https://i.ibb.co/nqLzWF4n/IMG-2301.jpg
 
Il y a 10 ans, Daesh assassinait 130 personnes au Bataclan, à Paris le 13 novembre 2015. Sur l'année 2015, c'est 149 personnes qui auront perdus la vie suite à des attentats de l'État Islamique, malheureusement suivis par d'autre attentat les années suivantes. Une décennie après, nous n'oublions pas ces morts, nous n'oublions pas que l'extrême-droite, sous ces différentes versions, tuent.
 
N'oublions par ces crimes, ici, ainsi que dans tout les autres pays du monde qui ont subis des attentats dans la vague qui à eu lieu au milieu de cette décennie.
N'oublions pas aussi le caractère raciste et antisémite particulièrement de certaines attaques au début de l'année.
N'oublions pas la dérive sécuritaire et autoritaire dans laquelle s'est glissé l'État depuis 2015. Au mépris des principes de libertés, d’égalité et de démocratie.
N'oublions pas également la vague d'islamophobie que ce sont pris les musulman-es suite à ces attaques par Daesh, qui suite à l'émotion national, ont vue l'Etat profiter des renforcement des protocole de vigilance anti-attentat pour stigmatiser et villainiser la communauté musulmane.
 
Notre pensés va à toutes les victimes des extrêmes droites, continuons de nous mobiliser pour elles et eux !
Contre l'extreme-droite, contre tout les racisme : aucune tolérance, n'oublions rien, ne pardonnons rien !

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Il y a 10 ans, Daesh assassinait 130 personnes au Bataclan, à Paris le 13 novembre 2015. Sur l'année 2015, c'est 149 personnes qui auront perdus la vie suite à des attentats de l'État Islamique, malheureusement suivis par d'autre attentat les années suivantes. Une décennie après, nous n'oublions pas ces morts, nous n'oublions pas que l'extrême-droite, sous ces différentes versions, tuent.
 
N'oublions par ces crimes, ici, ainsi que dans tout les autres pays du monde qui ont subis des attentats dans la vague qui à eu lieu au milieu de cette décennie.
N'oublions pas aussi le caractère raciste et antisémite particulièrement de certaines attaques au début de l'année.
N'oublions pas la dérive sécuritaire et autoritaire dans laquelle s'est glissé l'État depuis 2015. Au mépris des principes de libertés, d’égalité et de démocratie.
N'oublions pas également la vague d'islamophobie que ce sont pris les musulman-es suite à ces attaques par Daesh, qui suite à l'émotion national, ont vue l'Etat profiter des renforcement des protocole de vigilance anti-attentat pour stigmatiser et villainiser la communauté musulmane.
 
Notre pensés va à toutes les victimes des extrêmes droites, continuons de nous mobiliser pour elles et eux !
Contre l'extreme-droite, contre tout les racisme : aucune tolérance, n'oublions rien, ne pardonnons rien !

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Il y a 10 ans, Daesh assassinait 130 personnes au Bataclan, à Paris le 13 novembre 2015. Sur l'année 2015, c'est 149 personnes qui auront perdus la vie suite à des attentats de l'État Islamique, malheureusement suivis par d'autre attentat les années suivantes. Une décennie après, nous n'oublions pas ces morts, nous n'oublions pas que l'extrême-droite, sous ces différentes versions, tuent.
 
N'oublions par ces crimes, ici, ainsi que dans tout les autres pays du monde qui ont subis des attentats dans la vague qui à eu lieu au milieu de cette décennie.
N'oublions pas aussi le caractère raciste et antisémite particulièrement de certaines attaques au début de l'année.
N'oublions pas la dérive sécuritaire et autoritaire dans laquelle s'est glissé l'État depuis 2015. Au mépris des principes de libertés, d’égalité et de démocratie.
N'oublions pas également la vague d'islamophobie que ce sont pris les musulman-es suite à ces attaques par Daesh, qui suite à l'émotion national, ont vue l'Etat profiter des renforcement des protocole de vigilance anti-attentat pour stigmatiser et villainiser la communauté musulmane.
 
Notre pensés va à toutes les victimes des extrêmes droites, continuons de nous mobiliser pour elles et eux !
Contre l'extreme-droite, contre tout les racisme : aucune tolérance, n'oublions rien, ne pardonnons rien !

