Citibank Algérie n’est pas optimiste pour les perspectives économiques algériennes. Dans une note classée confidentielle dont TSA a obtenu une copie, la banque américaine voit le dinar poursuivre sa descente en enfer jusqu’en 2016. L’année prochaine, l’euro devrait atteindre 132 dinars. Le dollar grimperait pour atteindre 123,4 dinars, selon les prévisions de la banque d’affaires américaine.
 
La Citibank explique avoir élaboré ses prévisions sur la base d’un baril de Brent en dessous de 60 dollars pour l’année 2016 et une baisse de l’euro par rapport au dollar sur le marché international.
 
Dans ce contexte, la Citibank prévoit une inflation de 5,1 % en 2015. La hausse des prix atteindrait 6 % en 2016, selon les prévisions de la banque américaine. « L’inflation s’est stabilisée à 5 % ces 3 derniers mois. Néanmoins, la dépréciation du dinar, la hausse des dépenses et la croissance des crédits impliquent une forte pression inflationniste en 2015 et 2016 », explique la banque dans sa note.

Dans le Constantinois, une analyse rapide des patronymes laisse voir l’ampleur du crime commis à l’encontre des populations : volontairement les recenseurs sont allés chercher au fond de leur sordide mémoire, les adjectifs les plus insultants, les figurations les plus scatologiques et les ont attribués à tord et à travers pour disloquer les branches de mêmes familles. La démarche suivie était la suivante : le commissaire choisissait un nom d’animal, d’insecte ou d’objet, un adjectif insultant ou une caractéristique physique et lui ajoutait le  préfixe Bou pour former le nouveau nom qui n’avait plus rien à voir avec celui sous lequel était connus les groupes familiaux. Cela donna les patronymes de Boudraa, Boudemagh, Boukraa, Bouras, Bouchareb, Bounab, Boulainine, Boucenna, Boudersa, Boulessan, Bououden, Boudebza, Boukerche ( bras, tête, pied, tête, lèvre, canine, yeux, molaire, langue, oreille, poing, ventre ...)  
On créa des noms à partir d’une caractéristique physique réelle ou imaginaire : Loucif Lakehal, Lahmar, Latreche, Lameche, Touil, Seghir, Chaib, Kahl el aïn, Kahleras, Kehlessenane (dents noires), Hamr El Ain (yeux rouges), Fartass (teigneux).  
On inventa des noms extravagants : Bendjeddou (fils de son grand père), Tichtich, Titi, Taoutaou, Chicouche, Tibourtine, Melakhessou, Ben Djaouahdou (fils de celui qui est venu tout seul) Hafi Rassou (tête usée), Habes (à l’arrêt), Kenouni (On m’a nommé), Bou lakhiout (l’homme aux ficelles), Boulakouarat, (paperassier).  
L’imagination fertile des recenseurs produisit des patronymes particulièrement insupportables, dénotant d’une volonté réelle de faire mal , allant même jusqu’à user de mots français repris tels quels : Arabet (Arabe-bête) Krache, Kracha, Mouchemouche, Tchier, Haine, Idiou (idiot), Sal. Ou alors en les formant à partir de mots arabes scatologiques ou insultants : Trima (petit cul), Boutreme, Khamedj, Khouni (traître), Rachi (Usé), Boulhalouf (l’homme au cochon), Boudabane (l’homme aux mouches). Dans une localité proche de Djidjelli, pour singularisée les membres d’une même fraction de tribu on les nomma : Bou-Gass’a (Grand ustensile en bois) Bou- Laham (viande), Bou-Chaham (Graisse), Boul- Kercha (Tripes)
https://www.academia.edu/11040218/L [...] _ALGERIENS

