Reprise du message précédent :
Un mot qu'on utilise trop peu et auquel je viens de penser  : gourgandine  

 
sans doute déjà cité ici mais il est chouette

Résipiscence. Très peu employé, en particulier sur Hfr

Moi j'aime bien superfétatoire, bien plus classe que superflu

 
Encore mieux, y a superfétatif !

Ce topic me semble parfait pour relayer cette intéressante initiative du front de Réintroduction Massive Du Mot Saperlipopette Dans Les SMS
http://weblog.redisdead.net/main/2 [...] rmdmsdlsms

Gourgandine, on le lit dans petit spirou
 
Et saperlipopette, j'adore.

y'a aussi saperlotte ou saprelotte qui lui sont apparentés, et c'est pas dommage.

Saperlotte! Voilà un juron qui claque bien.
Dans le même registre, outre le cornegidouille cher à Jarry, j'aime bien jarnicoton, tiens.

"Ventre saint gris" est aussi un juron fort distingué.

 Le dico du topic  
                   Fabriqué uniquement avec des mots du topic ©

Attention les molettes

Bon il y a encore du boulot de mise en forme (majuscules, gras ...) et tout, mais avant de le proposer pour la première page, si vous avez des suggestions, remarques, corrections, moqueries etc... (En ne quotant pas tout mon post hein  )

Je n'ai pas pris tout les mots, il y en a dont je n'étais pas certain de l'existence, d'autres vraiment trop communs, certains aux sens vraiment proches ou simplement pas fun...

Pas que du très rare mais j'ai essayé de rester dans l'esprit du "peu utilisé mais pas hyper spécialisé"
Les définitions sont celles du TLF http://www.cnrtl.fr/ en général, plus rarement de wiki et des forumeurs

