Tu as tout à fait raison.
 
Y a 2/3 boites dans lesquelles je pourrais aller dans le coin (dans l'une notamment je peux partir rejoindre un ancien collègue pour +25/30% assez rapidement d'ailleurs) mais je me donne encore un an pour finir mon projet actuel (le dernier lot étant assez excitant!).
 
Après on ne peut clairement pas changer de job tous les 6/12 mois, mais contrairement à toi je pense qu'un job où l'on reste 6/12 mois n'est pas un job correct
 
Ce qui me plait c'est de travailler sur une vision, la défendre, suivre sa mise en oeuvre, et j'aime bosser sur des sujets qui ont de l'impact; 6 mois c'est beaucoup trop court.  
 
J'aime le concret; le consulting m'avait justement déplu car tu ne vois jamais la finalité de ce sur quoi tu travailles, et au final tu n'apprends rien car tu n'es pas confronté aux erreurs que tu as pu faire vu que tu n'es plus là !
 
 
Et en effet je pense que je vais très prochainement être bridé dans ce que je veux faire à Montpellier. Il me faudrait soit remonter sur Paris (ma femme a mis son véto), soit aller à l'étranger pour m'éclater vraiment dans mon taffe.
 
Actuellement j'essaye surtout de dresser les contours de ce qui m'éclate vraiment, d'identifier ce après quoi je cours et est-ce que ça me rendra vraiment plus heureux... bref j'ai encore besoin d'un peu de réflexion pour savoir ou je vais, mais si on décide de rester à Montpellier, je resterai probablement dans ma boite encore 10 ans (ce qui n'est pas un drame en soi).

L'étranger pour toi c'est faisable ? Ce serait quels pays ?

 
Tu as tout à fait raison.
 
Y a 2/3 boites dans lesquelles je pourrais aller dans le coin (dans l'une notamment je peux partir rejoindre un ancien collègue pour +25/30% assez rapidement d'ailleurs) mais je me donne encore un an pour finir mon projet actuel (le dernier lot étant assez excitant!).
 
Après on ne peut clairement pas changer de job tous les 6/12 mois, mais contrairement à toi je pense qu'un job où l'on reste 6/12 mois n'est pas un job correct
 
Ce qui me plait c'est de travailler sur une vision, la défendre, suivre sa mise en oeuvre, et j'aime bosser sur des sujets qui ont de l'impact; 6 mois c'est beaucoup trop court.  
 
J'aime le concret; le consulting m'avait justement déplu car tu ne vois jamais la finalité de ce sur quoi tu travailles, et au final tu n'apprends rien car tu n'es pas confronté aux erreurs que tu as pu faire vu que tu n'es plus là !
 
 
Et en effet je pense que je vais très prochainement être bridé dans ce que je veux faire à Montpellier. Il me faudrait soit remonter sur Paris (ma femme a mis son véto), soit aller à l'étranger pour m'éclater vraiment dans mon taffe.
 
Actuellement j'essaye surtout de dresser les contours de ce qui m'éclate vraiment, d'identifier ce après quoi je cours et est-ce que ça me rendra vraiment plus heureux... bref j'ai encore besoin d'un peu de réflexion pour savoir ou je vais, mais si on décide de rester à Montpellier, je resterai probablement dans ma boite encore 10 ans (ce qui n'est pas un drame en soi).

 
Tout est faisable, on n'a pas d'attaches, et être loin des familles ne nous pose aucun problème, au contraire (pour bouger je peux de toute manière demander une dispo de 3 ans, donc risque 0).
 
Pas encore de shortlist, faut visiter encore qq villes (mais en gros ni Amérique du sud ni Afrique ou moyen orient).
 
 
J'ai failli postuler dans une boite américaine plutôt sexy dans mon domaine qui a un site ici, mais j'ai bien fait de temporiser un peu vu la situation actuelle! Je verrai s'il y a des offres l'an prochain, ça pourrait être un point d'entrée pour les US dans qq années (les US restent de toute manière le must dans l'IT).

