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Auteur Sujet :

[Topic Unik] The Matrix Reloaded [Spoiler a partir de 46]

n°515386
NSV
Living on my own.
Posté le 18-05-2003 à 12:16:54  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

TRiGONOx a écrit :


 
je pari ke t uas aimé les Lotr et les X -men nan ?  :ouch:  


 
Et toi? Quels sont les derniers films à ton gout?

mood
Publicité
Posté le 18-05-2003 à 12:16:54  profilanswer
 

n°515387
botman
Cubeur
Posté le 18-05-2003 à 12:16:54  profilanswer
 

oyons clairs : The Matrix Reloaded, deuxième volet de la trilogie superlative des frères Andy et Larry Wachowski, est très nettement supérieur à l'épisode précédent. A cela une raison simple : la pression économique, c'est un euphémisme, a disparu. La trilogie est désormais assurée d'un succès que beaucoup de professionnels refusaient d'envisager pour son premier volet, au point que Joel Silver, déjà producteur de la chose, souhaitant alors se prémunir d'un four, en avait vendu la moitié des droits juste avant la sortie. On pouvait reprocher à Matrix opus 1 ses promesses non tenues : une poignée de scènes mémorables et un infini blabla. Au-delà du coup d'Etat scopique constitué par l'illustre «effet Matrix» (le ralenti suspendu), les Wachowski l'avaient finalement joué petit bras. Avec l'opus 2, les compères n'avaient plus d'alibi pour ne pas se lâcher. On en voulait beaucoup plus ? On vient d'être servi.
 
Versus Hollywood
 
Alors, de quoi ça parle ? Pour sauver Zion, ultime poche de la Résistance humaine à l'empire des machines, Neo (Keanu Reeves, beaucoup plus crédible en nouveau Moïse : serait-ce l'amaigrissement ?) doit percer le secret de la Matrice, coeur de toutes choses. La Matrice, aucun doute, c'est Hollywood : une entité chargeant à destination de la planète entière des programmes et simulations à la chaîne, qui substituent à la réalité des expériences humaines un ersatz machinique ouvrant sur des temps où l'homme n'aura plus sa place. Déjà, quand, dans les années 30, Walter Benjamin vit les premiers Disney avec la souris coupée en deux et reconstruite dans le même mouvement, il s'inquiéta de la suite des événements : quelque chose de notre intégrité et de l'unité pensée/mouvement se modifiait là radicalement. Aujourd'hui, la 3D et les potentialités qu'elle offre ont fait entrer l'entreprise du divertissement dans un rêve de simulation perpétuelle. Matrix Reloaded est donc ambigu : le film fictionnalise une lutte de réfractaires à la domination des simulacres mais façonne en même temps 2 h 18 de pur shoot visuel pour kids mondialisés, livrés pantelants au rouleau compresseur hollywoodien. Récit d'une émancipation créant des effets d'esclavage et de dépendance, Matrix est bel et bien un film fort, dans la mesure où, comme la religion, la psychanalyse et la drogue, il enchaîne et déchaîne les esprits EN MEME TEMPS !
 
Film + jeu vidéo
 
Prenons garde : Matrix n'est pas un film, ou plutôt n'est pas que ça. C'est une marque, un sceau, une philosophie voudrait-on nous faire croire, mais surtout un marketing totalitairement lumineux. Pour la première fois, on nous présente un film qui n'est que la moitié d'un plus vaste objet (culturel ? commercial ? artistique ? politique ?), l'autre indispensable moitié étant le jeu vidéo du même nom et qui sort également mondialement aujourd'hui (1). La grande idée à l'oeuvre derrière le projet des frères Wachowski tient dans cette simple équation : si vous souhaitez vraiment plonger dans l'univers de Matrix, si vous voulez en percer tous les mystères, en expérimenter toutes les dimensions, alors vous devrez voir le film ET jouer au jeu.
 
