Voici quelques lignes dun compte-rendu de presse américain de 1996, retranscrit dans ces deux journaux russes :
« Les ingénieurs et les savants de la NASA participant aux programmes dexploration de Mars et de la Lune ont révélé certaines de leurs découvertes lors dune conférence de presse quils ont donnée au Washington National Press Club le 21 mars 1996. Ils affirment que des structures et des objets construits par des êtres intelligents ont été découverts sur la Lune. Et on meme apercu un objet eétrange sur la lune »
À lépoque, les chargés de communication de la NASA avaient abordé la question de ces constructions de manière plutôt évasive. Ils avaient cependant mentionné la présence dun OVNI sur la Lune. Ils avaient aussi évoqué la possibilité que certains sites découverts soient dorigine humaine, annoncé quune investigation était en cours et que les résultats officiels de lenquête seraient communiqués plus tard
Leur rapport faisait également état de photos aux mains de ladministration soviétique, apportant la preuve de lexistence dune activité intelligente sur la Lune.
Les milliers de photos et de vidéos prises au cours des missions Apollo et à bord de la station Clementine semblent confirmer lexistence de cette activité, sans quil soit malgré tout possible de lidentifier avec précision.
Des photos et vidéos enregistrées par les astronautes américains tout au long du programme Apollo furent présentées au cours de cette opération de communication de 1996. Les journalistes présents furent tous assez surpris que ces documents naient pas été transmis plus tôt à la presse. Ce à quoi les représentants de la NASA répondirent « quil était difficile dévaluer limpact sur la population de la diffusion dune information selon laquelle des créatures auraient habité ou habiteraient encore sur la Lune, et quil y avait dautres raisons à ce silence qui nétaient pas du ressort de la NASA. »
Richard Hoagland, spécialiste en recherches spatiales, estime que la NASA sefforce depuis des années de retoucher les documents photo avant de les publier. Certains chercheurs, dont Hoagland fait partie, sont persuadés quune race dextraterrestres avait jadis utilisé la Lune comme une base avant de venir se livrer à différentes expérimentations sur la Terre et sur les humains. Cette interprétation semble confirmée par les mythes et légendes de nombreuses anciennes civilisations de la Terre.
Consultant de lAgence Spatiale américaine, Richard Hoagland (ci-dessus au côté de son épouse) soutient depuis des années la thèse établissant une corrélation entre les pyramides égyptiennes, les monuments mégalithiques anglais autour desquels se multiplient les formations de crop circles, et les édifices prétendus artificiels de la Lune et de la planète Mars. Le projet « Mission indépendante sur Mars », à la base des découvertes sur le site de Cydonia, fut imaginé par lui et soutenu par le SRI entre 1983 et 1984. Le Stanford Research Institute (SRI) est lui-même un institut de recherche californien lié aux services de renseignements américains et financé à 75 % par le Pentagone. Cet institut a mené de nombreuses recherches sur le site de Gizeh depuis 1973, cherchant des chambres secrètes dans les monuments égyptiens. Il est probable quune importante salle darchives ait été récemment découverte sous la patte droite du Sphinx, et que cette découverte, aussi bien que le secret qui lentoure soient imputables au SRI et à la mainmise de la CIA sur cet organisme (Cf. notre dossier Le Secret du Sphinx révélé à ce sujet).
Les ruines des cités lunaires sétendraient sur des kilomètres. Elles renfermeraient des dômes gigantesques édifiés sur des fondations massives et reliés par de nombreux tunnels, ce qui oblige les scientifiques à reconsidérer leurs anciennes hypothèses à propos de la formation de la Lune. Dailleurs, ils narrivent toujours pas à comprendre comment est né notre satellite naturel ni de quelle manière ont commencé les révolutions quil effectue autour de la Terre.
Les amas de ruines découverts sur la Lune ne peuvent en aucun cas être assimilés à des formations géologiques naturelles, car leur disposition et leur structure géométrique sont bien trop complexes pour lenvisager. On a découvert dans la partie supérieure du lieu-dit « Rima Hadley », non loin du site dalunissage dApollo XV, une construction entourée dune haute muraille en forme de D. À ce jour, des constructions artificielles du même genre ont été découvertes dans 44 sites différents. Le Centre de Vols Spatiaux Goddard et le Planetary Institute de Houston font actuellement des recherches sur ce sujet. On a ainsi découvert des excavations en forme de terrasses à proximité du cratère Tiho. Ces terrasses sont elles-mêmes disposées en forme dhexaèdres concentriques convergeant vers lentrée dun tunnel, de telle sorte que ce site ressemble davantage à une exploitation minière à ciel ouvert quà une formation géologique naturelle.
