Sino, les traitements blanchissants, il me semble qu'à long terme ça rend l'émail poreux.

Je trouve qu'il y'a deux choses très compliquées dans la vie.  
 
/retour de vacs
/c'était bien même si c'était pas des vacs à 10k à Singap St Gap proof

Il y a cassos et cassos.

1er type de cassos
Ayant vu beaucoup de cassos comme ça chez mes parents, c'est clair que 90% feront rien de leur vie car ils ne cherchent pas à sortir de la misère. Il y a une sorte d'habitude à vivre comme ça qui les dérange plus au bout de 2~3 ans.
Bien souvent, leur vie consiste à :
- avoir un appartement/maison (je parle à la campagne, hein) HLM avec les APL qui paie 80% du loyer. Résultat, plus que 50€ de loyer.
- le RSA (RMI à l'époque) pour acheter les cigarette et payer l'alcool
- l'aide alimentaire de la ville (un carton de nourriture chaque semaine qui normalement permet de manger 3 repas par jour) avec des truc pas dégueulasse    
- une assistante sociel s'occuper des papier pour les aide (edf, etc...)
- soirée au bistro entre cassos de 20h à 1h du matin
 
A noter que les miséreux que fréquenté mes parent étaient pour l'intégralité des célibataire sans enfant (très important) entre 25 et 45 ans.
Aucun se sentait malheureux une fois qu'ils acceptaient leur situation. Pour eux, la vie était tranquille, calme. Journée sans être obliger de travailler/chercher du travail et soirée entre pote.  
 
Ceux là, il y a aucune chance de les ramener dans le droit chemin.
 
2eme type de cassos
Ceux là, sont souvent au chômage et avec des enfant. De par leur responsabilité (enfant), ils sont toujours dans l'inquiétude des factures. Les aides sont plus limité (pas aide alimentaire de la ville, reste les resto du coeur).
De plus, les rendez-vous chez Pole Emploi leur rappel que se sont des merdes et les oblige à "chercher du travail" et donc à affronter la société des "winner" qui les rejettent.
Physiologiquement c'est plus dur pour eux que pour le 1er type de cassos qui n'est plus en compact avec le monde du travail/réel.
 
Plus le chômage dur, plus cela devient dur à les ramener dans le droit chemin car plus le temps passe, plus ils commence à côtoyer les cassos type 1.

Le problème des bains de bouche est il me semble que ça tue tout, y compris ce qui n'est pas nocif et/ou utile.
 
Sino, les traitements blanchissants, il me semble qu'à long terme ça rend l'émail poreux.

Tu comprendras que même à 15% un jeune est plus productif qu'un vieux encrouté de 50 balais, surtout dans les grands groupes où ça ne dégraisse pas régulièrement.

Attends de bosser et d'avoir Charlene de la direction juridique bretagne sud et gégé de la comptabilité stock avec vingt ans d'ancienneté, un bac+1,2 et un meilleur salaire que toi, à qui tu as envoyé 30 mails en deux semaines, passé des coups de fil (horreur: après 16H ou avant 11H) t'expliquer qu'ils ne peuvent rien pour toi à peine le téléphone décroché et AVANT que tu leur poses une question
 
La version cabinet d'avocats c'est la secrétaire juridique qui gagne 3k net avec 20 ans de boite, qui fait ses 35H strictes à la minutes près et t'explique que les photocopies, l'envoi de courrier, taper un transcript ou faire un scan, ça ne relève pas de la convention collective mes couilles.
 
Tu comprendras que même à 15% un jeune est plus productif qu'un vieux encrouté de 50 balais, surtout dans les grands groupes où ça ne dégraisse pas régulièrement.

oui c'est anti bactérien, ça ne fait pas le tri. Mais j'ai du mal à m'en passer, je trouve que ça provoque une sensation de propreté et de fraîcheur de longue durée.

