Reprise du message précédent :
si ca vous branche, je vous dit que dream t est le meilleurs groupe du monde.
mais je n'en penserais pas un mot.  

 
Et si t'arretais de polluer ce topic avec tes reflexions digne d'un QI d'huitre...  

trop bonne, celle là  

non, mais chacun son avis, ya pas de problème...

 
En fait je me fous complètement des prouesses techniques en musique, ce qui m'importe c'est que ce soit beau. Ce n'est pas le cas de DT, c'est complexe, et, au final, ça ne ressemble à rien. Avec en plus un son métal que je déteste.
 
Faire un morceau de 20 minutes avec des changements de rythme toutes les 30 secondes c'est assez nul, il faut changer de rythme, mais il y a la manière de le faire. Avec DT, c'est coupé à la serpe, alors que Genesis par exemple est beaucoup plus fluide et donc plus beau.
 
Ayé j'ai précisé  

 
Ouais en gros t'aimes la musique commerciale qui ne donne pas mal à la tête...

Parce que DT n'est pas commercial?    
 
Je dois être dans la matrice là...    
 
J'aime les truc beaux, commerciaux ou non    
 
J'aime Pendragon, un truc très commercial  

aimer ce qui donne mal la tête est du masochisme.    
dream T est commercial   (je persiste à penser que c'est le fric qui motive DT)
paradoxalement, (y a sujet à discussion), genesis, yes, crimson, etc... n'étaient pas commerciaux.   (je persiste à penser que c'est l'amour de la musique qui motivait ces groupes)

Ouai, enfin t'a pas du beaucoup écouter DT...

 
Pas terrible le troll    

ok,  
si vous voulez parler exclusivement de DT,  
goto  
http://forum.hardware.fr/hardwaref [...] 5138-1.htm
merci. ici,on parle de ROCK progressif.
et dsl si vos petits esprits sont limités au point de ne savoir parler que de DT qd on aborde le sujet prog.
ca comfirme ce que je disais plus haut.
exit le metal, bye.

 
       
 
Le métal....  

tu parlais de pendragone, ca me dit qqch...
ca se rapproche de quoi?  
tu ecoutes parfois la filiere progressive?

 
   
 
Pendragon.
 
http://www.pendragon.mu/

rci.
mwais, c'est bien. du pink floyd, quoi.

en même temps c'est toi qui a lancé la discussion sur DT...

ha oui? dans quel film?
dsl, j'ai beau chercher...  
je parlais de porcupine tree

Mais oui...  
 
Je crois que c'est la mode de surrestimer le métal...certains feraient mieux d'écouter ce qu'il y a coté du sacro-saint métal  

Le Heavy-Metal, dont la parenté  
avec le progressif remonte aux années 60, et regardé comme le remplaçant  
éventuel du progressif dans le cour et l'esprit de sa cible commerciale (« l  
'adolescent blanc-bourgois-masculin »), peut difficilement être assimilé à  
un stade d'évolution musicale supérieur au progressif. Les fautes capitales  
du progressif envers le bon goût, son excès et sa vantardise, sont  
violemment amplifiées dans le Heavy-Metal. Qualifier un groupe de  
Heavy-Metal de primaire est tout simplement un euphémisme. L'engouement de  
ce style pour la virtuosité instrumentale et les clichés spectaculaires  
rappelle le progressif, mais leur exagération jusqu'à la parodie devrait,  
théoriquement, le faire percevoir comme encore plus redondant que son genre  
frère. Pourtant, le Heavy-Metal continue à s'épanouir dans le monde entier.
 
edit: Paul Stump "The Music's All That Matters"

mais ici, c'est pas de ca qu'on parle, merci.
[/HS]

Pink floyd se reforme avec Roger WATERS pour une participation au concert du live8 organisé par Bob Geldof.
 
http://www.live8live.com/
www.pinkfloyd.com
 
Voila ca c'est de l'info

 
 
sauf qu'on parle pas de heavy metal, mais de metal prog. spa pareil.
le metal prog est la suite logique du rock prog mort par overdose de n'importe quoi et/ou de pop.
 
toutes façons, si tu coupes la branche metal prog tu passes à coté de ce qu'est le progressif moderne, l'apres 2112, l'apres snow goose, l'apres tout une histoire : fates warning, Dream Theater, LTE, Pain Of Salvation, Gordian Knot, Andromeda, Suncaged, Lemur Voice, Shadow Gallery, Queensryche (ah si ! cf mindcrime ), et beaucoup d'autres encore !

Ste troll  

Zappa, prog ou pas prog?
 
La démarche du musicien disparu en 1993 était certes singulière et protéiforme pour s’apparenter à un courant précis, puisque flirtant avec pratiquement tous les grands styles musicaux du Xxème siècle. Pourtant il existe suffisamment de points communs entre zappa et la musique progressive des années 70 pour qu’un album du touche-à-tout américain soit concerné. Premier signe moins anecdotique qu’il n’y paraît et plutôt révélateur, quatre musiciens, et non des moindre ont accompagnés Zappa avant de rejoindre, de l’autre côté de l’atlantique, un grand nom du rock progressif anglais : Chester Thompson (batteur de Genesis de 1977 et 1992), Eddie Jobson (Roxy Music, Curved Air, UK, Jethro Tull), Terry Bozzio (second batteur de UK) et Adrian Belew (chanteur-guitariste de King Crimson à partir de 1981).
 
