Reprise du message précédent :
Autant Wright a globalement une belle filmo, autant le trailer donne pas vraiment envie. Par contre il semble avoir respecté la fin du livre, la scène étant présente dans le trailer qui en montre beaucoup trop...
 
 

Edgar Wright => day one !
 
Après je m'attends pas à un quelconque lien avec la version de Schwarzy.

j'ai pas regardé le trailer en entier et j'ai pas relu le livre depuis très très longtemps mais je pense me souvenir de la fin

le trailer est là pour appâter le spectateur lambda.

Elle a été reprise un 11 Septembre  

Le livre de Bachman/King était intéressant pour toute le coté sociétal, et cette tendance annonciatrice de voyeurisme qui s'est avéré presciente, même si beaucoup l'avaient annoncé. La fin était justement assez classe, et c'était bien poisseux tout du long. Là ca semble un peu trop propret... On va espérer que ça soit pas aussi "bon" que le remake de Rollerball  ou Total Recall  

Je suis pas un grand lecteur, loin de là, mais Running man c'est vraiment une expérience à lire, c'est impossible de lâcher le bouquin avant d'avoir terminé
C'est cool si il a enfin droit à une adaptation digne de ce nom

Vu Life of Chuck hier soir également, trouvé ça très chouette.

Mon premier du réal, faut dire que je suis pas particulièrement porté sur l'horreur.
Pas évident à raconter sans spoiler mais construction très bien foutue. Musique et acteurs de bon niveau, Tom Hiddleston n'apparaît pas tant que ça

tandis Mark Hamill a quelques tirades assez poignantes.

Le film est assez émouvant, faut juste accepter de pas trop savoir dans quoi on met les pieds pour ne pas gâcher une partie du film.

Oui tu finis le livre (court) à bout de souffle

perso gros gros kiff d'avoir des grosses louches de Carl Sagan

Ah oui tiens j'oubliais ça mais je ne m'y attendais pas mais j'ai trouvé que ça s'intégrait parfaitement dans le film oui

Je l'avais ratée à Paris, elle vient dans à Cannes  

https://www.cannes.com/fr/agenda/an [...] meron.html

On achève bien les chevaux avec Jane Fonda en 69. Le roman est cool aussi (je l'avais acheté aux puces, il puait le moisi à mort).
D'ailleurs, Squid Game y fait référence dans sa dernière saison, quand le héros dit : "Nous sommes des êtres humains, pas des chevaux."

ouahh comment c'est profond Squid Game

Peu importe    
Mais l'important, c'est que pour un Coréen, à l'autre bout du monde, c'est la référence.
Perso, j'ai pas du tout aimé Running Man avec Arnold (et en plus, c'est pas le meilleur bouquin de King, loin de là).
Sans doute parce que j'avais vu Le Prix du danger, et que le film m'avait marqué. Et le concept est bien plus pervers, comme celui de On achève bien les chevaux.
Running Man, ça faisait gros truc de ricain bourrin et sans nuances.
 
A suivre, Edgar Wright est un bon réal.

 
Le bouquin était moyen, l'adaptation assez mauvaise oui. C'est la nostalgie de ceux nés dans les 80s qui parlent, principalement.

 
C'est fou comme il lui ressemble hein ?

D'ailleurs j'avais pas fait gaffe mais ça doit être tiré du famoso Southland Tales

C'était très mauvais le running Man de Schwarzy

"Regarde-le ton Subzero ! Maintenant, tu peux l’appeler zero tout court !"
https://m.youtube.com/watch?v=RshLO [...] p=2AEWkAIB

Peut-être parce que c'est lui  

très très très même

Et c'est là qu'on réalise qu'un vague effet mandela nous fait croire que Schwarzy avait la voix de Daniel Beretta dans tous ses films, alors que là c'est Pascal Renwick comme dans Terminator.

C'est surtout Darbois son autre doubleur connu (Predator, Conan, Commando, ...)
 
J'ai tellement vu Predator que j'associe autant à Schwarzie cette voix que celle de Beretta
 
"MAAC! MAAAAAAAAAC!"  

 
Le seul résultat Google de "Nous sommes des êtres humains, pas des chevaux." Squid Game c'est ton post sur HFr

28Years Later ending spoiler

Dressed like a BBC pedo-power ranger  

 
Pas nanar.
Bon film ce Fortress.

"-   Kylian, je vais revenir
 
- Alors dans une rediffusion"

O secours, envoyez de l'aide, j'ai lancé cette vidéo par curiosité j'en suis à presque 1h
 
I Finally Figured Out TENET

 
Incroyable excellentissime analyse et décorticage du film, c'est du grand art ce que ce type a fait, ça a du lui prendre des mois de préparation !
 
Ca me fait apprécier le film 50 fois plus, le moindre micro détail de chaque scène est un indice, tout a été pensé, Nolan c'est un ouf malade

Le remake de remake  

thx, je regarderai

22h17, la séance qui est sensé commencé à 21h55 n'a toujours pas commencé

ça y est, ça a commencé là ?

J'espère que ça a quand même fini à l'heure

tout ça pour avoir la clim en plus, même pas pour le film

Dans ma jeunesse, lointaine diront certains, j’ai beaucoup lu de Stephen King. J’avais poncé ces trois grandes décennies, 70s, 80s, 90s qui regorgent de classique puis je m’étais éloigné, l’attrait diminuant. Les adaptations cinématographiques affluèrent ensuite avec assez peu de réussite et c’est celle des 70s et 80s qui restent les plus mémorables également, hormis celles de Darabont qui changea même la fin de The Mist pour un final encore plus percutant que la nouvelle de Brume – La Faucheuse.