Techniquement, ce prolongement du premier dans le second atteint des limites jamais percutées, avec le tournage exclusif de plusieurs heures de film supplémentaires, la révélation de clés inédites ou la modélisation numérique des acteurs prévue dès les contrats. Conceptuellement, la piste défrichée par les Wachowski est riche d'hypothèses passionnantes que l'on ne pourra mettre à l'épreuve des faits qu'en jouant une bonne partie, plus tard. Mais il est irrésistible pour un joueur découvrant le film de chercher à deviner ce qui, à l'écran, dessine la perspective d'un jeu qu'il fréquentera bientôt. Les références directes à l'univers vidéoludique commencent avec le premier personnage nommé dans le film : Link... (héros de la saga Zelda, faut-il le préciser). Sans même préjuger d'un gameplay qui reste à expérimenter, il semble évident que là où Matrix rejoint le mieux le coeur de la culture vidéoludique, c'est sur la question du temps.
 
Le jeu vidéo est presque entièrement fondé sur la maîtrise du temps, envisagé comme une matière physique et souple. Les meilleurs jeux sont ceux qui tirent tous les partis de la plasticité inouïe du chronos virtuel, et c'est précisément ce que les frères Wachowski s'appliquent à transposer au cinéma avec leur fameux effet ralenti-accélération et l'affranchissement absolu de toutes les contraintes spatiotemporelles : Matrix décrète son temps et nous l'impose, fût-ce celui de la tétanie, et c'est sans doute une bonne part du secret de sa réussite.
 
L'attaque des clones
 
Cet univers de simulation généralisée qu'engendre la Matrice opère sur les personnages un dangereux syndrome d'ubiquité pandémique. Un incessant déploiement de doubles, de clones et de jumeaux néfastes essaime dans tout le film, mettant en péril la permanence de la fiction sous une tyrannie tautologique : une rose est une rose est une rose est une... Le voyage dans la pseudo-réalité des humains suppose déjà un dédoublement des héros, collés à leur fauteuil et virtuellement transportés sur le champ de bastons sérielles hallucinogènes, leurs corps à la fois inertes là-haut et tricotant du techno-kung-fu métaphysique ici-bas, ou l'inverse.
 
Matrix Reloaded thématise à fond les puissances virales du «même» via la figure de l'agent Smith, sorte de col blanc venimeux capable de se démultiplier en escouades d'analogues, ivre de sa propre personne, tellement peuplée à l'intérieur qu'elle explose en multitudes. C'est aussi le magnifique duo des jumeaux ninja-rastafari enfarinés, capables de se métamorphoser en diables de synthèses similaires. Là encore, le monde du jeu pointe le bout de son nez et les gamers devraient reconnaître dans cet enchâssement des problématiques du double le principe réplicatif qu'ils croisent fréquemment dans leurs activités virtuelles, peuplées d'ennemis dupliqués à l'infini. Même le couple central Neo et Trinity (Carrie-Anne Moss, vraiment bien) semble travaillé par la permutation des identités tant ils se ressemblent et s'assemblent : bruns livides à lunettes noires et physiques androgynes. Politiquement cependant, le film prend le parti de la lutte contre l'hégémonie universelle d'un seul et même modèle.
 
Virtuosité numérique
 
Bien plus que le premier, ce deuxième épisode marque une date dans l'usage esthétique des effets spéciaux 3D. Pas un plan qui ne soit trafiqué au numérique : les mouvements des personnages mais aussi des déplacements de caméras invraisemblables, tel ce slalom du regard sous les roues d'un camion en pleine course, dont la continuité est impossible à réaliser sans ordinateur. Les Wachowski et la monstrueuse équipe des effets visuels menée par John Gaeta ont voulu repousser toutes les limites et frapper les masses de stupeur par la sophistication et le grandiose des séquences successives. Gaeta dit admirer Ridley Scott et Stanley Kubrick. On citera aussi Tsui Hark (The Blade). Fracas des corps contre la tôle, bris de verre, chutes, déflagration de marbre, secousses mentalo-sismiques, tourments browniens, fumée lente aux cheminées tandis que la vitesse fait rage au premier plan, gestes pilés/fixés/étirés au fusain digital... Reloaded est une extatique assomption formelle.
 