Aborner : mettre des bornes sur un terrain
Abscons : Obscur, mystérieux, difficile à pénétrer
Abstème : Qui, par aversion naturelle, ne peut communier au vin et auquel, de ce fait, l'accès au sacerdoce est, sauf dispense, interdit
Abstrus : Difficile à comprendre, à pénétrer
Accoiser : Rendre coi, calme, tranquille
Accroire : Croire quelque chose qui n'est pas vrai en se laissant influencer à tort.
Acrotère : Socle disposé aux extrémités ou au sommet d'un fronton ou d'une colonne et servant de support à des statues, à des vases ou à d'autres ornements
Adamantin : qui a la dureté du diamant
Adonc : en ce moment,alors
Aménité : Qualité de ce qui est agréable à voir ou à sentir, douceur
Amphigourique : caractérisé par une formulation volontairement compliquée, bizarre et burlesque
Anachorète : Religieux qui mène, retiré dans la solitude, une vie de sobriété et de contemplation
Anacoluthe : Une anacoluthe est une rupture de construction sur le plan de la syntaxe, c'est-à-dire une transformation, au milieu de la phrase, de la construction grammaticale que le début de la phrase laissait attendre.
Anaphore : Figure de style caractérisée par la répétition d'un terme en tête de vers, de groupes de mots, de propositions ou de phrases qui se suivent et qui permet d'insister sur une idée
Andrinople : Teinture rouge de garance. Synon. rouge turc.
Apocope : suppression d'une ou plusieurs syllabes en fin de mot(restaurant-->restau,vélocipède-->vélo)
Apophtegme : Parole mémorable ayant valeur de maxime
Aporie : contradiction dans un raisonnement
Aposiopèse : interruption d'une phrase par un silence brusque
Apotropaïque : destiné à écarter le danger, les influences maléfiques
apparoir : Apparaître, se manifester
Arénacé : Qui est de la nature ou qui a l'aspect du sable
Aréopage : ANTIQ. Colline consacrée au dieu Arès, à Athènes, située à l'ouest de l'Acropole, et choisie comme lieu de réunion de l'aréopage.P. ext. Assemblée plus ou moins solennelle de personnes réunies, pour débattre d'affaires relevant de leur compétence
Arroi : Train, équipage, appareil
Asthénique : Qui s'accompagne d'asthénie, qui a rapport à l'asthénie. ( Affaiblissement pathologique de l'état général)
Ataraxie : Tranquillité, impassibilité d'une âme devenue maîtresse d'elle-même au prix de la sagesse acquise soit par la modération dans la recherche des plaisirs (Épicurisme), soit par l'appréciation exacte de la valeur des choses (Stoïcisme), soit par la suspension du jugement (Pyrrhonisme et Scepticisme)
Atermoiement : Délai accordé à un débiteur par son créancier pour se libérer de ses dettes ,,au cas d'impossibilité démontrée de payer à échéance - P. ext., souvent au plur. Action de différer, retarder; hésitation, tergiversation
Atrabilaire : Qui a rapport à l'atrabile, à la bile noire - Porté à la mauvaise humeur, à l'irritation, à la colère, à la mélancolie
Baise-en-ville : Petit nécessaire de voyage (sac, petite valise) qui contient ce qu'il faut pour passer la nuit hors de chez soi`
Baliverne : Propos frivole, sornette
Barguigner : Marchander plus ou moins longuement
Bas-bleu : Femme savante, d'une pédanterie ridicule
Bayadère : Danseuse sacrée hindoue - P. ext. Danseuse professionnelle de spectacle
Bélître : Mendiant.P. ext. Homme de rien, sot, importun
Billevesée : Propos, écrit vide de sens et souvent erroné.
Boujaron : Mesure en fer-blanc contenant un seizième de litre pour la distribution des boissons aux marins.
Cachectique : Qui se rapporte à la cachexie (État caractérisé par une maigreur extrême et une atteinte grave de l'état général)
Cacochyme : Personne) qui est d'une santé fragile
Caillette : Personne bavarde et frivole
Calembredaine :  Propos extravagant, ridicule ou trompeur; action un peu folle
Callipyge : Qui a de belles fesses, harmonieusement arrondies (P. allus. à la statue antique de Vénus Callipyge; en parlant d'une pers)
Camériste : Dame d'honneur d'une personne de haut rang ou suivante à la cour
Carabistouille : Calembredaine, galéjade
Catharsis : Purification de l'âme du spectateur par le spectacle du châtiment du coupable - PSYCHANAL. et PSYCHOL. [Chez Freud et Breuer] Moyen thérapeutique (ex. hypnose, suggestion, etc.) par lequel le psychiatre amène le malade à se libérer de ses traumatismes affectifs refoulés
Cénobites : Moine vivant en communauté (notamment dans les premiers temps de l'Église) - P. ext., au fig. Personne vivant de façon austère, comme retirée du monde
