Reprise du message précédent :
Pour le sport, pas de problème: je fais de la natation (3 fois par semaine).
Mais quel est l'intérét de se reveiller à 7h00 du mat quand t'as rien à faire?

Pendant une certaine période j'ai multiplié les CDD (une vingtaine je pense), et je me suis parfois retrouvé pendant quelques semaines à ne pas travailler.
J'ai constaté que j'avais une telle phobie du chomage que la seule demarche que j'ai faite a été de téléphoner, je ne suis meme pas aller au rendez vous tellement pour moi, et idiotement bien sur, me rendre à ce rendez vous constituait une chose terrible, une fatalité.
Pendant cette période je déprimais pas mal, je tournais en rond, et meme si je savais bien entendu que j'aurais pu faire des tonnes de choses et bien sur l'inquiétude anesthésiait totalement toute possible détente.
Bref je ne suis pas un féru de travail, j'estime qu'énormément de personnes font des choses assez dures, physiquement ou moralement, je ne sais pas si moi je pourrais les faire. Toujours est il que je préfère avoir une activité, meme à mi temps, que rien du tout.
Mais bon enfin c'est moi qui suis habituellement quelqu'un d'assez angoissé, maintenant je connais des personnes, et je peux comprendre, qui profite de cette période pour faire des choses.
Enfin j'espere vraiment que le taux de chomage et de rmiste va baisser, que tout le monde aura un travail et un logement, que les gens ne seront plus culpabilisés si il y a pour eux une période d'inactivité, et que l'on ait un peu plus confiance en nous meme.

bonsoir
oui,le chomage peut etre une chance.
Une chance,une pause pour permettre au chomeur de prendre du recul sur sa vie professsionnelle,une pause pour rechercher de nouveaux moyens de se faire de l'argent,par exemple en creant sa propre entreprise avec l'argent des indemnités de départ et avec les assedics.
Le travail ne laisse en general pas le temps de se retourner sur sa vie et de faire le point;par exemple,se demander si on pourrrait evoluer professionnellement (avec formation,concours interne,etc..),si on peut faire un autre metier plus interessant et/ou mieux payé,meme changer de pays et recommençer sa vie à zero,ou bien en profiter pour faire des choses qu'on aurait pas eu le temps de faire tout en travaillant.
Autre piste possible,travailler au noir tout en touchant les assedics.

 
non.  

 
Aucun interet : on est d'accord ! Inutile de se calquer sur des rythmes qui ne sont plus soutenus par un besoin temporel ! Ca sevirait au plus à "paraître employé ou employable" !
 
Mais il y a 2 autres choses :  
 
Tu peux te lever en periode de chômage à 7 heures du mat ( ou plus tôt ) avec un super désir de bouffer la vie ! exemple : tu te prends de passsion pour telle ou telle oeuvre, art, domaine du savoir, que sais-je...
 
Il faut préciser le sens de "ne rien avoir à faire" que tu emploie dans ta phrase : je ne pense pas que quiconque n'ait rien à faire ! Il n'a plus rien envie de faire : c'est autre chose ! On peu tres bioen être en rade professionnelement et avoir un million de choses à faire !  
 
reste 2 problemes pourtant : la tune et la culpabilité : Ben, faut faire avec la tune qu'on a ( je vois pas d'autres solution ! ) et se laisser vivre un peu par rapport à l'idéal dont on s'écarterait et dont on ressent de la culpabilité !

Je vais même aux entretiens pour des postes qui m'intéressent pas (mais dont ma candidature intéresse des employeurs). Ca me permet de ne pas devenir associale....

Faut vraiment changer le titre de ce topic

 
Ce titre fait penser à du Dolto : dans le genre " L'echec scolaire..., un signe d'intelligence ?"

Trouvé sur un forum...
 

 
le concept du winner...c'est vieux ça

Bon..., c'est quoi, le chômage ?
 
C'est une partie de la population active qui reste à la maison plutot qu'aller au boulot !
 
En gros, cette partie de la population est déconnectée pour un temps d'une participation à un projet national commun avec contrepartie monétaire !
 