La BD pour matrice
 
Ce Matrix est aussi une BD, la plus belle, la plus futuriste qui soit. Et les Wachowski donnent enfin au cinéma quelque chose comme la version filmée d'une autre paire graphique, le duo français technopatchouli des années Metal Hurlant (1980- 1986) : Jodorowsky et Moebius. Quelle est la matrice de Matrix ? Le cycle de l'Incal, bien sûr (publié aux Humanoides associés). Même prêche baba-new age, même dôme communautaire en danger où il s'agira de concentrer ses forces et de dépasser sa peur : c'est l'occasion d'une des plus belles scènes du film, une méga-rave sensuelle et opiacée filmée dans une ondoyante langueur. Mais aussi même vertige devant des murs de pensée pure, de logique outrepassée, même désir de casser le récit pour atteindre à la matière, même densité inénarrable, mythologique, enivrante. Et ce sens du découpage, qui ne repose pas seulement sur la vitesse mais, comme la BD, sur la mise en suspens, la possibilité pour le lecteur-spectateur de s'arrêter, de jubiler. Matrix nous plaît aussi pour ça : on dirait une opération de hacking sauvage portée par de vilains petits Mickeys contre la matrice Hollywood-Disney. Alors, c'est la Matrix Revolution ? Non, ça, ce sera pour l'opus 3, programmé pour l'autom ne.
 
 
critique de libé disponible ici :
 
http://www.liberation.com/page.php?Article=110885


---------------
"OCPLB : On Casse Pas Le Binôme, 'moiselle Jade, Carlson & Peters, page 823 !"
n°515389
Splinter
:[
Posté le 18-05-2003 à 12:17:15  profilanswer
 


Je vois que nos goûts en commun ne s'arrêtent pas au ciné (cf. ton image associée [:lovev])  [:special k]


---------------
Last.fm
n°515391
TRiGONOx
Ping timeout .....
Posté le 18-05-2003 à 12:17:25  profilanswer
 

NSV a écrit :


 
Et toi? Quels sont les derniers films à ton gout?


 
aucun ma vraiment transcendé ...... g bien aimé irreversible ....

n°515394
Splinter
:[
Posté le 18-05-2003 à 12:18:03  profilanswer
 

BotMan a écrit :

oyons clairs : The Matrix Reloaded, deuxième volet de la trilogie superlative des frères Andy et Larry Wachowski, est très nettement supérieur à l'épisode précédent. A cela une raison simple : la pression économique, c'est un euphémisme, a disparu. La trilogie est désormais assurée d'un succès que beaucoup de professionnels refusaient d'envisager pour son premier volet, au point que Joel Silver, déjà producteur de la chose, souhaitant alors se prémunir d'un four, en avait vendu la moitié des droits juste avant la sortie. On pouvait reprocher à Matrix opus 1 ses promesses non tenues : une poignée de scènes mémorables et un infini blabla. Au-delà du coup d'Etat scopique constitué par l'illustre «effet Matrix» (le ralenti suspendu), les Wachowski l'avaient finalement joué petit bras. Avec l'opus 2, les compères n'avaient plus d'alibi pour ne pas se lâcher. On en voulait beaucoup plus ? On vient d'être servi.
 
Versus Hollywood
 
Alors, de quoi ça parle ? Pour sauver Zion, ultime poche de la Résistance humaine à l'empire des machines, Neo (Keanu Reeves, beaucoup plus crédible en nouveau Moïse : serait-ce l'amaigrissement ?) doit percer le secret de la Matrice, coeur de toutes choses. La Matrice, aucun doute, c'est Hollywood : une entité chargeant à destination de la planète entière des programmes et simulations à la chaîne, qui substituent à la réalité des expériences humaines un ersatz machinique ouvrant sur des temps où l'homme n'aura plus sa place. Déjà, quand, dans les années 30, Walter Benjamin vit les premiers Disney avec la souris coupée en deux et reconstruite dans le même mouvement, il s'inquiéta de la suite des événements : quelque chose de notre intégrité et de l'unité pensée/mouvement se modifiait là radicalement. Aujourd'hui, la 3D et les potentialités qu'elle offre ont fait entrer l'entreprise du divertissement dans un rêve de simulation perpétuelle. Matrix Reloaded est donc ambigu : le film fictionnalise une lutte de réfractaires à la domination des simulacres mais façonne en même temps 2 h 18 de pur shoot visuel pour kids mondialisés, livrés pantelants au rouleau compresseur hollywoodien. Récit d'une émancipation créant des effets d'esclavage et de dépendance, Matrix est bel et bien un film fort, dans la mesure où, comme la religion, la psychanalyse et la drogue, il enchaîne et déchaîne les esprits EN MEME TEMPS !
 