 
La poste américaine est plus proche de la faillite qu’autre chose tu sais  

Et 300k qui change pas la vie

Tu es de quelle région ?

Pour les entretiens, c’est relativement vrai. Et pour être honnête, ça me fait chier de réviser juste pour passer un entretien, donc je tente de naviguer pour éviter ça. D’où aussi un intérêt pour moi de ne pas rester simple développeur et de jouer sur les soft skills.

J’ai une position ambiguë sur le processus de recrutement made in Silicon Valley. C’est vraiment fait pour éliminer des mauvais plus que de trouver des bons. Quand je vois des gens autour de moi s’entraîner pendant des semaines / mois pour passer des entretiens, perso je n’y arrive pas, ça me fait chier

   
 
Qu’on soit bien clair, je ne dis pas que changer tous les 6-12 mois soit une bonne chose. J’aime aussi construire, que ce soit un produit ou une équipe. Le côté 6 mois c’est plus pour démontrer l’abondance de l’offre plus qu’autre chose.
 
Le consulting d’expertise, c’est quand même différent. Tu peux faire des erreurs, mais tu viens aussi avec ton expérience et savoir faire. Donc c’est pas comme si tu ne sais pas où aller et que tu n’as jamais vu le problème avant (du moins un truc similaire) se dérouler sur le long terme.
 
Le côté ralenti de certaines boites françaises a son bon côté, quand ça marche il y a moins de chance que quelqu’un vienne tout peter rapidement   la seule boîte de laquelle je me sois barré pour des raisons non professionnelles était ma dernière boîte en France.
 
Ta femme pourrait bosser à l’étranger ou ce n’est pas un critère pour bouger ? L’adaptation sur Montpellier avait été compliquée à cause de ça si je me souviens bien.

La poste américaine est plus proche de la faillite qu’autre chose tu sais  

Mais pour autant aujourd'hui j'ai aussi une partie plus "métier" dans mon job et je fais moins de technique pure qu'avant. Donc je pourrais difficilement faire valoir ces 2 casquettes pour un job en SV ou la compétition est extrême et le niveau d'entrée élevé. C'est vraiment le truc qui m'a toujours rebuté, bien que la région a l'air sympa (plus que Aix ou Montpellier par exemple  ).

Salut,
Tiens je pense à un truc dans la vie.
J'ai des potes que je connais depuis que je suis étudiant.
Y'en a ils avaient tout le temps de la thune, et les autres ils se plaignaient tout le temps de pas avoir de tunes.
Maintenant on a grandi, on a tous de situations diverses. Et ben les mêmes qui arrivaient à joindre les deux bouts à l'époque étudiante ils y arrivent encore très bien et ceux qui avaient jamais de thune, ben ils en ont toujours pas.
 
Donc on voit bien que avoir de la thune ou pas, ça a rien à voir avec le revenu.
Mais alors ça vient d'où ?

Salut,
Tiens je pense à un truc dans la vie.
J'ai des potes que je connais depuis que je suis étudiant.
Y'en a ils avaient tout le temps de la thune, et les autres ils se plaignaient tout le temps de pas avoir de tunes.
Maintenant on a grandi, on a tous de situations diverses. Et ben les mêmes qui arrivaient à joindre les deux bouts à l'époque étudiante ils y arrivent encore très bien et ceux qui avaient jamais de thune, ben ils en ont toujours pas.
 
Donc on voit bien que avoir de la thune ou pas, ça a rien à voir avec le revenu.
Mais alors ça vient d'où ?

culture éco & financière, en général inculqué par ton milieu d'origine

Salut,
Tiens je pense à un truc dans la vie.
J'ai des potes que je connais depuis que je suis étudiant.
Y'en a ils avaient tout le temps de la thune, et les autres ils se plaignaient tout le temps de pas avoir de tunes.
Maintenant on a grandi, on a tous de situations diverses. Et ben les mêmes qui arrivaient à joindre les deux bouts à l'époque étudiante ils y arrivent encore très bien et ceux qui avaient jamais de thune, ben ils en ont toujours pas.
 