Il y a encore contrepartie sans participation, si des droits ont été acquis antérieurement, avec l'épée de Damocles d'un amenuisement complet de cette contrepartie !
 
 
 

 
Quand t'as la corde autour du cou, le concept de ceci ou cela...faut quand même imaginer l'extreme violence en gants blancs infligée par ce systeme...violence que notre bienveillante justice ne menera jamais devant le moindre tribunal...

 
Moi, je suis Okay !
 
La valeur supreme : c'est la production de richesse ! Si l'Etat ne canalise plus cette ressource, on se débarasse de l'Etat, point barre : c'est pas à l'activité humaine de crever !  
 
 

 
Tu veux faire le procès de notre mode de vie depuis un siècle ?

l>
l

Pour ceux qui veulent déprimer:
http://www.actuchomage.org/

bon allez, hop!, réaussage de topic !
 
en préavis payé non effectué depuis le 10 février ... je dors TREEEEEES bien !
 
j'ai été viré comme un malpropre : reconduit à la barrière de badgeage sous prétexte qu'en tant qu'administateur réseau / info, mon employeur avait peur que je fasse une bêtise ...    
comme si j'avais envie de me griller pour mon avenir ...    
 
j'ai eu droit à "insuffisance des résultats", "refus d'intégration", "non respect des procédures" etc...    
 
.... au bout de 9 ans 1/2 de taff dans la boîte !  
il était temps de s'en rendre compte !    
 
enfin, je dors bien, c'est le principal.
 
alors une chance ?
ouais, un mal pour un bien.
avec le recul, je m'aperçois que j'ai fait du taff de ouf pendant ces 2 dernières années, de nombreux déplacements en europe (salarié dans une multi-nationale), travaillé dans de nombreux projets à un niveau européen ... pour finallement <<roulement de tambour>> queudalle en reconnaissance.
m'enfin, merci la boîte, admin réseau de 100 machines, 5 serveurs, 60 utilisateurs (support local), 6 bâtiments, j'aurais appris pas mal de choses.
surtout quand on est le seul employé informatique du site...    
 
maintenant ?
1) je paufine mon CV avec de nombreux sites dédiés à ça ainsi qu'aux lettres de motivation.
2) je me lève tous les jours en même temps que ma moitié (6heures du mat')
3) je m'impose un rythme
- la matinée pour les candidature
- boubouffe vers 12h00-12h30 => pas question de se laisser aller
- l'après midi pour loisir : musique, lecture, photo, jeu micro etc...
4) je reste positif dans ma tête : ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort ©
 
31 candidatures - directement sur / via le net (anpe.fr, apec.fr, ouestjob.com, sudouestjob.com).
4 entretiens positifs, tous des pistes sérieuses ... en SSII
qui sait, je trouverais peut-être du taff avant le 10 mai, fin de mon préavis.
 
ah aussi, prud'hommes à venir pour licenciement abusif
je dépose le dossier la semaine prochaine.
 
voilà, si les chômeurs (ou ex-chômeurs, ou même les autres ) d'HFR ont des bons tuyaux, ce sera toujours bien venu.
 
A+

Je considère ma période de chomage (6 mois, licenciement économique après 2 ans de taff) comme une chance (logé/nourri par les parents).
Ca m'a permis de découvrir pleins de domaines, de m'interresser à différente choses (étant chomeur, on a droit à pleins de réductions pour les expositions, les musées, les concerts, etc...). Me remettre en question également, devenir plus mature.
 
Au bout de 6 mois j'étais heureux de reprendre un emploi (plus en accord avec mes gouts en plus), j'en suis sorti grandi.

 
-1
 
C'est en démissionnant à l'arrache que j'ai trouvé des boulots de plus en plus intéressant. Mais faut être fort, je déconseille aux âmes sensibles et aux victimes auto-désignées.