Film + jeu vidéo
 
Prenons garde : Matrix n'est pas un film, ou plutôt n'est pas que ça. C'est une marque, un sceau, une philosophie voudrait-on nous faire croire, mais surtout un marketing totalitairement lumineux. Pour la première fois, on nous présente un film qui n'est que la moitié d'un plus vaste objet (culturel ? commercial ? artistique ? politique ?), l'autre indispensable moitié étant le jeu vidéo du même nom et qui sort également mondialement aujourd'hui (1). La grande idée à l'oeuvre derrière le projet des frères Wachowski tient dans cette simple équation : si vous souhaitez vraiment plonger dans l'univers de Matrix, si vous voulez en percer tous les mystères, en expérimenter toutes les dimensions, alors vous devrez voir le film ET jouer au jeu.
 
Techniquement, ce prolongement du premier dans le second atteint des limites jamais percutées, avec le tournage exclusif de plusieurs heures de film supplémentaires, la révélation de clés inédites ou la modélisation numérique des acteurs prévue dès les contrats. Conceptuellement, la piste défrichée par les Wachowski est riche d'hypothèses passionnantes que l'on ne pourra mettre à l'épreuve des faits qu'en jouant une bonne partie, plus tard. Mais il est irrésistible pour un joueur découvrant le film de chercher à deviner ce qui, à l'écran, dessine la perspective d'un jeu qu'il fréquentera bientôt. Les références directes à l'univers vidéoludique commencent avec le premier personnage nommé dans le film : Link... (héros de la saga Zelda, faut-il le préciser). Sans même préjuger d'un gameplay qui reste à expérimenter, il semble évident que là où Matrix rejoint le mieux le coeur de la culture vidéoludique, c'est sur la question du temps.
 
Le jeu vidéo est presque entièrement fondé sur la maîtrise du temps, envisagé comme une matière physique et souple. Les meilleurs jeux sont ceux qui tirent tous les partis de la plasticité inouïe du chronos virtuel, et c'est précisément ce que les frères Wachowski s'appliquent à transposer au cinéma avec leur fameux effet ralenti-accélération et l'affranchissement absolu de toutes les contraintes spatiotemporelles : Matrix décrète son temps et nous l'impose, fût-ce celui de la tétanie, et c'est sans doute une bonne part du secret de sa réussite.
 
L'attaque des clones
 
Cet univers de simulation généralisée qu'engendre la Matrice opère sur les personnages un dangereux syndrome d'ubiquité pandémique. Un incessant déploiement de doubles, de clones et de jumeaux néfastes essaime dans tout le film, mettant en péril la permanence de la fiction sous une tyrannie tautologique : une rose est une rose est une rose est une... Le voyage dans la pseudo-réalité des humains suppose déjà un dédoublement des héros, collés à leur fauteuil et virtuellement transportés sur le champ de bastons sérielles hallucinogènes, leurs corps à la fois inertes là-haut et tricotant du techno-kung-fu métaphysique ici-bas, ou l'inverse.
 
Matrix Reloaded thématise à fond les puissances virales du «même» via la figure de l'agent Smith, sorte de col blanc venimeux capable de se démultiplier en escouades d'analogues, ivre de sa propre personne, tellement peuplée à l'intérieur qu'elle explose en multitudes. C'est aussi le magnifique duo des jumeaux ninja-rastafari enfarinés, capables de se métamorphoser en diables de synthèses similaires. Là encore, le monde du jeu pointe le bout de son nez et les gamers devraient reconnaître dans cet enchâssement des problématiques du double le principe réplicatif qu'ils croisent fréquemment dans leurs activités virtuelles, peuplées d'ennemis dupliqués à l'infini. Même le couple central Neo et Trinity (Carrie-Anne Moss, vraiment bien) semble travaillé par la permutation des identités tant ils se ressemblent et s'assemblent : bruns livides à lunettes noires et physiques androgynes. Politiquement cependant, le film prend le parti de la lutte contre l'hégémonie universelle d'un seul et même modèle.
 