Donc on voit bien que avoir de la thune ou pas, ça a rien à voir avec le revenu.
Mais alors ça vient d'où ?

Ils étaient financés de façon équivalente ?

Sûrement pas y'avait de tout

D'où le questionnement sur ce qui m'éclate le plus et dans quel domaine me spécialiser (alors qu'en fait ce qui m'amuse c'est justement de pouvoir faire le grand écart )

Salut,
Tiens je pense à un truc dans la vie.
J'ai des potes que je connais depuis que je suis étudiant.
Y'en a ils avaient tout le temps de la thune, et les autres ils se plaignaient tout le temps de pas avoir de tunes.
Maintenant on a grandi, on a tous de situations diverses. Et ben les mêmes qui arrivaient à joindre les deux bouts à l'époque étudiante ils y arrivent encore très bien et ceux qui avaient jamais de thune, ben ils en ont toujours pas.

Donc on voit bien que avoir de la thune ou pas, ça a rien à voir avec le revenu.
Mais alors ça vient d'où ?

J'avoue que c'est un aspect que j'aime dans mon job actuel, mais j'ai l'impression que c'est assez rare de pouvoir conserver les deux à long terme (la technique, et le fonctionnel ou le management, à un moment il faut choisir).

Salut,
Tiens je pense à un truc dans la vie.
J'ai des potes que je connais depuis que je suis étudiant.
Y'en a ils avaient tout le temps de la thune, et les autres ils se plaignaient tout le temps de pas avoir de tunes.
Maintenant on a grandi, on a tous de situations diverses. Et ben les mêmes qui arrivaient à joindre les deux bouts à l'époque étudiante ils y arrivent encore très bien et ceux qui avaient jamais de thune, ben ils en ont toujours pas.

Donc on voit bien que avoir de la thune ou pas, ça a rien à voir avec le revenu.
Mais alors ça vient d'où ?

 
Je viens de banlieue parisienne.
 
Tu confirmes ce que j'ai entendu sur la SV, quand tu n'as pas de réseau sur place il faut passer l'étape des entretiens techniques. Franchement j'ai passé l'âge de faire du leetcode en mode bootcamp pour espérer décrocher un job de senior software Engineer sur un coup de chance, après 40 échecs.
 
Je pense pourtant être moins mauvais qu'au début, essentiellement parce que je bosse avec des très bons et que je me suis pris beaucoup de coup de tatane qui m'ont fait progresser. Mais pour autant aujourd'hui j'ai aussi une partie plus "métier" dans mon job et je fais moins de technique pure qu'avant. Donc je pourrais difficilement faire valoir ces 2 casquettes pour un job en SV ou la compétition est extrême et le niveau d'entrée élevé. C'est vraiment le truc qui m'a toujours rebuté, bien que la région a l'air sympa (plus que Aix ou Montpellier par exemple  ).

Salut,
Tiens je pense à un truc dans la vie.
J'ai des potes que je connais depuis que je suis étudiant.
Y'en a ils avaient tout le temps de la thune, et les autres ils se plaignaient tout le temps de pas avoir de tunes.
Maintenant on a grandi, on a tous de situations diverses. Et ben les mêmes qui arrivaient à joindre les deux bouts à l'époque étudiante ils y arrivent encore très bien et ceux qui avaient jamais de thune, ben ils en ont toujours pas.
 
Donc on voit bien que avoir de la thune ou pas, ça a rien à voir avec le revenu.
Mais alors ça vient d'où ?

Et donc si je résume vous pensez valoir plus que ces gens mais vous êtes payé moins ?

Tiens je viens de recevoir ma lettre de bonus/augment:
Globalement assez content, 3% d'augment, un peu plus de 8% de bonus (en plus de 6% d'I/P), ça fait un package brut à presque 85k...
Bon par contre le paiment est étalé sur l'année du au Covid...:o

 
Pas mal    
 
Dans le 85 tu comptes l'I/P?