  C'est marrant. Moi aussi je bosse depuis que j'ai 19 ans et je songe déjà à changer de taf. C'est mon second emploi, c'est un CDI et dans une semaine je vais avoir des congés, je vais en profiter pour régler les affaire courantes et chercher un autre travail. J'ai fait le tour, je vais encore au travail de bon coeur seulement je sais que dans quelques temps ce ne sera plus cas. Appelons ça de l'intuition.

  Difficile de chercher quand on travaille en même temps, je teste cela en ce moment. Donc la période de congés va permettre un démarchage sur les heures de bureau etc. beaucoup efficace à mon sens.

Diplome en juillet dernier ( BTS génie électronique ) et depuis... rien.
Toute ma promo est soit au chomage, soit a l'usine.
 
J'ai demenager avec ma moitiée a nancy histoire d'avoir plus de chances de trouver du taf qui m'interesse ( déménagement en octobre ) et je le vis de plus en plus mal    
 
Face aux patron c'est trés dur a justifier, mes parents me prennent pour un feignant, que du bonheur quoi    
 
Mais a coté de ca j'ai pu me remettre a lire ( chose que j'avais delaisser pendant mes deux ans de projets BTS ).

J'hallucine de lire le témoignage de gens heureux de deveinr chomeurs    
J'ai vécu ça comme une catastrophe, un drame.
 
La durée n'est pas la même. Sans doute qu'être chomeur pendant 3 à 6 mois peut être agréable, mais au bout d'un an, de deux, de trois, de quatre... c'est destructeur.
 
Maintenant que je bosse, je ne regarde même pas mes RTT disponibles...  

 
 
Pas d'accord. je pense qu'au contraire chercher pendant les heures de bureau est la meilleure stratégie. Tu es tranquille, pas de stress pour les réponses qui n'arrivent pas, puisque tu es en poste. Il est aisé de prendre sur ta pause déjeuner, faire un rapide check-up des annonces (10 min), en sélectionner 2 ou 3, puis envoyer.
Seul problème les entretiens, mais souvent tu peux les passer vers 18h ou le midi, ou prendre un rtt...

C'est ici le topic officiel des chômeurs ? Si oui je serais bientôt parmi vous.
 
EDIT ; j'aimerais avoir l'avis des chômeurs fréquentant ce topic sur le texte ci-dessous :
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Témoignage : chômeur professionnel et fier de l'être !  
Témoignage : 24 ans de chômage,
 
Dans un livre à paraître aux éditions Albin Michel*, Thierry F. raconte comment depuis vingt-quatre ans il vit aux crochets des Assedic, ASS et autres CMU. Légalement...
 
par Christophe Ono-Dit-Biot (29/09/2006)
 
Ce matin, après sa séance de musculation et les yaourts de son petit déjeuner, Thierry n'ira pas travailler. Pas parce que la pluie qui détrempe les rues de Roanne lui donne le bourdon, mais parce que c'est comme ça tous les jours, depuis vingt-quatre ans. Vingt-quatre ans qu'il entend ses voisins se lever à l'aube et qu'il se dit, enveloppé dans la chaleur de sa couette : « Je préfère être à ma place qu'à la leur. » Vingt-quatre ans qu'il est chômeur, et content. Et aujourd'hui, encore plus fort, on l'interviewe pour ça !
 