Virtuosité numérique
 
Bien plus que le premier, ce deuxième épisode marque une date dans l'usage esthétique des effets spéciaux 3D. Pas un plan qui ne soit trafiqué au numérique : les mouvements des personnages mais aussi des déplacements de caméras invraisemblables, tel ce slalom du regard sous les roues d'un camion en pleine course, dont la continuité est impossible à réaliser sans ordinateur. Les Wachowski et la monstrueuse équipe des effets visuels menée par John Gaeta ont voulu repousser toutes les limites et frapper les masses de stupeur par la sophistication et le grandiose des séquences successives. Gaeta dit admirer Ridley Scott et Stanley Kubrick. On citera aussi Tsui Hark (The Blade). Fracas des corps contre la tôle, bris de verre, chutes, déflagration de marbre, secousses mentalo-sismiques, tourments browniens, fumée lente aux cheminées tandis que la vitesse fait rage au premier plan, gestes pilés/fixés/étirés au fusain digital... Reloaded est une extatique assomption formelle.
 
La BD pour matrice
 
Ce Matrix est aussi une BD, la plus belle, la plus futuriste qui soit. Et les Wachowski donnent enfin au cinéma quelque chose comme la version filmée d'une autre paire graphique, le duo français technopatchouli des années Metal Hurlant (1980- 1986) : Jodorowsky et Moebius. Quelle est la matrice de Matrix ? Le cycle de l'Incal, bien sûr (publié aux Humanoides associés). Même prêche baba-new age, même dôme communautaire en danger où il s'agira de concentrer ses forces et de dépasser sa peur : c'est l'occasion d'une des plus belles scènes du film, une méga-rave sensuelle et opiacée filmée dans une ondoyante langueur. Mais aussi même vertige devant des murs de pensée pure, de logique outrepassée, même désir de casser le récit pour atteindre à la matière, même densité inénarrable, mythologique, enivrante. Et ce sens du découpage, qui ne repose pas seulement sur la vitesse mais, comme la BD, sur la mise en suspens, la possibilité pour le lecteur-spectateur de s'arrêter, de jubiler. Matrix nous plaît aussi pour ça : on dirait une opération de hacking sauvage portée par de vilains petits Mickeys contre la matrice Hollywood-Disney. Alors, c'est la Matrix Revolution ? Non, ça, ce sera pour l'opus 3, programmé pour l'autom ne.
 
 
critique de libé disponible ici :
 
http://www.liberation.com/page.php?Article=110885


Eux ils me font vraiment trop marrer, jamais là où on les attend  [:darkmavis tt]


---------------
Last.fm
n°515397
NSV
Living on my own.
Posté le 18-05-2003 à 12:18:30  profilanswer
 

TRiGONOx a écrit :


 
aucun ma vraiment transcendé ...... g bien aimé irreversible ....


 
T'es un blasé du ciné, en somme... Dogville peut-être ?

n°515398
Romf
Posté le 18-05-2003 à 12:18:37  profilanswer
 

excellent film: La 25ème heure :love: excellent je l'ai vu en vo j'ai adoré :love:

n°515399
botman
Cubeur
Posté le 18-05-2003 à 12:18:40  profilanswer
 

Splinter a écrit :


Eux ils me font vraiment trop marrer, jamais là où on les attend  [:darkmavis tt]  

ben la critique est plutot positive dans l'ensemble :??:


---------------
"OCPLB : On Casse Pas Le Binôme, 'moiselle Jade, Carlson & Peters, page 823 !"
n°515403
TRiGONOx
Ping timeout .....
Posté le 18-05-2003 à 12:19:26  profilanswer
 

NSV a écrit :


 
T'es un blasé du ciné, en somme... Dogville peut-être ?


 
en faite dès ke j'arrive a trouver une merde dans les F/x , ca me gave :/

n°515404
NSV
Living on my own.
Posté le 18-05-2003 à 12:19:30  profilanswer
 

BotMan a écrit :

ben la critique est plutot positive dans l'ensemble :??:
 


 
Je pense que DM voulait dire qu'il s'attendait à un cassage en règle...

mood
Publicité
Posté le 18-05-2003 à 12:19:30  profilanswer
 

n°515415
botman
Cubeur
Posté le 18-05-2003 à 12:21:02  profilanswer
 

NSV a écrit :


 
Je pense que DM voulait dire qu'il s'attendait à un cassage en règle...

bah moi aussi, mais non, mais quand le 1 etait sorti, leur critique etait plutot bonne donc ...


