La majorité des livres de golf que j'ai consulté indique plus ou moins qu'ils ne savent pas d'où provient ni le jeu, ni le nom. Tous le revendique, tant les chinois, les hollandais, les français que les écossais. Toutefois, les écossais semblent s'être gagné la faveur populaire puisque selon le Petit Robert, Golf serait un mot d'Écosse. Néanmoins, selon plusieurs auteurs dont le Manuel du Golf, édition Solar, entre autre, le mot "Golf" serait dérivé d'un jeu hollandais nommé "Kolf" ou "Kolven".
Mais, de grâce, ne croyez pas les gens qui vous expliqueront que le mot provient de l'acronyme Gentlemen Only Ladies Forbidden puisqu'il s'agit d'un gag visant à éloigner la gent féminine des parcours. J'ai bien hâte de voir un tournoi professionnel mixte. Je crois que plusieurs machos seront surpris des résultats.
 
Philippe Rivière favorise pour sa part la version suivante. Il écrit :
 
«La vraie histoire du mot  GOLF serait la suivante. Un châtelain écossais disposant d'un grand domaine autour de son château avait inventé un jeu consistant à lancer une balle avec un bâton sur un parcours. Il avait invité ses amis à venir jouer en couple, la preuve que les femmes n'étaient pas exclues. Ayant été amené à constater certaines pratiques qui se déroulaient derrière les fourrés, le dit châtelain avait apposé une pancarte avec l'inscription suivante :
 
"Gentlemen On Ladies Forbiden"
 
Un joueur  avait modifié la pancarte en remplaçant On par Only. L'histoire n'a gardé que les quatre lettres majuscules de la pancarte du châtelain.»
 
Traduction :
Gentlemen On Ladies Forbidden = Hommes sur Femmes interdits
Gentlemen Only Ladies Forbidden = Hommes seulement Femmes interdites

Le ciel est bleu dans la journée car la lumière solaire comporte toutes les couleurs et que l'ozone diffuse la couleur bleue et que cette même lumière traverse 40 km d'atmosphère. En fin de journée, courbure de la Terre oblige, la lumière traverse 80 à 100 Km d'atmosphère (voire plus), et donc toute la couleur bleue a été diffusé, donc il ne reste que la couleur rouge

L'eau est transparente, mais l'eau de mer est verte à cause des algues, et si la mer parait bleue, tout comme les lacs et les piscines c'est tout simplement que l'eau reflète la couleur bleue du ciel

Autre info, issue de l'Histoire Universelle des Chiffres (excellent livre!). A la base, l'Homme n'est pas habitué à compter au-dela de 4 et ne donne pas de noms aux nombres supérieurs. Il compte 1, 2, 3, 4, et c'est tout. Au-dela, les nombres sont tous confondus et appelés par un synonyme de "multitude".
Cela a conduit les Romains à faire leur décompte des mois. Ils disposaient à la base de 10 mois (de mars à décembre). Les 4 premiers portaient des noms de dieux (et étaient donc bien définis) ensuite, on utilisait "Le cinquième",..., "Le dixième" (à savoir décembre).
Se rendant compte d'un décalage, ils ont introduit Janvier et Février (je ne sais plus d'où viennent ces noms, Janus et ???). De même le cinquième mois prit le nom de l'empereur Jules (Juillet) et le sixième celui de l'empereur Auguste. Ces deux mois ont la même durée de 31 jours car Auguste ne voulait pas avoir moins de jour à son mois que Jules!

Pour continuer dans les trucs cons (mais je pense que tout le monde le sait):  
 
Ordinateur a pour étymologie le mot de l'ancien français "ordinateur", celui-ci provient lui-même de l'évolution du mot latin ordinator. Ordinateur avait autrefois le sens d'ordonnateur, personne qui dispose, qui règle selon un ordre. Dans l'Église catholique, il avait aussi le sens d'ordinant, celui qui confère un ordre ecclésiastique.  
 
En 1954, la société IBM France voulait trouver un nom français pour sa nouvelle machine électronique destinées au traitement de l'information (IBM 650), en évitant d'utiliser la traduction littérale du mot anglais "computer" ("calculateur" ou "calculatrice" ), qui était à cette époque plutôt réservé aux machines scientifiques. Aux États-Unis, les nouvelles machines de traitement automatique de l'information (capables de faire aussi du traitement de texte, du dessin, etc.) étaient appelées "electronic data processing systems" (EDPS) ou "data processing machines".  
 
