mais c'est la vérité, comme le dit l'article, avec un petit salaire quand on a 3 enfants le crédit on se le met profond, et on capitalise pour payer comptant, c'est ça la vraie vie  
 

mais c'est la vérité, comme le dit l'article, avec un petit salaire quand on a 3 enfants le crédit on se le met profond, et on capitalise pour payer comptant, c'est ça la vraie vie

étonnant... même en CDI on a eu aucun accord de prêt, tu es bien en couple avec 3 enfants en bas age ??
Si ce n'est pas le cas, ton avis est tout aussi hypocrite que l'article que tu dénonces

Et les aides c'est pour tes/les chiens ?

Bah moi je n'en connais aucun et je n'ai aucun désir d'en connaître

Mon entourage vaut ce qu’il veut mais j’ai pas mal d’exemples de couples hypogames féminins ou simplement homogames, et ça rejoint ton constat.

Enfin la pêche est quand même limitée quand on sait que Dante a globalement fait les mêmes mauvais choix. Il défend pas le mec, mais sa propre situation

Non avoir 3 enfants c'est pas "normal", c'est un choix.
Chacun fait ce qu'il veut, mais faut pas se plaindre après.

C'est comme si je faisais 6 gosses et que je venais me plaindre après que j'ai pas de thune. No shit Sherlock.

 
Je vais essayer d'être transparent ce qui me choque dans vos relations.
 
A un moment, la compassion envers plus faible / plus fragile que soit doit être indépendante de son propre vecu.
 
Si je prends mon prisme très personnel, dans son histoire, j'ai énormément de mal avec la partie "je me suis foutu en arrêt car je suis dépressif et du coup ma famille est dans la merde".
 
Parce que ça ne rentre pas dans mon schéma de pensée : on m'a inculqué la résilience et le goût de l effort comme des vertus cardinales et tout au fond de moi j'ai un côté méchant qui me fait penser que la dépression est un luxe pour personnes qui n'ont pas le courage de se battre.
 
D autant plus avec des enfants (j irai perso ramasser la merde si ça devait être nécessaire à nourrir mes enfants).
 
MAIS je ne peux décemment pas juger les autres à l'aune de ça.
 
On ne va pas reprocher à quelqu'un d'être faible.
 
Notre société, pendant les trente glorieuses, à su gérer les faibles (cogip d état, employé de mairie, fonctionnaire, etc).
 
Aujourd'hui, c'est cette population qui se retrouve majoritairement sur les ronds points, de Paris à Santiago en passant par Beyrouth.
 
Et ça n'a l'air d inquiéter personne.

 
Je vais essayer d'être transparent ce qui me choque dans vos relations.
 
A un moment, la compassion envers plus faible / plus fragile que soit doit être indépendante de son propre vecu.
 
Si je prends mon prisme très personnel, dans son histoire, j'ai énormément de mal avec la partie "je me suis foutu en arrêt car je suis dépressif et du coup ma famille est dans la merde".
 
Parce que ça ne rentre pas dans mon schéma de pensée : on m'a inculqué la résilience et le goût de l effort comme des vertus cardinales et tout au fond de moi j'ai un côté méchant qui me fait penser que la dépression est un luxe pour personnes qui n'ont pas le courage de se battre.
 
D autant plus avec des enfants (j irai perso ramasser la merde si ça devait être nécessaire à nourrir mes enfants).
 
MAIS je ne peux décemment pas juger les autres à l'aune de ça.
 
On ne va pas reprocher à quelqu'un d'être faible.
 
Notre société, pendant les trente glorieuses, à su gérer les faibles (cogip d état, employé de mairie, fonctionnaire, etc).
 
Aujourd'hui, c'est cette population qui se retrouve majoritairement sur les ronds points, de Paris à Santiago en passant par Beyrouth.
 
Et ça n'a l'air d inquiéter personne.

 
 
 
Je vais essayer d'être transparent ce qui me choque dans vos relations.
 