---------------
"OCPLB : On Casse Pas Le Binôme, 'moiselle Jade, Carlson & Peters, page 823 !"
n°515420
Splinter
:[
Posté le 18-05-2003 à 12:21:50  profilanswer
 

NSV a écrit :


 
Je pense que DM voulait dire qu'il s'attendait à un cassage en règle...


Exactement... Les critiques de Libé ne sont plus crédibles depuis longtemps, toujours à côté de la plaque : ils critiquent Fanfan la Tulipe pour son "racisme" (rien à voir, mais vraiment...), et là ils s'attardent sur le jeu vidéo, qui en plus est daubesque...
 
Donc bon, Libé...


---------------
Last.fm
n°515424
Splinter
:[
Posté le 18-05-2003 à 12:22:21  profilanswer
 

Romf a écrit :

excellent film: La 25ème heure :love: excellent je l'ai vu en vo j'ai adoré :love:  


Punaise, un chef d'oeuvre [:japv]


---------------
Last.fm
n°515428
botman
Cubeur
Posté le 18-05-2003 à 12:23:22  profilanswer
 

Splinter a écrit :


Exactement... Les critiques de Libé ne sont plus crédibles depuis longtemps, toujours à côté de la plaque : ils critiquent Fanfan la Tulipe pour son "racisme" (rien à voir, mais vraiment...), et là ils s'attardent sur le jeu vidéo, qui en plus est daubesque...
 
Donc bon, Libé...

heu pour Fanfan y'a eu unanimité des critiques et des spectateurs : ctune daube effectivement aux relents racistes a la taxi ...


---------------
"OCPLB : On Casse Pas Le Binôme, 'moiselle Jade, Carlson & Peters, page 823 !"
n°515430
C@ssius
La rage de réussir wesh kouzin
Posté le 18-05-2003 à 12:23:51  profilanswer
 

TRiGONOx a écrit :


 
je pari ke t uas aimé les Lotr et les X -men nan ?  :ouch:  

ba ta perdu, lotr stro nul :o et xmen c bof...

n°515432
SBAM
Best recording of rach 3.
Posté le 18-05-2003 à 12:24:16  profilanswer
 

BotMan a écrit :

heu pour Fanfan y'a eu unanimité des critiques et des spectateurs : ctune daube effectivement aux relents racistes a la taxi ...


Racisme ou ca ?
 
edit : ortho


Message édité par SBAM le 18-05-2003 à 12:24:51

---------------
Si t'es fier d'etre un Fortin tape dans tes mains !
n°515433
Nafnaf
a un nick alakon depuis 2001
Posté le 18-05-2003 à 12:24:19  profilanswer
 

BotMan a écrit :

Récit d'une émancipation créant des effets d'esclavage et de dépendance, Matrix est bel et bien un film fort, dans la mesure où, comme la religion, la psychanalyse et la drogue, il enchaîne et déchaîne les esprits EN MEME TEMPS !
 


 
Ceci explique cela,il s'était envoyé toute sa réserve ce soir là [:meganne] j'vois pas d'autres explications a ce tas de conneries  

n°515437
Lalka
_
Posté le 18-05-2003 à 12:24:47  profilanswer
 

magicpanda a écrit :


quel est le dernier film que tu as aimé?


 
zut le dernier film ke g vu et ke g aimé  
eu
bonne question  [:ddr555]  
une vieux film ke g vu en vhs " une chatte sur un toit brulant "  [:atsuko]

n°515440
Romf
Posté le 18-05-2003 à 12:25:13  profilanswer
 

Splinter a écrit :


Punaise, un chef d'oeuvre [:japv]


 
je le prend direct en dvd quand il sort :D
surtout que d'après dvdrama les bonus sont corrects :jap:  
sinon au début quand le gros a du mal avec chai plus kel mot [:rofl] :love:

n°515442
Splinter
:[
Posté le 18-05-2003 à 12:25:15  profilanswer
 

BotMan a écrit :

heu pour Fanfan y'a eu unanimité des critiques et des spectateurs : ctune daube effectivement aux relents racistes a la taxi ...