Un cadre de la société conseilla de consulter un de ses anciens professeurs, Jacques Perret, titulaire de la chaire de philologie latine à la Sorbonne. Le professeur Perret répondit par une lettre du 16 avril 1955, dont la lecture donne un exemple intéressant de recherche terminologique :  
 
Que diriez vous d'"ordinateur" ? C'est un mot correctement formé, qui se trouve même dans le Littré comme adjectif désignant Dieu qui met de l'ordre dans le monde. Un mot de ce genre a l'avantage de donner aisément un verbe, "ordiner", un nom d'action, "ordination". L'inconvénient est que "ordination" désigne une cérémonie religieuse ; mais les deux champs de signification (religion et comptabilité) sont si éloignés et la cérémonie d'ordination connue, je crois, de si peu de personnes que l'inconvénient est peut-être mineur. D'ailleurs votre machine serait "ordinateur" (et non ordination) et ce mot est tout a fait sorti de l'usage théologique.  
 
"Systémateur" serait un néologisme, mais qui ne me paraît pas offensant ; il permet "systémation" ; mais "systémer" ne me semble guère utilisable.  
 
"Combinateur" a l'inconvénient du sens péjoratif de "combine" ; "combiner" est usuel, donc peu capable de devenir technique ; "combination" ne me paraît guère viable à cause de la proximité de "combinaison". Mais les Allemands ont bien leurs "combinats" (sorte de trusts, je crois), si bien que le mot aurait peut-être des possibilités autres que celles qu'évoque "combine".  
 
"Congesteur", "digesteur" évoquent trop "congestion" et "digestion"  
 
"Synthétiseur" ne me paraît pas un mot assez neuf pour designer un objet spécifique, déterminé comme votre machine.  
 
En relisant les brochures que vous m'avez données, je vois que plusieurs de vos appareils sont désignés par des noms d'agents féminins (trieuse, tabulatrice). "Ordinatrice" serait parfaitement possible et aurait même l'avantage de séparer plus encore votre machine du vocabulaire de la théologie.  
 
Il y a possibilité aussi d'ajouter à un nom d'agent un complément :  
 
"ordinatrice d'éléments complexes" ou un élément de composition, par ex. "sélecto-systémateur". "Sélecto-ordinateur" a l'inconvénient de deux "o" en hiatus, comme "électro-ordinatrice".  
 
Il me semble que je pencherais pour "ordinatrice électronique"…  
 
IBM France retint le mot ordinateur et chercha au début à protéger ce nom comme une marque. Mais le mot fut facilement et rapidement adopté par les utilisateurs et IBM France décida au bout de quelques mois de le laisser dans le domaine public.  
 
On peut certes épiloguer sur le choix du terme : un ordinateur met-il vraiment en ordre ce qu'on lui confie  ? De ce point de vue, ce choix n'est pas plus critiquable que celui du mot "computer", finalement retenu en anglais (un ordinateur n'est pas seulement une machine à calculer). L'avantage du mot ordinateur est que son sens ancien et son sens religieux ne sont pas connus par la plupart des utilisateurs et qu'il est donc sans ambiguïté pour eux.  
 
Le mot a d'ailleurs été transposé en espagnol (ordenador) et en catalan (ordinador). Les autres langues romanes ont choisi de construire un néologisme à partir des mots latins calculator et computator : computadora en espagnol d'Amérique latine, calcolatore en italien, computador en portugais et calculator en roumain.  
 
source: http://www.presse-francophone.org/ [...] ymolog.htm
 

deux trucs cons de cuisine (je parie que je vais être over grilled mais bon...)  
-pour savoir si un oeuf est cuit ou cru, vous le faite tourner et vous posez votre index dessus un court instant et vous le retirez: l'oeuf s'arrete: il est cuit/il repart: il est cru  
-pour savoir si vos pates sont al dente sans vous bruler: coller une pate sur un bout de carrelage: si la pate reste accrochée, c'est bon, c'est cuit/ si elle tombe: pas encore bon.  

La TVA est une création... francaise! L'idée de créer un impot sur la revente d'un produit date de 1954. Cet impot avait vocation à soulager les travailleurs de l'impot sur le revenu (si, si!).  
Et c'est le truc qu'on a le mieux exporté en europe: dès qu'on a créer le marché unique, les autres états se sont jeté dessus en disant "c'est l'europe qui veut ca: la france l'a fait, donc on doit le faire aussi" et instauré leur propre TVA.  
 
ceci peut expliquer pourquoi la france souffre de popularité: si on exporte nos impots, on peut pas etre populaire...