Reprise du message précédent :

 
Bonne lecture.

Rain nous explique sa philosophie de la vie (mais me dire que non, c'est pas sa vie, pas sa philosophie, c'est pas du mépris, etc, etc), bref qu'il aille se faire foutre, et moi je vais me pieuter.

 
La routine habituelle.

 
Rain, une imposture ? lold
 
Cay probablement un des types les moins hypocrites et les plus integre du forum, ouai. Après il joue la carte de l'aigri-humour-noir-trash, mais c'est parfaitement cohérant.

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+1.

Et dont't forget kids  
 
http://www.dailymotion.com/relevan [...] ger-glover

 
Qui passent leur temps a être honnête avec les gens pour leur propre satisfaction, tout dépend de quel coté du miroir tu te place...

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Y a plus de jouets et j'ai le disque monde a lire  

floode

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Je t'ai déjà que tes fesses n'étaient pas un jouet qui m'intéressait sale

Bon... puisque l'heure de la lecture est venue.
Je m'en vais consulter Cioran.

 
Nan, moi je me touche et te regardant faire celles de kyougay

Pouet pouet

 
S'il pense ca et qu'il le dit, il y a de fortes chance pour qu'il n'y ai pas de gratuité dans les propos mais juste un constat.  
Et la forme, on s'en branle, du moins je fais partie de ceux qui s'en branlent pas mal.

 
Ouais mais non, j'aime pas les bouquins qui propagent les rumeurs.

 
Ca c'est gay  

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Alors comprend l'appréciation d'autrui.

Ping.

Pong.

Ping.

 
j'aime bieng la science-fiction moi
 

 
Je me touche la barbe

Quand tu fais passer un message, l'important est la façon dont il est reçu et pas la façon dont il est envoyé, alors fais comme moi et mange un BN.

Pong.  
 
On ne se tue que si, par quelques côtés, on a toujours été en dehors de tout.  
 
Il s'agit d'une in appropriation originelle dont on peut n'être pas conscient. Qui est appelé à se tuer n'appartient que par accident à ce monde-ci; il ne relève au fond d'aucun monde.
 
On n'est pas prédisposé, on est prédestiné au suicide, on y est voué avant toute déception, avant toute expérience: le bonheur y pousse autant que le malheur, il y pousse même davantage, car amorphe, improbable, il exige un effort d'adaptation exténuant, alors que le malheur offre la sécurité et la rigueur d'un rite.
 
Il est des nuits où l'avenir s'abolit, où de tous ses instants seul subsiste celui que nous choisirons pour n'être plus.  
"J'en ai assez d'être moi", se répète-t-on quand on aspire à se fuir; et lorsqu'on se fuit irrévocablement, l'ironie veut que l'on commette un acte où l'on se retrouve, où l'on devient soudain totalement soi. La fatalité à laquelle on a voulu échapper, on y retombe l'instant qu'on se tue, le suicide n'étant que le triomphe, que la fête de cette fatalité.
 
Cioran.

 
Tout n'est que point de vue, fais comme les autres, ferme la.

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Moi ce que j'ai vu c'est plutôt un reproche concernant le fait qu'il parle crument.
 
Bon, maintenant j'en ai un peu rien a foutre il faut dire.

De rien pour le BN.
Mais oui je ferme la fenêtre et la multiprise.

Ping.
 
 
 
Roh, putain, dit toi que je suis très méchant, que je mériterais une fessée et arrête de jouer a ma mère.

 
Merci bien.

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Pong.
 
Je vais me coucher, souhaitez moi bonne nuit.
 
Le film "A la recherche du bonheur" est émouvant dans son genre. Ca fait plaisir un monde qui joue. Alea jacta est.
 
Figuerolles pachebolles.
 
ZuuuuuuuUUUU

 
Si tu veux une fessée je suis là hein  

Pong

Edit: Potemkin, tu devrais mourir... Ping.

Le suicide est un accomplissement brusque, une délivrance fulgurante: c'est le nirvâna par la violence.

Le fait si simple de regarder un couteau et de comprendre qu'il ne dépend que de vous d'en faire un certain usage, vous donne une sensation de souveraineté qui tourne à la mégalomanie.

Puisque ma mission est de souffrir, je ne comprends pas pourquoi j'essaie d'imaginer mon sort autrement, encore moins pourquoi je me mets en colère contre des sensations. Car toute souffrance n'est que cela, à ses débuts et à sa fin en tout cas. Au milieu, c'est entendu, elle est un peu plus: un univers.  

Cette fureur en pleine nuit, ce besoin d'une ultime explication avec soi, avec les éléments. D'un coup, le sang s'anime, on tremble, on se lève, on sort, on se répète qu'il n'y a plus aucune raison de tergiverser, de différer: cette fois-ci, ce sera tout de bon. À peine est-on dehors, un imperceptible apaisement. On avance pénétré du geste qu'on va accomplir, de la mission qu'on s'est arrogée. Un rien d'exultation se substitue à la fureur lorsqu'on se dit qu'on est enfin parvenu au terme, que l'avenir se réduit à quelques minutes, à une heure tout au plus et qu'on a décrété, de sa propre autorité, la suspension de l'ensemble des instants.

Vient ensuite l'impression rassurante que vous inspire l'absence du prochain.
Tous dorment.

Comment abandonner un monde où l'on peut encore être seul ?
Cette nuit, qui devait être la dernière, on n'arrive pas à s'en séparer, on ne conçoit pas qu'elle puisse s'évanouir. Et on voudrait la défendre contre le jour qui la sape et bientôt la submerge.

Si on pouvait changer de nature, devenir n'importe qui, on ferait d'emblée partie des élus. Comme la métamorphose est irréalisable, on s'agrippe à la Prédestination, vocable magique s'il en fut. Rien que de le prononcer, on a la sensation d'avoir dépassé le stade des interrogations et des perplexités, et trouvé enfin la clef de toute impasse.

Cioran.

C'est tout aussi théâtral que le débat sur le manque d'apathie.

You're my little baby,
there's nothing to be scared of,
I promise you'll be safe right here with me,
 
You don't have to cry now,
just keep a little secret,
You'll never know where daddy hides the keys.
 
just do what I tell you
if you don't try to fight it
then I promise you that it won't hurt.
 
You know you can trust me,
so move a little closer
and let me put my hand under your skirt.
 
This house is not a happy home (4x)
 
I just wanna touch you
sneak on down beside you
and feel the softness of your perfect skin.
 
Don't feel bad about it,
I promise you it's normal,
'cause loving you could never be a sin.
 
Don't you talk about it
'cause no one will beleive you,
they'll say it's just one of your bad dreams.
 
and mummy isn't home now,
there is noone to disturb us,
so nobody will know where daddy's been
 
This house is not a happy home (8x)