Non y a vraiment pas unanimité, en tous cas moi j'ai bien aimé, et pourtant j'en attendais pas gd chose  [:special k]  
 
Et franchement le racisme...  [:le nivea sun de dm]


---------------
Last.fm
n°515445
TRiGONOx
Ping timeout .....
Posté le 18-05-2003 à 12:25:18  profilanswer
 

lalka a écrit :


 
zut le dernier film ke g vu et ke g aimé  
eu
bonne question  [:ddr555]  
une vieux film ke g vu en vhs " une chatte sur un toit brulant "  [:atsuko]  


 
aussi blasé ke moua  :whistle:

n°515446
Lalka
_
Posté le 18-05-2003 à 12:25:25  profilanswer
 

SBAM a écrit :


 
Retourne polluer ton topic psychanalyse, c'est sérieux ici bonhomme  [:k@zouille]  


 
on parle philosophie ici  [:ddr555]

n°515450
botman
Cubeur
Posté le 18-05-2003 à 12:26:14  profilanswer
 

Splinter a écrit :


Non y a vraiment pas unanimité, en tous cas moi j'ai bien aimé, et pourtant j'en attendais pas gd chose  [:special k]  
 
Et franchement le racisme...  [:le nivea sun de dm]  

t'as peut etre trop joué a la sp pendant le film :whistle:


---------------
"OCPLB : On Casse Pas Le Binôme, 'moiselle Jade, Carlson & Peters, page 823 !"
n°515451
Splinter
:[
Posté le 18-05-2003 à 12:26:20  profilanswer
 

Romf a écrit :


 
je le prend direct en dvd quand il sort :D
surtout que d'après dvdrama les bonus sont corrects :jap:  
sinon au début quand le gros a du mal avec chai plus kel mot [:rofl] :love:  


Idem, il est en 2è position sur ma liste de mes 20 films préférés de tous les temps [:lovev]


---------------
Last.fm
n°515454
wassabi
Espece de biologiste à 2 roues
Posté le 18-05-2003 à 12:26:42  profilanswer
 

TRiGONOx a écrit :


 
je pari ke t uas aimé les Lotr et les X -men nan ?  :ouch:  


ben moi oui
prk c est interdit?
c est non charte complient?


---------------
Besoin d'un compte dropbox?==> http://db.tt/JSlTvDe
n°515462
Splinter
:[
Posté le 18-05-2003 à 12:27:30  profilanswer
 

BotMan a écrit :

t'as peut etre trop joué a la sp pendant le film :whistle:


Ben non, du tout, c'est vivant, dynamique, bien joué, souvent drôle, avec beaucoup d'anachronismes pas très fins, certes, mais amusants... Penélope Cruz est joli, Perez joue bien, Bourdon est très drôle, Galienne est génial... Vraiment, bon film de pur divertissement [:japv]


---------------
Last.fm
n°515463
Romf
Posté le 18-05-2003 à 12:27:30  profilanswer
 

Splinter a écrit :


Idem, il est en 2è position sur ma liste de mes 20 films préférés de tous les temps [:lovev]


les grands esprits se recontrent :jap:  
sinon c'est quoi le 1er :D
moi aussi fait partie de mes films préférés, y'a aussi requiem for a dream et qques autres

n°515464
Guish
On est enfermé dehors ...
Posté le 18-05-2003 à 12:28:05  profilanswer
 

'jour
 
J'ai re-matté le making of de Matrix 1 hier soir. Les frères assument totalement leurs inspirations : les films de kung fu (fist of legend surtout), les films de john woo en general, alice au pays des merveille, les mangas et les BD. On devine aussi une petite inspiration niveau Black Mask et Blade.

n°515467
Splinter
:[
Posté le 18-05-2003 à 12:28:17  profilanswer
 

Romf a écrit :


les grands esprits se recontrent :jap:  
sinon c'est quoi le 1er :D
moi aussi fait partie de mes films préférés, y'a aussi requiem for a dream et qques autres

Mon premier c'est Fight Club  [:special k]  
 
http://www.ymdb.com/user_top20_view.asp?usersid=5483


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Last.fm
n°515471
TRiGONOx
Ping timeout .....
Posté le 18-05-2003 à 12:29:04  profilanswer
 

wassabi a écrit :


ben moi oui
prk c est interdit?
c est non charte complient?


