Reprise du message précédent :
moi ca m'a fait drôle de voir ticky Holgado

 
Je ne veux pas dire de bêtise, mais il me semble qu'il était initialement prévu que T. Holgado et D. Pinon aient des rôles inversés (Holgado en oncle et Pinon en détective), mais que les rôles finalement attribués aient été dûs à la maladie d'Holgado (rôle plus léger à tourner, moins important).

 
bonsoir
 
je peux voir dire que 13 secondes du film   ont été tournées près de chez moi près de saint quentin (aisne) entre itancourt et sery les mezieres (tout comme d'ailleurs une scene de vipère au poing) ...
 
et que je peux voir mon amie    (vous vous en foutez surement) à chaque fois que je regarde le film.
 
par contre pour cette scene c'est une doublure d'a.t. que s'est pris la tete pendant 12 heures pour rester assis dans la train
 
A+

 
tiens un voisin  

 
  cassebrik
 
vous n'êtes pas loin d'alaincourt
 
A+
 
pour le reste du film , il a été tourné en corse, en bretagne et à paris

 
ma famille est à Saint Quentin, je connais Itancourt et Sery les mezières, de loin  

j'aimerai bien aller le revoir aujourd'hui...

je pense que je vais profiter de la mémoire de notre armistice pour cela (ya pas meilleure date, hein)

Bon ben je l'ai enfin vu
 
J'ai failli verser une larme sur la fin

moi je persiste a dire que Jeunet aurait du respecter le livre et situer le film dans les Landes.

qu'est ce qui cela pète ce meria depuis qu'il a un tramway qui porte son nom

tu rigoles mais un pote qui me connaissais via un autre forum est venu un jour à Bordeaux m'a dit qu'il avait pensé avoir des allu en voyant partout des panneaux avec marqué "Meriadeck".

héhéhéhéh, je te prendrais une photo pour un nouveau avatar

 
ouais mais partant de là, il aurait du mettre mathilde en fauteuil tout le film : spas évident niveau rythme pour un film

 
Oué, j'aurai eu plus de chance de pouvoir assiter au tournage...

oui mais non. disons que par exemple le prénom de Manech n'a rien de Breton. Dans le livre c'est expliqué que Manech veut dire "Jean" en basque. or là, c'est présenté comme un prénom pur Breton. En même temps, le paysage breton n'est pas vraiment un élément esthétique fondamental du film donc on ne perd rien au change. Jeunet aurait situé son film en Corrèze que je doute que cela aurait eu un quelquonque impact sur le film, avouons le.

 
spas faux mais bon, c'est une adaptation quoi, j'imagine qu'il y a eu aussi un souci de facilité de tournage

oui puis la bataille elle a pa été tourné sur le front, mais à poitier... spa bien !!

évidemment.

et la scene du phare en Correze ...tu en fais quoi ?

fred, va prend un thé et retourne dormir.

tu la remplace par une scène en haut d'une palombière  

Salut à tous    
 
J'ai été voir ce film vendredi, un peu contre ma volonté vu que je ne voulais vraiment pas le voir car je m'attendais à un drame sentimental à l'eau de rose ennuyant. Eh beh je dois dire que j'ai été très très agréablement surpris. C'était pas du tout ça ! J'ai même adoré. C'est vrai que par moment on se retrouve perdu par l'enchaînement rapide des personnages, on ne sait plus trop qui est qui et qui a fait quoi mais ça redevient limpide après donc tout roule !
 
Je trouve que c'est très bien filmé, que les images sont belles (surtout la vue du phare filmé de haut quand les deux gamins y courent), les acteurs sont tous excellent et l'histoire est très bien pensé. Je n'ai pas lu le roman donc je ne critiquerai pas ce point là, je laisse à ceux qui l'ont lu.  
 
Bref très bon film ...
 
 

vus hier. gaspard uliel est (très) mauvais.
certaines ficelles sont un peu grosses. c'est pas top original,  ya des raccourcis cénaristiques un peu limites. bref un film un peu bancal

j dirais plutot que c'est un manque d'originalité, ou une peur de prendre des risques...

a te lire elle merite un oscar alors qu'elle fait rien de spécial.

 
On sent tout de suite la critique très professionelle et argumentée    
 
Ah au fait, on dit "scénaristique", ça vient de scénario  

 
   cassius

vanilla -> si ma critique n'est pas professionelle c'est surement parceque je ne suis pas un professionel.
si elle n'est pas argumentée c'est parcequ'on a pas besoin d'argumenter son avis. c'est mon avis, voila. en plus la plupart des trucs que je dit son deja abordés 12 fois dans le topic, j'ai pas besoin de redonder (le fait qu'il y ai des raccourcis, que ca soit pas toujours très cohérents)
 
enfin, si tu n'a jamais fait une seule faute de frappe (comme l'oublis du S de scénaristique) dans ta vie, t'es un vrai champion  
 
le fait que ca te fasse marrer comme une bonne blague de laurent gerra est asser enorme. sur ce, jtemmerde, pauv pomme

Tu peux en profiter pour sortir même  

Review: 'Very Long Engagement' Worth Wait  
 
By CHRISTY LEMIRE, AP Movie Critic  
 
Imagine the director (Jean-Pierre Jeunet) and star (Audrey Tautou) of "Amelie" reuniting and applying the same quick pacing and quirky humor of that 2001 French comedy to a World War I film that's equal parts love story and lavish historical epic.  
 