Il y en a qui gagnent beaucoup plus que ça pour ne rien foutre ici

Moi, j ai des mecs qui touchaient 7k€ et qui sont parti en pré retraité avec une rente de 70% de ce salaire.

J'aime pas trop. Çà donne une sensation de bouche "fade", sans aucun goût. Un peu comme si la bouche avait été changé par une nouvelle sortie de l'emballage.
Je réserve ça une fois par semaine.

Il y a cassos et cassos.

1er type de cassos
 
Ceux là, il y a aucune chance de les ramener dans le droit chemin.
 

 
Merci  
 
Mon père à proposé du boulot à un casos, il a dit non trop loin, alors que c'était à 20km pour un billet de 500€.
Et que ce casos en question n'avez pas de problème de transport.
C'est des branleurs et puis c'est tout

Bon après c'est mérité, quand je vois mon état psychologique après un peu plus d'un an dans ce genre de boîte, faut le faire pour tenir jusqu'à la retraite...

Attends de bosser et d'avoir Charlene de la direction juridique bretagne sud et gégé de la comptabilité stock avec vingt ans d'ancienneté, un bac+1,2 et un meilleur salaire que toi, à qui tu as envoyé 30 mails en deux semaines, passé des coups de fil (horreur: après 16H ou avant 11H) t'expliquer qu'ils ne peuvent rien pour toi à peine le téléphone décroché et AVANT que tu leur poses une question
 
La version cabinet d'avocats c'est la secrétaire juridique qui gagne 3k net avec 20 ans de boite, qui fait ses 35H strictes à la minutes près et t'explique que les photocopies, l'envoi de courrier, taper un transcript ou faire un scan, ça ne relève pas de la convention collective mes couilles.
 
Tu comprendras que même à 15% un jeune est plus productif qu'un vieux encrouté de 50 balais, surtout dans les grands groupes où ça ne dégraisse pas régulièrement.

Je trouve qu'il y'a deux choses très compliquées dans la vie.  
 
1/ Apprendre à se connaitre, ce qu'on aime/aime pas/veut/veut pas et essayer que sa vie corresponde à ce "moi" intérieur.
2/ Comprendre qu'on change, l'accepter et implanter ces changements alors qu'on a déjà engagé des choses par le passé qui ne reflètent pas forcément la nouvelle donne.
 
Pour moi ces deux choses sont un boulot permanent, individuel, en couple, en famille et correspondent plus ou moins à la crise de la trentaine/quarantaine quand on ne fait pas ce travail sur soi de manière régulière. Sans faire ça impossible d'être heureux je pense.
 
Déjà avoir l'honnêteté de se voir tel qu'on est, ce qui n'est pas facile, mais en plus sur la durée se dire et accepter que ce n'est pas une affaire pliée et accepter de remettre en cause ce en quoi on croyait/voulait, ça à mon sens c'est le plus compliqué. Surtout appliquer ça aux gens qui nous entourent: couple/famille/enfants je pense que c'est super dur de voir les gens changer quand on ne l'a pas accepté pour soi.
 
En vrac concernant le point 2 je citerais: les vieux beaux/coquettes, les parents qui refusent de voir grandir leurs enfants, les couples qui divorcent, les geeks qui refusent de sortir de leur univers à 25+, les groupes de potes du lycée qui se comportent exactement pareil 10/15 ans après, les différents "nostalgiques" (de disney, de la zik des années 80/90, des DA de leur enfance, de leurs chiens, etc).
 
/retour de vacs
/c'était bien même si c'était pas des vacs à 10k à Singap proof

les différents "nostalgiques" (de disney, de la zik des années 80/90, des DA de leur enfance, de leurs chiens, etc).

Il y a cassos et cassos.

