Reprise du message précédent :

Je sais pas si ça serait pas bien que tu ailles voir un psychologue. Désolé d’être direct, mais tu me fais penser à quelqu’un qui va passer son bébé par la fenêtre parce qu’il ne le supporte pas.
Pas normal du tout de détester à ce point la venue d’un enfant qui devrait être au contraire un moment de joie pour le couple.  

Ouais enfin il le voulait pas du tout et l'avait expliqué à sa copine. C'est un peu normal de pas se réjouir quand même.

Quand on se sent condamné pour 20 ans, il y a de quoi avoir les boules

Je connais des couples séparés ou en grande difficulté qui étaient heureux et très contents au moment de la grossesse. L'échographie, les achats pour le petit, le Gender Reveal (quelle beauferie ce truc...), l'accouchement, les premiers gazouillis, etc. Et puis au fil des mois l'atmosphère est devenue pesante : manque de sommeil, reproches, baby blues de Madame, charge mentale, etc.

Si avant la naissance monsieur se plaint de l'arrivée future du chiard à un moment qui doit être (en théorie) le plus beau de la vie d'un homme, ça ne tiendra pas 6 mois. La naissance d'un gamin c'est comme un crash test pour un couple, seuls les plus solides résistent. Et je ne parle même pas du cas ou l'enfant peut avoir des complications de santé.

T'as dû rater une partie de l'histoire : DWII n'a jamais voulu avoir d'enfants, il a largement étalé son dégoût des enfants, des familles sur des centaines de posts sur le forum.
Bon, il a par ailleurs toujours refusé la vasectomie et couchait sans capote avec une femme qui voulait des enfants. On peut s'interroger un poil sur son envie réelle

Non, je pense que ce qu’il veut dire, c’est que ça peut foutre un couple en l’air quand l’enfant est le bienvenue pour x raisons. Finis les sorties en couple, obligation de devoir s’occuper de l’enfant etc…
Alors quand celui-ci est accueilli comme un chien dans un jeu de quilles, ça craint…

Je viens de googler...  

 
Bah je ne sous-entend que ma non-expertise.
Mais (pour reprendre l’exemple / le cas que tu cites), j’ai l’impression que si t’es vraiment impliqué dans la vie de tes momes, tu te débrouilles pour vivre dans la même zone géographique (y’a sans doute une foultitude de cas, c’est pas si simple, toussa, mais ce que je veux dire c’est que la notion de « désirer » un enfant, c’est assez subjectif en fait - si le désir n’est là que si c’est matériellement tout cuit / facile, mais qu’on s’en passe bien autrement, finalement quelle différence…)

Clairement il a merdé et il va le payer au moins financièrement et c'est normal.
Par contre il n'est pas obligé d'imposer sa présence au gamin, mieux vaut un père qui n'existe pas qu'un père qui ne veut pas d'enfant.

Je vois même pas comment il peut encore aimer cette meuf c'est du délire

 
+1000, je comprends pas pourquoi le gars reste, tu voulais pas d'enfants et tu t'es fait soit disant piégé (parceque hein, bon), bha tu te barres direct et tu te contente de raquer la pension. Tu reste pas avec une nana qui t'a poignardée dans le dos.
 
Ça tient pas debout son histoire  

 
C’est pas systématique mais tout de même globalement vrai.
 
Après, s’il se force à ne pas l’aimer, et/ou se drape dans une posture, il y arrivera probablement, mais la plus value sera certainement négative à terme parce que ça ne fera pas disparaître le gosse

Et comment elle peut encore vouloir être avec lui alors qu'il la trouvz moche, ne s'intéresse pas à la grossesse et a l'air dégouté.
Mieux vaut vivre une grossesse seule et sereine.

