histoires ratées où on retrouve les gens plus tard, ca m'angoisse.

 
Tu l'as dit tout à l'heure, mais t'as encore envoyé un message, c'est pas ce que j'appelle comprendre. Même avant-hier, t'avais le choix d'aller te balader pour trouver du taff et te confronter au monde extérieur en face dans un environnement safe. T'as réussi à reprendre ton comportement habituel et aller voir ton ex. 'fin. merde, tu te diriges par avec les bonnes infos. Et sinon l'alcool ça attaque les systemes de la mémoire. La mémoire, ça sert à se rappeler ce qui fait mal, majoritairement, histoire de l'éviter et de reprendre son chemin différement.

Bonsoir bonsoir,
Je me connecte sur AUM. Tien, un message.
 

 
J'aime cette méchanceté gratuite féminine  

Bah tant pis je garde ce texte, j'en suis assez content. Ya quelque trucs bien formulé que j'ai réussi à trouver pour raconter mon histoire, ailleurs qu'ici, et en plus développé.  

Mélange de peine et de dégout. J'te fais un câlin, bien que tu ne le mérites qu'à moitié (ou moins), parce que t'as quand même été un con.
Tu partageras avec ton ex, la pauvre.

J'aime bien ton écriture, en tout cas, en dehors des fautes.

 
 
T'arrives à gérer le bordel, t'as ton l'instinct qui marche assez bien. Mais je crois que ton système de prise de décision est monté à l'envers, sérieux.
 
On t'a déjà dit que t'étais contradictoire ? je veux dire c'est une remarque que les gens font à propos de toi ?  
 
/ Bon, j'te lache, mais si un jour tu vas mieux, j'te draguerais pour de vrai. Tu fais chier là à être tout cassée.

 
La dernière phrase est affligeante

 
Nan mais n°1, j'suis pas allée le voir, j'suis tombée sur lui par hasard dans le centre ville.
Et je sais ce qui fait mal, mais je reproduis quand même.

Ptain ça m'a donné envie de chialer ton truc

Oué, rallumage d'AUM, 8 visites, 5 nvx mails    
 
Pour vous apprendre à pas lire mon histoire  

 
Tu l'as dit tout à l'heure, mais t'as encore envoyé un message, c'est pas ce que j'appelle comprendre. Même avant-hier, t'avais le choix d'aller te balader pour trouver du taff et te confronter au monde extérieur en face dans un environnement safe. T'as réussi à reprendre ton comportement habituel et aller voir ton ex. 'fin. merde, tu te diriges par avec les bonnes infos. Et sinon l'alcool ça attaque les systemes de la mémoire. La mémoire, ça sert à se rappeler ce qui fait mal, majoritairement, histoire de l'éviter et de reprendre son chemin différement.

 
Non, on dit que je suis hystérique et instable.

 
faudrait que j'essaie de me quoter tiens  
ça fait comment?
t'as l'impression de te faire l'amour?

 
 
oui, plein, comme quand on aura onze ans
 
 
 
Bah oui, c'est les garçon qui guident hé !
 
Vous vous tournez au milieu. On vous le dit pas, mais en fait on guide en fonction de vous. Alors après on sait plus qui sait qui donne les directions, et alors, ça devient très beau et la tête elle sert plus qu'à être contente et d'observer comment c'est bien d'être à plus qu'un.

Pas faux mais c'était ce que je ressentais sur le moment. Mais c'est assez mièvre oué.

   (euh, dans quel sens? )

 
the ultimate lurker  
sinon "+1"

C'est pas de la méchanceté, c'est de l'honnêteté.
J'ai même trouvé ça gentil de sa part, vu qu'elle te donne un conseil pour améliorer ton annonce.

Dans le sens c'est beau mais bordel c'est triste!

rallumage d'AUM: rien

Par contre toi, ça te dérange pas de traiter H&M d'inculte parce qu'elle connaissait pas ton test à la con (désolée, fallait que ça sorte, même X dizaines de pages plus tard )
Sérieux, tes grandes leçons voilà quoi.
/mon avis.

Tiens je vais rallumer AUM, aprés des mois et des mois sans l'ouvrir (la derniere fois j'avais tenue 2j avant que ça me gonfle Vais je faire mieux cette fois? )

Moi j'ai un charme et 2 visites sur mon profil entièrement vide et sans photo

 
t'es partie à quelle heure de chez toi ?
 
et : non, tu savais pas.