Sound impossible? With "A Very Long Engagement," it's not only possible, it's one of the best films of 2004.  
 
 
It's romantic, funny, sweet, sad and sometimes brutally hard to watch, but it's an astounding success on every level. It's also beautifully shot and perfectly cast — even down to the smallest, briefest roles — with a heart-stopping supporting performance from Jodie Foster (news), who very much deserves consideration come Oscar time.  
 
 
The doe-eyed Tautou is the darling of the film, though. Jeunet (who co-wrote the script with Guillaume Laurant, based on the novel by Sebastien Japrisot) clearly adores her, and why shouldn't he? As Mathilde, the fiancee of a young French soldier who's believed to be dead, Tautou is convincingly vulnerable and strong-willed, with the buoyant enthusiasm of a girl and the steadfast loyalty of a woman.  
 
 
Mathilde learns that the love of her life, Manech (Gaspard Ulliel, who resembles a younger Ethan Hawke (news)), has been court-martialed along with four other men, all of whom intentionally shot themselves in the hand with the hope of being sent home. Instead, they're sent to fend for themselves in no man's land between the French and German armies.  
 
 
She believes in her heart that he's alive, though, and is determined to find him. With the help of her aunt and uncle (Chantal Neuwirth and Dominique Pinon), whom she's lived with since her parents' deaths, she plays girl detective, piecing together documents and tracking down friends and relatives of the missing men.  
 
 
Jeunet jumps around in time, and in vividly evocative flashbacks details how the men ended up as soldiers and how they're struggling to survive now — if they survive at all. Manech tells the others about Mathilde, "I hear her heart beating like Morse code," and her connection with him is just as strong, despite their brief time together.  
 
 
Among the people who help with her investigation are Esperanza (Jean-Pierre Becker), the sympathetic sergeant who tried to aid the soldiers as they were cast away, and Germain Pire (Ticky Holgado), a hilariously energetic private eye. Even the mailman (Jean-Paul Rouve) amusingly joins in the adventure, at first skidding to a halt on his bike in front of Mathilde's house, but eventually riding into the kitchen and even going upstairs to bring her news.  
 
 
All those stylistic elements that made "Amelie" so intoxicating — the rapid-fire sequencing to tell a character's back story, the slightly twisted sense of humor — exist here as well, bringing warmth and wit to a film that, in someone else's hands, could have been antiseptic and self-important. (Hello, "Cold Mountain." ) For example, Mathilde has had polio since childhood, and she can walk (albeit with a limp), but she has no qualms about using a wheelchair to win sympathy from people she hopes will provide her with information.  
 
 
Bruno Delbonnel's cinematography also mesmerizes with a mix of golden hues for the present day (instead of for flashbacks, a nice touch) and gritty greens and grays that bring the battle scenes viscerally to life.  
 
 
But one of the most memorable parts of "A Very Long Engagement" is a brief appearance by Foster, as the wife of one soldier who ended up becoming romantically involved with another. You don't realize it's her at first; she's in the distance when we first see her at a crowded marketplace, and she has a scarf pulled over her head. When she eventually starts speaking — flawless French, by the way, in that instantly recognizable, husky voice — it's an absolute revelation.  
 
 
Judi Dench won a supporting-actress Oscar for just seven minutes of screen time in "Shakespeare in Love." Foster isn't in "A Very Long Engagement" for very long, but she leaves you wanting more.  
 
 
"A Very Long Engagement," a Warner Independent Pictures release, is rated R for violence and sexuality. In French with English subtitles. Running time: 133 minutes. Four stars out of four.

sympa !

il sort ce vendredi aux USA
peut être une surprise du Bo face a ALEXANDER ki se tape une critik trés négative

non

et voila, le film n'est plus officiellement français...
 
http://fr.movies.yahoo.com/041125/202/45ob0.html

 
On est qu'au premier degres de juridiction, la warner c'est plus fort que towa

en développant un stock de pelloche de l'an dernier je suis tombé sur deux clichés des décors installés pour la scène où Darrousin promène ses gamins dans une sorte de brouette, juste en haut de là où j'habite. A l'écran la scène dure 10 s montre en main mais aura nécessité de bloquer les deux rues plusieurs jours.
 

 
Tu as assisté un peu au tournage alors ? c'etait quand ?

J'ai fini par aller voir ce film (après tout le monde, je sais ).  
 
Mon avis : bon film, ni plus, ni moins. Très bonne réalisation comme d'hab' avec Jeunet. On a un peu l'impression de retrouver les mêmes "ficelles" que sur Amélie Poulain, mais après tout un fan de cette façon de tourner doit en redemander. Quelques seconds rôles ne m'ont pas paru très convaincants (l'avocat, le curé, la tante d'Amélie euh pardon, Mathilde ). Et puis aussi quelques allusions trop insistantes sur la société du début XXe qui tournent parfois au cliché.  
 
Mais dans l'ensemble j'étais content de m'être déplacé (beaucoup plus que pour le dernier Chabrol, mais c'est HS ).

fin aout 2002 pour cette scène, juste a la fin de la canicule. mais j'avais un problème a une jambe donc je me déplaçais très peu et l'endroit était saturé de badauds je n'aurai rien vue de plus. le seule truc amusant était de traverser le matin le décor et de se croire reparti 80 ans en arrière.