Il a 44 ans et le sourire aux lèvres. Une Alfa Romeo anthracite et un appartement à lui, parce que « les locations, c'est de l'argent perdu ». Il porte un jean, un tee-shirt Levi's, mais pas de baskets de marque, parce qu'« on ne peut pas tout avoir ». Poignée de main cordiale : un quart de siècle de chômage, ça vous conserve un homme. A part sa presbytie, compensée par de fines lunettes à 500 euros payées par la CMU, Thierry tient la forme. Drôle de coïncidence, il accuse même une énorme ressemblance avec Didier Super, le pape du rock nordiste encensé par Les Inrocks, qui chante que « le travail, il faut le laisser à ceux qui en ont besoin pour se sentir bien dans leur peau ». Thierry ne connaît pas Didier Super, mais il est entièrement d'accord avec lui. « Pourquoi culpabiliser ? Je me suis contenté de suivre la législation française à la lettre », se justifie-t-il. Sur les murs de son studio, Lara Croft impose ses formes de rêve. Question filles, ça va pas mal pour lui aussi, sauf pour les plans à long terme, à cause de son statut. Il s'en fout, Thierry, il a gardé son âme d'ado. Le poster de Lara Croft, c'est un ami gérant de cinéma qui le lui a offert. Grâce à lui, Thierry voit les films en avant-première. Juste à côté, l'intégrale de Johnny fait face à la fenêtre ouverte sur les courts du club de tennis. Toujours en short et polo blanc, car il est « à cheval sur les couleurs », Thierry y joue gratuitement. « J'ai l'air du type qui s'est construit une belle vie. » Sur son bureau, enfin, avec ordinateur et webcam, repose le manuscrit de son livre. Il a commencé à l'écrire en réaction à des auditeurs de RTL qui, un matin, s'étaient emportés contre un type qui voyageait depuis six mois tout en touchant le chômage. « Six mois, c'est tellement ridicule ! » s'amuse-t-il.
 
Il peut être fier de lui, Thierry : trente et un mois de travail sur treize ans, pour vingt-quatre années de « farniente rémunéré ». Un hold-up pacifique, avec l'administration comme complice. Comment a-t-il pu passer entre les mailles du système ? En travaillant, pardi, parce que chômeur, à ce niveau-là, « c'est un métier ». La preuve, Thierry a consacré une pièce entière à ses « archives professionnelles », comme il dit. Des dossiers, des livres, des revues spécialisées. Il les a tous lus, relus, potassés. Au point, désormais, de servir d'avocat-conseil à ses amis salariés : « Je connais le système par coeur. Grâce à moi, ils ont obtenu de sacrées indemnités de leur employeur. La preuve que chômeur, c'est utile. Parfois, je fais nounou aussi. Nounou bénévole, je précise. »
 
Son secret se nomme ASS. « Allocation spécifique de solidarité ». Ou comme il dit, lui, en remerciant la France, « Aide si sympathique ». 600 euros par mois, versés par les Assedic. A vie, et quasi sans contrôle. « Le RMI, c'est beaucoup plus pénible, car vous êtes suivi par une assistante sociale. Forcément, dans RMI, il y a I, comme insertion ! » L'ASS, c'est donc la planque. Sans compter l'allocation logement, le Fonds solidarité énergie, la taxe d'habitation presque gratuite, la prime de Noël, et tout ce qu'il pourrait toucher de la commune, mais qu'il se refuse à demander. « Profiter de l'argent de contribuables que je connais depuis l'enfance, pas question ! » Moral, avec ça. Bien sûr, en contrepartie, Thierry doit s'engager à rechercher « activement » un emploi. Au début, quand il a commencé, à 18 ans, à chômer après six mois de gardiennage en centrale nucléaire - « un boulot de Shadok », commente-t-il -, ça l'a un peu effrayé. « Mais c'est un peu comme lorsqu'on commence un nouvel emploi, écrit-il, plus on souhaite voir sa situation perdurer, plus on y met d'énergie et plus on devient performant. » Et performant, Thierry l'est incontestablement. Jusqu'à prendre les devants en contactant lui-même les employeurs pour prouver qu'il veut quitter son « effroyable condition ». Un CV à rédiger ? Il file à ses « archives », s'empare de sa bible, « Découvrez le potentiel qui se cache en vous ! », et fait exactement le contraire de ce qu'on y préconise. Police de caractère fantaisiste, ajout de précisions à la main, « pour faire tatillon et brouillon en même temps », et omission de sa nationalité. « Ceux qui le font sont souvent des étrangers, et les patrons n'aiment pas les étrangers. » Et si, par miracle, l'un de ses CV finit par atterrir sur le bureau d'un entrepreneur, Thierry se charge illico de changer le miracle en cauchemar. Il troque ses lunettes ultralégères, contre les anciennes, des culs de bouteille « à la Yves Mourousi ». Il met une veste en laine, « pour faire pitié », et répond toujours à côté, mais avec le sourire. « Jacques Tati m'a énormément inspiré », confesse-t-il. Au cas où ça marcherait quand même, il dit qu'il n'a pas le téléphone, alors qu'il a eu un portable dès les années 90, bien avant ses copains salariés que ça énervait beaucoup. Effacée aussi, l'Alfa Romeo qu'il bichonne quotidiennement : pour ses potentiels employeurs, Thierry perd vite tous ses attraits.
 