Dès ses premiers disques au sein des Mothers of Invention, Zappa pourfendait avec jubilation les limites du rock, truffant sa musique d’allusions à des compositeurs admirés comme Igor Stravinski, travaillant avec un orchestre symphonique dès la fin des années 60 pour l’album « Lumpy Gravy ». Son inventive virtuosité, son extraordinaire faculté de pulvériser les frontières entre les genres musicaux (au fil d’un éclectisme qui sut transcender et parfois fusionner des univers aussi différent que la pop, le funk, le jazz-rock, le classique ou la musique contemporaine), le rapprochent au moins partiellement de l’univers défricheur du progressif des seventies.
 
De sa très abondante discographie, il faut recommander en priorité le fantastique « One size fits all » de 1975 et le coffret « Läther » (sorti sous la forme initialement souhaitée par Zappa seulement en 1996 à titre posthume et révélant les multiples facettes de son talent caméléon).
 
Mais « Hot rats », son second album solo, reste sans doute l’un de ses disques les plus « progressifs », même si il se rapproche également du jazz-rock, ce cousin musical alors naissant. La dimension orchestrale est évidente, la virtuosité éclate à chaque seconde ,servant admirablement une élégance mélodique toujours fine, parfois endiablé (notamment tout au long des 9mn de « Son of mr. Green genes ») qui ne sera pas sans influence sur certains groupes progressif anglais, en particulier ceux de l’école de Canterburry (Soft Machine, Henry cow). Cela dit, se dégage aussi de cette dextérité musicale une sorte de légèreté narquoise typique de Frank zappa, d’ailleurs présente encore plus ouvertement sur certains de ses autres disque. Car si Zappa était rigoureux, aventureux, perfectionniste, il prenait aussi un malin plaisir à manier la dérision, le cynisme et l’ironie, parsemant ses disques de collage sonores absurdes et délirants, parodiant souvent les genres musicaux avec une cruauté étrangement mêlée de tendresse, se révélant aussi à l’aise dans des allusions sexuelles de potaches que dans la plus acerbe des critiques sociales. C’est là évidemment une dimension presque totalement étrangère au courant progressif originel, capable parfois d’humour et de dérision mais jamais de la moindre parcelle de cynisme.
 
Extrait de « chroniques du rock progressif 1967-1979 » de Frédéric Delage.
 
   

Arena je préfère les premiers albums, les derniers sonnent trop métal.
 
Ayreon à petite dose ça va, mais c'est toujours la même chose, toujours le même son.
 
J'en ai rien à faire qu'ils soient de grands groupes ou pas, je n'aime pas  

Porcupine tree aussi à un coté très progressif / psyché

et moi quand je lis que DT est commercial je me dis qu'y en qui parlent et qui y connaissent pas grand chose, mais bon je pense que ça doit faire bien de critiquer DT, ça doit faire style "je connais mieux que vous donc je sais..."
 
@ Odeu: pffeu...
 

et toi qu'en penses-tu ? perso je vois pas où est le prog dans hot rats, franchement.  

tres profond, comme remarque.
 

 
C'est clair, c'est pas crédible une seconde
Surtout quand "on" affirme que DT est trop complexe ET commercial en même temps, faut le faire !

 
ah si DT est un groupe commercial, la preuve : comme tous les groupes commerciaux, DT change de style à chaque album, risquant à chaque fois une desertion de la fanbase
 
je crois que c'est pour ça aussi que ça reste mon groupe preferé : ça doit etre un des seul qui arrive encore à me surprendre à chaque nouvel album

 
Sklair  
Après avoir écouté octavarium en mp3 pendant 4 jours, j'ai acheté l'album aujourd'hui sans hésitation.
 

 
tu as bien fait, le booklet est très bien réalisé, avec plein de ptits trucs à remarquer dedans (et d'allusions aux chiffres 8 et 5... puisque c'est le 8e album d'un groupe de 5 ). parmi ces trucs, c'est vrai qu'il faut parfois etre musicien pour les piger, mais bon...
 
 
ps : et je crois qu'il y a 8 pages en comptant les faces

 
 
Je suis pas musicien et je suis très jeune et je ne m'intéresse au prog que depuis deux à trois ans mais je te répondrais:
 
 
  Peaches En Regalia  
 
...

t'as ni besoin d'être musicien ni "vieux" pour avoir un avis, et d'ailleurs je t'engage à continuer sur la voie zappaienne (

)... Peaches ? Bon... perso j'veux bien au début, mais dès que les cuivres entrent ça dévie quand même pas mal.  
Pour moi si tu veux, l'archétype du rock progressif (des 70's) c'est Camel en gros, avec le pire truc qui ait existé : Barclay James Harvest (je sais je vais me faire tuer   )  
Et zappa pour moi c'est l'antithèse de ça. c'est pour ça qu'il m'est difficile d'admettre que c'est du prog. comme c'est pas du rock & roll, ni de la fusion, ni... ni... c'est du zappa c'est tout.

Pourquoi le pire truc? Il y a pire que BJH je trouve  

j'disais ça c'était pour faire réagir les potentiels amateurs de barclay sur ce topic    
y'a toujours pire c'est sûr. mais dans le style mou, barclay c'était quand même pas mal  

 
c'est qui le trholl?
pffffeu.

 

Ils sont tous diplômés du GIT ou équivalent, ils ont bossé leur instrument 14 H/jour pendant des années pour arriver au niveau où ils sont, donc l'amour de la musique ils savent ce que c'est, merci bien.