 
nan c po interdit, mais on peut po aimé c 2 films si ont a lu le boukin ou matté le comics  :sarcastic:

n°515472
Romf
Posté le 18-05-2003 à 12:29:10  profilanswer
 


pas mal mais faudra que je le revoies je sais mm pas si j'lai vu en entier [:mlc]

n°515479
Romf
Posté le 18-05-2003 à 12:30:02  profilanswer
 

TRiGONOx a écrit :


 
je pari ke t uas aimé les Lotr et les X -men nan ?  :ouch:  


 
lotr et xmen spa pareil du tout xmen (g vu que le 1 ca m'a suffit) a vraiment aucune originalité :sarcastic:

n°515487
botman
Cubeur
Posté le 18-05-2003 à 12:30:56  profilanswer
 

C@ssius a écrit :

ba ta perdu, lotr stro nul :o et xmen c bof...

je demande le ban pour ce monsieur :fou:
on n'a pas le droit de ne pas aimer le sda :fou:


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"OCPLB : On Casse Pas Le Binôme, 'moiselle Jade, Carlson & Peters, page 823 !"
n°515488
TRiGONOx
Ping timeout .....
Posté le 18-05-2003 à 12:31:02  profilanswer
 

Romf a écrit :


 
lotr et xmen spa pareil du tout xmen (g vu que le 1 ca m'a suffit) a vraiment aucune originalité :sarcastic:  


 
X-men c un ratage complet du debut a la fin  :pfff:

n°515494
Romf
Posté le 18-05-2003 à 12:31:35  profilanswer
 

Splinter a écrit :

Mon premier c'est Fight Club  [:special k]  
 
http://www.ymdb.com/user_top20_view.asp?usersid=5483


 
yes seven aussi :love:  
 
putain c'est une super liste ca :love:  
requiem, dark city, american history x, pulp fiction :love:  :love:  :love:  :love: il existe pas en dvd slui la au fait :heink:

n°515497
Romf
Posté le 18-05-2003 à 12:31:52  profilanswer
 

TRiGONOx a écrit :


 
X-men c un ratage complet du debut a la fin  :pfff:  


pas lotr

n°515499
Splinter
:[
Posté le 18-05-2003 à 12:31:56  profilanswer
 

TRiGONOx a écrit :


 
nan c po interdit, mais on peut po aimé c 2 films si ont a lu le boukin ou matté le comics  :sarcastic:  


J'ai deux amis qui sont d'énormes fans du comics X-Men, et ils ont aimé X2 parce qu'il respecte énormément la BD, sans doute plus que le 1er, et parce qu'il lance des clins d'oeil subtils aux fans, justement.


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Last.fm
n°515504
botman
Cubeur
Posté le 18-05-2003 à 12:32:30  profilanswer
 

TRiGONOx a écrit :


 
nan c po interdit, mais on peut po aimé c 2 films si ont a lu le boukin ou matté le comics  :sarcastic:  

si si, le sda est mon bouquin de chevet depuis des annees, et j'ai adoré les films, tres bonne adapattion dans l'ensemble meme si quelques imperfections demeurent de ci, de la :jap:


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"OCPLB : On Casse Pas Le Binôme, 'moiselle Jade, Carlson & Peters, page 823 !"
n°515508
Splinter
:[
Posté le 18-05-2003 à 12:32:58  profilanswer
 

Romf a écrit :


 
yes seven aussi :love:  
 
putain c'est une super liste ca :love:  
requiem, dark city, american history x, pulp fiction :love:  :love:  :love:  :love: il existe pas en dvd slui la au fait :heink:  


Il existe pas en DVD Pulp Fiction [:lionel jospin]
 
Je l'ai pas, mais je l'ai vu au ciné, puis je le remate à chaque fois qu'il passe à la télé (en VF malheureusement [:morpheus67])  [:humpty dumpty]


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n°515512
botman
Cubeur
Posté le 18-05-2003 à 12:33:13  profilanswer
 

TRiGONOx a écrit :


 
X-men c un ratage complet du debut a la fin  :pfff:  

:pfff: cai le meilleur film de super heros a l'heure actuelle, et de loin :pfff:


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"OCPLB : On Casse Pas Le Binôme, 'moiselle Jade, Carlson & Peters, page 823 !"
n°515513
Splinter
:[
Posté le 18-05-2003 à 12:33:44  profilanswer
 

BotMan a écrit :

:pfff: cai le meilleur film de super heros a l'heure actuelle, et de loin :pfff:


Ca ne sert à rien de discuter avec lui, tu vois bien qu'il n'aime pas le cinéma de toutes façons.


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