1er type de cassos
Ayant vu beaucoup de cassos comme ça chez mes parents, c'est clair que 90% feront rien de leur vie car ils ne cherchent pas à sortir de la misère. Il y a une sorte d'habitude à vivre comme ça qui les dérange plus au bout de 2~3 ans.
Bien souvent, leur vie consiste à :
- avoir un appartement/maison (je parle à la campagne, hein) HLM avec les APL qui paie 80% du loyer. Résultat, plus que 50€ de loyer.
- le RSA (RMI à l'époque) pour acheter les cigarette et payer l'alcool
- l'aide alimentaire de la ville (un carton de nourriture chaque semaine qui normalement permet de manger 3 repas par jour) avec des truc pas dégueulasse    
- une assistante sociel s'occuper des papier pour les aide (edf, etc...)
- soirée au bistro entre cassos de 20h à 1h du matin
 
A noter que les miséreux que fréquenté mes parent étaient pour l'intégralité des célibataire sans enfant (très important) entre 25 et 45 ans.
Aucun se sentait malheureux une fois qu'ils acceptaient leur situation. Pour eux, la vie était tranquille, calme. Journée sans être obliger de travailler/chercher du travail et soirée entre pote.  
 
Ceux là, il y a aucune chance de les ramener dans le droit chemin.
 
2eme type de cassos
Ceux là, sont souvent au chômage et avec des enfant. De par leur responsabilité (enfant), ils sont toujours dans l'inquiétude des factures. Les aides sont plus limité (pas aide alimentaire de la ville, reste les resto du coeur).
De plus, les rendez-vous chez Pole Emploi leur rappel que se sont des merdes et les oblige à "chercher du travail" et donc à affronter la société des "winner" qui les rejettent.
Physiologiquement c'est plus dur pour eux que pour le 1er type de cassos qui n'est plus en contact avec le monde du travail/réel.
 
Plus le chômage dur, plus cela devient dur à les ramener dans le droit chemin car plus le temps passe, plus ils commence à côtoyer les cassos type 1.

En vrac concernant le point 2 je citerais: les vieux beaux/coquettes, les parents qui refusent de voir grandir leurs enfants, les couples qui divorcent, les geeks qui refusent de sortir de leur univers à 25+, les groupes de potes du lycée qui se comportent exactement pareil 10/15 ans après, les différents "nostalgiques" (de disney, de la zik des années 80/90, des DA de leur enfance, de leurs chiens, etc).

Il y a cassos et cassos.

1er type de cassos
Ayant vu beaucoup de cassos comme ça chez mes parents, c'est clair que 90% feront rien de leur vie car ils ne cherchent pas à sortir de la misère. Il y a une sorte d'habitude à vivre comme ça qui les dérange plus au bout de 2~3 ans.
Bien souvent, leur vie consiste à :
- avoir un appartement/maison (je parle à la campagne, hein) HLM avec les APL qui paie 80% du loyer. Résultat, plus que 50€ de loyer.
- le RSA (RMI à l'époque) pour acheter les cigarette et payer l'alcool
- l'aide alimentaire de la ville (un carton de nourriture chaque semaine qui normalement permet de manger 3 repas par jour) avec des truc pas dégueulasse    
- une assistante sociel s'occuper des papier pour les aide (edf, etc...)
- soirée au bistro entre cassos de 20h à 1h du matin
 
A noter que les miséreux que fréquenté mes parent étaient pour l'intégralité des célibataire sans enfant (très important) entre 25 et 45 ans.
Aucun se sentait malheureux une fois qu'ils acceptaient leur situation. Pour eux, la vie était tranquille, calme. Journée sans être obliger de travailler/chercher du travail et soirée entre pote.  
 
Ceux là, il y a aucune chance de les ramener dans le droit chemin.
 
2eme type de cassos
Ceux là, sont souvent au chômage et avec des enfant. De par leur responsabilité (enfant), ils sont toujours dans l'inquiétude des factures. Les aides sont plus limité (pas aide alimentaire de la ville, reste les resto du coeur).
De plus, les rendez-vous chez Pole Emploi leur rappel que se sont des merdes et les oblige à "chercher du travail" et donc à affronter la société des "winner" qui les rejettent.
Physiologiquement c'est plus dur pour eux que pour le 1er type de cassos qui n'est plus en contact avec le monde du travail/réel.
 