Cénotaphe : Tombeau vide élevé à la mémoire d'un mort, généralement illustre ou représentatif, qui a été enterré ailleurs ou qui n'a pas reçu de sépulture
Cespiteux : Qui forme une touffe serrée
Chaloir : Il ne me chaut, il ne m'en chaut guère. Il ne m'importe, cela ne m'intéresse pas
Chiasme : Figure de style consistant à disposer des termes (identiques, qui s'opposent ou qui peuvent être mis en relation) en sens inverse dans deux segments de phrase
Chirographaire : Écrit de la main des parties contractantes, sans l'intervention d'un officier public.
Chlorotique : Qui est atteint de chlorose (Anémie caractérisée notamment par la pâleur verdâtre des téguments et frappant particulièrement les jeunes filles)
Chryséléphantine : Une statue chryséléphantine est en or et en ivoire
Cinémomètre : Appareil de merure de la vitesse
Circonlocution : Détours de langage qui, en évitant les termes précis, visent à masquer la pensée ou à adoucir ce que l'on veut dire.
Codicille : Acte soumis aux mêmes formes que le testament qu'il complète ou modifie - P. ext. Texte, clause, ajouté à un traité
Coi : calme,silencieux,muet
Comminatoire : Qui a la qualité d'une mesure révocable, destinée à faire pression sur le débiteur, et qui est ou n'est pas appliquée selon les circonstances
Concetti : Expressions subtiles et affectées, traits d'esprit parfois d'un goût douteux, que l'on rencontre dans une œuvre littéraire ou dans une conversation
Concupiscence : Aspiration de l'homme qui le porte à désirer les biens naturels ou surnaturels -  Attirance naturelle de l'homme pour les biens terrestres, impliquant un dérèglement des sens et de la raison, conséquence du péché originel
Conjouir : Se réjouir avec quelqu'un de ce qui lui est arrivé d'heureux.
Consomption : Action de se consumer, fait d'être détruit par le feu - MÉD., vieilli. Affaiblissement et amaigrissement progressifs accompagnant certaines maladies graves et prolongées, notamment la tuberculose
Coquecigrue (s'écrit aussi coxigrue) : Débiter des coquecigrues : raconter une histoire ou un conte, mentir - Regarder voler des coquecigrues : se faire des illusions, s'occuper de choses inexistantes, voire ne rien faire du tout - Billevesée, sornette, chose inventée.
Cornard : Mari trompé, qui porte des cornes.
Couard : Qui manque de courage
Damasquiné : Incruster à froid, au marteau, de petits filets (d'argent, d'or, de cuivre) formant décor, dans un autre métal (fer, acier, cuivre).
Derechef : Une seconde fois, de nouveau
Déréliction : Solitude morale, en particulier par rapport à Dieu
Dextre : Droite, cité droit
Diantre : Forme euphémique de diable
Dilatoire : cherchant a gagner du temps
Dispendieux : Qui exige beaucoup de dépense, entraîne de grands frais
Diverticule : développement étranger au sujet, dans un discours, une conversation
Ébaubir : Rendre ébaubi, surprendre.
Éburné : Qui a la couleur ou la consistance de l'ivoire
Écornifleur : de :écornifler (Se procurer par ruse de quoi manger, de quoi se vêtir)
Égrotant : Qui vit dans un état maladif permanent
Électuaire : Préparation pharmaceutique de consistance molle; composée de poudres et de substances diverses incorporées à du miel ou à un sirop
Emménagogue : Qui provoque ou facilite le flux menstruel.
Emmétrope : se dit d'un oeil dont la vue est normale
Encan : Vente publique aux enchères.
Enchifrené : Causer un rhume de cerveau qui embarrasse le nez
Ergastule : Prison souterraine, cachot, dans l'Antiquité romaine
Ersatz : Produit de remplacement, employé à défaut du produit normalement ou traditionnellement employé
Escobarderie : Pratique (habituelle) de l'hypocrisie à la manière d'un escobar (Personnage hypocrite, sachant utiliser d'adroits subterfuges pour arriver à ses fins ou les justifier)
Étrécir : Rendre plus étroit
Eudémonisme : Théorie selon laquelle le but de l'action est le bonheur conçu non comme quelque chose de sensible, mais comme une valeur intellectuelle, comme le souverain bien
Fâcheux : Qui est importun ou gênant, difficile à supporter ou à contenter
Factitif : Qui indique que le sujet fait faire ou cause l'action, mais ne la fait pas lui-même
Faquin : Portefaix - Personnage méprisable, vaniteux, malhonnête et sot.
Faraud : Personne (en particulier homme) qui affiche des prétentions à l'élégance
