Diplômé en sciences islamiques, auteur de deux ouvrages traitant de la religion, Saïd Djabelkhir considère qu'il est "accusé par des personnes qui n'ont aucune compétence en matière de religion".  
 
Il sera jugé le 25 février au tribunal Sidi M'hamed à Alger. Les plaignants et leurs témoins ont déjà été auditionnés début février, contrairement à lui qui n'a pas été entendu par le juge d'instruction.  
 
L'universitaire affirme qu'on lui reproche d'avoir rappelé que le sacrifice du mouton, tradition musulmane, a préexisté à l'avènement de l'islam, et avoir critiqué certaines pratiques comme le mariage précoce des jeunes filles dans certaines sociétés musulmanes.  
 
es détracteurs ont estimé qu'il visait le prophète Mahomet qui se serait marié avec Aïcha, son épouse favorite, quand elle avait seulement 9 ans. Sur les réseaux sociaux, des publications lui reprochent d'avoir dénigré des versets du Coran et des piliers de l'islam comme le pèlerinage à La Mecque.

Algérie : enfin, on a compris pourquoi les journalistes pro-pouvoir n'ont pas défendu les militants violés par les services de sécurité

L’Algérie dispose depuis la fin de l’année 2020 d’un niveau de liquidités bancaires estimé à  632 milliards Da, a fait savoir la Banque d’Algérie dans un bilan détaillé sur la situation monétaire du pays communiqué à l’Agence Officielle l’APS. La Banque d’Algérie se targue de ce niveau de liquidités bancaires et le présente comme une véritable performance. Et pourtant, l’Algérie est un pays de 45 millions d’habitants. Comment un pays de cette envergure peut-il se réjouir d’un niveau de liquidités bancaires qui n’atteint même pas l’équivalent de… 4 milliards d’euros ?
Oui, il ne reste que 632 milliards de Da de liquidités dans les caisses de toutes les banques algériennes, publiques et étrangères accréditées par les autorités algériennes, soit l’équivalent de 3,94 milliards d’euros. Pour un pays de la taille démographique et économique de l’Algérie, ce niveau de liquidités bancaires est tout simplement ridicule et insuffisant par rapport aux besoins des 11 millions de salariés algériens ou des 1,8 million de commerçants qui activent à l’échelle nationale.

Même par rapport aux années précédentes, ce niveau stock des liquidités disponibles dans les comptes des banques algériennes paraît totalement ridicule. En janvier 2019, le niveau de la liquidité bancaire avait atteint le seuil de 1403 milliards de Da, soit l’équivalent de 8,7 milliards d’euros. Le niveau de la liquidité bancaire de la fin de l’année 2020, qui fait la fierté de la Banque d’Algérie, est en réalité inférieur de plus de 50 % au seuil des liquidités disponibles dans les comptes des banques et établissements financiers algériens en janvier 2019.

Même en septembre 2019, au plus fort moment de la crise politique qui paralysait l’Algérie avec l’opposition du Hirak dans les rues du pays à la tenue des élections présidentielles du 12 décembre 2019, le niveau de liquidités bancaires disponibles était de l’ordre de 1438 milliards de Da. Ce niveau des liquidités bancaires va ensuite baisser jusqu’à 1108 milliards de Da au mois de décembre 2019. Mais il n’a jamais au-dessous de 1000 milliards de Da comme ce fut le cas en 2020 où il avait atteint les 462 mds de DA à la fin des neuf premiers mois de l’année 2020.

La Banque d’Algérie a estimé que cette baisse des liquidités dans les comptes des banques algériennes est du fait du déficit courant de la balance des paiements et des impacts économiques de la pandémie du Covid-19.

Mais la Banque Centrale algérienne rassure et jure qu’elle a pu améliorer cette situation de la liquidité vers la fin de l’année grâce à des mesures de politique monétaire décidées en matière de baisse du taux des réserves obligatoires, de l’augmentation des seuils de refinancement des titres publics négociables, de l’allongement de la durée du refinancement de 7 jours à un mois et de la satisfaction totale des demandes de refinancement des banques. Tout va bien donc selon la Banque d’Algérie ! Une posture totalement irrationnelle car porter le niveau des liquidités bancaires de 462 milliards de Da jusqu’à 632 milliards de Da est une performance dérisoire qui explique naturellement pourquoi l’argent cash a continué à manquer cruellement dans les caisses des banques et bureaux de Poste répartis sur l’ensemble du territoire national.

Aucun pays de 45 millions d’habitants ne peut survivre ou fonctionner avec un niveau de liquidités aussi faible. Certes, une bonne partie de masse monétaire circulent dans l’informel.

Avec l’arrêt des activités des marchés informels pendant de longs mois à cause de la pandémie de la COVID-19 et des mesures de confinement sanitaire, cette masse monétaire a été thésaurisée, c’est-à-dire de l’argent amassé pour le garder dans les armoires, sans le faire circuler ni le placer dans des investissements économiques. La situation financière de l’Algérie est encore plus déséquilibrée au début de l’année 2021. La Banque Centrale fait semblant d’ignorer cette réalité amère juste pour satisfaire les égos surdimensionnés d’un pouvoir politique qui refuse de reconnaître ses échecs successifs…

https://www.algeriepartplus.com/lal [...] AErRj3XL0Y
 
Voilà comment l'islam rend les gens bête, voilà comment l'islam détruit tout un pays, tout un écosystème.  
 
Voici le fruit d'une éducation islamique.  
 

Réouverture des frontières : le programme des vols d’Air Algérie et les conditions dévoilés
 
https://www.tsa-algerie.com/reouver [...] -devoiles/

@IntelKirby
Algeria president confirms 3 Algerian citizens were killed by Morocco. It is being described as an "act of war"

En 2018, afin d’appliquer les critères de Schengen, la France a réduit le nombre de visas. On est passé de 420 000 à 250 000 ! L’ambassadeur avoue avoir commis une imprudence. Pour l’expliquer lors d’une conférence de presse, il avait lâché qu’il y avait des abus. « Des hauts fonctionnaires algériens ou même des politiques qui font venir leurs familles en France sur la base d’un seul visa de tourisme ou laissent des ardoises dans nos hôpitaux. » Qu’avait-il dit ? Le lendemain, il était convoqué au ministère des Affaires étrangères algérien, un communiqué vengeur était publié sur-le-champ : « L’ambassadeur a étalé publiquement devant les médias des appréciations inopportunes peu amènes et donc inacceptables. » Il ne disait pas que c’étaient des mensonges !
 
Dernier constat : depuis des lustres, le discours anti-français est le levain de toutes les campagnes présidentielles. La prochaine est en 2024. La crainte et l’intuition de Xavier Driencourt : « Que le président Tebboune choisisse de venir à Paris le 8 mai prochain, histoire de rappeler le massacre de Sétif du 8 mai 1945 pour pouvoir encore accabler les Français… »