Plus le chômage dur, plus cela devient dur à les ramener dans le droit chemin car plus le temps passe, plus ils commence à côtoyer les cassos type 1.

Il a fait supelec. Il avait un gros potentiel. Et il est probablement bon quand il le veut.

 
ça c'est très vrai...
 
Combien de mes "amis" sont en décallage complet car ils refusent de grandir...

 
T'as l'effet essorage et historique.
 
Le mec a été, peut être, essoré quand il c'est investit dans la boite et maintenant n'en fait pas plus que sa fiche de poste mais à la connaissance des choses pour que quand ça merde vraiment il soit le seule a pouvoir faire quelque chose et/ou régler le problème rapidement.

Et puis c'est difficile de faire un licenciement sur un père de famille avec 20ans de boites qui fait le taf de sa fiche de poste mais pas plus. Va prouver qu'il est pénalisant pour ta boite.

En tout cas, en me renseignant sur ce que sont devenues d'anciennes connaissances de prépa / école, y en a un bon paquet qui se sont redirigés vers l'enseignement, même après des écoles de top niveau (X notamment...)

Je penche dangereusement vers ce côté

En plus en maths a priori on peut vite se sortir des endroits moisis

les différents "nostalgiques" (de disney, de la zik des années 80/90, des DA de leur enfance,

Il y a cassos et cassos.

1er type de cassos
Ayant vu beaucoup de cassos comme ça chez mes parents, c'est clair que 90% feront rien de leur vie car ils ne cherchent pas à sortir de la misère. Il y a une sorte d'habitude à vivre comme ça qui les dérange plus au bout de 2~3 ans.
Bien souvent, leur vie consiste à :
- avoir un appartement/maison (je parle à la campagne, hein) HLM avec les APL qui paie 80% du loyer. Résultat, plus que 50€ de loyer.
- le RSA (RMI à l'époque) pour acheter les cigarette et payer l'alcool
- l'aide alimentaire de la ville (un carton de nourriture chaque semaine qui normalement permet de manger 3 repas par jour) avec des truc pas dégueulasse    
- une assistante sociel s'occuper des papier pour les aide (edf, etc...)
- soirée au bistro entre cassos de 20h à 1h du matin
 
A noter que les miséreux que fréquenté mes parent étaient pour l'intégralité des célibataire sans enfant (très important) entre 25 et 45 ans.
Aucun se sentait malheureux une fois qu'ils acceptaient leur situation. Pour eux, la vie était tranquille, calme. Journée sans être obliger de travailler/chercher du travail et soirée entre pote.  
 
Ceux là, il y a aucune chance de les ramener dans le droit chemin.
 
2eme type de cassos
Ceux là, sont souvent au chômage et avec des enfant. De par leur responsabilité (enfant), ils sont toujours dans l'inquiétude des factures. Les aides sont plus limité (pas aide alimentaire de la ville, reste les resto du coeur).
De plus, les rendez-vous chez Pole Emploi leur rappel que se sont des merdes et les oblige à "chercher du travail" et donc à affronter la société des "winner" qui les rejettent.
Physiologiquement c'est plus dur pour eux que pour le 1er type de cassos qui n'est plus en contact avec le monde du travail/réel.
 
Plus le chômage dur, plus cela devient dur à les ramener dans le droit chemin car plus le temps passe, plus ils commence à côtoyer les cassos type 1.

Si tu deviens prof de maths tu fais un prix pour des cours particuliers pour mes gamins ?

En tout cas j'essaierai d'en donner, c'est pas mal payé quand t'es agrégé
Par contre je risque fortement de ne plus être sur Paris et environs