Dans le Constantinois, une analyse rapide des patronymes laisse voir l’ampleur du crime commis à l’encontre des populations : volontairement les recenseurs sont allés chercher au fond de leur sordide mémoire, les adjectifs les plus insultants, les figurations les plus scatologiques et les ont attribués à tord et à travers pour disloquer les branches de mêmes familles. La démarche suivie était la suivante : le commissaire choisissait un nom d’animal, d’insecte ou d’objet, un adjectif insultant ou une caractéristique physique et lui ajoutait le  préfixe Bou pour former le nouveau nom qui n’avait plus rien à voir avec celui sous lequel était connus les groupes familiaux. Cela donna les patronymes de Boudraa, Boudemagh, Boukraa, Bouras, Bouchareb, Bounab, Boulainine, Boucenna, Boudersa, Boulessan, Bououden, Boudebza, Boukerche ( bras, tête, pied, tête, lèvre, canine, yeux, molaire, langue, oreille, poing, ventre ...)  
On créa des noms à partir d’une caractéristique physique réelle ou imaginaire : Loucif Lakehal, Lahmar, Latreche, Lameche, Touil, Seghir, Chaib, Kahl el aïn, Kahleras, Kehlessenane (dents noires), Hamr El Ain (yeux rouges), Fartass (teigneux).  
On inventa des noms extravagants : Bendjeddou (fils de son grand père), Tichtich, Titi, Taoutaou, Chicouche, Tibourtine, Melakhessou, Ben Djaouahdou (fils de celui qui est venu tout seul) Hafi Rassou (tête usée), Habes (à l’arrêt), Kenouni (On m’a nommé), Bou lakhiout (l’homme aux ficelles), Boulakouarat, (paperassier).  
L’imagination fertile des recenseurs produisit des patronymes particulièrement insupportables, dénotant d’une volonté réelle de faire mal , allant même jusqu’à user de mots français repris tels quels : Arabet (Arabe-bête) Krache, Kracha, Mouchemouche, Tchier, Haine, Idiou (idiot), Sal. Ou alors en les formant à partir de mots arabes scatologiques ou insultants : Trima (petit cul), Boutreme, Khamedj, Khouni (traître), Rachi (Usé), Boulhalouf (l’homme au cochon), Boudabane (l’homme aux mouches). Dans une localité proche de Djidjelli, pour singularisée les membres d’une même fraction de tribu on les nomma : Bou-Gass’a (Grand ustensile en bois) Bou- Laham (viande), Bou-Chaham (Graisse), Boul- Kercha (Tripes)
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Dans le Constantinois, une analyse rapide des patronymes laisse voir l’ampleur du crime commis à l’encontre des populations : volontairement les recenseurs sont allés chercher au fond de leur sordide mémoire, les adjectifs les plus insultants, les figurations les plus scatologiques et les ont attribués à tord et à travers pour disloquer les branches de mêmes familles. La démarche suivie était la suivante : le commissaire choisissait un nom d’animal, d’insecte ou d’objet, un adjectif insultant ou une caractéristique physique et lui ajoutait le  préfixe Bou pour former le nouveau nom qui n’avait plus rien à voir avec celui sous lequel était connus les groupes familiaux. Cela donna les patronymes de Boudraa, Boudemagh, Boukraa, Bouras, Bouchareb, Bounab, Boulainine, Boucenna, Boudersa, Boulessan, Bououden, Boudebza, Boukerche ( bras, tête, pied, tête, lèvre, canine, yeux, molaire, langue, oreille, poing, ventre ...)
On créa des noms à partir d’une caractéristique physique réelle ou imaginaire : Loucif Lakehal, Lahmar, Latreche, Lameche, Touil, Seghir, Chaib, Kahl el aïn, Kahleras, Kehlessenane (dents noires), Hamr El Ain (yeux rouges), Fartass (teigneux).
On inventa des noms extravagants : Bendjeddou (fils de son grand père), Tichtich, Titi, Taoutaou, Chicouche, Tibourtine, Melakhessou, Ben Djaouahdou (fils de celui qui est venu tout seul) Hafi Rassou (tête usée), Habes (à l’arrêt), Kenouni (On m’a nommé), Bou lakhiout (l’homme aux ficelles), Boulakouarat, (paperassier).
L’imagination fertile des recenseurs produisit des patronymes particulièrement insupportables, dénotant d’une volonté réelle de faire mal , allant même jusqu’à user de mots français repris tels quels : Arabet (Arabe-bête) Krache, Kracha, Mouchemouche, Tchier, Haine, Idiou (idiot), Sal. Ou alors en les formant à partir de mots arabes scatologiques ou insultants : Trima (petit cul), Boutreme, Khamedj, Khouni (traître), Rachi (Usé), Boulhalouf (l’homme au cochon), Boudabane (l’homme aux mouches). Dans une localité proche de Djidjelli, pour singularisée les membres d’une même fraction de tribu on les nomma : Bou-Gass’a (Grand ustensile en bois) Bou- Laham (viande), Bou-Chaham (Graisse), Boul- Kercha (Tripes)
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