Loacoon | Eh ben en voila une belle bande de moutons qui croient que ce qu'ils voient à la télé, continuez comme ca, vous êtes de bons citoyens!
Très fort, dans tes photos y en a aucune qui montre un quelconque effet de réflexion solaire qui pourrait ressembler a ce qu'on voit sur cette vidéo, merci d'apporter un élément de plus en faveur de la théorie de monsieur Petit, on en demandait pas tant de la part d'un de ses détracteurs. On voit bien sur la video du B2 qu'il s'agit d'une source lumineuse orangée.
power600 a écrit :
Les bizarreries du B2.
Les photographies montrées dans la plaquette laissent au spécialiste des impression différentes selon les parties de l'appareil qui sont montrées. Tout ce qui traite au train d'atterrissage :
Train avant
ou au système de largage des bombes :
Système rotatif de largage de charges militaires (bombes, missiles de croisière)
fait très "propre", très "pro", très "fini", "intégré à la structure", ou "d'origine". Faisons au passage remarquer que ce ssyème de largage de bombes ou de missiles de croisière en utilisant un système à barillet n'est pas une innovation. On le retrouve en particulier dans des bombardiers stratégiques soviétiques assez anciens. Jetons maintenant un oeil aux tenues de vol des pilotes du bombardier du troisième millénaire :
Cela peut à la limite cadrer avec l'altitude de croisière : 15.000 mètres. Ces tenues ne sont pas pressurisées. On admet en effet que des pilotes puissent encaisser une dépressurisation accidentelle ou liée à l'impact d'un missile sol-air jusqu'à une altitude de quinze mille mètres.
Sur l'image suivante le commandant de bord assis sur son siège éjectable.
Est-il pensable que sur ce bombardier du troisième millénaire, si coûteux, on laisse traîner dans le couloir d'accès autant de tuyaux, de fils, sans leur avoir fait l'aumône d'un capotage. Ben oui. Un avion militaire est avant tout..militaire La déco, les militaires s'en tapent un peu et mettre un capot là où il servirait à rien en plus de retarder d'éventuelles opérations d'entretien ou de réparation.....
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Il explique que c'est pour des raisons de sécurité et pas pour des raisons de déco, quand tu cites, cites en entier s'il te plait, des fils qui se baladent c'est des risques de les débrancher/couper, surtout avec la fatigue.
power600 a écrit :
Selon André Jacques Holbecq, ancien pilote de Concorde il est impensable de laisser un homme en position assise plus de dix heures et d'espérer ensuite qu'il soit à même de conduire avec attention une opération de bombardement, qui recquiert toute son attention. Dans le raid Whiteman-Kaboul les pilotes auraient abordéla zone de combat, selon la paquette de James Goodall avec au moins trente heures de vol dans les jambes, en position assise. Dans un B-52 Il y a 6 hommes d'équipages. Dans des appareils aussi complexes, nécessitant un suivi de tous les instants, qu'ils s'agisse de la machine elle-même ou des communications on imagine mal un seul pilote aux commandes, pendant que le seconde "va pîquer un petit roupillon réparateur". Il y a trop de choses importantes à gérer en même temps.
S'il sont 6 y a bien moyen d'en laisser au moins deux dormir pendant une partie du vol. Y a des pilotes automatiques et tout ça dans un acion militaires aussi.
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Relis mieux, ils sont 6 dans le B52, mais seulement 2 dans le B2. Et pour le pilote auto relis l'article, t'as encore loupé un épisode.
power600 a écrit :
La plaquette donne quelques images de l'intérieur du cockpit. On a l'impression d'un bricolage, d'un assemblage d'éléments empruntés à des appareils existants. Dans un appareil conçu de manière entièrement originale il existe une ergonomie immédiatement apparente. Dans ces cockpits-là, pas un centimètre carré qui ne soit fonctionnel. Il suffit de penser à ceux d'un Airbus ou d'un Boeing civil. Quand on regarde de près les photos ci-après on a l'impression que nombre d'éléments empruntés à d'autres appareils ont été boulonnés sur les emplacements disponibles, en laissant très souvent des "vides".
Mais c'est bien le cas. Pourquoi faire des cadrans exprès si ceux déjà existants peuvent être adaptés? Et les militaires se passent très bien de l'aspect "soigné" d'un tableau de bord. Il leur faut avant tout du fiable, pat importe l'absence de ronce de noyer
Nous sommes en principe face à un fleuron de heute technologie dont on dit qu'il est composé en majorité d'élements non métalliques, de composites (à 80 %, comme dit page 7). Peut-on alors nous expliquer l'abondance de tôles rivetées présentes dans le cockpit (mieux visibles sur les documents originaux).
Les 20% restants, faut bien qu'ils soient quelque part, non?
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Et au prix qu'il a couté c'est normal qu'il soit fait avec des pièces de récup assemblées a l'arrache?! Ben dis donc...
power600 a écrit :
Pourquoi la production de ces B2 a-t-elle été limitée limitée à vingt et un exemplaires, production arrêtée en 1997 (page 13) ? Que cacheraient ces appareils de si secret, de si "sensible" qui rende impossible de les produire en plus grand nombre et de les déployer dans toutes les bases où les Américains sont implantés de par le monde. Ben, des coûts de production extraordinairement élevés, même et surtout pour le Zétazuni
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Expliqué par quoi, ces couts de production, si l'avion n'a rien de nouveau et "est fait d'un assemblage de pièces anciennes"??
EDIT: Au fait, les agroglyphe, j'imagine que voux expliquez ca par des petits homme verts qui ont rien de mieux a fouttre que de dessiner des figures mathématiques dans des champs de blés. C'est tellement plus logique comme explication. C'est vrai, des micro-onde... mais enfin... impensable voyons, soyons réalistes un peu, ca ne peut être que ET qui envoi des signaux a ses compères pour enfin "rentrer maison" . Je me demande qui est farfelu tiens. |