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Il y a 10 ans, Daesh assassinait 130 personnes au Bataclan, à Paris le 13 novembre 2015. Sur l'année 2015, c'est 149 personnes qui auront perdus la vie suite à des attentats de l'État Islamique, malheureusement suivis par d'autre attentat les années suivantes. Une décennie après, nous n'oublions pas ces morts, nous n'oublions pas que l'extrême-droite, sous ces différentes versions, tuent.
 
N'oublions par ces crimes, ici, ainsi que dans tout les autres pays du monde qui ont subis des attentats dans la vague qui à eu lieu au milieu de cette décennie.
N'oublions pas aussi le caractère raciste et antisémite particulièrement de certaines attaques au début de l'année.
N'oublions pas la dérive sécuritaire et autoritaire dans laquelle s'est glissé l'État depuis 2015. Au mépris des principes de libertés, d’égalité et de démocratie.
N'oublions pas également la vague d'islamophobie que ce sont pris les musulman-es suite à ces attaques par Daesh, qui suite à l'émotion national, ont vue l'Etat profiter des renforcement des protocole de vigilance anti-attentat pour stigmatiser et villainiser la communauté musulmane.
 
Notre pensés va à toutes les victimes des extrêmes droites, continuons de nous mobiliser pour elles et eux !
Contre l'extreme-droite, contre tout les racisme : aucune tolérance, n'oublions rien, ne pardonnons rien !

L’ironie de ce retour en arrière est que Salah Abdeslam a plongé à cause d’un ordinateur, sur lequel il suivait des cours. Comme une preuve, selon ses proches, qu’il avait fait un premier pas en dehors de l’islam radical. Un pas qu’il devait en grande partie à Brigitte (le prénom a été changé à sa demande). Aujourd’hui à la retraite, cette ancienne professeure de sciences du secondaire, aujourd’hui âgée de 80 ans, est devenue un de ses principaux soutiens.

En 2021, tombée dans le procès des attentats un peu par hasard, Brigitte ne connaissait pas grand-chose au monde carcéral, rien à l’islam. De gauche oui, mais pas d’extrême gauche, précise-t-elle aussitôt, elle se définit comme « une humaniste qui a foi dans l’être humain », et résolument « contre la peine de mort ». En plein procès, après avoir entendu Salah Abdeslam exprimer l’envie de suivre des cours à distance, elle décide, le 7 décembre 2021, d’écrire à Olivia Ronen. « Parce que vivre sans espoir, c’est cesser de vivre », écrit-elle dans sa lettre, elle se dit prête à « financer à Salah Abdeslam, s’il est d’accord, la formation et les cours qu’il désire, mathématiques, français, langue et PC portable si autorisé ».
 
Très vite, elle commence à lui envoyer des livres, des romans, « de base », dit-elle, puis des romans policiers. Il y a eu une période où c’était plutôt des essais, surtout de la psychologie et de la sociologie, mais aussi des manuels de grammaire, d’orthographe ou des ouvrages sur le sport et la musculation. Tout récemment, elle lui a envoyé les six tomes de la bande dessinée de Riad Sattouf L’Arabe du futur (publiée depuis 2014). Leur relation épistolaire s’est intensifiée progressivement. Et puis un jour, Brigitte a reçu un appel. « Bonjour, c’est Salah Abdeslam », a dit une voix fluette à l’autre bout du fil. Depuis, ils se parlent en moyenne une fois par semaine au téléphone. Leur rendez-vous téléphonique n’a pas de jour fixe et peut durer quinze minutes comme plus d’une heure. Ils se tutoient et s’appellent par leur prénom. Mais ils ne se sont jamais vus, car elle n’a pas pu obtenir de permis de visite.
 
Après de longs mois de négociations, Brigitte réalise enfin son projet d’acquisition d’un ordinateur. L’administration pénitentiaire a donné le choix entre seulement trois ordinateurs fixes, dont le prix total tourne autour de 1 000 euros. Elle a convenu avec la famille Abdeslam que cette dernière en paierait finalement une grande partie. Le 21 novembre 2024, la machine, sans connexion Internet, entre dans la cellule du terroriste. Dans la foulée, Brigitte envoie ses premiers CD-ROM d’apprentissage de l’anglais.
 
Quand elle a appris la garde à vue de Salah Abdeslam pour ces consultations de fichiers de propagande islamiste, Brigitte s’est dite « abasourdie »

De gauche