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Tu sais, les enfants sentent tout...

Quelques années devant la télé et il se rendra compte de rien

ma psy est neutre, un psy doit être neutre tout le temps sinon c'est la porte ouverte aux abus et autres faux souvenirs
quand je lui avait parlé d'un supposé viol au sein de ma famille elle avait pas bronché, elle m'avait juste demandé ce qui m'amenait à envisager ça
elle a évidemment son avis sur la question et j'aimerais bien le connaitre, mais c'est la porte ouverte à tout et n'importe quoi, et elle me dira jamais rien à ce sujet là

après tu as sûrement une résistance qui fait que tu t'interdit de remettre en cause ta famille peut être, donc les questions de ta psy te semblent inappropriées ? ou alors elle est brut de décoffrage voir les 2

si des flashback remontent c'est bon signe je dirais, même si c'est super inquiétant au début   moi je savais même pas les reconnaître je crois
j'avais peur d'avoir des flashback et de pas pouvoir les gérer mais maintenant ça va mieux, j'assume, j'accepte de devoir passer par là pour me reconstruire, c'est obligatoire
par contre faut parler de ces flashback avec elle et qu'elle t'explique un peu le fonctionnement, pourquoi ça t'arrive etc.

thérapie et aller mieux oui, la route est parfois semée d’embûches, les symptômes sont pas nécessairement mauvais et à étouffer, puisqu'ils indiquent quelque chose qui fait du sens

mais je pense quand même que c'est parfois bon signe d'être un peu brusqué au début, tu quittes ta zone de confort, tu es en grand danger
ton équilibre est sur la sellette, si tu lui fait confiance laisse toi simplement porter et enchaîne les séances, arrête pas trop tôt, et parle lui en si possible

C'pas une question de le dire ou non, c'est que ça peut se traduire dans le comportement de la mère envers l'enfant et le risque est de créer un dysfonctionnement.
Un enfant n'a pas à s'occuper du bien être de ses parents, point barre.  
 
@Poutrella: merci

N'importe quel psy (et même non psy) se demandera forcément pourquoi tu n'as aucun souvenir avant 8/9 ans, c'est hyper naturel. Et avec raison, il y a quand même une très grosse probabilité pour que tu refoules quelque chose pour t'empêcher de te souvenir. C'est un moyen pour le cerveau de se protéger. Et c'est pas parce qu'on refoule un traumatisme de l'enfance qu'il est forcément lié à un parent violent ou abusif...

100% des psys que tu iras voir auront envie de creuser là-dedans, et c'est normal c'est leur boulot...

Je n’ai pas dit que ce n’etait pas normal de creuser là dedans. Je dis que la manière dont elle le fait me donne l’impression que c’est orienté.  

Je pense que tu devrais lui en parler. Pas pour l'accuser, mais pour lui dire ce que tu ressens, tout simplement. S'il n'y a pas de confiance, le travail est impossible.

Salut à tous !
 
J'ai perdu ma meilleure amie, qui est décédée chez moi, il y a un peu plus d'un an. Quelques mois plus tard, mon ex m'a largué et depuis un an je n'arrive pas à tourner la page de cette histoire puisqu'on a des contacts plus ou moins réguliers.
 
Je ne sais pas si j'entre dans le cadre de la dépression, mais depuis que j'ai vécu ce double traumatisme, je n'arrive plus à vraiment avancer dans ma vie : j'ai l'impression que je passe ma vie à attendre quelque chose qui n'arrivera jamais et à survivre plutôt que de vivre parce que je n'arrive plus à mettre un pied devant l'autre pour concrétiser et mettre en route mes projets. J'ai cette fâcheuse sensation que ma volonté a été réduite à néant et que je n'arrive pas à me tenir à quelque chose que je décide. A côté de ça, j'ai développé une addiction qui, j'ai l'impression, ne fait que me maintenir dans cet état de non volonté permanente et ne contribue pas à remonter l'image que j'ai de moi en ce moment.
 
J'ai toujours été du genre à me poser des questions mais depuis ces évènements, je n'arrive plus à faire preuve de légèreté dans mes rapports avec les autres et je ne trouve plus de plaisir à rien, même à des choses simples. Je suis devenu très renfermé, pessimiste et presque aigri...
 
