Reprise du message précédent :

 
Ca n'empêche pas que tu ne peux pas dire si tu vas te sentir bien dans ton nouveau boulot (se sentir bien <> se sentir moins mal)...

J'ai déjà dit que j'aimais mon travail (chercheur en science, plus précisément en mathématique et informatique théorique). Je reviens pour répondre à la question "si on vous payait à rien faire, continueriez-vous votre travail ?".
 
Quand j'ai beaucoup de temps libre (je parle pas des week-ends, mais des vacances) je continue à faire de la recherche parce que les activités "détentes" (cinéma, jeux vidéo, littérature, HFR) finissent par me lasser à grosse dose.
 
Bref, ce que j'aime c'est ma recherche. Si on me paye pour le faire c'est tant mieux, mais en fait je serais même prêt à payer pour faire ça (pendant longtemps les chercheurs étaient de riches aristocrates qui travaillent avec leur propres sous, y avait pas de recherche publique).
 
Si je peux décrocher un poste définitif (putain de contrat CNRS d'un an) je serais au paradis (et je me vois bien continuer à venir au bureau après la retraite, comme certains collègues).

Ah un chercheur. Les monomaniaques qui n'ont pas de vie en dehors du boulot

Parce quand c'est "la seule passion" et que cela ne va pas, tu es bien dans la merde...

Être heureux au travail, c'est possible !
http://www.ouestfrance-emploi.com/ [...] 1_actu.Htm

 
 
Après une semaine dans mon nouveau job, mes impressions sont bonnes : équipe conviviale, boulot intéréssant.
Le midi on mange ensemble et pas chacun dans son coin. J'ai la "liberté" de mes horaires dans une certaine limite.
 
 
On en reparle dans un mois.  

moi j'ai souvent été décue je ne suis pas francaise de mentalité, et pourtant en qualité de femme c'est répugnant t pénible de travailler parmi des collegues qui sont racistes, qui portent des critiques de morphologie voire blessantes quitte à faire du dénigrement , c'est de l'irrespect. ELles sont meme d'un tempérament hypocrites; mes collègues, y' a rien à dire elles font le larbin et en plus elles n'ont pas le secret de confidentialité, elles font des divulgations dans les boutiques et rue sur les identités de personnes.
T'as de la chance de tomber sur une entreprise où le respect et l'ambiance est à profit de croissance.
De plus, quand je rentre du boulot, mes voisins me pourrisent ma vie, des lors où ils savent que j'ai un emploi ils s'amusent à fouiller ma profession ou m'empêchent d'aller au boulot et je vais te dire y a de quoi les critiquer et les divulger et les insulter.

Ben moi je travaille dans l'IT et j'aime avoir bcp de travail, les loisirs me gonflent a longue dose...

 
Y a du vécu dans ton témoignage.  t'es pas la seule.  
 
On dirait que le milieu de travail est organisé en castes : les chefs entre chefs, les techniciens entre eux et les subalternes exclus.  C'est à se dégoûter du peu de relations sociales au travail surtout dans les boites avec une hiérarchisation des équipes avec une gestion de type militaire.  dégoûtant.  
 

 
tu sais qu'on explique sérieusement qu'un manager doit prendre du recul par rapport à son équipe car il ne pourra pas réagir en manager en cas de faute s'il est proche du subalterne fautif dont il est responsable.
 
=> chaque niveau de subalterne reste entre personnes du même niveau et ne cherche pas à se mélanger avec les autres niveaux inférieurs.

À mon sens il y a un juste milieu entre un cloisonnement total et une franche camaderie.

 
mais pour cela, il faudrait être un bon manager ...
 
Ah merde, c'est vrai qu'on est en France.

Bah oui...c'est très bien ça.

En tout cas pour moi.

Ca me stresse quand les chefs sont trop copain

100% d'accord avec toi, Sadlig
 
L'intérêt du poste, la mission de l'entreprise / administration, l'ambiance au travail, les horaires ... je place tout cela au dessus de la rémunération