Fardier : Chariot à deux ou à quatre roues basses, servant à transporter de lourdes charges
Fifrelin : Chose qui ne compte pas - Menue monnaie ayant peu de valeur
Finassier : Qui est propre à celui qui finasse - Individu qui, par tempérament, use de finesses, de roueries
Fion : Bonne tournure, cachet de ce qui est bien terminé : donner le coup de fion à un travail, donner la dernière main à un travail.
Flaccidité : Caractère d'une chose flasque
Fructidoriser : Frapper de déchéance ou d'exil par le coup d'État du 18 fructidor
fuligineux : qui a la couleur de la suie,qui rappelle la suie
Galapiat : Individu grossier, vaurien
Galimatias : Discours ou écrit embrouillé et confus
gaudriole : Propos licencieux (généralement avec une valeur érotique).
Gaupe : Femme malpropre et désagréable
Gésir : Être étendu, couché, sans pouvoir se mouvoir (par suite d'un malaise, d'une blessure, d'une maladie, ou de la mort)
Gobichonner : Savourer, déguster.
Goton : Fille de ferme, de cuisine; en partic., servante mal tenue ou aux manières négligées - Fille ou femme de mauvaise vie.
Goualer : chanter
Gougnafier : Individu sans valeur, qui ne sait rien faire de bien
Gouille : Boue, mare, fondrière
Gourgandine : Femme légère, facile, dévergondée
Gredin : Personne dénuée de toute valeur morale et ne méritant aucune considération
Grimaud : Élève des petites classes -  Personne pédante, qui n'a pas su assimiler le savoir reçu.
Haquenée : Petit cheval ou jument aisé(e) à monter, qui va l'amble et qui servait autrefois de monture aux dames
Heuristique : Qui sert à la découverte.
Histrion : Acteur et spécialement mime qui jouait, accompagné à la flûte, les premières farces importées d'Étrurie puis des farces grossières, les satires
Hobereau : Oiseau rapace diurne du genre faucon -  Gentilhomme de petite noblesse vivant sur ses terres
Hoir : héritier, spécialement en ligne directe
Holistique : Qui relève de l'holisme, qui s'intéresse à son objet comme constituant un tout
Homéotéleute : Figure de style consistant à placer en fin de phrases ou de membres de phrases assez rapprochés des mots dont les finales semblables sont sensibles à l'oreille
Hypocoristique : (Terme) qui exprime une intention caressante, affectueuse, notamment dans le langage des enfants ou ses imitations
Icelui/icelle : Celui-ci, celle-ci,
Idiosyncrasie : Prédisposition particulière de l'organisme qui fait qu'un individu réagit d'une manière personnelle à l'influence des agents extérieurs
Impécunieux : qui manque d'argent
Impéritie : Incapacité, inhabilité, défaut de compétence dans la profession ou dans la fonction que l'on exerce
Impétrant : Celui (celle) qui a obtenu de l'autorité compétente ce qu'il (elle) avait sollicité (charge, titre, privilège)
Incognoscible : Qui ne peut être connu ou compris par la seule intelligence humaine
Ivraie : Plante de la famille des Graminées particulièrement nuisible aux céréales et provoquant une espèce d'ivresse. -  Réalité maléfique et nuisible
Journellement : Chaque jour, tous les jours
Languard : médisant
Leptosome : (Celui, celle) qui est caractérisé par un corps allongé et grêle; dont les proportions corporelles sont élancées.
Maïeutique : Méthode socratique reposant apparemment sur l'interrogation et se proposant d'amener un interlocuteur à prendre conscience de ce qu'il sait implicitement, à l'exprimer et à le juger
Maraud : S'emploie pour désigner de façon méprisante un homme du peuple ou d'un rang social inférieur à celui du locuteur
Maritorne : Femme sans grâce, vulgaire; servante laide et peu soignée.
Marri : Être, sembler) affligé, désolé de
Mâtin : Race de chiens puissants; chien appartenant à cette race (+ interjection ?)
Méchef : Malheur, mésaventure, événement fâcheux
Métamère : Unité anatomique résultant de la segmentation partielle et temporaire du corps de l'embryon au cours de son développemen
Mithridatisation : immunisation a un poison en s'injectant des doses croissantes de celui-ci
Morbifique : Qui peut causer la maladie, un désordre psychique ou mental
Morlingue : Arg. et pop. Synon. de porte-monnaie
Nullipare : Qui n'a pas eu d'enfant
Nyctémère : Durée de vingt-quatre heures, comprenant un jour et une nuit et correspondant à un cycle biologique
Obsidional : Qui concerne le siège d'une ville
Obvier : Parer à une éventualité ou à un fait fâcheux en prenant toutes mesures susceptibles de permettre, selon le cas, de l'éviter ou d'y faire face au mieux, d'en atténuer les effets.