Scandaleux ? Il est entièrement d'accord. « Le laxisme de mon pays m'étonne », écrit-il, raillant le nom des formations qu'on lui fait suivre, « Genesis », « Horizon 2020 », et épinglant les déclarations de Borloo sur le suivi personnalisé. Depuis qu'il pointe à l'ANPE de Roanne, il n'a jamais vu la même personne. Il aimerait bien que son livre fasse polémique, « même si ça peut paraître contradictoire ». Fan de François de Closets, le chantre de la chasse au gaspi, il ne vote pas mais apprécie la rigueur de Strauss-Kahn et la fermeté de Sarkozy. « Il y a trop d'excès », lâche-t-il, avant de dénoncer, pêle-mêle, les « kits Assedic » qu'on achète sous le manteau, la prime de rentrée scolaire qui permet aux vendeurs de hi-fi d'augmenter de 20 % leur chiffre dans le week-end qui suit, et les charges qui pèsent sur les patrons. Il faut dire qu'il l'a été, pendant un an, montant et dirigeant un dépôt-vente d'électroménager avant de se faire « plumer par l'Urssaf » et de retourner dans le giron de l'Etat, qui lui a enfin prouvé que « gagner le smic et perdre tous ses avantages, ce n'est pas très rentable ». Le souvenir de son père ébéniste, qui pendant cinquante et un ans a construit des cuisines aménagées sans pouvoir s'en offrir une, fait figure pour lui de repoussoir. Le tube « Urssaf, Cancras et Carbalas » des Inconnus, qu'il chante avec ses neveux devant sa webcam, lui sert d'hymne. Et quand bien même, comme il le dit en vous reconduisant à la gare dans son Alfa 33, il serait « le dernier des Mohicans », personne, jusqu'ici, n'a encore jamais tenté d'avoir son scalp.
 
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je viens de faire mes calculs et de rechercher des infos suite à la lecture de ce machin :
 
1°) l'ASS source : http://info.assedic.fr/demandeurs_ [...] 0&chemin=6
L'allocation de solidarité spécifique (ASS)  
A compter du 1er janvier 2006, le montant journalier des allocations du régime de solidarité s'établit comme suit :  
- Montant de l'allocation de solidarité spécifique : 14,25 €
- La majoration pour certains allocataires âgés de 55 ans ou plus est fixée à : 6,21 €
Le montant total de cette allocation majorée est donc de 20,46 €
Les plafonds retenus pour l'appréciation des conditions de ressources sont :  
- pour une personne seule : 997,50 €
- pour un couple : 1567,50 €
 
Puis : http://www.travail.gouv.fr/informa [...] sommaire_1

427,50€ Depuis le 1er janvier ce n'est plus 600€.
 

- Allocation logement ok... ok ok... Encore que je ne sais pas si ça passe quand on est proprio depuis plus d'un an et qu'on tombe au chômage... n'est ce pas trop tard pour monter le dossier ?  
- Taxe d'habitation presque gratuite... moué ok aussi...
- Prime de Noël : ok mais bon c'est petit... http://www.service-public.fr/accueil/prime_noel_05.htm : La prime de noël représente un montant compris entre 152,45 et 219,53 euros en fonction de la situation de chaque bénéficiaire.  
- Fonds solidarité énergie ; je ne connaissais pas, j'ai trouvé ça : http://www.gers.pref.gouv.fr/f303.htm
 
Mais il ne peut gagner plus de 427,50€ par mois (enfin 600 avant)... Comment diable se démerde t il pour s'acheter une alpha roméo ?

up

Non, si c'est pour reparler de ce vieux fake (le bouquin a été entièrement démonté) c'est pas la peine...