T'as vécu là bas y a combien de temps Cavatines ?

De mémoire à Tokyo les vélos roulent sur le trottoir non ? C'était galère de marcher.

Y a combien de temps, pas combien de temps.

 
J'ai beaucoup aimé vivre là-bas, même si on y mange très mal.
Les portes des habitations constamment ouvertes, le vélo pratiqué à 98%, aucune voiture, la neige...

Tu sais bien que les vélos à TOkyo (et au Japon en général) sont une calamité pour les autorités locales

De mémoire à Tokyo les vélos roulent sur le trottoir non ? C'était galère de marcher.

 
Sorry
2011

 
Je sais pas ce que tu entends par calamite. C'est une des seules choses dont le vol est tolere (plutot un emprunt), et donc retrouve facilement car les velos sont toujours enregistre, avec le parapluie, par les salarymen bourres.
 

 
J'ai passé un tout petit peu de temps dans l'autre bourg hyper étudiant de la Suède, Lund, mais en tant que jeune travailleur. Ce que me racontaient mes collègues en vraie expat c'est que c'est vraiment pas facile de s'inscrire convenablement dans la vie locale, là-bas, y a un cloisonnement considérable entre les différentes couches de la société.

Qu’est ce que je ne veux pas considérer ?
 
Désolé, tu souhaites la mort d’autres personnes pour compenser ce que tu n’es pas capable d’obtenir, c’est pas du réalisme.
 
Personne ne sait comment l’avenir se passe. Les BB ne savaient pas en achetant leur baraque comment ça allait évoluer plus tard
Faut pas se leurrer, tu aurais raté le train du POGNON de la même manière qu aujourd’hui  

Quand tu dis sans apport c'était mort, tu fais référence a un emprunt sur 15 ans, donc plus petit, qui forçait a avoir de l'apport pour compenser ou juste au fait que les banques suivaient pas sans apport ?
 
J’aimerais bien avoir le retour d'autres participants (ou des chiffres), mais quand on a acheté, pas mal de gens de notre entourage qui ont acheté dans les années 80 nous ont dit qu'ils avaient acheté sans apport (mauvais souvenir de leur part ou condition particulière ?)

 
J'ai passé un tout petit peu de temps dans l'autre bourg hyper étudiant de la Suède, Lund, mais en tant que jeune travailleur. Ce que me racontaient mes collègues en vraie expat c'est que c'est vraiment pas facile de s'inscrire convenablement dans la vie locale, là-bas, y a un cloisonnement considérable entre les différentes couches de la société.

 
J'ai passé un tout petit peu de temps dans l'autre bourg hyper étudiant de la Suède, Lund, mais en tant que jeune travailleur. Ce que me racontaient mes collègues en vraie expat c'est que c'est vraiment pas facile de s'inscrire convenablement dans la vie locale, là-bas, y a un cloisonnement considérable entre les différentes couches de la société.

 
Je sais pas ce que tu entends par calamite. C'est une des seules choses dont le vol est tolere (plutot un emprunt), et donc retrouve facilement car les velos sont toujours enregistre, avec le parapluie, par les salarymen bourres.
 

 
Je pense que pour la vraie vie locale c'est difficile oui. Uppsala c'est vraiment très étudiant, donc pas de problèmes d'intégration. J'ai lié avec des suédois (et d'autres nationalités) mais qui étaient très sociables. La plupart, ça les saoulait ces hordes d'étudiants étrangers qui changent tous les 6 mois.

 
LE parapluie
J'adore
Où que tu ailles, t'en as toujours un qui traine et que tu peux prendre, c'est le communisme ultime

 
s'integrer  

 
 
Est ce que c'est pas le cas partout et en particulier pour les expats?

 
 
J'ai des amis qui ont passé des années en Suède.
C'est une société cadenassée, c'est très difficile pour les étrangers.

Personnellement, cela me fait toujours rire ceux qui vénèrent le civisme et la politesse qu'on peut trouver dans ce genre de pays à la société fermée mais qui découvrent une bonne dose de xénophobie qu'une fois arrivé sur place.
Cette xénophobie, nécessaire à l'homogénéité sociale sur place, mais qu'ils n'accepteraient jamais en France.