Pour essayer de sortir de tout ça j'ai envisagé de voir un psy, mais je ne sais pas si c'est la meilleure solution pour moi. Parfois je me dis que c'est plus un " coach de vie " dont j'ai besoin pour réussir à fixer des objectifs, et me pousser à les atteindre. Bref, je ne sais plus trop quoi faire...

Bonjour,
 
Je te conseillerais d'aller voir un psy, tu n'as rien à y perdre. Un psychothérapeute (ou psychothérapeute et psychiatre). Si un jour il/elle te propose des médicaments réfléchis bien, sois sure d'être en confiance avec le médecin avant d'accepter, c'est super important. Personellement je ne suis pas contre (d'ailleurs j'en ai pris et ça m'a beaucoup aidé) mais ce n'est pas anodin.
 
Si un psy ne te conviens pas il faut en changer, c'est assez courant de tâtonner un peu.
 
Prends un rendez-vous dans un CMP, c'est un gage de sérieux.
 
Et puis souvent rien que de faire la démarche on se sens déjà mieux : parce qu'on s'est pris en main, qu'on a pris une décision, qu'on a pris conscience d'un problème ET qu'on agit pour le résoudre.
 
N'hésites pas à poster ici si tu as d'autres questions ou juste envie de parler.

 
Merci pour ta réponse.
 
J'ai déjà essayé de consulter un psy, mais ça n'a pas donné grand chose car finalement je ne le trouvais pas assez directif je pense... Pour les médicaments c'est une piste que j'envisage mais j'ai un peu peur vis à vis des effets secondaires, notamment au niveau de la libido.

 
Si tu ressens que tu aurais plutôt envie d'un coach de vie, fais une thérapie comportementale, ça s'en rapproche.  
Mais tu peux aussi voir carrément un coach en fait
Et oui, évite les médocs si possible... De toute façon, leur efficacité n'est supérieure aux placébos que dans les cas de dépression vraiment sévère, sinon, d'autres méthodes sont efficaces, thérapie, sport, alimentation, sophrologie, relaxation, méditation...

Sur la libido, c'est pas systématique selon les traitements...
Mais avant d'envisager d'en prendre laisse toi déjà quelques semaines/mois de travail avec quelqu'un

Suites de mes aventures maintenant ils veulent me mettre sous Zoloft/Seroquel malgré le fait que je leur ai dis que je ne voulais plus d'Anti dépresseurs. Je leur ai bien sur dit que j'avais déjà été sous Prozac, Seroplex et Effexor et que j'étais contre l'idée de reprendre....
 
Des avis sur celui ci ? J'ai déjà mon traitement anti épileptique j'ai vraiment pas envie d'un pseudo pansement qui ne résoudra pas mon problème de PTSD et d'anxiété...
 
Edit: la psy me disait qu'elle allait me donner un equivalent du zoloft mais en fait il s'agit du seroquel qui n'est visiblement pas la meme chose.  
https://www.iodine.com/compare/zolo [...] s-seroquel

antipsychotique équivalent à un AD ... bien le foutage de gueule

Putain super la "head of psy psychiatry" du plus grand hosto de Dublin. Et je ne parle pas de sa collegue vue aux urgences la derniere fois que j'ai voulu me foutre en l'air qui faisait passer mon malêtre du à l'enfance et divers evenements traumatique en tant qu'adulte pour un probleme d'addiction à la weed. Et manque de bol je retombe sur elle en 1er rdv juste avant de voir l'autre.

Au cas ou j'avais ramené mon histoire par écrit et elle s'est décomposée en la lisant. Geste nerveux des mains et livide... pourtant c'etait pas faute d'avoir parler de viol et de violence dans mon passé...

Puis apres ca elle m'a reparlé de weed.... sachant qu'elle m'avait tellement enervée la 1ere fois j'ai quasi arrêté meme si je lui expliquait que je fumais pour me calmer et dormir sans insomnie et cauchemar pour eviter le vallium ou xanax avant de dormir... j'ai fumé juste quelque lattes vite fait en week end 2/3 fois en 2 mois et demi...

J'ai les boules contre cette conne car son rapport est partagé sur tous les hostos de la region si j'ai besoin de me faire hospitaliser....