Mouai. Il y a fort fort longtemps, j'ai bien connu un mec élevé par...son père. Sa mère s'était barrée quelques mois après sa naissance, il ne l'a pas connue. Ce qu'il a appris par la suite, c'est qu'elle ne voulait pas vraiment d'enfant et s'est laissée convaincre (je ne me souviens plus si c'était par son père, son entourage ou autre). Ben visiblement ça n'a pas suffit

Chose notable, il ne considérait pas sa génitrice comme une connasse, alors que tous les amis que j'ai connus et qui ont été élevés par leur mère seule considéraient le géniteur comme un connard.

+1
 
Je comprends qu'au début elle se soit dit qu'il allait changer d'avis mais en ne voyant pas de changement ça doit être un stress supplémentaire alors que la naissance qui approche en est déjà un

Ville limitrophe voire 2 villes d’écart c’est pas accepté ?

Pour des adolescents peut être mais pour des petits je ne pense pas. Ça me semble compliqué pour l'organisation scolaire mais je ne suis pas dans le cas  de figure,  la garde alternée n'ayant pas été demandée pour mon enfant

 
C'est facile, elle a déjà réussi son coup, elle espère a nouveau réussir un coup de force avec le géniteur après la ponte  

 
+1000
 
Une nana me fait ce coup là, ses affaires sont sur le trottoir le jour même.
 
No redface.

 
Certains détails de l’histoire ont du t’échapper  
 
Ne pas prendre ouvertement de pilules, ça n’est pas « faire un coup ». Baisser sans capotes ou sans vasectomie dans ce contexte, c’est accepter l’éventualité d’une grossesse en revanche.
 

Cette dernière page me fait bader
 Et pourtant  

L’homme devrait par défaut naître stérile et devrait pouvoir activer la fonction reproduction que quand l il l’a décidé.

Pas vouloir d'enfant c'est avoir une maladie psychologique

Y’a aussi des spécialistes qui traitent les biais cognitifs pour ceux dont le cerveau fait des raccourcis.

Fin de l'humanité assurée

Ce qui n'est pas grave puisqu'on fait plus de mal que de bien.

 
Bravo pour la bienpensance sociale. Donc si on pense différemment, faut se faire traiter ? Désolé, mais j'ai le droit de n'y voir aucun "fruit du bonheur", ou encore "moment de joie". D'ailleurs, je ne vois rien qui justifie de la "joie". Les mouches aussi, ca se reproduit... comme les humains. On est fait pour ca. C'est la religion et la société qui veulent que ce soit "un heureux évènement", histoire de se mettre des bonnes tranches de saucisson devant les yeux et faire passer la pilule pour les plus sceptiques.

Je pense plutôt que c'est ta dissonance cognitive sur le sujet, dont il parle de te faire traiter.  
Y a clairement quelque chose qui ne va pas dans ton cheminement.

Madame a bien compris qu'on vivait potentiellement nos derniers mois ensembles : elle fait le partie que je vais m'émerveiller devant ce "bout de viande", mais j'ai de sérieux doutes. De toute façon, l'affaire sera pliée dans quelques semaines... Je l'aime ELLE, j'ai pris un gros coup dans le dos et je le lui ai clairement dit, d'autant que nous étions initialement d'accord en cas d'accident. Elle savait AVANT même qu'on sorte ensemble que les gamins, c'était non... et l'avait bien compris.
 
Je peux comprendre aussi ses arguments (quadra, ca commence à faire tard). Mais bon :
1-je suis lache, car je l'aime, mais pour l'instant, je repousse l'éventuelle séparation (lacheté à nouveau ?)
2-elle va à l'encontre de mes attentes : ca risque de très mal finir, et je le lui ai dit.
3-si miracle il y a, tant mieux, sinon, ce gamin n'aura pas de père, et je raquerais.

D'un autre côté, un avortement est très impactant psychologiquement. Donc dans ta situation initiale, tu laissais aussi bien le poids de la contraception, et le poids des conséquences sur l'autre personne. Tu comprendras que ça fasse tiquer. Que tu ne veuilles pas d'enfant bien sûr, mais tel un enfant tu laisses le poids de toutes les responsabilités à l'autre...

