Reprise du message précédent :

Déjà sorti.

Je suis d'accord

Je n'ai pas totalement accroché et le film n'évite pas quelques écueils (le cliché du noir super sympa qui danse vachement sur de la funk fréquemment véhiculé par Omar Sy... en faire un mec fan de Gojira aurait été plus couillu), mais il demeure en effet malgré tout sympathique, bien réalisé, et ne donne pas l'impression de prendre le spectateur pour un con.

D'ailleurs plus largement, je trouve que le couple Toledano/Nakache fait de la bien bonne came : leurs films sont plaisants, certes bien calibrés pour le grand public tout en restant très honnêtes et bien foutus. Du cinéma français qui me plait.

GG Kazuchika Okada.

Qu'on me donne les droits des modérateurs pour expurger ce topic des cancres analphabètes, mono-smileysesques et simiesques et faire ce topic grand encore  

T'as quoi contre les simiesques le batracien ?

Ils se grattent le cul à la vue de tous. On saura les rééduquer...

Faites gaffe qu'ils ne t'envoient pas leur excréments , ils ne loupent jamais leur cible !  

 
On saura, pas on sera.  
On a vu mieux comme rééducateur.  

Je vais de ce pas m'interner avec quelques films et je reviens vous en parler plus tard  

Juste pour faire une choix fort, y a un minimum de fion dans les misérables ? Sinon je prends du Kechiche, c'est bien aussi comme discrimination positive.

Je te conseil de t'inspirer de lui
 

 
ça parle de foule de metal et de jacquette de DVD

 
Et tu pourras commencer par lui, tiens

Le sens de la fête plutôt cool dans le genre, Bacri et Lellouche y sont pour beaucoup

Par ce temps magnifique ???      

Je bricolais dehors et là, je pars faire quelques kilomètres de vélo à travers champs. Ca attendra bien sur ce soir, en plus j'ai quelques Stout au frais pour le coucher de soleil du jardin  

Gregouf  

Ailleurs on a 95% de qualité ?

 
Ouaip  
 
Et pourtant à la base je ne suis pas fan de Lellouche, c'est dire.

Ah tu me rassures.
 
(désolé de ma réponse tardive, je reviens de footing en rase campagne. Y'avait trop de monde....    )

 
Au revoir Philippe

Heat sur TCM

Philippe ?  

Philippe Nahon emporté par la maladie, accentuée par le Covid

Y a aussi Rouve, très drôle dans celui-ci.  

Oh non
J’adorais sa voix

Mince.  
Bon bah Seul contre tous ce soir.  

La sauce attaque le cuir.  

 
Quel support ?

Sympa Ford vs Ferrari  
 
De l’histoire et du divertissement  

Rollerball  
 
Sorti en 1975 et réalisé par Norman Jewison, ce film est devenu un classique.
Dans un futur dystopique les nations n'existent plus et sont remplacées par des conglomérats tout puissants qui régissent la vie de chaque citoyen. Les hauts dirigeants de ces cartels sont les vrais maîtres de ce monde et toutes les décisions leur appartiennent exclusivement.
 
Les firmes ont décidé de créer un sport très violent afin de captiver le public.
Le rollerball est un sport collectif qui voit s'affronter deux équipes de 7 patineurs sur roulettes accompagnés par 3 motards. Le sport se joue sur un anneau circulaire et le but du jeu consiste à envoyer une boule en métal dans une sorte de panier magnétique. Ce sport qui passionne les foules est très violent car les contacts sont permis et il n'est pas rare de voir des joueurs gravement blessés et même des décès durant la partie, ceci malgré les protections des joueurs (similaire aux protections des joueurs en hockey sur glace ou au foot américains -casques, plastrons)
Bien que ce sport soit collectif, un joueur de l'équipe de Houston émerge parmi les autres et est considéré comme le meilleur joueur de la ligue ; Jonathan E. (James Caan), et sa popularité est immense dans le monde, car tout le monde aime le rollerball et ses vedettes.
 
Cependant les dirigeants de l'équipe de Houston lui demandent d'arrêter de jouer au rollerball, de mettre fin à sa carrière ce qu'il refuse. Les grosses firmes décident alors de changer les règles afin de rendre le jeu encore plus violent et dur dans le but de faire abandonner Jonathan E. qui va évidemment refuser et chercher à comprendre pourquoi la firme veut qu'il arrête le Rollerball.
 
L'esthétique et l'atmosphère de ce film sont visiblement très inspirés des films de Kubrick (2001 et Orange mécanique). L'action se déroule en 2018 mais on voit quand-même pas mal l'influence des années 70 dans les décors et les habits des personnages, une vison du futur des années 70. De plus l'illustration sonore fait la part belle à la musique classique (comme dans 2001)
J'aime beaucoup certains films de Jewison (L'affaire thomas crown, FIST, le kid de Cincinati...) et la réalisation est efficace tout comme le montage.  
Les parties de Rollerball sont nombreuses et très bien filmées, on sent très bien la violence du jeu.
Les personnages sont également très bien travaillés, et je pense que c'est le meilleur rôle de James Caan, acteur trop rare mais toujours très bons dans ses rôles.  
 