A un moment, la compassion envers plus faible / plus fragile que soit doit être indépendante de son propre vecu.
 
Si je prends mon prisme très personnel, dans son histoire, j'ai énormément de mal avec la partie "je me suis foutu en arrêt car je suis dépressif et du coup ma famille est dans la merde".
 
Parce que ça ne rentre pas dans mon schéma de pensée : on m'a inculqué la résilience et le goût de l effort comme des vertus cardinales et tout au fond de moi j'ai un côté méchant qui me fait penser que la dépression est un luxe pour personnes qui n'ont pas le courage de se battre.
 
D autant plus avec des enfants (j irai perso ramasser la merde si ça devait être nécessaire à nourrir mes enfants).
 
MAIS je ne peux décemment pas juger les autres à l'aune de ça.
 
On ne va pas reprocher à quelqu'un d'être faible.
 
Notre société, pendant les trente glorieuses, à su gérer les faibles (cogip d état, employé de mairie, fonctionnaire, etc).
 
Aujourd'hui, c'est cette population qui se retrouve majoritairement sur les ronds points, de Paris à Santiago en passant par Beyrouth.
 
Et ça n'a l'air d inquiéter personne.

 
Je vais essayer d'être transparent ce qui me choque dans vos relations.
 
A un moment, la compassion envers plus faible / plus fragile que soit doit être indépendante de son propre vecu.
 
Si je prends mon prisme très personnel, dans son histoire, j'ai énormément de mal avec la partie "je me suis foutu en arrêt car je suis dépressif et du coup ma famille est dans la merde".
 
Parce que ça ne rentre pas dans mon schéma de pensée : on m'a inculqué la résilience et le goût de l effort comme des vertus cardinales et tout au fond de moi j'ai un côté méchant qui me fait penser que la dépression est un luxe pour personnes qui n'ont pas le courage de se battre.
 
D autant plus avec des enfants (j irai perso ramasser la merde si ça devait être nécessaire à nourrir mes enfants).
 
MAIS je ne peux décemment pas juger les autres à l'aune de ça.
 
On ne va pas reprocher à quelqu'un d'être faible.
 
Notre société, pendant les trente glorieuses, à su gérer les faibles (cogip d état, employé de mairie, fonctionnaire, etc).
 
Aujourd'hui, c'est cette population qui se retrouve majoritairement sur les ronds points, de Paris à Santiago en passant par Beyrouth.
 
Et ça n'a l'air d inquiéter personne.

Le simple fait que tu utilises le mot faible pour décrire une personne sujette à la dépression est soit un manque de connaissance, soit un manque de respect.

 
J'ai fait la distinction entre ce qui est dû ressenti propre à mon vécu (le mot "faible" ) et la compassion nécessaire quand on prends du recul nonobstant sa propre grille de lecture  

La "compassion" sur un forum, ça vaut ce que ça vaut, c'est une simple posture, que tu adoptes de manière active puisque tu poses régulièrement des contenus pour provoquer une situation où tu peux l'exprimer.

Pourquoi fais tu ça ? Que cherches tu?

 
Tu ne lis pas.  
 
 

 
Honnêtement ?
 
Pour essayer de vous faire évoluer sur le sujet  

Dante, on dirait Jean Valjean qui se retrouve à passer la frontière et du coup se permet de chier sur les autres. C'est beau.

 
Je vais essayer d'être transparent ce qui me choque dans vos relations.
 
A un moment, la compassion envers plus faible / plus fragile que soit doit être indépendante de son propre vecu.
 
Si je prends mon prisme très personnel, dans son histoire, j'ai énormément de mal avec la partie "je me suis foutu en arrêt car je suis dépressif et du coup ma famille est dans la merde".
 
Parce que ça ne rentre pas dans mon schéma de pensée : on m'a inculqué la résilience et le goût de l effort comme des vertus cardinales et tout au fond de moi j'ai un côté méchant qui me fait penser que la dépression est un luxe pour personnes qui n'ont pas le courage de se battre.
 