oligophrénie : Arriération mentale, débilité caractérisée par un arrêt ou un retard dans le développement intellectuel associé parfois à des malformations physiques
Onomastique : Qui est relatif aux noms propres, à leur étude; qui contient des noms propres.
Oripeau : Lame très mince de laiton ou de cuivre, ayant de loin l'éclat et l'apparence de l'or- De nos jours, le plus souvent au plur - Vêtement défraîchi, démodé, ayant un reste de splendeur et donnant un aspect théâtral ou ridicule
Palatale : Relatif au palais, partie de la bouche et organe intervenant au niveau de la parole et du goût
Palidnodie : Poème dans lequel on rétractait ce qu'on avait dit dans un poème précédent - Désaveu de ce que l'on a pu dire ou faire précédemment
Paltoquet : Individu grossier, rustre.
Panégyrique : Discours d'apparat prononcé devant le peuple lors des grandes fêtes religieuses, exaltant la gloire nationale et vantant les avantages de telle ou telle entreprise ou voie politique
Papion : Singe cynocéphale de la famille des Cercopithèques, vivant en Afrique, dont le Babouin est une espèce
Paradigme : Ensemble des formes que peut prendre un élément (généralement un mot). - P. anal. Exemple type présentant toutes les variations du type
Parangon : Comparaison.
Parhélie : Image du soleil réfléchie dans un un nuage formé de cristaux de glace.
Paronomase : Procédé consistant à utiliser des paronymes (Mot qui présente avec un autre mot une certaine analogie phonétique, mais sans avoir le même sens) de façon rapprochée
Parturiente : (Femme) qui accouche; (femelle) qui met bas.
Patafioler : Confondre, maudire.
Phénakistiscope : Appareil d'optique ancien dont le principe repose sur la persistance des images rétiniennes, composé d'un disque (auquel est adjoint un miroir) ou d'un cylindre rotatifs, percés de fenêtres longitudinales régulièrement espacées au travers desquelles on regarde une série d'images légèrement différentes entre elles, dont le défilement rapide restitue l'impression de mouvement.
Pisse-froid : Personne morose, revêche, sans chaleur humaine, sans humour.
Pisse-vinaigre : Personne morose, revêche, sans humour, esprit chagrin
Poïkilothermie : état des animaux poïkilothermes, dont la température corporelle varie avec celle de leur milieu
Poltron : Qui est excessivement peureux
Porphyrogénète : Qui est né durant le règne de son père
Prandial : Relatif aux repas
Praxinoscope : Appareil analogue au phénakistiscope mais doté d'un système de miroirs montés en prisme et qui donne, en tournant autour d'un axe, l'illusion du mouvement
Prétérition : Figure de rhétorique, par laquelle on déclare ne pas vouloir parler d'une chose dont on parle néanmoins par ce moyen.
Prétérition : Action de taire, de passer sous silence, omission volontaire - Figure de rhétorique consistant à déclarer que l'on ne parle pas d'une chose alors qu'on le fait.
Primesautier : Qui se détermine, qui agit, qui parle ou qui écrit de premier mouvement, sans délibération, sans réflexion préalable
Primipare : (Celle) qui accouche pour la première fois, qui met bas pour la première fois
Prolégomènes : Longue introduction placée en tête d'un ouvrage, contenant les notions préliminaires nécessaires à sa compréhension
Protéiforme : Qui peut prendre les formes les plus variées, qui se présente sous des aspects très divers.
Psittacisme : Fait de répéter quelque chose comme un perroquet en raisonnant sans comprendre le sens des mots que l'on utilise
Ptyalisme : Sécrétion salivaire excessive. Synonyme très sympathique : hypersialorrhée.
Pupe : Petit mollusque gastéropode pulmoné, à coquille ellipsoïde à sommet très obtus, au dernier tour plus étroit que les autres - Stade nymphal de certains insectes (notamment Diptères), caractérisé par une enveloppe chitineuse en tonnelet qui entoure la nymphe devenue absolument immobile
Pusillanime : Qui est timide, qui craint le risque, les responsabilités; qui manque d'audace, de courage, de fermeté
Putatif : supposé, non prouvé
Pycnique : Se dit d'une personne dont la constitution physique est caractérisée par une stature moyenne, un visage large, un cou massif et un thorax fort
Pyrrhique : Danse guerrière, particulièrement en honneur à Sparte et en Crète puis importée à Rome, exécutée le plus souvent au son de la flûte et sur un mode rapide par des hommes en armes simulant un combat