En gros tu fais du "moi, moi, moi" mais tes actes c'est du "toi, toi, toi". Un peu de dissonance cognitive.

Ouais, je sais pas où tu veux en venir. Je te conseille de voir un psychologue pour t’aider à accepter l’enfant dans le cas où tu voudrais rester avec ta copine. Tu sembles à la fois particulièrement accroché à elle, et résolument décidé à ne pas accepter l’enfant.  
Si tu restes sur ces positions, je parierai bien de l’oseille que ton couple explosera après la naissance.
C’est à toi seul de décider ce que tu veux faire. On a pas à juger si c’est bien ou si c’est mal    

En général le discours que va tenir le parent qui l'élève sur l'autre a une grande influence...
 
J'ai eu une "copine" ainsi qui a élevé solo son fils, elle m'a un jour sortit "heureusement que j'ai eu un garçon, car si j'avais eu une fille je l'aurais élevée dans la haine des hommes"

 
Non pas forcément, il peut l'être comme il peut être aussi impactant qu'une petite intervention médicale. Ça dépend des femmes, du contexte et du praticien.  
Mais ériger le trauma psy de l'avortement comme un passage obligé c'est un peu la soupe culpabilisante que nous servent les anti IVG.
 
Même s'il a fait un peu de la merde, la situation de DWII n'est pas enviable, comme celle de tout père qui se font faire un gosse dans le dos.  
C'est ce genre de nana qui font du tort aux femmes en général, souvent encouragées par des discours à base de "un homme si tu l'écoutes il veut pas être père, faut le forcer et le mettre devant le fait accompli pour qu'il ait le déclic" ça me file la gerbe.
 
Je ne sais pas comment j'aurais réagi à sa place, j'imagine qu'il y a moyen de tomber en dépression face à ce genre de trahison. Et vla la confiance envers ta partenaire-traitresse pour le futur.

Mais de quel coup tu parles ?
Le mec veut pas de gosse, pas de vasoctémie, jute dans sa nana et se retrouve marri de la trouver en cloque.

Ben il a plus qu'à se casser.
Ou elle (ce qu'a fait ma frangine).

 
+1 si il voulait pas de ce genre de «  coup » il aurait fini sur les nichons comme dit le chicandier.

 
T'as trouvé un PMU ouvert le 15 août?  

Ca resume les posts sur la dissonance cognitive

Ça ne me semble pas déconnant de mettre les voiles, mais je comprends que ce soit hyper dur quand on est amoureux peut-être que je ferais comme DWII, attendre de voir si la fameuse illumination dont parlent les parents arrive.

Difficile de se mettre à sa place pour ma part, puisqu'en tant que femme CF, j'aurais tout fait pour ne pas tomber enceinte. La légèreté de certains hommes sur le sujet me laisse toujours dubitative...
Mais bon, vu qu'il va commencer à la détester, le côté amoureux ne sera plus un obstacle très longtemps

Ce qui m'étonne quand même beaucoup c'est que la nana n'a à priori pas l'air d'avoir anticiper qu'elle allait possiblement/probablement avoir un gamin toute seule ?    Ça ne semble pas du tout clair dans sa tête, donc je me demande dans quelle mesure les choses étaient vraiment dites.

 
 
Mouais. Ça peut aussi être des paroles en l'air, elle n'en sait rien puisqu'elle n'a pas eu de fille. Entre ce qjon dit et ce qu'on fait il y a parfois un monde
 

 
J'ai remarqué que beaucoup veulent des enfants tellement fort qu'ils ne peuvent pas imaginer que l'autre n'en veut pas. Ils se disent " ça va venir, il n'aime pas mes enfants mais quand c'est le sien ce n'est pas pareil " , comme on a lu ici d'ailleurs.