D autant plus avec des enfants (j irai perso ramasser la merde si ça devait être nécessaire à nourrir mes enfants).
 
MAIS je ne peux décemment pas juger les autres à l'aune de ça.
 
On ne va pas reprocher à quelqu'un d'être faible.
 
Notre société, pendant les trente glorieuses, à su gérer les faibles (cogip d état, employé de mairie, fonctionnaire, etc).
 
Aujourd'hui, c'est cette population qui se retrouve majoritairement sur les ronds points, de Paris à Santiago en passant par Beyrouth.
 
Et ça n'a l'air d inquiéter personne.

Même si, OK, un manque de courage de base est un facteur facilitant pour se retrouver dans des situations propices à l'émergence de la dépression (et probablement un facteur direct de renforcement de celle-ci)  je ne crois pas que ce soit à sens unique .  On a des exemples de gens "exceptionnels" qui sont aussi tombés dedans; et une fois dedans, tu ne risques pas d'avoir beaucoup de courage...
 
 

C'est principalement basé sur l'observation de mes difficultés , mais je peux me tromper sur l'enchainement originel des causes et conséquences.

Même si, OK, un manque de courage de base est un facteur facilitant pour se retrouver dans des situations propices à l'émergence de la dépression (et probablement un facteur direct de renforcement de celle-ci)  je ne crois pas que ce soit à sens unique .  On a des exemples de gens "exceptionnels" qui sont aussi tombés dedans; et une fois dedans, tu ne risques pas d'avoir beaucoup de courage...
 
 

J'ai des capacités cognitives faibles depuis 25 ans suite à ma dépression dû à mon manque de courage en prépa    
 
(un neuropsychiatre m'a néanmoins dit que j'avais probablement depuis toujours un traffic de sérotonine pas génial )

 
Je pense aussi que le "moi je suis fort et je ramasserai de la merde le front haut pour nourrir les gosses si besoin" c'est de la théorie, ça n'a de poids concret que quand ça à été vécu.  
 
La même pour les couples qui pensent qu'en cas de séparation tout se passera forcément bien, "elle demandera pas de PC on est d'accord la dessus", faut franchement être naïf pour prendre ce qui se dit quand tout va bien pour argent comptant

Quel ramassis de propos deplaces venant d'un mec dont la contribution sociale s'arrete a poster son avis TripAdvisor sur les Macdo du coin. Y'a des gens qu'osent tout
 
 

Je vais essayer d'être transparent ce qui me choque dans vos relations.
Et ça n'a l'air d inquiéter personne.

 
Je vais essayer d'être transparent ce qui me choque dans vos relations.
 
A un moment, la compassion envers plus faible / plus fragile que soit doit être indépendante de son propre vecu.
 
Si je prends mon prisme très personnel, dans son histoire, j'ai énormément de mal avec la partie "je me suis foutu en arrêt car je suis dépressif et du coup ma famille est dans la merde".
 
Parce que ça ne rentre pas dans mon schéma de pensée : on m'a inculqué la résilience et le goût de l effort comme des vertus cardinales et tout au fond de moi j'ai un côté méchant qui me fait penser que la dépression est un luxe pour personnes qui n'ont pas le courage de se battre.
 
D autant plus avec des enfants (j irai perso ramasser la merde si ça devait être nécessaire à nourrir mes enfants).
 
MAIS je ne peux décemment pas juger les autres à l'aune de ça.
 
On ne va pas reprocher à quelqu'un d'être faible.
 
Notre société, pendant les trente glorieuses, à su gérer les faibles (cogip d état, employé de mairie, fonctionnaire, etc).
 
Aujourd'hui, c'est cette population qui se retrouve majoritairement sur les ronds points, de Paris à Santiago en passant par Beyrouth.
 
Et ça n'a l'air d inquiéter personne.