Quérulence : Tendance pathologique à la revendication, observée chez des sujets de type paranoïaque ou hypocondriaque et revêtant parfois une forme processive
Queux : Cuisinier
Récolement : Opération consistant à dénombrer un ensemble d'objets répertoriés dans un inventaire, ou à vérifier la conformité d'une opération, d'un objet à un ensemble de règlements ou de prescriptions contractuelles; p. méton., procès-verbal de cette opération.
Régule : un alliage à base de plomb et autres métaux qui était utilisé notamment pour le revêtement des coussinets de bielle sur les moteurs
Réifier : Transformer en chose, réduire à l'état d'objet (un individu, une chose abstraite)
Résipiscence : Reconnaissance de sa faute, avec la volonté de s'amender
Retercer : Donner un quatrième labour (à la vigne) pour détruire les herbes
Ripaille : Repas où l'on mange et où l'on boit avec excès
Rodomontade : Propos fanfarons, attitude prétentieuse et ridicule
rogaton : Religieux d'un ordre mendiant qui portait des reliques, des indulgences - Objet de rebut; objet sans valeur -  Restes de viandes, de pain, ou d'un plat qui a déjà été servi
Rouerie : Action de libertin, de débauché, d'aventurier; comportement indélicat, malhonnête.
Salmigondis : Assemblage disparate, mélange confus de choses ou de personnes
saperlipopette : [Juron vieilli] Synon. atténué de sapristi.
Saperlope : cf saperlipopette
Sarcocyste : Parasite de quelques animaux comme le porc et le mouton
Sarcophile : Mouche caractérisée par un abdomen blanc grisâtre, tacheté de noir, et dont la larve, parasite d'insectes, vit sur les cadavres
Sardanapale : Personnage riche qui mène une vie de débauche, dissolue
Satyriasique : (Malade) atteint de satyriasis.(Exagération morbide des désirs sexuels de l'homme)
Savantasse : Personne qui se targue d'être savante, qui affecte de l'être dans ses paroles, dans son comportement; médiocre savant
Senestre ou sénestre : Autrefois, gauche.
Sérendipité : aractéristique d'une démarche qui consiste à trouver quelque chose d'intéressant de façon imprévue, en cherchant autre chose, voire rien de particulier
Solecisme : Faute contre la syntaxe au regard de la grammaire ou de l'usage jugé correct à une époque donnée
Soliloquer : Se parler à soi-même, seul ou en présence d'autres personnes
Spermophile : Animal voisin de l'écureuil mais aux mœurs terrestres et doté d'une queue courte, dont deux espèces vivent en Afrique centrale
Spondée : Pied de deux syllabes longues
Stéatopyge : Qui est caractérisé par un développement exagéré du tissu adipeux des fesses; qui a de très grosses fesses
Sternutatoire : Qui provoque l'éternuement : poudre sternutatoire.
Stochastique : Qui dépend, qui résulte du hasard
Succédané : Qu'on peut substituer à un autre parce qu'il produit des effets analogues
Superfétatif : Synonyme de superfétatoire
Superfétatoire : Qui s'ajoute inutilement à une autre chose.
Surmoïque : Du surmoi; qui a rapport au surmoi, qui le concerne
Synecdoque : Figure de rhétorique procédant par extension ou restriction de sens d'un terme: l'espèce pour le genre, la matière pour l'objet, le particulier pour le général et inversement
Synoptique : Qui est relatif à une synopsis; en synopsis; qui donne par sa disposition une vue générale (des parties) d'un ensemble que l'on peut ainsi embrasser d'un seul coup d'œil
Syzygie : Conjonction ou opposition d'une planète avec le soleil.
Tapinois : En se cachant, à la dérobée, avec dissimulation
Tomenteux : Qui est couvert de poils mous, à l'aspect cotonneux.
Toupiller ou toupiner : Tourner sur soi-même comme le fait une toupie
Trochée : Pied formé de deux syllabes, une longue et une brève.
Urbain : Qui appartenait à la ville de Rome - Qui fait preuve d'urbanité, qui témoigne d'un grand usage du monde
Valétudinaire : (Personne) dont la santé est chancelante, délicate, qui est souvent malade.
Venette : Peur, inquiétude, alarme
Vernaculaire : Propre à un pays, à ses habitants
Vésanie : déreglement d'esprit, folie
Vétilleux : Qui s'attache au détail ou qui a la manie du petit détail
Vilipender : Traiter avec beaucoup de mépris, dénigrer, déprécier (quelqu'un, quelque chose)
Vit : verge
Zeugme ou zeugma : Construction qui consiste à sous-entendre dans un énoncé un élément (monème ou syntagme) exprimé dans un énoncé voisin: L'Océan était vide et la plage déserte. (musset.)
Zinzinuler : Chanter, gazouiller.

