Reprise du message précédent :
 
Tiens sinon, dans les mots sympa y a le "parangon", et ce n'est pas un terme employé par les ados rebelles lorsqu'ils sont enrhubés.

Je connais ce mot.
 
Par contre un collègue m'en a appris un : se faire gourmander.
 
Mon petit esprit tortueux ayant son centre de gravité en bas de la ceinture je croyais qu'il s'agissait d'une pratique sexuelle moyenâgeuse, il n'en est rien, cela signifie "faire une remontrance (gentiment) à qqu'un de proche".
 
Ainsi, lorsque votre douce (ou votre doux) fera une bêtise, vous avez tout intérêt à le gourmander prestement  

Ha ouais comme dans le dico du topic quoi    
http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] #t17233451
 
d'ailleurs faut que je le maj et fasse la demande pour le mettre en first post  

Caméra café
http://www.wideo.fr/video/iLyROoaftVYA.html
 
valétudinaire
cacochyme
égrotant
apophtegme
Par contre "fait au pates"...
 

C'est:"Fait aux pattes", pris par les pattes, un terme de piégeage, je suppose, quand le piège se referme sur les pattes du gibier et pas sur son cou.
Le gibier "fait aux pattes" est coincé, et ne peut plus s'enfuir.
En argot, ça se disait d'un délinquant arrêté par les flics.

"Ardre : Brûler, être en feu Au fig. Brûler, être passionné pour : "Durtal s'irrita, car il se passait en lui un phénomène vraiment incompréhensible. Il ardait pour cette inconnue, était positivement hanté par elle"
 A noter que Violet le Duc, dans son dictionnaire du moyen âge, cite un texte d'époque qui emploie "ARDOIR":
 "Les Gantois battirent de leurs bombardes, canons et veuglaires , la dite ville, et entre autres firent tirer de plusieurs gros boulets de fer ardent, pour cuider ardoir la ville"
Bref, ils ont pensé  mettre le feu à la ville en y envoyant des boulets de fer rougis au feu.
(De là l'expression un peu passée de mode:"tirer à boulets rouges" )
Y aurait-il eu une nuance à l'époque entre "ardre"= être en feu, et "ardoir"= mettre le feu?
  On note également l'emploi du verbe "cuider", signifiant penser ou croire, d'ou ne reste plus que l"OUTRECUIDANCE", fait de se croire plus qu'on est.

le & dénommé couramment "E commercial" s'appelle Esperluette

saperlipopette
 
noético-noématique

ta chatte vient d'avoir des chatons?

l'Esperluette, dénommé couramment "E" commercial est en fait le "Et" commercial.

   
 
sympa l'esperluette

On dit aussi éperluette

Bonjour !
Je voulais savoir si le verbe "esclavager" existait , il n'est certes pas dans le dictionnaire mais je le trouve dans divers écrits comme dans "Jack" de Daudet ... Est-ce considéré comme un faute ou un barbarisme de l'utiliser ?
Si un agrégé de lettres traîne dans le coin ... merci !

 
Je pense que si c'est dans le tlf c'est que c'est bon http://www.cnrtl.fr/lexicographie/esclavager?
 
Je uppe quand je veux, non mais  

Réduire en esclavage, c'est "asservir", de servus, esclave en latin.
Du coup, "esclavager", c'est un peu comme "explicitationner", alors qu'on a déjà expliquer.
  "Départir", signifiant séparer, qu'on n'emploie plus guère, sauf dans la locution "sans se départir de son calme"
On emploie bien plus le mot dérivé "département", le résultat d'une séparation en entités plus petites.
Au départ, le verbe "Partir " signifiait d'ailleurs couper, séparer.

Sans doute déjà posté , mais..... http://francois.gannaz.free.fr/Littre/accueil.php
 
 

Mais est-ce qu'il est juste de dire que "esclavager" est un barbarisme ?

Non, un barbarisme est une faute involontaire, où on "crée" un mot qui n'existe pas par erreur. Esclavager est attesté dans plusieurs dictionnaires, pas de raison de considérer que c'en est un

Le fait qu'un mot figure dans un dictionnaire permet de savoir qu'il est employé, et encore.C'est le cas de n'importe quel barbarisme qui devient à la mode quelque part.
Esclavager, je ne l'ai jamais vu nulle part, mais evidement je n'ai lu qu'une infime partie des livres qui se publient dans le monde.

Ah bon , c'est bizarre alors ... je l'ai utilisé dans une synthèse de texte sous la forme de "esclavageant" et j'ai eu droit à un "barbarisme" dans la marge ... étant persuadé que ce mot existait j'ai demandé à ma prof pourquoi elle m'avait écrit cela et elle m'a gentiment humilié devant la classe en récitant notamment le verbe "esclavager" qui, selon elle, n'existe pas.
Bref... même en prépa HEC , les profs sont visiblement limités dans leur raisonnement ... à priori.

Il faut reconnaître que le mot, même s'il existe, est particulièrement lourd et inélegant.

Anecdote rigolote sur mon prof de français au lycée qui nous expliquait la différence entre un barbarisme et un néologisme :
"Quand vous inventez des mots dans vos dissertations, vu que vous n'avez aucune assise en matière d'écriture, ce sont des barbarismes. Si moi je décide d'en inventer pour vous faire mon cours, vu que je fais partie des hautes autorités dûment approuvées (je suis prof, quoi) on appellera ça un néologisme ; c'est une question de position de l'auteur du mot"

   
Justement ma prof : "C'est dommage parce que les auteurs , lorsqu'ils inventent un mot on appelle ça un néologisme et les élèves on les sanctionne    !"
 
J'aurais donc inventé un mot

drapo drapo drapoooooliiito !

merdouille

Un topic qu'il est bien    
 
Quelqu'un me viennent à l'esprit    
 
-déflection
-obscurantisme
-déféquer
-pester (contre quelque chose)
-boiquillon
-quenouille

J'en utilise très souvent la moitié  

Nyctalope
 

Ménage,abstinence,laideur,idiotie,impuissance,nul,raté,perdant,sont des termes que j'utilise très peu personnellement !
 

idem
 
à part boiquillon  et quenouille, les autres peuvent être très simples à placer dans une conversation  

Acmé
 
(masculin ou féminin, du grec akmê, « sommet ») L'acmé est le point culminant d'une intrigue ; c'est le moment fort d'une œuvre littéraire. Dans l'intonation de la phrase, l'acmé désigne également le point le plus élevé, entre la protase et l'apodose.
 
 
Protase
 
(féminin) Dans le rythme de la phrase (complexe), la protase est la partie au cours de laquelle la voix monte (—› acmé). Lire aussi « apodose ».
 
 
Apodose
 
(féminin) Dans la cadence de la phrase, l'apodose est la partie descendante de la phrase, après l'acmé.
 
 
 

Agnosie
 
A. Ignorance volontaire
B. Incapacité de reconnaître un objet ou un élément du réel, alors que leurs qualités sensibles sont perçues par fonctions sensorielles restées intactes
 
(manière polie de traiter quelqu'un de crétin)

flatuler!
 
et pourtant, on a chacun plusieurs occasions quotidiennes de prononcer ce mot, fichtre!

et demain tu nous apprends l'existence du mot "uriner"?

j'utilise très peu les mots "perdre"et "abstinence" entre autre !

abstiens toi de parler, ça nous évitera de perdre nos clics de souris ici.