Kursk Offensive: Ukrainian forces destroyed a key bridge over the Seim River in Glushkovo. This essentially cuts off Russian reinforcements from a huge area in Kursk region.

Le nombre de prisonniers de guerre russes monte en flèche : en quelques jours, il est passé de quelques centaines à un millier, pour s'établir aujourd'hui à près de deux mille.

La plupart d'entre eux sont des jeunes en âge d'aller à l'université, contraints à la conscription sans formation ni beaucoup d'équipement. Nombre d'entre eux sont des fils de Moscovites et de Pétersbourgeois.

Pour Poutine, il s'agit d'un très gros problème, car leurs parents sont ceux qu'il peut le moins se permettre de contrarier.

Kursk Offensive: Ukrainian forces destroyed a key bridge over the Seim River in Glushkovo. This essentially cuts off Russian reinforcements from a huge area in Kursk region.

Kursk Offensive: Ukrainian forces destroyed a key bridge over the Seim River in Glushkovo. This essentially cuts off Russian reinforcements from a huge area in Kursk region.

The Russian Foreign Ministry woke up and reported that today, for the first time, American HIMARS MLRS struck the Kursk region.
 
The Russian diplomatic department was referring to the bridge across the Seim River in the village of Glushkovo, where the volunteers died.
 
It should be noted that the enemy has been striking the Kursk region with HIMARS installations for many days now. These strikes have been carried out on the same bridge in Glushkovo since August 12 , and strikes have also been carried out on Rylsk and Lgov for several days in a row.
 
Military Informant

By the way, the current reports about Kiev preparing a strike using some kind of “dirty bomb” are already at least the third in our memory.
 
The previous times of "preparation" for its use occurred in October 2022 and June 2023 .
 
So this is a fairly popular theory that appears in the domestic information space every time the enemy achieves any serious success on the battlefield or carries out major offensive operations.
 
Military Informant
https://t.me/milinfolive

Le nombre de prisonniers de guerre russes monte en flèche : en quelques jours, il est passé de quelques centaines à un millier, pour s'établir aujourd'hui à près de deux mille.  
 
La plupart d'entre eux sont des jeunes en âge d'aller à l'université, contraints à la conscription sans formation ni beaucoup d'équipement. Nombre d'entre eux sont des fils de Moscovites et de Pétersbourgeois.  
 
Pour Poutine, il s'agit d'un très gros problème, car leurs parents sont ceux qu'il peut le moins se permettre de contrarier.
 
Dans toute la région de #Koursk, les Russes "ordinaires" fuient ou affrontent le son des sirènes, leur télévision diffusant des signaux d'alerte qu'ils n'auraient jamais imaginé voir ou entendre.  
 
Poutine leur avait promis la sécurité en échange de leur silence politique et de leur consentement à son pouvoir. Où est cette sécurité aujourd'hui ? Des femmes pleurent en abandonnant leur maison. Les évacuations sont obligatoires - si vous restez, vous serez considéré comme un traître mais, souvent, vous devez vous débrouiller seul
 
 Tout d'un coup, la guerre dont personne ne parle, l'opération militaire spéciale qui semble inoffensive, s'est retrouvée dans la vie des gens ordinaires.
 
L'une des plaintes exprimées par les Russes des zones occupées et menacées, et de plus en plus largement, est que la télévision diffuse des jeux et des feuilletons et que les journaux télévisés ne mentionnent rien de leur situation. C'est presque comme si cela ne se passait pas et n'avait pas d'importance. Ils expriment leur colère face au fait que leur vie et leur situation ne valent pas la peine d'être mentionnées.  
 
L'État ne veut pas que l'on se rende compte de l'ampleur des problèmes et de la gravité de la situation. L'humiliation est palpable. Et pour cause.
Jusqu'à présent, l'armée russe a été singulièrement incapable de créer ne serait-ce qu'un seul point de résistance cohérent. Les troupes arrivent près de la ligne de front et sont décimées par les embuscades ukrainiennes et rapidement encerclées. Il est plus simple de se rendre.
 
Quel est l'intérêt de se battre dans une telle situation sans aucun renfort ?
Une brigade russe aurait abandonné son commandant et son adjoint et refusé de se battre.
Les Tchétchènes ont fui dès qu'ils ont été confrontés à un combat réel.  
 
Pour l'Ukraine, le problème est de faire sortir les prisonniers de guerre rapidement et efficacement, en les envoyant hors de danger dans des camps en Ukraine où leur valeur en tant que monnaie d'échange pour récupérer leur propre peuple est la plus élevée.  
Il est choquant de constater qu'un grand nombre d'entre eux souhaitent rester et rejoindre les forces de la Russie libre.  
L'Ukraine les soumettra à un examen approfondi et décidera ensuite si cela est autorisé ou s'ils restent dans le groupe des troupes d'échange.
 
Les conscrits sont un problème majeur pour Poutine. Il est illégal de les utiliser au combat avec moins de quatre mois d'entraînement et un équipement complet. Peu d'entre eux disposent de l'un ou l'autre de ces éléments. Certains ont été contraints de signer des contrats, ce qui est également contraire à la loi russe, et cela a provoqué des réactions négatives.  
 
Il est difficile d'ignorer la réalité. Même à Moscou, des citoyens inquiets ont parlé au seul journaliste de la BBC que le Kremlin autorise, et leur ton a changé. Ils savent que la guerre n'est pas ce qu'on leur dit.
Alors que les forces ukrainiennes s'efforcent de gagner du terrain et que l'élan stratégique qui sous-tend l'opération prend encore de l'ampleur, la Russie s'efforce d'envoyer des troupes sur le terrain. Leur déplacement est une entreprise massive et lente. Et elle n'est pas très douée pour cela.
Pour l'instant, les fers de lance ukrainiens poussent vers l'est et le sud-est - à la recherche des Russes, les encerclant et attendant leur reddition.
#Russie #Ukraine #NAFO #Felas

Koursk : Selon Riley Bailey, analyste à l'Institute for the Study of War, cité par @voxdotcom, des mouvements de troupes russe sont déjà en cours, mais ils ne sont pas à la hauteur des besoins de la Russie pour repousser l'attaque et reprendre du territoire.  
 
Bailey a indiqué à Vox que des rapports font état de jusqu'à 11 bataillons russes en train de se redéployer depuis d'autres secteurs du front pour former un groupe de forces improvisé dans l'oblast de Koursk.
 
Source : @TheStudyofWar  
 
https://www.vox.com/russia-ukraine/ [...] kyy-crimea

Koursk : Selon Riley Bailey, analyste à l'Institute for the Study of War, cité par @voxdotcom, des mouvements de troupes russe sont déjà en cours, mais ils ne sont pas à la hauteur des besoins de la Russie pour repousser l'attaque et reprendre du territoire.

Bailey a indiqué à Vox que des rapports font état de jusqu'à 11 bataillons russes en train de se redéployer depuis d'autres secteurs du front pour former un groupe de forces improvisé dans l'oblast de Koursk.

Source : @TheStudyofWar

https://www.vox.com/russia-ukraine/ [...] kyy-crimea