Il y a également un dôme tout à fait extraordinaire illuminé de lintérieur par une étrange lueur blanc-bleue. Un autre objet très mystérieux a été découvert au nord de ce site. Il sagit dun disque denviron 50 mètres de diamètre, qui repose sur un socle en forme de losange entouré de murs. Sur lune des photos, on aperçoit, non loin du losange, une embrasure sombre et ronde qui ressemble à lentrée dune galerie souterraine. Et entre ce site et le cratère Copernic, il y a une sorte desplanade rectangulaire de 400 mètres de long sur 200 mètres de large.
Sur la photo N° AS10-32-4822 prise par léquipage dApollo X, on voit un objet denviron 1,5 kilomètre de long appelé « Castle » (le Château), qui est au-dessus de la Lune, à environ 14 kilomètres de sa surface, et projette sur elle une ombre que lon aperçoit très distinctement. Cet objet semble être formé de plusieurs niveaux cylindriques articulés autour dun élément central. Sur lune des images, on voit distinctement la structure interne du « Château », et certaines parties sont transparentes.
Quand Richard Hoagland demanda pour la seconde fois à consulter les photos originales du « Château », on lui soutint quelles nexistaient pas. Leurs numéros didentification avaient même disparu de la liste établie initialement par léquipage dApollo X. On ne retrouva quune série de photos floues qui ne permettaient pas de se faire une idée de la structure interne de lobjet.
En 1971, quand le module lunaire dApollo XIV se posa sur la surface de la Lune, les membres de léquipage réalisèrent que leur alunissage était observé à distance depuis un objet volant semi-transparent de forme pyramidale. Il était immobilisé à seulement quelques mètres au-dessus du sol et irisait les couleurs de larc-en-ciel sur le ciel noir. Après son retour sur la Terre, lorsquun journaliste demanda à lastronaute Edgar D. Mitchell comment il avait vécu cette expérience, il répondit : « Jen ai encore mal au cou, à force de me retourner dans tous les sens, tellement nous avions limpression de nêtre pas seuls et dêtre sans cesse observés. Mais nous navions pas dautre solution que de prier. »
Johnston, qui travaillait au Centre Spatial de Houston et avait étudié les photos et vidéos réalisées au cours du programme Apollo, eut un jour une conversation avec Richard Hoagland à propos des objets trouvés sur la Lune. Il lui déclara que la direction de la NASA était très ennuyée, du fait du nombre considérable dobjets mystérieux de provenance inconnue qui avaient été répertoriés. Elle avait même décidé, selon lui pour cette raison, dinterrompre tous les futurs programmes de vols habités à destination de la Lune.
Les chercheurs de la NASA sintéressent particulièrement aux structures qui font penser à dantiques cités disparues. Les photos font ressortir une configuration géométrique étonnamment régulière basée sur des constructions carrées ou rectangulaires. Elles ressemblent à laspect des villes de la Terre, lorsquelles sont observées de lespace depuis une altitude de 5 ou 8 kilomètres. Un chargé détudes de la NASA a fait ce commentaire à propos des photos : « Nos gars ont pu voir des ruines de villes lunaires, des pyramides transparentes, des dômes, et bien dautres choses encore qui sont conservées dans nos archives secrètes. Ils ont vécu un peu ce quavait vécu Robinson Crusoe, le jour où il tomba sur les empreintes des pieds de Vendredi, après sêtre longtemps cru tout seul sur son île. »
Les géologues et les chercheurs qui ont étudié les images de ces cités et objets lunaires semblent unanimes : ces objets et constructions ne peuvent pas être et ne sont pas des formations naturelles, particulièrement les dômes et les pyramides. Nous devons admettre quils sont luvre de créatures intelligentes appartenant à une civilisation établie à proximité de la Terre, dont nous ignorions jusquà présent lexistence.
Nous nétions, semble-t-il pas prêts à laccepter en 1969. Mais le sommes-nous davantage aujourdhui ?
Et pourquoi les américains n'y sont pas retourné depuis?