Genre un mec qui s'ouvre la jambe tu lui dis que c'est la clope le probleme ?

Bonjour,
 
Je prends aussi du "zoloft" et "xeroquel" , ce sont les noms commerciaux pour la sertraline et la quetiapine.
 
Pour la sertraline ( zoloft ) , j'ai 25mg / j ( prise le soir ) depuis octobre dernier, je n'ai pas la sensation de subir des effets secondaires comme j'ai pu l'avoir avec le seroplex en 2016 ... en tout cas sur le démarrage de la prise.
 
Pour la quetiapine ( xeroquel ) , j'ai 50mg / j ( prise au coucher ). Je ne sais pas pourquoi mon médecin m'a prescrit ça ... enfin je connais le contexte, mais je ne vois pas le rapport. Lorsque j'ai fait mon épisode aigu en septembre/octobre dernier, malgré la prise de 50mg/j de sertraline et anxiolytique lexomil 1/4 1/4 1/2 ( soit 6mg / j ) ,je lui avais dit que j'avais des idées en boucle pendant les "crises" d'angoisse. Mais avec le recul, je pense que c'était du à l'angoisse elle-même , car les idées en boucle étaient en rapport : j'arrêtais pas de m'interroger sur le fait que ca ne partirait jamais, comment je vais supporter cet état en continu etc... Du coup, il m'a prescrit ce médicament disant que ca retirerait les idées en boucle, et qu'à dose légère ( 50mg ) , ca avait un effet AD.
 
Depuis, je continue de le prendre, il n'a jamais été envisagé de le supprimer pour le moment. Il m'a d'ailleurs dit que ce serait le dernier médicament qu'on arrêterait.
 
Entre temps, j'ai appris que mon médecin partait à la retraite le 31 mars
 
Pour la sertraline je suis passé de 50 à 25 quand j'ai commencé la quetiapine, puis en décembre , le médecin a tenté l'arrêt progressif en donnant 25mg tous les 2 jours, mais n'allant pas très bien ensuite ( je lui ai dit ), il a dit de reprendre 25mg par jour.
 
A noter que je trouve que mon état ne s'améliore pas des masses : toujours le moral assez bas ( à cause de ma tête dans le gaz ), et je n'arrive plus vraiment à travailler : pas envie de le faire ( mon travail est inintéressant, ça n'aide pas ) je sens que ça va commencer à me poser des problèmes. Bon, j'ai un CDC à finir aujourd'hui, je vais un peu me forcer  
 
Ce que je viens de lire précédemment à propos de la quetiapine ( "ça vide le cerveau" ) , je me demande si je le subis pas un peu malgré que ce soit à petite dose. Il faudrait peut être que je l'arrête, mais comment ? mon médecin ne sera plus là le 31 mars.  
 
L'effet somnifère, je ne le ressens pas du tout, au contraire, j'ai eu une période où j'étais très fatigué au point de m'endormir devant la télé dès 21h, impossible de suivre des séries Mais là, de ce côté ça va mieux ( toujours fatigué toute la journée par contre) .
 
 
Pour finir, une petite passe sur le lexomil. Je suis à 1/6 d'1/4. En gros, j'ai pris 1/4 de lexomil ( soit 1,5mg ) sur 6 jours. Ca s'émiette carrément, je prends la "dose" en mouillant le doigt pour coller les miettes. L'angoisse est toujours là, à certains moment, mais de moins en moins souvent, moins fort, enfin c'est variable mais ça progresse dans le bon sens si on regarde sur une longue période.

elle est pas formée et gère le stress que provoque ton récit comme ça, les psy sont des humains aussi, certains avec un passé traumatique non traité
ils seront paumés face à des victimes de violence en tout genre
au final elle est nulle, je suis bien d'accord

 
Donc faut faire quoi ? Arrêter quand même ? Est ce que ça a des effets irréversibles, ou bien les effets sont réversibles avec le temps ?
 
Y a t il besoin d'un sevrage ? même pour 50mg ? ou c'est "facile" d'arrêter ? ( je demande car pour le lexomil, c'est apparemment difficile , alors que le seroplex ne m'avait posé plus de problème que ça pour l'arrêt ).

ok, parce que je ne ressens pas d'amélioration notable dans mon état, donc quitte à rester comme je suis ( ce que je ne veux pas ) , autant le faire sans médicament, car ils ne sont pas anodins d'après ce que j'ai pu lire.