Une adaptation de King avec des critiques dithyrambiques attirait donc mon regard, une qualification d’un Tom Hiddleston aussi bon que dans High-Rise finissait à me convaincre qu’un détour par un cinéma était nécessaire  

Life of Chuck, Mike Flanagan – 2024

IMDb: https://www.imdb.com/title/tt12908150/

Difficile de parler du film sans trop en révéler. Le film est en trois parties qui remontent dans la vie de Charles Krantz, un peu comme un Memento créant des liens entre les différentes parties, et clairement c’est cette construction qui fait la force du métrage aussi bien d’un point de vue scénaristique qu’émotionnel.

A mesure que le film se déroule, les échos deviennent de plus en plus nombreux, les personnages de plus en plus miroirs. Comme le dit si bien le poème de Walt Whitman qui traverse le film, écrit en 1855 dans son 51ème verset (oui, il est très long)  

Et c’est cette “largeur”, cet univers humain que nous donne à contempler Flanagan dans une forme très réussie. Une ode à la vie, remplie de tous ces fourmillements et bonheurs, qui font la personne que l’on est, tous ses souvenirs, rencontres, émotions, sourires… C’est un vrai film de cinéma qui offre un plaisir immédiat, dans ces scènes de danse, des gestuelles que l’on retrouve à différents moments et tous ces échos entre époque qui nous rappellent à quel point des éléments qu’on croyait insignifiants peuvent être beaux. Même l’utilisation d’un narrateur, procédé qu’on ne voit plus trop, renforce cet aspect nostalgique au récit.

J’en suis ressorti avec un grand sourire, comme celui du jeune Chuck à son bal de promo.

Pour info, cette nouvelle fait partie du recueil de Stephen King, If it Bleeds (Si ca saigne) regroupant quatre nouvelles et ça fera sans doute une petite lecture estivale.

#TLDR: Un film très bien conçu narrativement qui laisse le spectateur dubitatif, puis surpris et ravi à mesure que tout cela progresse. Émotionnellement intelligent, sans pathos, c’est un film de cinéma qui donne du baume au cœur, et un grand sourire au spectateur. Parfait pour démarrer l’été!  

C'est du bon Mike Flanagan, il n'est malheureusement pas toujours à ce niveau de qualité, mais quand il réussit son cocktail de fantastique existentialiste mâtiné de spiritualité et de philosophie, il excelle dans ce registre, tout en restant simple et accessible.

Vu avant-hier aussi, ça m'a bien plu, et avec le recul j'ai bcp aimé être un peu balladé pendant la 1ère partie où, il faut bien l'admettre, on est un peu paumé... Mais paumé-sympa

Vous aussi pendant les pubs vous aviez un remerciement à Chuck avec cette image ?
Je l'ai eu à deux ou trois reprises (je suis arrivé alors que les pubs et trailers avaient déjà débuté).

Ça pour le coup c'est très bien vu, un peu comme si le film débordait sur le réel.

Les résultats après 200.000 votes https://www.nytimes.com/interactive [...] ntury.html
 

C'était où ??
Pas de ça aux Halles

Au détours d'un docu sur le Mel Gibson, j'ai eu envie de me refaire la saga Mad Max.
 
Pour la trilogie initiale, pas de changement de mon classement perso (qui est juste le classement chrono   )mais à chaque fois une ré évaluation dans le positif.
 
J'ai toujours kiffé le 1 (vu une petite dizaine de fois mais la dernière devait être il y a 4-5 ans) et je l'ai surkiffé.
 
J'aime bien le 2 (que j'avais trouvé inutilement malsain et violent quand je l'ai vu mais très jeune) et plus je le vois (peut-être la 3ème/4ème fois) plus je l'apprécie.
 
Le 3... Mouais, je le trouve toujours aussi grossièrement formaté pour le grand public mais c'est tranquillement passé.
 
Ensuite évidemment Fury road que j'avais surkiffé (mais comme un plaisir coupable) et que j'ai surkiffé au carré en captant toutes les refs à la trilogie initiale qui m'étaient passées au dessus de la tête à la première revoyure.
 
Et puis...
 
Et puis, j'ai découvert Furiosa !          
 
Cette envie de revoir ce putain de film génial à la nano seconde où il s'est terminé.    
 
Anya Taylor-Joy !!!    
 
Chris Hemsworth      
 
La scène "fury road", remake à l'exponentielle de la scène finale de Mad Max 2.          
 
Et puis évidemment, après avoir vu Furiosa, j'ai évidemment envie de revoir Fury road !    
 
Incompréhensible qu'il se soit vautré à ce point...
 
Juste un tout petit bémol, même si je sais que Miller se torche gaiement avec la cohérence de la timeline.
 

Cineum

George Miller est un génie

En fait, quand on voit Furiosa, on veut revoir Fury Road, puis on veut revoir Furiosa, puis on veut revoir Fury Road, puis on veut...
Puis à un moment, on veut revoir les trois premiers Mad Max, puis on veut revoir Fury Road, puis on veut revoir Furiosa, puis on veut...
Puis on se souvient que les deux Babe (oui, même le premier, c'est beaucoup Miller quand même) et les deux Happy Feet sont géniaux

Parce que Miller est un génial conteur d'histoire et qu'il a un sens inné de la narration visuelle et du rythme. Il découpe tout comme ça, tac tac tac

Et même Trois mille ans à t'attendre, c'est génial parce qu'il parle de ce qu'il connait le mieux : le pouvoir narratif qui façonne le monde