A voir et à revoir sans modération.  
 
 
 

C'est effectivement un bel exemple de la SF/anticipation des années 70-début 80 (Soleil vert, la planète des singes, ...), que j'aime beaucoup.  
J'avais revu ce film il y a quelques années, et j'avais fait l'erreur de regarder le film de 75 et son remake avec Jean Reno à la suite l'un de l'autre... Mon dieu que le remake est mauvais, en plus d'être complètement à contresens de l'original.

Oui très bons aussi Soleil Vert et la Planète des singes, je vais probablement me les refaire.
 
En remake je pensais que Robocop allait être une vraie daube, mais c'est pas si mal que ça, ça se laisse au moins regarder, même si c'est très loin de l'original.
Mais le remake de Rollerball, pourtant réalisé par Mc Tiernan, j'ai pas de mots...probablement le pire remake jamais fait...il n'y a vraiment rien à retenir de ce film...pire qu'une série B, c'est une série C, voire une série Z...

Le meilleur rôle de James Caan alors que le gars était Sony Corleone. J'ai plus les mots.

Ce n'était pas vraiment un premier rôle, dans le Parrain.

Ça reste un rôle majeur. Il n'y a pas un cinéphile digne de ce nom qui ne vénere pas Santino Corleone.

Il était aussi très bien dans le Parrain, mais je n'ai jamais parlé de son premier rôle, mais de son meilleur. Mais il est central dans Rollerball et pour moi c'est son meilleur rôle. (même si je n'ai pas vu tous ses films)

Copain!    
 

Je m'attendais tellement à une grosse daube que le remake de Robocop m'a agréablement surpris. On n'y retrouve certes pas l'ambiance très particulière de l'original, ni le niveau des comédiens, mais c'est loin d'être une daube.

Le format documentaire envahit de plus en plus souvent le cinéma, avec un travail sur la réalisation de plus en plus poussé, un travail sur le montage et la scénarisation qui s'approchent de plus en plus d'un film. Free Solo du National Geographic qui avait remporté l'oscar en 2019 en est un très bon exemple, le travail de Jimmy Cho ayant été totalement transformé après sa rencontre (à tous les niveaux   ) avec Elizabeth Chai Vasarheliy.  
Mais aujourd'hui pas question de montagne, on va parler de The Biggest Little Farm, documentaire de 2019 qui sortait au cinéma dans nos contrées juste quand le confinement commençait. Circonstance oblige, le film a migré vers les plateformes de VoD et Amazon m'a délesté de 1.99£.
 
Histoire d'un couple vivant à Los Angeles qui décident de racheter une ferme dans le nord de la Californie en 2010 pour y faire de l'agriculture et de l’élevage avec des méthodes traditionnelles. Exit le mono-culture, les animaux parqués, les produits phytosanitaires. On part de la terre et on y revient. Le documentaire suit les 8 premières années de cette aventure assez incroyable pour cette ferme de 80 hectares. Le Mr vient du documentaire animalier (John Chester), la dame est chef à domicile (Molly Chester), donc une reconversion importante et les difficultés sont bien mises en valeur pendant cette tranche de vie. C'est superbement filmé et monté, John mettant à profit ses compétences. Du timelapse, du plan aérien, du gros plan sur les animaux aussi bien d’élevage que sauvage qui peuple ce lieu.
La ferme à ses débuts est dans un état de délabrement complet, avec une terre morte sur laquelle plus rien ne pousse. La nature a quitté ce lieu. Beaucoup de travail initialement pour composter et reconstruire une terre fertile pour pouvoir nourrir végétaux et animaux. C'est ensuite toute la restauration des cycles naturelles qui est mis en place avec des découvertes, des recherches, des échecs pour arriver au bout de 8 ans a un petit paradis sur Terre (littéralement).  
 
Visuellement bluffant, c'est une ode à la nature et à la place que l'homme pourrait y occuper. En mettant en contraste au début du film les exploitations mono-cultures survivantes ou abandonnées qui les entourent, les Chester montrent qu'avec beaucoup de volonté et de courage, on peut ramener la vie presque partout, tant qu'on a de l'eau.  
 
Pour les parents, ça sera un changement salvateur à la 17eme vision de La Reine des Neiges, vous pourrez me remercier de vous avoir "libéré, délivré". C'est plein d'animaux, des bebes cochons trop pouchous, des canards, des hiboux, des coyotes, des agneaux,... c'est une sorte de Blanche Neige et les Sept Nains, un Sourire en chantant (https://www.youtube.com/watch?v=Qa5Nwh48EUI)
 
 
Et si vous aimez les docus, je suis également assez actif sur le topic dédié si vous cherchez des idées  

C'est le bresilien José Padilha  aux commandes. Il a réalisé Elite Squad 1+2, Narcos et The Mecanism. On reconnaît un peu sa patte. Surtout au niveau de la photo bien soignée.