Reprise du message précédent :
Interstellar, proche de la réalité ?
 
Dans le film, on parle de fin du monde. La Terre n'offrant plus la nourriture pour les humains.
Aujourd'hui, le réchauffement climatique est inévitable. Il est déjà en cours.
La société humaine semble incapable de comprendre ce qui est en train d'arriver.
Estimant que les émissions de gaz à effet de serre sont impossibles à maîtriser, les climatosceptiques de M. Trump  
et des puissants comme Bill Gates veulent développer la géo-ingénierie, une sorte de prequel d'Interstellar.
 
Précisions :
https://reporterre.net/La-poussee-d [...] -politique
 
https://reporterre.net/local/cache- [...] 1512167842

J'ai beaucoup aimé son interprétation dans Les Passagers.

Interstellar est sorti en BR 4K

Pas tout à fait, il sort le 28 décembre.  

Ah mince j’avais vu qu’il était déjà possible de commander les coffrets

Un gus qui reprend la musique à l'orgue    
 
https://www.youtube.com/watch?v=Ctykf8qh288

Pour les gens habitants en IDF il y a une séance en Dolby cinéma lundi soir : https://www.facebook.com/events/350614348815762/

Magnifique film.
Je pense que la pluparft de ceux qui ont aimé le film connaissent déjà mais au cas ou  :  
 
https://www.wired.com/2014/11/absolute-zero/
 

 
C'est avec plaisir que je tombe sur ce sujet et de voir un commentaire très pertinent.
 
Interstellar est surement l'un de mes films préférés et comme tu dis pourrais tout à fait correspondre à une situation de la vie sur terre d'un futur pas si lointain.
 
Le film est en même temps très terre à terre, très réaliste, mais tout est parfait. Rien ne choc, tout est bien dosé, le scénario est captivant, les acteurs sont justes, les scènes d'actions spectaculaires mais toujours bien mesurées, telles que la "docking scene".
C'est un tout qui fait d'Interstellar déjà un excellent film.
 
Et puis il y a la psychologie et les thèmes philosophiques qui ressortent plus ou moins directement (l'amour, le temps, la nature, le progrès, le courage, la solitude...) qui s’entremêlent sans être trop envahissant.
 
Du coup ce film fait bien réfléchir une fois visionné, et surtout on ne s’ennuie pas même après 2 ou 3 visionnages.

A l'époque où je l'ai vu, j'avais trouvé la sortie de Brand sur l'amour complétement WTF et ça m'a sorti du film. Je n'en revenais pas que Nolan ait osé mettre ces mots dans la bouche d'une sciento, et

 
Bref, je l'ai revu il y a peu et je suis maintenant bien content que Nolan ait osé parce que ce peut donner une autre lecture.  
Ça c'est un point de vue perso, mais plus généralement, merci Nolan pour avoir démocratisé la vision relativiste de l'univers, parce que c'est dingue le nombre de gens de mon entourage qui pense l'univers à la façon Newtonienne sans s’imaginer que le temps fait partie de l'espace et qu'il n'est pas figé ni linéaire.

Il y a beaucoup de gens qui caricaturent le message de Nolan sur ce film (pas toi hein). Le fait que ça soit notre attachement aux autres (l'amour) qui nous lie à travers l'espace a du sens, car il aime sa fille qu'il soit à un kilomètre ou à des milliards. Qu'est ce qui pousse Cooper à entreprendre sa mission ? L'amour pour ses enfants et la volonté de leur donner un avenir - et plus largement l'amour pour sa propre espèce, qui dépasse l'intérêt individuel (d'où la notion de sacrifice). Être scientifique ou non n'y change rien. C'est d'ailleurs justement parce que la science est crédible dans le film que le reste est réussi, aussi.

C'est un film sur l'humanité (l'amour de Cooper pour ses enfants, l'amour de Brand pour Edmunds, l'amour de l'équipage pour l'espèce humaine, la trahison de Mann, les mensonges du professeur Brand, bref tous les hauts et les bas qui nous différencient d'un caillou), pas sur comment sauver l'espèce. D'ailleurs cette humanité trouve son contraste dans les planètes très minérales qu'ils visitent. Certains se plaignaient qu'elles n'étaient pas assez exotiques (Avatar style) alors que ça aurait justement dénaturé le propos.

Mais je m'égare  

C'est pas con pour les planètes parce que je m'étais moi aussi fait la réflexion des planètes "moches" mais ça contraste vraiment bien avec ce propos sur l'"humanité".
 