J'ai arrêté le xeroquel en diminuant les doses sans souci. Beaucoup plus simple que le lexomil à mon avis.

 
Je pense que je vais l'arrêter car je ne vois pas ce que ca m'apporte, et je ne me reconnais pas dans les symptomes qu'il est censé traiter. Et surtout quand je lis ça, je me dis que je m'empoisonne plutôt qu'autre chose http://sante.canoe.ca/drug/getdrug/seroquel-xr
 
Je vais en parler à mon médecin, enfin, au nouveau quand j'en aurai trouvé un ...

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A toutes les personnes de ce topic qui prennent de la benzodiazépine type Lexomil Alprozelam Xanax laroxyl ect..
 
Sachez que ça peut vous mener à le mort. En cas de souffrances, les urgences et centre anti douleur ne sont
pas compétents pour traiter des douleurs extrêmes liés au manque. On vous prescrira des drogues puissantes,
codéine, morphine, tramadol pour vous calmer sans le moindre diagnostic médical et cela vous rendra encore
plus drogué..
 
Si vous avez fait la bêtise d'arrêter trop rapidement sur conseil d'un mauvais médecin généraliste, seul un centre pourra vous sauver avec surveillance H24 et isolement de la famille (pour vous donner envie de vous en sortir..) car très clairement, les douleurs sont tellement atroces qu'on a envie de mourir..
 
Il faut parfois 10ans minimum pour se sevrer, ce n'est pas quelque chose qu'il faut prendre à la légère..
 
Avant de recourir aux anti-dépresseurs, essayez de trouver le fond du problème par une psychothérapie.
 
Le cerveau est quelque chose de précieux qu'il faut préserver des médicaments..
 
J'ai perdu ma mère donc puisse cette expérience vous faire réfléchir sur les conséquences à longs terme de ces médicaments prescrits comme de la vitamine C..


RIP  

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Je suis sous lexomil depuis des années et je le vis très bien . Parfois j'oublie de le prendre cela ne me gêne pas spécialement mais c'est une béquille très efficace en plus de la psychothérapie . Pour les douleurs il y a des centres antidouleur spécialisés ou des neurologues neurochirurgien spécialiste de la douleur étant migraineux de nature j'en vois un et pour les douleurs  j'ai des ordonnances pour des triptans ayant également le dos fracassé j'ai aussi en cas de douleur énorme des dérivés de morphine

Faudrait peut-être arrêter de dire n'importe quoi à un moment.

 
  laroxyl n'est pas un benzodiazépine mais un anti dépresseur ancienne génération.
 
De plus le message est un peu anxiogène quand même, car ceux qui en prennent ( comme moi ) s'interrogent forcément et doutent du coup. Perso, je suis à 1/6 de 1/4 de lexomil par jour ( le matin ) soit 0.25mg par jour, je ne pense pas me mettre en danger avec une dose aussi faible bien que j'aimerais arrêter et je n'y arrive pas ( arrêter complètement m'a revalu une forte angoisse 2 jours après ).

J'ai édité le post pour que vous vous rendiez compte de tous les médicaments qu'elle a eu..le reste se décidera chez la Procureure de la République histoire d'avoir des réponses pour faire mon deuil    

 
pour diminuer les doses, voir médecin changer de molécule etc etc ...

c'est quoi à votre avis l'AD qui "boost" le plus pour les réveils/ anxiété généralisé ?

seroplex c'était moyen
Prozac, pas supporté
Mirtazapine (norset) = cauchemards

Effexor ? Anafranil ?

Certains ont essayé le Brintellix ici?

 
Oui, depuis 1 an.
Pas de soucis particulier, ni de vrai effet secondaire.  
Si tu as des questions particulières n'hésite pas

Un article auquel je n'ai pas accès sur lemonde.fr, ça pourrait être intéressant
 
http://www.lemonde.fr/sciences/art [...] 50684.html

 
Oui depuis pas mal de temps. Mais je ne dirais rien. C'est pas sur un ou deux avis que tu peux en en déduire des choses.
Le mieux est d'en parler avec un psychiatre par exemple.