 
Dans le pire des cas, direction le Combini le plus proche qui te solutionnera ca pour 300Y. Bon ca resiste pas des masses aux Typhons neanmoins, j'en ai encore des souvenirs humides  

Personnellement, cela me fait toujours rire ceux qui vénèrent le civisme et la politesse qu'on peut trouver dans ce genre de pays à la société fermée mais qui découvrent une bonne dose de xénophobie qu'une fois arrivé sur place.
Cette xénophobie, nécessaire à l'homogénéité sociale sur place, mais qu'ils n'accepteraient jamais en France.

 
Je me rappelle au Japon, à un moment je visitais un petit village. A l'arrivée je dépose mon parapluie sur un pont pour prendre une photo, puis je pars visiter le village et je l'oublie... Le soir, en repassant par le pont, je le retrouve à la même place

 
Tout est quasi toujours retrouve au Japon, portefeuille, sac, telephone,... J'avais oublie une corde d'escalade dans un train, retrouvee sans souci, ma copine avait perdu son portefeuille, reapparu avec l'argent liquide toujours a l'interieur. C'est un des trucs ultra plaisant au Japon, ca aide a etre paisible.

Et puis cette retenue et cette politesse c'est un surmoi et une façade. Et le surmoi et la façade c'est juste une forme de fourberie.
 
Ça reste des germaniques trop petits pour avoir fait des guerres dans les siècles récents.

 
Pour s'intégrer en Suède, la première étape est de respecter les coutumes (faire la queue pour monter dans le bus, prendre un ticket pour attendre partout, traverser au feu vert, apprendre la langue..) ce que j'avais commencé à faire. Mais plein d'étrangers là-bas, j'en ai connu - notamment des anglo-saxons - ne faisaient pas l'effort de la langue sous prétexte que beaucoup de suédois parlent anglais.

 
J'y ai pas vécu, j'y suis juste allée une fois, mais j'ai eu l'impression que l'apprentissage de leur langue était là aussi très important.

Tu parles de la "neutralité" suédoise ?

Plutôt que la guerre de 30 ans c'est loin.

 
Pour s'intégrer en Suède, la première étape est de respecter les coutumes (faire la queue pour monter dans le bus, prendre un ticket pour attendre partout, traverser au feu vert, apprendre la langue..) ce que j'avais commencé à faire.  

 
Respecter les coutumes?, ou tout simplement les règles de savoir vivre(-ensemble   )?

Bon j'espere que Hadada fait pas de velo:
https://www.leparisien.fr/video/vid [...] 1481423552
 
Clichy plaque tournante des velos voles  

Comme je l'ai déjà dit, même à l'époque, acheter un logement signifiait faire des sacrifices.

Pour le coup, j'ai l'impression que les gens faisait même plus de sacrifice pour l'achat de leur RP il y a 20-30 ans que maintenant

Pour le coup, j'ai l'impression que les gens faisait même plus de sacrifice pour l'achat de leur RP il y a 20-30 ans que maintenant  

Franchement, je n'en sais rien. A l'époque, l'immobilier était moins cher et l'argent était plus cher. Il n'y avait pas la masse d'information dont on dispose aujourd'hui. Lors d'un achat, on se retrouvait seul avec sa b... et son couteau.

 
La sensation était aussi que "tout était ultra cher", sauf que les taux faisaient que tu remboursais 2x ton appart en 15 ans d'emprunt. Tu mettais juste TOUT le cash que tu pouvais trouver dans la transaction pour minimiser l'emprunt. La sensation d'avoir le couteau sous la gorge était bien présent. Aujourd'hui franchement étant donné les taux tu es beaucoup plus à l'aise à emprunter beaucoup, garder du cash à côté pour l'épargne et c'est ultra sécurisant.

La sensation était aussi que "tout était ultra cher", sauf que les taux faisaient que tu remboursais 2x ton appart en 15 ans d'emprunt. Tu mettais juste TOUT le cash que tu pouvais trouver dans la transaction pour minimiser l'emprunt. La sensation d'avoir le couteau sous la gorge était bien présent. Aujourd'hui franchement étant donné les taux tu es beaucoup plus à l'aise à emprunter beaucoup, garder du cash à côté pour l'épargne et c'est ultra sécurisant.

 
Je croyais que les pays Instagram c'était genre Bali, où tu prends des photos de balançoires sur des paysages paradisiaques qui cachent la misère des locaux.

Instagram est un mauvais terme, par contre je trouve la description très juste.
C'est un pays affichant des valeurs très progressistes, très libérales mais en pratique, très raide et peu ouvert