Du topic images:
 

- Mais elle vous arrivait où, l'eau, sur la planète océan ?  
- Oh ben en dessous du genou, on n'avait même pas enlevé nos bottines  
-  

Il y a 2 aspects dans cette musique qui la font coller parfaitement à la scène :
 - Le "métronome" évoqué sur l'image
 - Les vagues sonores (à partir de 2:40 : https://www.youtube.com/watch?v=g3wQE24rZXc)

Je vous conseille de rejoindre le groupe Facebook Interstellar : fan movie francophone
https://www.facebook.com/groups/949 [...] 5/?fref=nf
Photos, scénario etc..  
 

Drap pour un film que je trouve tout simplement extraordinaire  

Des années que j‘en entends parler tant sur le plan artistique que scientifique.

Je m’attendais vraiment à un film sur l’espace avec des découvertes et explorations de planètes tout aussi surprenantes les unes que les autres.
Rien, rien de tout ca.

C’est juste un bon gros blockbuster américain classique avec le héro qui a forcément vécu des drames par avant.
Toujours la même rengaine, ça tombe sur le pauvre gars du Midwest qui vit modestement et humblement, suite à une brillante carrière dans l’armée / le spatial ou je ne sais où. Forcément pourfendeur de l’injustice.

Pas sûr que tu aies bien compris certains points.

Non, c'est même certains.

Mais si on se base sur la forme, ça reste un format blockbuster classique.

Place réservée pour Interstellar en iMax dans 3 semaines  

Revu il y a deux semaines au Pathé Quai d'Ivry, les émotions sont toujours là et le spectacle visuel fabuleux      

La remarque sur la facture clim est assez pertinente quand je transpose avec notre situation ici
Après ils ont peut-être une source géothermique ou un SMR en local pour alimenter tout ça.

Revu à Londres en IMAX 15/70 (j’y suis allé exprès ). Encore plus grosse claque qu’il y a dix ans. Le kif ultime  

Oui, des incohérences énormes, il y en a pas mal effectivement. Mais ça ne me gache pas le film.
Top 3 parmi mes films préférés.

attends de voir ce que va nous générer l'IA avec les prochains robots
 

 
Top 1 incontestable pour ma part  
 
je l'ai vu 10 ou 15 fois, je le connais par coeur, et je le re-regarderais encore avec grand plaisir
 
je rêverais d'une director's cut avec des séquences en plus... mais je suppose que c'est trop tard

 
 
 
Au cour d'un énième revisionnage de cet excellent film, j'ai eu cet interprétation.    
 
C'est un film dévoilant l'état fasciste des étazunis >>>après tout ce qu'il en reste (état de morosité dans un monde ravagé par les armes atomiques ayant aggraver encore plus la situation climatique. + dôme d'or que Trump veut mettre en place )
 
>Qui met en scène un reliquat de nationalisme (les combinaisons avec écusson de la bariolée bannière)  qui aurait commander de <<bombarder des affamés depuis l'orbite>>.    
 
>C'est les USA qui "sauve le monde" en sauvant juste eux seul ?    
la scène à la fin avec les gamins qui joue du baseball...+ là ou Brand se situe, avec un jolie drapeau étazunien planté au milieu de la base, comme la mosqué au milieu de la casbah.  
 
 
>Le film raconte que les gus de la NASA se "serait opposé" (quand ? avant ou après quelque extermination depuis l'orbite ?! ), mais garde sur leur combinaison le drapeau d'un régime qui leur commandait d'exterminer des gens.    
 
> Un drone indien qui survole tranquille le middle east étazuniens, indiquant que l'Inde devait être en guerre contre les USA (qui auparvant aurait bombarder des affamés de l'Inde ?! Ce pays étant le plus peuplé au monde...)
 
>L'argent de cooper qui part quelque part, que le black directeur de l'école de ses enfants lui dit <<no sé>>    
 
>La prof blonde en mode yolo qui dit que 1969 c'est du fake parce que la gamine formaté s'est tapée pour ce truc    
La diffraction du dévoilement aurai commencer avec Christof Nolan ?!
 
 
Bref, voir l'écusson étazunien sur les combinaisons, a fini par me faire tilter... le film aurait était plus neutre, sans ce signe de nationalisme "imbue d'eux même"... je dis ça au travers des sous entendus que laisse entendre le film vis à vis d'une dictature qui se serait mise en place dans ce pays et qui aurai commis commanditer planifier organiser des crimes contre l'humanité...
 
La nasa pouvait très bien (au vu du reste d'utilité qu'elle pouvait encore revendiquer) faire que ses spationautes ne portent pas de marque de nationalisme. Ca aurait était courageux de la part de la production de ce film. Bon après vu qu'on voit le norad... c'était peut être une exigence de la junte militaire des USA ils ont un budget cinéma qu'ils injectent à hollywood qui fait que...à leur condition.    

Ils passent 75% du temps du film dans l'espace à plusieurs millions d'années lumière de la Terre et tu réussis malgré tout à faire une fixette sur le drapeau américain, c'est une belle prouesse