Alors là, respect    
Je propose d'ailleurs de le mettre en 1er post

Quel post Sardanapalesque , qui est presque dedans d'ailleurs

 
Le coté luxueux ok mais débauché je proteste    
 
Zavez un peu relu, vous pensez que je peux demander à le mettre en premier post ?

Petit mot simple mais peu utilisé du jour

Toupiller ou toupiner : Tourner sur soi-même comme le fait une toupie

Tiens hier mon fils s'est reçu un sacripant bien ressenti. Il le méritait, cette arsouille, il me fait tourner bourrique.

en principe quand les parents commencent à jurer en capitaine Haddock, c'est qu'ils sont vraiment pas contents
 

"Traître, insolent, trompeur, lâche, coquin, pendard, gueux, belître, fripon, maraud, voleur...!"
 

Ca me fait penser à un dialogue dans les Simpsons :

Bart : "Oh ! saperlipopette !"
Homer : "Bart, je t'ai déjà interdit de jurer comme un chercheur d'or du siècle dernier !"

Ardent s'emploie de moins en moins, il va peut-être rejoindre son cousin "arse" sgnifiant "brûlée".
J'ignore quelle était le masculin, ars?

Oui c'est bien Ars le masculin  
http://www.cnrtl.fr/lexicographie/arse?

Edit : et du coup on découvre le verbe dont il est tiré :

Ardre : Brûler, être en feu Au fig. Brûler, être passionné pour : "Durtal s'irrita, car il se passait en lui un phénomène vraiment incompréhensible. Il ardait pour cette inconnue, était positivement hanté par elle"
 

"Peu me chaut" pour peu m'importe, dernier reste du verbe "challoir", qui signifiait "importer"
Plus vieux encore, "Ne vous chaille" peu vous importe.

Chaloir avec un seul "l"
Et ça signifie plus précisément "être chaud", "désirer"

comme dans "Chale i fuck you?"

 
Nan, comme dans "Thou chale not say nonsense on this forum"

"Fourgon" a signifié autrefois tisonnier, il en reste le verbe "fourgonner", assez peu employé de nos jours, sauf parles vieux.

Ventre saint gris !
 
Un juron qui vient du moyen-âge je crois bien. Nous on s'en sert pour terminer instantanément toute discussion qui part a la dérive, une telle expression laissant en général sans voix son interlocuteur..

 
Oui, et je l'ai posté à la page précédente :
 
http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] #t17232115
 
 

Oups !  
 
Je crois bien que ton post est passé à la trappe en lisant un peu vite, vu la longueur du suivant  

En ce moment, on travaille pas mal sur la rééducation des syncinésies faciales ... mais faut être honnête, je l'utilise peu dans les dîners mondains

ça compte les noms des plantes enlangage de botaniste? c'est compréhensible,ancien ,peu utilisé, même par un fleuriste,juste fréquent en labo ,en pharmacieou en botanique, mais ce n'est pas ds un dico, sauf un dico encyclopédique.
et les noms inscrits sur les tubes homéopathiques:il faut les retenir, mais ils st peu utilisés , et se retrouve ds un dico médical
 
Vous préférez les mots de jadis?

Je viens de découvrir un mot qui me plait beaucoup-beaucoup : le gentilé qui n'est pas un chic type très moche mais l'habitant d'une ville ou d'un pays. Le parisien est le gentilé de Paris.
Je suppose que c'est de la même famille et étymologie que gens.

Bah non, pas nécessairement des mots de jadis, juste peu utilisés et pas trop spécialisés, propose au pire.

L'exemple suivant est très bon par exemple.

Même si le fait qu'il soit utilisé sur toutes les pages consacrées aux villes de wikipedia augmente sacrément sa fréquence d'utilisation  

oui. Sauf que je n'avais JAMAIS ouvert wiki pour une ville avant hier Il n'y a pas d'âge pour commencer ...

Ma grande fille m'a fait rire ce matin : "Attention à ne pas te casser la margoulette ! "
 
J'aime bien cette expression, qui d'après le Littré, viendrait de mar (=mal, sale) et goulette (diminutif de goule, gueule) et serait utilisé normalement seulement dans l'expression "casser la la margoulette à quelqu'un" (en l'occurrence, ce matin, ce fut à moi même et à la bagnole ... )

Honte rétroactive de haut vol :
 
Je viens de constater que le verbe 'clore' est défectif.
Une collègue s'était foutue de moi à la lecture de mon mail :
 
   bla bla
   En conséquence, nous closons l'incident...
   bla bla
 
Elle : - Ha ha ! Skoi ce verbe ? On dit "clôturons"
Moi : - Nan   Clore existe, et ça colle mieux
Elle : - Ha ha : Jamais vu ça !
Moi : [ Go to LeConjugueur pour asséner le coup fatal à l'inculte  ...
         
   ...  mais en fait
     non.    ]

Pas mal

 
Ouais, personnellement je préfère "clore" à "clôturer" vu que ce dernier signifie "entourer d'une clôture" à la base. Mais je me suis fait traiter de 'culeuse de mouche pour ça sur un autre topic...  

 
Sens premier du verbe "clore" : Condamner par un procédé approprié, et parfois définitivement, une ouverture, un passage destiné à être habituellement tantôt ouvert, tantôt fermé.
 
Sens premier du verbe "clôturer" : clore, fermer
 
   
 

Tiens sinon, dans les mots sympa y a le "parangon", et ce n'est pas un terme employé par les ados rebelles lorsqu'ils sont enrhubés.